n° 07877 | Fiche technique | 10013 caractères | 10013Temps de lecture estimé : 7 mn | 05/10/04 |
Résumé: A peine le temps de découvrir l'appartement qu'on nous prête pour les vacances que l'on fait connaissance de voisins... | ||||
Critères: fh couple voisins vacances voir exhib intermast pénétratio | ||||
Auteur : Antonvolt |
Épisode précédent | Série : Anna et Eric Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
(suite de la tête de la caissière)
Quelques km encore et nous arrivons dans le parking de la résidence. Laissant les bagages pour l’instant, nous monterons les trois étages d’escalier pour découvrir l’appartement qu’on nous a prêté. C’est simple, une grande pièce avec baie vitrée et terrasse, une petite cuisine, une chambre et la salle de bain. Bien qu’avec un peu de flemme, je redescends chercher les sacs. Quand je remonte, Anna est sur la terrasse et me fait signe de ne pas faire de bruit pour la rejoindre et d’éteindre la lumière. J’avance jusqu’à elle, dans la pénombre de la terrasse. Anna me fait signe de tendre les oreilles, j’écoute. Je ne me rends pas tout de suite compte des bruits qui viennent d’à côté, puis de plus en plus distinctement, j’entends des petits murmures et des gloussements étouffés. Les sons proviennent de l’appartement d’à côté. La baie vitrée est grand ouverte. Il n’y a pas de lumière d’allumée, on ne voit que l’obscurité. Par contre, en s’habituant, je commence en comprendre un petit peu ce qui se dit, c’est une voix féminine :
"On ferme la fenêtre ? Non, c’est pas la peine, personne ne peux nous voir. Mais on va nous entendre ! Tu crois qu’il y a quelqu’un pour nous entendre à cette heure ci, tout le monde dort ! Oui, mais on sait jamais ! Et après, qu’est-ce qu’on en a à faire si quelqu’un nous entend, qu’est ce qu’on fait de mal ? Rien, mais quand même, j’aurai honte, tu t’imagine si demain on croise quelqu’un qui nous a entendus ? Tu sais, on peut peut-être nous entendre, mais on nous voit pas, moi, je trouve ça plutôt excitant, en plus quand tu jouis, tu as une très jolie voix, tu chanterais presque ! Arrête, j’ai honte, je te dis ! T’as peut-être honte, mais en tout cas, t’es toute mouillée, ça t’exciterait pas toi aussi, qu’on puisse nous entendre ? Oh ! Tu réponds pas ma chérie ? Hum ! Vas-y, écartes bien les cuisses, j’ai envi de lécher ta chatte et de boire ton jus."
Toujours sur le balcon, silencieux, nous écoutons oreilles grandes ouvertes, l’un contre l’autre. Je sus derrière Anna et je la tiens dans mes bras. On entend des petits bruits humides, puis des soupirs discrets. La voix masculine reprend, un peu plus forte qu’avant :
"Ça va, ma chérie ? Oui ! Tu veux que je mette mes doigts ? Oui ! Alors dis le moi plus fort, que je t’entende ! Mets-moi tes doigts, s’il te plait ! Il me plait, et toi, ça te plait ? Oh oui ! Dis le plus fort je ne t’entends pas ! OUI, ça me plait, Oh ! Tu veux que je continue à te lécher en te doigtant ? OUI ! Alors tu sais ce que tu va faire ? Dis-moi ! Tu vas retirer ton T-Shirt et te caresser les seins, tout en me racontant ce que tu ressens ! Je retire mon T-shirt, je n’ai plus que mon soutien-gorge, je baisse les bonnets, j’ai les tétons à l’air, je masse mes seins… Continue ! Je sens tes doigts et ta langue, hum, j’imagine que ce sont tes mains sur mes seins, elles me réchauffent, il fait un peu frais, je sens mes tétons durcirent, je caresse autour… ça te plait ? J’adore t’entendre !"
Je le comprends, la voix de la femme est très sensuelle, j’ai une terrible érection, mon sexe est plaqué contre les fesses d’Anna. Nous ne bougeons pas, silencieux et attentifs. Je l’embrasse dans le cou tendrement, je sens Anna frémir. À côté, dans le noir, les choses se précipitent : "prends-moi, je n’en peu plus". on entend quelques bruit de tissus, puis des petits gémissements, puis des petits sons humides et des claquements de corps qui se touchent et se séparent. Alors que moi et Anna retenons notre souffle, à côté, on entend les respirations s’accélérer. Le fait de ne rien voir, d’être des voyeurs aveugles mais pas sourd est terriblement excitant. J’ai fermé les yeux et je me laisse bercé par les oreilles au rythme de plus en plus rapide de ces deux inconnus qui baise là, juste à côté, sans savoir que nous les entendons. Les gémissements de la femme sont plus forts, et mélodieux, c’est vrai qu’on dirait qu’elle chante. À les entendre, on sent que le final approche. Collé à Anna, je sens son bras qui bouge, de plus en plus rapidement, je la tiens par les hanches, aux vibrations de son corps, je pense qu’elle se caresse. Mon sexe est de plus en plus dur, calé entre ses fesses qu’elle se met à remuées.
On entend maintenant des respirations saccadées, puis un "je viens" auquel répond un "oui, viens, moi aussi " suivi de quelques petits cris des deux côtés. Au même moment, je sens Anna se tendre puis se relâcher d’un coup. Je la serre fort contre moi. Tout autour de nous c’est maintenant le silence. J’attire Anna vers l’intérieur. On s’embrasse longuement, puis je l’entraîne vers le fond de l’appartement.
"Tu as jouis ? Oui ! Tu sais de quoi j’ai envie ? De baiser, tu bande depuis trop longtemps ! Mais encore ? Quoi ? J’ai envie de te prendre dans le salon, prés de la fenêtre, on pourrait leur rendre la pareille, non ? Pourquoi pas !"
Avant de retourner dans le salon, j’allume la lumière de la salle de bain, fermant presque totalement la porte. Un petit filet de lumière passe vers le salon. Anna réagit
"Tu fais quoi, éteins ! J’ai envie qu’ils puissent voir des ombres bougées. Mais ils vont voir qu’il a quelqu’un à côté ! Justement, s’ils remarquent la lumière, ils vont peut-être faire attention. Mais ! Mais quoi, ça ne te plairait pas de les exciter et qu’ils se remettent à baiser, après ce qu’ils nous ont offert ? Hum, d’accord."
Je prends des coussins sur le canapé et je les pose par terre. On s’embrasse langoureusement devant la baie ouverte ? Je remonte sa jupe sur sa taille. Anna est dos à la baie.
"Anna, peut-être qu’il y a quelqu’un qui voit que je te pelote les fesses"
Je parle exprès un peu fort.
"Chut !"
En même temps, je scrute le balcon d’à côté, espérant voir nos voisins. Je commence à descendre son string, Anna m’accompagne en levant successivement les jambes. J’ai son string dans la main. Il est tout trempé, J’en fait une boule, puis je le lance dehors vers le balcon d’à côté. Je crois que j’ai réussi car juste après, j’entraperçois une ombre passer furtivement sur le balcon puis repartir. Je me suis remis à caresser les fesses d’Anna
"Allez Anna, montre comment tu sais bouger ton cul, on leur doit bien ça".
Au même moment, deux ombres se profilent sur le balcon d’à côté. Une main sur une fesse, je glisse l’autre entre ses cuisses. Anna écarte les jambes. Mes doigts glissent sur son sexe. Je lui fais tendre les fesses en arrières. En même temps, elle a déboutonné ma chemise et je sens sa langue sur ma poitrine, puis sur un téton qu’elle léchouille. Je gémis d’aise, j’ai maintenant un doigt dans son sexe. Dans cette position, les voisins doivent distinguer sa chatte et ma main. En plus de sa langue qui m’excite alternativement l’un et l’autre téton, Anna défait ma ceinture. Je me retrouve cul nu. C’est elle maintenant qui prend l’initiative, elle vient dans mon dos, m’exhibant face à la baie. Elle me branle et me dit
"Je suis sur que ça t’excite de montrer ta queue, pas vrai chéri ? Oui, c’est bon de montrer ma bite avec ta main qui me branle, mais va doucement !"
De son autre main Anna me cinçote un téton.
"Ça te plait ça aussi ? Hum, oui ! Alors dis le plus fort. Oui Anna, continue, tu m’excite avec tes caresses, tu branle aussi bien que tu suce, si je n’étais pas dans cet état là, je te demanderais de me lécher"
J’ai haussé la voix. Je vois toujours les ombres face à moi, ainsi qu’un petit point rouge brillant. Mais je n’y prête pas attention, trop préoccuper maintenant de posséder Anna. Je me retourne, je pousse Anna contre le montant de la baie.
"Tu veux que je te prenne comme ça, debout ? Oui, vas-y"
Je pénètre doucement dans sa grotte humide, ça glisse.
"Tu entends comme tu es humide, ça fait des clapotis ? Oui, oh, continue".
Nous sommes plaqués l’un conte l’autre, nous soutenons chacun les mains sur les fesses de l’autre. Anna a toujours son T-shirt, je sens ses seins libres dessous. Je libère mes mains et commence à soulever le tissu. Anna lève les bras et se retrouve les seins à l’air.
"J’adore quand tu as les seins à l’air, ils m’excitent, c’est comme deux grosses poires juteuses. Retournes toi, s’il te plait".
Anna se tient des deux mains au montant de la baie. Je la pénètre à nouveau, mon ventre contre ses fesses. De mes mains, je soupèse ses seins.
"J’adore sentir le poids de tes seins se poser sur la paume de ma main, et toi tu aime quand je te prends comme ça par derrière, pas vrai ? Hum oui, tu les sais très bien Eric ! Mais encore ! Tiens-moi par les hanches, et bourre-moi, j’adore ça tu sais !"
Nos respirations s’accélèrent, nos bassins se précipitent, je la tiens fermement et je la guide, je sens mon sexe coulisser dans le sien. Tout s’accélère, je me raidis
"Je vais jouir ! Vas-y, lâche tout !"
Je sens mon sexe se gonfler encore plus, il vibre presque. J’éjacule pendant plusieurs seconde au fond d’Anna, agrippé à ses hanches. Puis nous restons immobiles emboîtés l’un dans l’autre. Plongeant peu à peu dans la tranquillité et le silence.
Lorsque nous nous retournons, je ne vois plus les ombres sur le balcon. Quelques instant plus tard, on entend à nouveau des sons d’à côté. Les voisins ont pris le relais !