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n° 07922Fiche technique10501 caractères10501
Temps de lecture estimé : 7 mn
07/10/04
Résumé:  Une femme mûre décide de se laisser aller avec son gendre.
Critères:  fh fplusag extracon alliance fépilée cinéma volupté fellation fdanus
Auteur : Demondemididix  (Enseignant)            Envoi mini-message
Elle




Ne me demandez pas comment "Elle" est devenue ma maîtresse, je n’en sais toujours rien. Mais quelquefois quand une femme veut quelque chose, il est souvent bien dur à tout homme de résister.


Elle, c’est Catherine et Catherine, c’est … ma belle-mère !


Dire que je n’ai jamais eu envie d’elle, serait mentir car le premier jour que ma fiancée (sa fille et alors pas encore ma femme) me l’a présentée, je crois que j’ai eu un pincement au cœur de penser que la fille était bien moins jolie et avait bien moins de classe que sa maman. Seulement, j’étais fou amoureux et aujourd’hui encore quoiqu’il se soit passé et malgré n’avoir pas trop été très sage, je l’aime toujours aussi fort.



Catherine est pharmacienne. Elle a 53 ans, soit 11 de plus que moi et 15 de ma femme. Elle mesure 1m66, de taille moyenne avec une poitrine épanouie qui m’a toujours intéressé.

Catherine est une femme avec seulement quelques formes rebondies pour son âge. Les cours de gym et le soin particulier qu’elle prête à son physique doivent y être pour quelque chose dans le fait qu’elle ne fait pas du tout son âge. Son visage est bien sûr légèrement marqué par les années, mais pourtant si peu. Le grain de sa peau mate et lisse m’a laissé souvent mes doigts fourmiller mais en vain. Seulement je n’ai jamais hasardé ni osé penser à faire un geste ou une allusion déplacés. En effet, Catherine a en elle quelque chose de collet monté qui repousse fortement, un maintien, une réserve, une retenue extrême, je ne sais pas mais en tout cas elle restait pour moi hors d’atteinte, un peu comme un fantasme impossible, inavoué.


Ce samedi là, il y a 6 mois, la pharmacie n’étant pas de garde, nous avions projeté d’aller au cinéma à la première séance matinale de la Passion du Christ de Mel Gibson. Ce film qui recevait beaucoup de détracteurs à cause des scènes choquantes à supporter mais c’est surtout pour l’histoire que nous voulions le voir. Ce week-end là nous étions seuls car ma femme et mon beau-père, hostiles à voir le film étaient partis jouer deux représentations théâtrales à 600 kms. Je passais donc chercher Catherine. Elle était toujours aussi bien habillée. Ce jour là, il faisait froid et le manteau qu’elle portait ne laissait dépasser que très peu la jupe pied de poule. Ses jambes couvertes de nylon noir semblaient interminables.


Il y avait peu de monde dans le cinéma mais Catherine voulut que nous nous asseyions au plus haut de la salle, elle à ma droite. Le film était effectivement un peu dur à supporter avec des images de sang et des suggestions de cruauté.

Je voyais peu à peu le corps de Catherine se raidir et s’immobiliser dans son fauteuil. J’avais les bras sur les accoudoirs. Un moment, sa main vint serrer mon bras droit, fortement. Je ne savais que faire de ce contact qui me comprimait mais j’avais pourtant à la fois envie qu’elle poursuive ce geste.


Elle sentit mon regard se poser sur elle et me chuchota :



Elle me gratifia d’un sourire qui me fit fondre.


Les images continuaient à provoquer des frissons, un mal à l’aise continu.

Sa main se referma à nouveau sur mon bras. Je posais ma main droite sur la sienne, la caressant pour la faire s’ouvrir.



Elle voulut retirer sa main mais je l’en empêchais, doucement. Je savais que je vivais quelque chose d’unique et ne voulais pas le laisser passer.

Je continuais à caresser sa main, ses doigts, lentement, comme pour l’apaiser. Le contact de sa peau m’électrisa alors même que je passais mon index dans sa paume. Elle me laissait faire, toute au déroulement du film. Je mélangeais nos doigts et voulus en rester là par peur d’aller trop loin. Quelques secondes interminables et à son tour, c’est elle qui me caressait. Je la laissais faire. Elle s’aventurait lentement vers l’intérieur de mon bras, à travers ma chemise je sentais monter en moi des envies incontrôlables. Je ne savais plus que faire. Comment cette femme - ma belle-mère – pouvait s’aventurer ainsi dans des gestes tellement déplacés et qui ne lui ressemblait pas ? Je ne voulais plus chercher à comprendre.


Elle posait ses yeux sur moi et je soutins son regard étrange. J’osais une main sur sa joue, en revers pour sentir sa douceur. Catherine me souriait. Je n’en revenais pas. Ma main glissa dans son cou. Je m’attendais à être repoussé, à un refus mais rien. Je remontais mes doigts sur ses lèvres, en caressait le tour. Elle sortit le bout de sa langue pour les lécher. Alors, tout se déclencha d’un coup. Je posais mes lèvres sur les siennes. Des petits bisous picorés puis un lent baiser qui suivait lourd d’envie. C’était incroyable, cette jolie femme s’ouvrait à moi.

Je dégrafais un bouton de son chemisier en l’embrassant de plus belle. À nouveau, j’avais peur qu’elle dise non, qu’il fallait tout arrêter, etc…. mais heureusement il n’en fut rien.

Sa respiration se fit plus forte, elle s’accéléra. Sa poitrine remontait plus haut. Je caressais un sein, le sentis lourd et le couvris de ma paume, puis je glissais à travers le soutien-gorge à la recherche de son mamelon. Celui-ci était érigé. Je le pinçais légèrement autant que je pus le faire avec les vêtements qui emprisonnaient mes gestes.


Sa bouche me délivrait baisers sur baisers, longs, suaves, épicés. Sa langue recherchait la mienne.

Une main se posa sur mon genou. Catherine se pencha dans son siège pour se rapprocher de moi. Sa main remonta le long de ma cuisse et se posa sur mon entrejambe. Je bandais depuis longtemps et à travers l’étoffe du pantalon, tout se devinait.


Catherine eut un bruit d’approbation à ce qu’elle venait de découvrir. À mon tour, je glissais ma main sur sa jupe, le long du nylon. Je bandais encore plus fort. Je trouvais le haut de ses bas autofixants, découvrais le contact de sa peau douce et m’arrêtais un instant sur le tissu de son sous-vêtement. C’était doux. Je ne percevais pas le contact de poils. D’un doigt je forçais le sous-vêtement à entrer dans sa fente et la caressais le plus profond possible. Elle se rejeta en arrière dans le fauteuil pour me permettre de mieux faire. Mon majeur était entré à moitié, j’étais gêné par le tissu. Je ressortis le textile, le déplaçais et repris possession du sexe lisse de Catherine. Elle mouillait. Mon doigt était maintenant profondément en elle et je la caressais à la fois de l’intérieur et de l’extérieur avec ma paume, ma main formant une pince. Pendant tout ce temps, Catherine avait dézippé ma fermeture, elle s’était emparé de mon sexe après l’avoir sorti de mon slip et me branlait.


C’était complètement fou, nous étions au cinéma, pendant un film qui en a chaviré plus d’un de dégoût, mais entre elle et moi, rien ne comptait d’autre que de poursuivre. Je poursuivais mes caresses. D’un coup elle ralentit sa main sur mon sexe, pris son autre main qu’elle mordit et vibra sur son siège. Elle jouissait. Elle jouissait en silence pour ne pas nous faire remarquer. Elle chassa ma main qui voulait encore continuer les caresses, me la picora de petites bises affectueuses, puis elle suça mes doigts. Enfin, elle me regarda comme une enfant pleine de désirs, m’embrassa la bouche d’un long baiser de feu, repris ses gestes sur mon sexe et y plongea sa bouche. Ma belle-mère me faisait une pipe !


Sa bouche allait en venait le long de mon membre, le poussant très loin au fond de sa gorge. Je posais une main dans ses cheveux pour lui intimer le rythme que je désirais, elle se laissa faire. Elle m’astiquait le sexe comme une déchaînée et je savais que je n’avais plus très long à attendre pour jouir. Je bandais de plus en plus fort. Je passais une main sur sa jupe, trouvais l’arrondi de ses fesses, mouillais mes doigts à son jus, remontais dans sa fente et poussais mon majeur contre son anus. Elle se figea un instant mais ma main dans ses cheveux lui fit reprendre son rythme. Elle se détendit et me laissa entrer en elle. J’avais les mains sur les fesses de ma belle-mère, là dans ce cinéma, je lui doigtais le derrière pendant qu’elle me léchait d’une façon extraordinaire ! C’était inimaginable. Moi qui n’avais jamais eu le fantasme du cinéma !


Mon plaisir allait arriver, je le sentais. Je retenais sa tête dans sa course folle sur mon sexe. Elle comprit que j’allais exploser et eut un geste de recul pour me sortir de sa bouche. C’était compter sans mon envie de jouir dans sa bouche puisque j’ai toujours aimé remplir la bouche des femmes et qu’elles me boivent, alors là je n’allais pas rater une si belle occasion ! Ma belle-mère qui se conduisait comme la pire des gourgandines n’allait pas tout de même pas jouer les prudes maintenant. C’était hors de question !


Catherine sentit que toute résistance était vaine. Mon sexe toujours à l’intérieur de sa bouche, elle en titilla le bout avec sa langue. Un jet puissant sortit de mon sexe, quelques giclées qu’elle déglutit rapidement. Je jouissais enfin. Je voulus laisser sa tête libre. Catherine, loin de s’arrêter, ressortit mon sexe de sa bouche, le lécha avant de se le réapproprier encore quelques longues minutes. C’était bon.

Ensuite, elle me laissa et me provoqua en passant la langue sur sa bouche. J’enfonçais mon doigt encore plus profond dans son conduit. Elle me chuchota :



Je ne sais pas si c’était le film qu’elle qualifiait de "trop dur" mais je souris car elle me vouvoyait encore ! Ce qui s’est passé ensuite ? Je ne sais pas encore si je vous le raconterai…


(Je n’avais pas rencontré de femmes plus mûres que moi. Depuis, je ne les regarde plus de la même façon. Celles qui en ont envie, écrivez-moi.)