n° 07932 | Fiche technique | 19000 caractères | 19000Temps de lecture estimé : 11 mn | 08/10/04 |
Résumé: Demander du feu peu enflamer, même au bord de l'océan | ||||
Critères: fh inconnu plage volupté voir nudisme fellation cunnilingu | ||||
Auteur : Marcus 33 |
Cela faisait déjà près de 2 heures que j’étais étendu au soleil sur la plage océane.
J’étais arrivé presque en fin d’après-midi, comme à mon habitude, et m’étais dirigé vers ce coin de la plage assez délaissé par les estivants adeptes de la bronzette et de l’entassement dans les zones surveillées.
Les plages un peu inaccessibles du littoral aquitain sont peu fréquentées et uniquement par les adeptes du naturisme, nudisme ?… enfin ceux qui veulent bronzer et se balader à poil.
Baignade, lecture, marche dans les vaguelettes, un peu de footing et retour sur la serviette, ces quelques heures ont passé très vite.
Peu de va-et-vient, un couple plie ses affaires et prend le chemin des parkings, quelques personnes passent en trottinant au loin enfin le calme et la sérénité, tout ce qu’il pour faut apprécier cette journée.
J’ai somnolé quelques minutes… tiens quelqu’un est arrivé et s’est installé à une vingtaine de mètres de moi.
Un regard circulaire la plage n’est plus occupée que par cinq adeptes disséminés de loin en loin et peut-être y a t-il un ou deux couples, mais je ne peux pas distinguer.
Mon plus proche voisin s’assoit et … c’est une voisine au moins adepte des seins nus, qui ma fois me paraît fort agréable à regarder. Chevelure brune au carré impeccable, seins ronds, avantageux mais point trop.
Je la vois qui discrètement enfile son bas de maillot de bain et se lève pour aller mettre les pieds dans l’eau.
Quelle fille !!! Grande, élancée, des jambes d’une longueur…. , une cambrure…., des seins hauts perchés qui tiennent… tout seul, à peine de légers mouvements rythmant sa marche vers les vagues. Maintenant je découvrais ses hanches étroites mais galbées et deux fesses sublimes, musclées séparées par l’étroit tissu d’un string framboise.
Quel plaisir d’avoir une si jolie femme dans son champ de vision, marchant dans les vagues mourantes, hésitant à aller plus avant.
J’étais toujours allongé sur ma natte, appuyé sur les coudes contemplant les jeux de cette naïade qui maintenant avait de l’eau à mi-cuisses. Etait-ce un hasard ou une réalité, mais il m’a semblé qu’à plusieurs reprises son regard s’est porté dans ma direction, je jetais un regard circulaire mais les autres adeptes de la plage étaient relativement éloignés de là où j’étais ; et je me suis mis à espérer que…..
Je décidais d’aller à l’eau, et comme l’avait fait ma voisine j’enfilais un short de bain et me dirigeait rapidement vers les vagues. Après m’être mouillé la nuque, le ventre, les épaules, j’entrais rapidement dans l’eau, je passais la première barre de rouleaux, nageant, marchant roulant dans les vagues.
Elle était à une dizaine de mètres de moi et s’était maintenant aventurée plus loin, nageant impeccablement, reprenant pied pour récupérer un peu. Son corps ruisselant, l’écume des vagues, le jeu du soleil, c’était un spectacle d’une beauté dont je ne serais jamais rassasié. Ha !!! si j’avais été photographe….
Tout le temps durèrent nos jeux aquatiques nos regards se croisèrent souvent ; je contemplais son profil, sa silhouette quand elle me tournait le dos, mais est ce l’instinct ou la télépathie elle se retournait brusquement nos regards se croisaient, se soutenaient quelques instants, mais je rompais vite me sentant gêné. Je n’ai jamais vu dans son regard ni sur son visage une agressivité ou un agacement, mais une grande sérénité.
Combien de fois l’ai-je aussi surprise à regarder dans ma direction, à soutenir mon regard elle aussi et baisser les yeux.
Je retournais sur le sable me sécher, je retirais mon maillot et reprenais mon farniente, quelques minutes après ma naïade faisait de même.
Elle se dirigeait presque en trottinant vers ses affaires me donnant encore le loisir d’admirer le jeu de son corps, le tressautement léger de ses seins à chaque foulée, la contraction de ses fesses parfaites, la musculature de ses cuisses. Un enchantement….
Debout, elle commence à se sécher avec un drap de bain, épongeant tout son corps, se recoiffe un peu, retire son string de bain cherche je ne sais quoi dans ses affaires, s’occupe, me laissant, volontairement ou non le loisir de découvrir que malgré un string elle avait conservé son triangle soyeux. Ce n’était pas le ticket de métro que je trouve complètement disgracieux. Puis elle s’allonge pour parfaire son bronzage. Elle avait bien jeté quelques regards dans ma direction mais très furtifs.
Je prenais un livre et me plongeais dans ma lecture tout en vérifiant de temps en temps si elle était toujours là. Au bout d’une dizaine de minutes je la vis debout, drapée dans un paréo multicolore cherchant avec insistance dans son sac de plage.
A t-elle perdu, lui a t-on volé quelque chose ? Quand on se baignait, je surveillais mes affaires, assez proches des siennes et je n’ai rien remarqué.
Tout en fouillant son sac, elle jetait de nombreux regards dans ma direction. Puis je la vis se diriger vers moi, son paréo couvrant sa poitrine et lui descendant presque au genou. Je la regardais venir me demandant ce qui pouvait se passer… et je vis qu’elle tenait un paquet de cigarettes à la main.
Voulant m’adapter à son comportement, elle s’était couverte pour m’aborder, je me retournais sur le ventre.
Imaginez un mec (moi) à plat ventre sur la plage se relevant sur un coude au pied d’une créature de rêve de près de 1m 80. Je me sentais ridicule.
D’une voix cristalline et avec un sourire à faire fondre le plus intégriste des pasteurs, elle me demande simplement :
« Bonsoir … auriez-vous du feu s’il vous plait … je n’arrive pas à retrouver mon briquet »
« Je n’en suis pas sûr mais je vais chercher »
Me voilà à farfouiller dans mon sac à dos à la recherche d’un hypothétique briquet, je ne suis plus fumeur, mais j’en ai gardé encore quelques équipements. Au bout de quelques dizaines de secondes… une minute…j’exhibe triomphalement un BIC et me retourne pour faire face à ma très jolie fumeuse.
Elle s’était accroupie, avait posé un genou sur le sable, un pan de son paréo avait glissé et j’avais à quelques dizaines de centimètres de mon visage le plus magnifique des coquillages légèrement ouvert sur deux petites lèvres roses, surmonté d’un triangle soyeux d’un noir d’ébène.
Cette vision n’a duré que quelques dixièmes de secondes, mon regard s’est porté rapidement vers son visage souriant.
Savait-elle ? Etait-ce calculé ?
La situation était d’un érotisme torride, je sentais le rouge me monter aux joues et je tentais de résister à l’envie de porter mon regard sur cette intimité offerte.
Après quelques mouvements du pouce, la flamme jaillit, mais le vent marin l’éteignit presque aussitôt, plusieurs tentatives infructueuses et elle me entre ses mains pour faire paravent.
Je baissais les yeux, et en quelques fractions de seconde je vis qu’elle avait légèrement changé de position, jambes légèrement écartées, accroupie, ce qui avait pour effet de me montrer complète de son sexe, de l’ouvrir un peu plus et de laisser entrevoir quelques perles luisantes humectant son intimité.
Elle savait, et ça lui plaisait…
Le sentiment de gêne qui m’habitait quelques minutes plus tôt croyant avoir surpris son intimité, s’est transformé instantanément en un désir violent. J’avais une violente érection qu’il m’était difficile de masquer.
Couché sur le côté, mon sexe, dur comme du bois pointait vers elle.
Nos regards se croisèrent, intenses ; puis lentement elle porta les yeux sur mon sexe tendu avec un léger sourire.
« C’est moi qui vous fais cet effet ? »
« Vous m’offrez involontairement une si délicieuse vision qu’il est difficile de rester de marbre »
Malgré son bronzage je vis qu’elle rougit légèrement, reprenant un peu de contenance en tirant sur sa cigarette.
Elle ne fit rien pour cacher son intimité, je ne fis rien pour masquer la mienne.
Pendant de longues secondes nos yeux se sont parlé, puis nos regards ont dérivé sur l’objet de nos convoitises. Ses yeux allaient de mes yeux à mon sexe, mes yeux allaient de son intimité à ses yeux. Nous nous dévorions les sexes du regard. Notre excitation montait, chacun attendait l’initiative de l’autre, chacun craignait de prendre une initiative par peur de rompre le charme.
Je tentais, d’une voix presque éteinte tant ma gorge était sèche/
«J’ai envie de te caresser »
« Moi aussi, j’ai très envie »
Ce fut en quelque sorte le déclic. Je jetais un coup d’œil circulaire, pratiquement personne aux alentours, les plus proches, apparemment un couple à plus de 50 mètres.
J’osais l’intérieur de ses cuisses, là où la peau est très très douce, une caresse du bout des doigts, légère comme une plume, remontant presque à les toucher vers les grandes lèvres gonflées de désir. Sa peau avait de légers tressaillements traduisant l’excitation, je caressais une cuisse, puis l’autre, allant de plus en plus près de ses lèvres intimes, retardant le plus possible le moment de la caresse que son corps appelait. Sa position accroupie devenant inconfortable, elle s’assit sur son paréo encore plus prés de mon visage en ouvrant largement ses cuisses. Son sexe était maintenant ouvert, ses petites lèvres roses tout à l’heure étaient maintenant gonflées et d’un rose foncé, son puits d’amour luisait de son excitation. Son bassin accompagnait mes caresses pour leur donner plus d’ampleur.
De son côté elle ne restait pas inactive, elle calquait presque ses caresses sur les miennes, ses doigts légers me caressaient le ventre, s’approchant « dangereusement » de mon sexe tendu, mais l’évitant au dernier moment, redescendaient sur l’aine, l’intérieur e mes cuisses, frôlaient mes boules, jouaient avec la pilosité de mon pubis.
Chacun faisait languir l’autre, faisait encore monter le degré d’excitation, mais jusqu’où ??
Un mouvement de bassin plus ample et plus violent que les autres, deux doigts la pénètrent presque, je me retiens, je reste à l’entrée de son intimité et caresse ses petites lèvres d’un mouvement circulaire. Elle était restée silencieuse jusqu’à présent, seule sa respiration saccadée traduisait son plaisir, maintenant c’était de petits gémissements qui guidaient mes caresses.
Mes doigts, bien lubrifiés caressaient sa fente dans toute sa longueur, ouvraient ce coquillage pour y découvrir la perle.
Au premier contact de mes doigts avec son sexe, elle prit mon sexe à pleine main et d’un lent va-et-vient me décalotta complètement le gland et se mit à le caresser du bout des doigts, l’enduisant des gouttes de lubrifiant qui perlaient du méat. C’était une caresse bizarre augmentant la sensibilité de mon gland jusqu’à la rendre presque désagréable, mais pour rien au monde j’aurais voulu qu’elle cesse.
Mes caresses se faisaient de plus en plus précises, j’avais décapuchonné son petit bouton d’amour d’une sensibilité exacerbée, elle se cambrait à chacune de mes caresses et laissait échapper un petit cri. Je sentais que la pression était trop violente et je déposais lentement un baiser sur ses lèvres intimes. Elle exhala un profond soupir de contentement ponctué d’un :
« Oh oui … » en se laissant tomber en arrière. Je me glissais entre ses cuisses largement ouvertes, caressais des doigts et du regard son sexe maintenant largement ouvert.
Je ponctuais mes caresses de petits baisers et coups de langue sur ses grandes lèvres gonflées de plaisir et lisses, ses petites lèvres sensibles, luisantes de cyprine, son clitoris qui se tendais. Puis, je plaquais mes lèvres sur son sexe à le lui recouvrir presque entièrement, faisant aller et venir ma langue tout le long e sa fente. Cette caresse fut accueillie par un « Ohhhh » d’étonnement et de plaisir, je m’attardais longuement sur son petit bouton qui prenait du volume et durcissait sous ma langue.
Elle appréciait particulièrement cette caresse ses coups de bassin désordonnés trahissait son plaisir, ses gémissements se faisaient plus précis et plus forts. Mes doigts ne restaient inactifs, ils titillaient l’entrée de son vagin la pénétraient à peine, un peu plus profond, puis un lent va-et-vient. Maintenant deux doigts étaient profondément enfoncés dans son corps, c’était elle qui par ses mouvements se masturbait sur mes doigts, elle était tendue comme un arc, ni son dos, ni ses fesses touchaient le sable.
Mes caresses étaient de plus en plus profondes, mes lèvres et ma langue étaient centrées sur son clitoris mes doigts allaient et venaient dans des mouvements amples je sentais un râle monter de son corps, j’accélérais mes caresses, elle haletait des oui à peine compréhensibles, mes doigts glissaient encore plus profondément tant elle mouillait.
Son bassin se tordait dans tous les sens, mes caresses étaient moins précises mais un cri rauque, ma tête emprisonnée entre ses cuisses qu’elle serrait violemment, son corps qui retombe d’un seul coup sur le sable, son ventre se jetant vers mes lèvres et sur mes doigts à chaque gémissement qu’elle poussait, puis le lent apaisement, mes lèvres, ma langue plus douces, le relâchement des étreintes, ses mains me caressant les cheveux, sa respiration profonde avec des : Hooooo de bien être, mes doigts se retirant lentement de son corps et un Oh d’étonnement, sous la violence de mes caresses et de ses mouvements désordonnés, mon majeur avait pénétré son petit trou plissé. Tout à lui donner du plaisir je ne m’en étais pas rendu compte.
Petits baisers sur sa toison brune et soyeuse, sur son ventre palpitant sur ses seins tendus, sur ses lèvres.
Un baiser long, langoureux, à en perdre le souffle.
« Moi c’est Aline, et toi »
« Adrien »
« Embrasses moi encore » dit elle en me tendant ses lèvres
Nous revoilà enlacés dans un véritable baiser d’amoureux, plein de tendresse et de volupté l’un contre l’autre, sexe contre sexe. Je sentis sa main s’égarer quelque peu à la recherche de ma virilité tendue et entamer une lente masturbation, bien ample, sur toute la longueur en décalottant complètement le gland et le recouvrant, faisant bien glisser dans sa main allant même chercher sa mouille intime. Quelle sensation que de se sentir glisser dans une main bien lubrifiée !
« A toi maintenant »
Elle se relève, me fais mettre sur le dos et pendant et continues à me caresser dans sa main divine.
A chaque va-et-vient mon gland jaillit de sa main, elle se penche pour y déposer à chaque fois un baiser, un coup de langue, un peu de salive.
Mon excitation grandit et moi aussi maintenant je commence à donner des coups de reins désordonnés, je voudrais qu’elle accélère ses caresses, c’est terriblement bon, terriblement excitant mais agaçant par la lenteur.
Je voudrais que ça monte, monte et exploser. Elle a décidé autrement de me faire attendre jusqu’au dernier moment. Je gémis de plus en plus, ses lèvres s’ouvrent maintenant un peu plus à chacun des va-et-vient
Elle prend complètement dans sa bouche mon gland qui dépasse de sa main divine, enroule sa langue autour, fais quelques mouvement avec sa tête, je l’accompagne avec mon bassin, ça y est, elle va aller au bout et non elle reprend son petit jeu deux fois, trois fois.
Je suis de plus en plus près du point de non-retour, j’ai peur de partir tout seul, je crois que je n’ai jamais été aussi gros ni aussi dur, du bois.
Elle me regarde en souriant, toujours avec son lent va-et-vient, une masturbation au ralenti se penche nos lèvres se joignent en un autre baiser passionné.
Reprenant notre souffle elle lâche mon sexe qu se dresse tout droit y dépose un baiser, me regarde et dit :
« Maintenant »
Elle ouvre la bouche et m’avale presque complètement, elle se déchaîne complètement, me suce, m’avale, mes caresses les testicules, les prend dans sa bouche, revient me sucer telle une friandise, puis entame le rythme final. Ses lèvres serrées vont et viennent sur ma hampe, sur mon gland dans un rythme grandissant, je sens le plaisir monter, mon ventre se noue. Dans un râle je lui dis :
« Arrêtes, je vais jouir.. »
Pour toute réponse j’ai un « Hummmmm » et là tout explose dans ma tête, mon ventre, mes reins, je crie mon plaisir et aussi ma douleur.
Je ne peux retenir mes coups de reins saccadés à chaque jet de sperme, je me vide, j’ai l’impression de d’éjaculer des litres de sperme.
Je la vois me sucer encore et encore, me regarder jouir les yeux brillant de plaisir, gémissant à chaque jet de sperme qui jaillit de mon corps, ses lèvres, sa bouche maculées de ma semence qui coule le long de mon sexe.
Ses mouvements se font plus lents, plus doux, je me calme, m’apaise, j’ai la tête qui tourne un peu. Elle me garde encore dans sa bouche, joue avec mon gland qui devient ultra sensible.
Elle relève la tête, abandonne mon sexe qui est encore tendu, y dépose un baiser me regarde en souriant la bouche et le menton couverts de sperme.
« T’es encore en forme dit donc »
Elle prend des kleenex, ma bouteille d’eau pour faire un brin de toilette puis vient vers moi, je la serre contre moi, nos lèvres se rejoignent dans un baiser profond.
« Si j’avais eu du feu qu’est ce qu’on aurait raté » me dit-elle.
Des gémissements venant de notre gauche attirent notre attention. Le couple qui tut à l’heure était loin de nous, est à quelques mètres. Elle une belle blonde nordique empalée sur le sexe de son mari ou compagnon, dans une baise terrible nous souris.
« C’était trop beau et trop excitant, on n’a pas pu résister » dit-elle entre deux gémissements
Mais la suite est une autre histoire