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n° 07935Fiche technique13567 caractères13567
Temps de lecture estimé : 9 mn
09/10/04
Résumé:  Après une bêtise, Léa doit être fessée.
Critères:  fh hplusag fdanus fsodo fouetfesse
Auteur : Goget
Léa fait une grosse bêtise



Je m’ennuie.

Au chômage depuis 6 mois, d’habitude je trouve toujours de quoi m’occuper ; mais là, je tourne en rond, j’ai essayé de lire, de regarder la télé, rien à faire ! Il fait gris, je n’ai pas envie de sortir.

Heureusement le téléphone sonne ! Il y a quelque part quelqu’un qui pense à moi…C’est une copine, Léa, qui me demande si je suis libre cette après-midi, car elle a un service à me demander.


Léa ! Si elle me le demandait j’irais chez elle en rampant ! C’est une amie de ma femme et moi, et elle partage un appartement avec une amie ; souvent nous partageons nos loisirs, cinéma, théâtre, sorties ; elles sont beaucoup plus jeunes que moi (49 ans), et elles sont un peu comme mes nièces ; elles sont jolies et fraîches comme on peut l’être à cet âge (26 et 27 ans).

Je lui dis d’accord, et je serai chez elle à 13 heures, comme elle me le demande.

Ça m’intrigue un peu, car normalement elle travaille, mais bon, je suis toujours prêt à rendre service.



À l’heure dite, j’arrive chez elle ; elle vient m’ouvrir, et je la trouve bizarre ; elle qui, d’habitude, est toujours enjouée et décontractée me semble mal à l’aise, tendue, mal dans sa peau.



Je m’installe sur le canapé, et elle me sert d’autorité une tasse de café.



Ça ne lui arrive jamais, donc ça ne pose pas de problème à son boulot, mais ça ne manque pas de m’intriguer, car elle a bonne mine, malgré ses yeux un peu trop brillants.



Là-dessus, elle se lève et va se servir un porto, puis vient s’asseoir à côté de moi sur le canapé.



Alors là, je ne peux pas dire que je suis vraiment étonné, car il nous est déjà arrivé, à ma femme et moi, d’arriver chez elles à l’improviste, et 2 fois elles se sont dépêchées de ramasser des petites culottes qui traînaient dans le canapé ou sous la table de salon !



Elle continue : Il y a 3 semaines, j’ai fait une bêtise stupide ! J’ai acheté à un représentant une encyclopédie dont je n’avais pas du tout besoin! Quand elle a été livrée il y a 3 jours, Béné m’a fait une scène terrible, et je ne peux pas lui donner tort… Elle m’a dit que je devrais être punie, comme une gosse, que je méritais une fessée ! Alors je lui ai dit : Eh bien, donne-la moi, cette fessée ! Mais elle n’a pas voulu, elle a dit qu’elle m’aimait trop que pour me faire mal, même si je méritais une sanction exemplaire ! On a cherché, mais on n’a pas trouvé d’autre punition qui puisse faire autant d’effet qu’une fessée ; alors elle m’a suggéré de trouver quelqu’un qui puisse me punir à sa place ! Tu penses bien que je n’étais pas d’accord, mais elle a dit : « Si on demandait à Goget ? »

D’abord je ne voulais pas, mais elle m’a dit que, vu ton âge, ce serait comme si mon père m’infligeait cette punition ; alors j’ai dit OK, mais que je ne voulais pas qu’elle soit là quand je te le demanderai.

Là, je dois bien dire que j’étais soufflé ! Moi qui n’avais jamais infligé de fessée à mes propres enfants ! Mais bon, quand les amis comptent sur vous, il faut savoir assumer…

Je lui réponds :



Là-dessus, le rouge aux joues, elle se lève et va dans la chambre pour se changer.

Je dois bien avouer que, moi aussi, j’avais chaud aux joues…

Trois minutes plus tard, elle revient en top et jupe de tennis, toute de blanc vêtue.




Là, elle a compris que je ne plaisantais pas, et elle s’est approchée du divan, et s’est allongée en travers de mes genoux en mettant sa tête dans ses bras repliés.

Elle n’est pas très grande, Léa, 1m60 environ et 60 kilos, et avec ses cheveux coupés très courts, et ses cuisses nerveuses et musclées, j’avais l’impression que j’allais donner la fessée à un jeune garçon !

Je voyais la lisière de son slip, blanc et fait d’une matière soyeuse, et aussi le pli de ses fesses qui déjà se contractaient dans l’attente de la première claque.

Je ne savais pas trop comment m’y prendre, alors j’ai relevé sa jupe pour descendre sa culotte.



Et là-dessus, j’ai tiré d’une main les bords de son slip vers le haut en le coinçant dans la raie de ses fesses pour dégager totalement les deux globes, et de l’autre main je lui ai asséné une bonne claque sur chaque fesse ; elle a sursauté et puis s’est détendue en soupirant :



J’ai donc continué, sans taper trop fort, et au bout de deux minutes ses fesses avaient pris une couleur rosée tout à fait appétissante ; j’ai alors déposé ma main sur le bas de ses fesses, pour me reposer, ce qui l’a fait tressaillir.



Et, ce disant, elle se cambre un peu pour que j’aie plus de facilité à dégager son slip de sa fente ; je fais glisser la douce étoffe, et ses reins cambrés me permettent d’apercevoir son petit trou rosé recouvert d’un fin duvet et d’un peu de poudre blanche.



Je n’ai pas pu m’empêcher alors de déposer mon pouce sur sa rosette et de masser légèrement cette petite cavité ; du coup, elle se cambre encore un peu plus et me dit :



J’ai rapidement reniflé mon pouce, c’est vrai, ça sentait le bébé…

J’ai sucé mon pouce pour bien l’humidifier et je l’ai alors poussé sur sa pastille jusqu’à ce qu’il pénètre d’un centimètre ; elle s’est cambrée encore plus et a légèrement écarté les cuisses ; de l’autre main, j’ai relevé sa jupette, elle avait au creux des reins deux fossettes qui me souriaient ; on est restés ainsi un petit moment, je n’osais pas bouger mon pouce, de peur de lui faire mal, quand soudain elle s’est dégagée, s’est relevée avant que j’aie eu le temps de faire un geste, et a quitté la pièce en disant :



Trente secondes plus tard, elle revenait, les joues toutes rouges, tenant à la main un petit flacon.



"Lubrifiant vaginal" était-il marqué sur le flacon ; je ne savais pas que les lesbiennes avaient besoin de ça, mais bon…



J’ai de nouveau relevé sa jupe, je lui ai écarté les fesses et j’ai laissé couler un filet du produit sur sa rondelle ; j’ai replacé mon pouce et l’ai introduit dans son anus ; ça rentrait comme dans du beurre, et une fois bien à fond, j’ai commencé à faire des allers et retours. Je ne savais pas trop quoi faire de mes autres doigts, mais ils sont venus se placer tout naturellement sur son sexe, et j’ai massé sa foufoune en continuant mes allées et venues dans son conduit anal.

Elle a commencé à gémir, et moi-même, je m’excitais de plus en plus, et mon majeur a commencé à s’introduire entre ses grandes lèvres.



J’ai donc continué à la doigter du pouce, en massant ses fossettes et le coccyx, lorsque soudain elle dit :



Elle se dégage à nouveau, vient se mettre à genoux devant moi, entre mes jambes, et commence à descendre ma braguette…



Si je suis d’accord…Autant demander à un aveugle s’il veut voir !

Elle ouvre ma braguette, sort mon sexe en érection, et passe sa petite langue rose le long de ma verge, puis enroule sa langue autour de mon gland en laissant des traînées de salive.



D’un main, je guide mon sexe et, millimètre par millimètre, elle fait coulisser son conduit jusqu’à la base de ma hampe ; on ne bouge plus ; je relève son tee-shirt et lui suce les aréoles – elle n’a presque pas de poitrine, deux œufs sur le plat – ça la met dans un drôle d’état, et elle commence à monter et descendre de plus en plus vite sur ma verge jusqu’au moment où elle a crié et s’est affaissée sur mon épaule en pleurant ; je sentais les sécrétions de son sexe sur mon pubis, mais moi je n’avais pas éjaculé ; alors elle s’est écartée un peu de moi et, en me fixant, avec ses yeux brillants et ses joues enfiévrées, elle a de nouveau coulissé autour de mon sexe, et elle m’a embrassé les lèvres, et j’ai séché ses larmes, et j’ai explosé entre ses reins…


Un peu plus tard, quand on avait repris nos esprits…



Alors, bien sûr, comme je suis si serviable, je lui ai dit que je serais toujours à sa disposition pour lui faire tout ce que Béné lui refusait…

Elle ne savait pas que c’était son côté androgyne qui me faisait le plus d’effet, vu que dans le temps c’était les jeunes garçons qui m’avaient apporté les plus grands troubles… et les plus belles jouissances !


Mais c’est une autre histoire…