Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 07939Fiche technique11143 caractères11143
Temps de lecture estimé : 7 mn
19/10/04
Résumé:  Une femme se rend chez l'ostéopathe pour des problèmes de sciatique et de maux de dos
Critères:  fh médical massage intermast
Auteur : Jim  (Ostéopathe qui soigne sa patiente dans les règles de l'art)      Envoi mini-message
Un massage érotisant


Bonjour, je suis kiné et ostéopathe. Je ne suis pas spécialement bel homme mais mes mains sont mes meilleures ambassadrices. J’ai 40 ans, une petite bedaine qui reflète ma joie de vivre et témoigne de ma gourmandise.


J’exerce dans un petit cabinet de province et la passion pour mon métier me prend tout mon temps. J’aime ce boulot qui me permet de rencontrer beaucoup de monde et de partager l’espace d’un moment de soin l’intimité des clients me faisant confiance.


Claude est arrivée dans mon cabinet il y a dix jours un mercredi matin. Elle était coincée du dos et en proie à une crise de sciatique aiguë. Cette petite brune au regard bleu nuit pailleté d’or m’a de suite plu : Sa voie tintée d’accent du sud ouest, ses sourires charmeurs, sa plastique d’adolescente, sa gentillesse naturelle, sa facilité à engager le dialogue, une aisance naturelle non tapageuse, ses trente ans de bonheur….


Son pouvoir de séduction fit des ravages. En quelques minutes, je fus subjugué par sa présence et je sentis bien mon envie monter pour cette créature qui me parlait sans façon de ses problèmes et de leurs conséquences sur sa vie quotidienne.


J’étais ce jour là surbooké et ne pu à mon grand regret que lui accorder quelques minutes entre deux rendez-vous afin de la soulager dans l’urgence des maux qui la tourmentaient. Je n’ai fait que survoler son problème. Après une très brève séance, nous avons pris rendez-vous pour ce matin.


Je l’attends avec impatience et fébrilité depuis l’ouverture du cabinet, elle doit arriver à 10H30.


J’ai expédié les affaires courantes et n’ai pris aucun autre rendez-vous pour la fin de matinée.


Elle sonne à la porte quelques minutes avant l’heure prévue, elle va s’asseoir en salle d’attente et s’empare d’une revue quelconque. Je la regarde par l’huis entrouvert de ma salle de soin croiser les jambes, tout en expédiant un client importun à ce moment.


Enfin nous sommes seuls. Je la salue courtoisement avec mon plus beau sourire enjôleur et je prends des nouvelles de sa santé tout en la détaillant des yeux : que c’est dur d’avoir l’air innocent et de ne pas appuyer trop mes regards sur elle. Je remarque effectivement, pendant qu’elle me dresse le bilan sur l’évolution de ses maux, une raideur dans le port de tête et à la façon dont elle se tient, la gêne que doit constituer cette sciatique.


Elle est resplendissante : elle a remonté et noué négligemment d’un brin de bambou ses cheveux ce qui lui dégage admirablement le cou, elle porte une très jolie et très légère robe d’été à l’imprimé rouge, moulante à souhait, qui lui arrive à mi-cuisse. Ça la rend attirante sans tomber dans le tape à l’œil. Elle me raconte le développement de ses problèmes tout en me suivant dans la petite pièce où j’ai ma table de travail.




Je lui explique dans le détail ce que j’ai l’intention de lui faire afin qu’elle ne s’offusque pas lorsque je vais la toucher dans des endroits très intimes. Elle écoute attentivement et opine tout en me fixant intensément de ses yeux bleus dans lesquels je décèle toute sa douceur, son intelligence, sa gentillesse.




Je lui demande de se dévêtir ce qu’elle fait avec grâce et sans chichi. Elle coulisse la fermeture éclair au dos de sa robe et laisse glisser le tissu le long de son corps. Le soleil d’été a noirci son épiderme et la parure de sous-vêtements rouges qu’elle porte en dessous tranche sur sa peau mate. Elle m’interroge d’un regard « faut-il enlever le reste ? ». Je lui réponds, avec un signe de tête affirmatif, de n’ôter que son soutien-gorge pour le moment.


Elle dégrafe l’attache et me dévoile des petits seins blancs au galbe plaisant relevé au bout d’une aréole pigmentée et très brune dont les tétons saillent et pointent avec force. J’en avale ma salive de travers : cette nana est une bombe super bien faite ………


Je lui fais faire quelques aller-retour dans cette pièce histoire d’évaluer au mieux ses problèmes. Lorsqu’elle déambule ainsi dévêtue, j’envisage le sens dans lequel je dois agir pour la soulager. Je l’observe d’un œil très professionnel : je dois absolument faire du bon travail avec elle, afin de la compter parmi mes clientes.


Son élégance et son charme naturel opèrent en moi, sa taille fine et souple, ses hanches qui ondulent, le tressautement de ses seins libres provoquent de l’émoi dans mes entrailles.


Lorsque j’ai défini mon plan de bataille, je lui demande de s’allonger sur ma table de travail. Elle prend place pendant que j’envoie un fond sonore jazzy et ouaté.


Je vais d’abord m’occuper de son torticolis. Je lui mets un petit coussin sous la tête.


Je me place derrière elle et soulève sa nuque de mes deux mains avec infiniment de douceur. J’étire lentement et longuement ses cervicales tout en lui caressant la peau de mes doigts dessous et derrière les oreilles. Je la sens se relâcher, ses yeux se ferment, ses membres se détendent et seul nos souffles conjugués accompagnent la musique de fond. Je puise ma concentration dans la contemplation de ses seins assoupis. L’aréole aussi s’est relâchée et a perdu de sa superbe provocation. Un moment, je crois qu’elle s’est endormie tant son corps s’est affaissé, la confiance est installée. Je lui masse ensuite soigneusement le cuir chevelu et le front. Elle s’est abandonnée, elle m’a oublié, focalisée sur ses sensations..


Doucement, je me lève et saisi son bras gauche. J’en fais jouer l’articulation en lui maintenant l’épaule fermement. Ce faisant, ma main dérape un peu du côté de son sein dont j’effleure le bout avec délicatesse. Effet immédiat, la pointe s’élève à nouveau vaillamment vers moi comme une bravade. J’opère de l’autre côté tout pareillement puis travaille sur son thorax par pressions et massages successifs sur le sternum les côtes et les clavicules. Ma patiente a une petite chair de poule, un léger frisson qui dresse le duvet soyeux de son ventre et qui témoigne de sa muette réaction. Penché sur elle je respire l’odeur appétissante de son savon.


Je lui masse ensuite longuement les intestins qui pourraient être la cause profonde de son mal de dos tout en la questionnant sur son régime alimentaire et lui prodiguant quelques conseils diététiques. J’insinue mes mains, sans vraiment le faire exprès mais sans vraiment pouvoir me contrôler, sous l’élastique de son slip jusqu’à la racine de ses poils pubiens et je masse aussi la région des ovaires. Elle ne dit rien à peine ai-je la sensation que sa respiration s’est accélérée. Elle garde maintenant obstinément les yeux fermés et les lèvres pincés


Je n’insiste pas trop pour ne pas l’effaroucher et œuvre désormais sur ses pieds. Je lui malaxe les orteils et la voûte plantaire, je remonte ses mollets fermes et galbés pour un drainage lymphatique et me dirige progressivement vers l’intérieur de ses cuisses. Pas de réaction apparente mais en soulevant une jambe puis l’autre je m’aperçois que mes attouchements qui durent maintenant depuis une bonne demi-heure ont fait effet : n’est-ce pas une tâche humide et bien visible que j’observe au fond de la petite culotte de Claude ? Mais oui, pas de doute, son slip est mouillé, est-ce d’émotion ? Ce détail me trouble, jusqu’à présent, je prenais du plaisir à la toucher et la mater mais je n’avais pas imaginé qu’elle pouvait en prendre aussi.




Oserais-je aller plus loin ????????


Je me lance tant pis, on verra bien, au pire elle me jette. Je la fais sursauter en lui demandant d’enlever sa petite culotte. Elle n’a pas l’air effarouchée ni surprise puisque j’avais abordé en préambule cette éventualité : Quoi de plus naturel que d’être nue chez un praticien !


Elle soulève donc ses fesses, fait glisser son slip et reste penaude lorsqu’elle constate que ce qu’elle tient dans sa main n’est plus très présentable. Elle le plie prestement et le jette sur un fauteuil tout proche. Son sexe soigneusement taillé « ticket de métro » est couvert de poils bruns tous collés par le suintement généreux de son vagin, ses lèvres intimes charnues sont délicatement entrouvertes.


Je lui demande de se tourner et de se positionner sur le ventre. Je vais travailler sur la sciatique. Je cherche au creux de ses reins l’insertion du nerf fautif et je le suis en descendant mes mains sur sa fesse gauche.


Il n’y a plus rien de professionnel dans ce que je suis en train de faire l’objet est tout simplement de la peloter, de la caresser. Mes mains s’arrêtent au bassin sous la fesse et là, après me les être enduites d’une huile parfumée, je la masse en faisant des petits cercles qui en s’élargissant écartent progressivement les fesses et découvrent l’anus que j’effleure à chaque passage. Je mets du poids sur mes appuis écrasant son pubis sur la table de massage. Ses jambes s’ouvrent imperceptiblement à chaque passage de mes mains et bientôt je constate l’abondance de l’écoulement qui sort en de sa vulve.


Elle mouille très fort, aussi fort que je bande. Son cul a des petits tressautements. Mes doigts s’imprègnent à chaque passage de cette mouille que j’étale sur ses fesses emplissant la pièce de cette odeur forte et prégnante d’un sexe féminin émoustillé.


Des petits sons contenus s’échappent de ses lèvres entrouvertes ai-je bien entendu ?


Je cesse mes caresses et lui demande de se retourner. Elle se redresse avec un regard absent, étrangement vide.


Je l’aide à se repositionner sur le dos.. Je l’attrape d’un bras ferme passé entre les cuisses sexe au contact de mon avant bras et main sur les fesses. Je fais levier avec l’autre bras autour de son cou pour accentuer le twist de sa colonne vertébrale. Cette position très intime puisque mon corps est en contact avec ses seins son sexe et ses fesses, produit immédiatement des râles plaintifs chez ma patiente. Dans le même temps tout son corps se tend accentuant encore les pressions que j’exerce sur son sexe. Elle a toujours les yeux fermés


Elle est en train de jouir sous mes étreintes, et je n’ose plus bouger laissant son bassin aller et venir contre mon bras. Elle a l’orgasme discret, presque secret, mystérieux pour moi qui ne la connais pas.


Elle redevient molle dans un dernier soupir. Je la lâche, tendrement comme on ferait d’une chose rare et coûteuse, sans un mot je pose une couverture sur elle et sors de la pièce.


Au poste, le musicien égrène ses notes mais Claude ne les entend déjà plus, elle s’est endormie