n° 07947 | Fiche technique | 21204 caractères | 21204Temps de lecture estimé : 12 mn | 19/10/04 |
Résumé: Ma femme se rend chez un médecin. L'assistante aide aux manipulations. | ||||
Critères: fff médical fsoumise fdomine massage intermast fgode fdanus | ||||
Auteur : Histochris Envoi mini-message |
Quand ma femme sonna chez ce médecin, elle fut soulagée de voir la porte s’ouvrir, car elle était déjà très en retard. La secrétaire l’accueillie avec un grand sourire et la fit entrer.
Ma femme s’installa et regarda la secrétaire quitter la salle. Jupe serrée, jusqu’aux genoux, bas résilles, chemisier blanc – drôle de tenue, pensa t-elle avant de prendre une des revues posées sur la table et de se plonger dans la lecture de son horoscope d’il y a trois semaines.
La porte de la salle de consultation s’ouvrit, le médecin en blouse blanche la salua et l’invita à entrer.
Elle s’assit dans le fauteuil, pendant que le médecin prenait place dans un grand fauteuil de cuir noir.
Ma femme s’exécuta rapidement. La nudité ne la dérange pas et puis un médecin, c’est un médecin.
Elle posa donc son chemisier sur le dossier du fauteuil et son soutien-gorge suivi.
Le médecin se plaça derrière elle et posa ses mains sur ses épaules.
Elles se posèrent sur les hanches un peu rondes et les pouces s’enfoncèrent dans la douleur.
Elle s’exécuta. Elle rougit quand même un peu, à cause de son string. Mais bon, elle le portait bien. Et puis, pensant t-elle, un médecin en voit d’autres !
Elle prit la position, sentit la ficelle du string remonter, glissant sur son œillet rasé.
Elle sourit en trouvant la sensation délicieuse.
Les mains cherchaient l’os du bassin, appuyaient.
Mon épouse prit place, le médecin releva ses manches, saisit un pied et lui fit lever la jambe, puis la plia et pesant de tout son poids, la poussa contre son ventre. Ma femme sentit tous les muscles de son dos s’étirer. Au début ce fut douloureux, puis la douleur disparut.
La pression se relâcha. L’autre jambe prit la même position. Ma femme se retint un instant car elle sentit le triangle de son string s’écarter pour dévoiler son sexe.
Elle le sentit durcir.
Elle reprit une position normale sur le dos. Elle voulut remettre son string en place mais le médecin lui saisit les deux pieds et la força à ramener les deux cuisses jointes sur son ventre. Le médecin était maintenant à genoux sur la table, ses genoux collés à ses fesses. Il appuyait de tout son poids encore. Elle fut tellement pressée, elle sentait le bassin du médecin se coller contre ses fesses et ses cuisses. Et ce string qui l’avait trahi. Elle sentit le contact de la blouse blanche sur son sexe. Elle eut peur de sa propre réaction.
Le médecin se releva.
C’est violent, dit ma femme en souriant, essayant de garder une contenance. Elle glissa un doigt sous le tissu, tentant de le ramener à sa position initiale.
Elle se retrouva donc ainsi. Le médecin passa une main sous son ventre, enfonça son point, pour l’obliger à étirer ses dorsaux.
Les mains reprirent ses hanches et le bout des pouces se posa sur le coccyx. Elle les sentait tourner, glisser sous la ficelle, dans sa raie.
On frappa à la porte.
La secrétaire entra, Elle sourit à ma femme qui avait tourné la tête, inquiète de l’irruption d’un nouveau venu.
La porte se referma.
Elle observait ses fesses, appuyée sur la table de manipulation.
Ma femme s’aperçut alors que l’assistante avait passé une main dans son chemisier entrouvert et qu’elle se caressait les seins.
Elle ouvrit le chemisier encore plus, ma femme fit semblant de n’avoir rien vu, mais elle distinguait quand même les seins très lourds aux aréoles très foncées et aux tétons gonflés qui jaillissaient d’une guêpière blanche.
Une main se posa sur sa fesse, une main chaude et douce.
Le docteur m’apprend aussi à masser, je peux vous faire du bien vous savez.
La porte s’ouvrit devant le médecin.
La femme médecin s’approcha de la table.
Ma femme sentit deux mains se poser sur ses fesses et se mettre à les masser avec force.
C’était bon, ma femme soupira quand les mains puissantes remontèrent sur ses fesses et quand les pouces entrèrent dans ses muscles au niveau des reins. Elle se cambra instinctivement pour échapper à cette manipulation.
Ma femme sentit le souffle de la secrétaire s’approcher de ses fesses.
Le médecin passa encore une main sur les fesses et les dernières phalanges de ses doigts soulevèrent la ficelle, parcoururent la raie des fesses, effleurèrent le périnée et atteignirent sa fente intime.
La secrétaire se déplaça et vint se mettre à côté du visage de mon épouse. Elle n’avait plus de jupe. Elle avait un porte-jarretelles noir et un string de voile de la même couleur.
La secrétaire se pencha et goba un sein de sa maîtresse.
Ma femme sentit la pression du doigt sur son périnée trempé. Elle se laissait faire avec bonheur, spectatrice et objet du spectacle de ces deux complices.
La secrétaire enfouissait son visage entre les seins opulents du médecin qui gémissait de plaisir.
Elle termina sa phrase en plantant son index dans la chatte de mon épouse.
La secrétaire eut un sourire étrange. Elle saisit une paire de ciseaux posée là et se replaça derrière ma femme, qui sentit le froid de la lame sur sa peau. La fille coupa les ficelles de son string, une fois au niveau de l’anus qui se crispa à ce contact, puis à la taille. Le string tomba sur la table. La pointe du ciseau griffa sa peau, très légèrement, sur toute la raie des fesses et stoppa vers le doigt planté.
Ma femme écarta instinctivement les cuisses quand elle sentit la langue se glisser entre ses fesses. La pointe effleura brièvement l’anus. Puis elle revint à la charge. Plus fort.
Par les petites touches successives de cette langue, ma femme s’envola dans un nuage de désir sauvage.
L’index habile s’enfonça entièrement en elle. Pour le moment, le plaisir était psychologique seulement. Se sentir ainsi dominée, dans une relation triangulaire lui plaisait.
Le majeur pénétra sa chatte, elle reçut un doigt dans chaque orifice. Une fois bien mouillé, il s’aventura entre ses reins.
Ma femme sentit les gros seins de la praticienne se coller contre sa hanche. Ils étaient chauds, confortables. Mais les doigts contredirent cette douceur et la sodomisèrent plus loin encore.
La secrétaire docile ne se fit pas prier et vint s’agenouiller derrière sa Maîtresse et ses mains écartèrent les fesses et elle plongea son visage entre.
Ma femme était maintenant parfaitement dilatée, le médecin ayant avec talent détendu ses sphincters. Elle se laissait aller, apprécier la fouille en règle de sa gaine.
Le médecin obligea mon épouse à se retourner sur l’étroite table.
La secrétaire vint regarder et soudain, elle attrapa les tétons gonflés de ma femme et les pinça avec force. Ma femme eut un sursaut de plaisir et gémit sans retenue sous cette violence.
Elle voulu se caresser car son désir devenait plus fort que tout. Mais le médecin retint sa main.
Ses grands yeux bleus plongèrent dans les siens.
Avec force, elle la poussa sur la table, vers le haut, et la tête de mon épouse se retrouva dans le vide, ses longs cheveux pendant vers le sol, le touchant presque. La secrétaire vint chevaucher son visage et ma femme se retrouva le visage enfoui entre les cuisses de cette femelle en chaleur.
Elle bavait littéralement, et ma femme trouva le sexe complètement ouvert, les sécrétions en tapissaient l’entrée. Elle se mit à lécher, à laper ses lèvres épaisses et poilues, déclenchant chez Christine des grognements de bonheur. Elle lui tenait la tête et balançait son bassin pour mieux sentir la langue dans sa chatte.
Cet exercice dura plusieurs minutes. Parfois ma femme croyait qu’elle jouissait mais elle restait en fait toujours aussi excitée.
Ma femme déçue, vit le sexe reculer. Tout le bas de son visage était maculé des sécrétions de la secrétaire.
L’assistante libéra ma femme du compas de ses cuisses. Mon épouse reprit place sur la table.
La secrétaire était dans les bras de celle qu’elle appelait Maîtresse dont la poitrine écartait les pans de la blouse. Leurs deux poitrines se collaient l’une à l’autre. Leurs torses se frottaient, leurs souffles emplissaient la pièce. Elles s’embrassèrent avidement, sans aucune retenue, leurs langues sorties se mélangeaient, s’agaçaient pendant que leurs mains parcouraient les corps excités. Elles tendirent chacune une main vers les seins de ma femme, tout en continuant à s’embrasser et sans même la regarder, les doigts cherchèrent les tétons et encore les pincèrent. Ma femme gémit, la douleur se mêlait à l’excitation. Lentement, elles glissèrent sur ses flancs, tournèrent sur le bas ventre sensible. Mon épouse écarta ses cuisses. Les deux mains partirent à l’assaut de sa chatte. Les doigts tiraient, écartaient, massaient ses lèvres intimes. Le médecin se recula, seuls ses tétons restèrent près de ceux de la secrétaire. Elle enfila deux doigts dans le ventre qui était à sa disposition. Le baiser reprit, pendant que les doigts coulissaient en elle. Puis elle en sentit un autre, puis encore un autre. Elle ne savait laquelle la baisait ainsi mais elle subissait une fouille en règle de ces quatre doigts. Le couple de lesbiennes ondulait à côté de la table. Ma femme tourna la tête de coté. Elle vit les fesses de l’assistante. Elles étaient belles, tentantes. Elle se pencha et baisa une fesse, la lécha, sa langue partit entre les deux. Elle sentit le corps se cambrer.
Les deux mains du médecin écartèrent les fesses. La visite de la chatte de ma femme ne cessa pas. Elle tendit sa langue vers l’œillet et le lécha. Un doigt se glissa entre sa langue et l’anus et sans attendre se planta dans la gaine, déclenchant un gémissement chez la secrétaire.
Le médecin revint vers elle. Le gode ceinture la devançait. Noir, brillant de vaseline, se balançant fièrement devant son ventre plat.
Elle disparut. Le médecin fit descendre ma femme.
La secrétaire revint. Elle aussi généreusement membrée maintenant.
Elle s’allongea sur le tapis. Le médecin guida ma femme, lui fit chevaucher son assistante.
Ma femme prit place, à genoux sur la fille.
Ma femme saisit le gode, il était gros, lisse, doux. Elle le guida vers sa chatte. Elle avait été tellement visitée, avait tellement coulé qu’elle eut presque peur de ne pas sentir l’objet. Mais si, son diamètre était largement suffisant. Elle s’empala avec un soupir sur le pieu de latex. Jusqu’à la garde. La secrétaire, lui tenait les hanches, matait ses seins, avec un sourire de carnassier.
Soudain, deux autres mains vinrent la prendre par les hanches. Le gode passa entre ses fesses. Elle attendait offerte, l’hommage de ce second gode.
Il trouva son anus déjà assoupli. Le gland pointa. Comme il était bien enduit, il glissa sans peine. Il était plus souple que le premier.
Les va-et-vient commencèrent arrachant des cris de plaisir à la victime. Les deux femmes se servaient d’elle, prenaient leur pied en la baisant sans douceur. C’était ce qu’elle aimait dans cette étreinte. Ses seins étaient aussi maltraités, griffés, pressés, pincés et elle laissait faire avec bonheur.
La secrétaire lui plongea deux doigts dans sa bouche ouverte et ma femme les suça avec joie, regrettant de ne pas avoir aussi dans sa bouche une bonne bite, une vraie, qui à la fin éclaterait comme un fruit trop mûr, dont la pulpe coulerait sur sa langue.
L’anus dilaté acceptait la sodomie, les deux femmes alternaient les mouvements, ensembles puis décalées, avec une parfaite maîtrise.
Ma femme se mit à gémir en continu, les coups de reins se firent plus amples, la perforation plus profonde. Son corps fut soudainement parcouru de spasmes irrésistibles qu’elle ne pouvait, ni ne cherchait à empêcher.
Son orgasme dura, la ravagea pendant un bon moment qu’elle goûta avec délice. Sous les yeux de ces deux bourreaux.
Le trio se sépara, ma femme resta un long moment à genoux, le souffle court, l’esprit ailleurs. Qu’avait-elle donc fait, qu’avait-elle donc accepté ? Peu importe, c’était tellement bon ?
Les deux femmes la regardaient, les godes toujours fixés aux hanches, encore luisants d’elle.
Lentement, elles défirent les liens de cuir. Leurs doigts tenaient les hampes.
Et là devant les yeux de celle dont elles avaient abusé l’instant d’avant, elles se plantèrent les godes dans la chatte. Debout, les jambes écartées, légèrement fléchies elles les manipulèrent à toute vitesse. Elles se penchèrent l’une vers l’autre et s’embrassèrent, sans interrompre la baise des gadgets.
Elles jouirent à leur tour, exprimant leur plaisir en toute impudeur, se traitant mutuellement de salope, de putain.
Le calme revint dans le cabinet. Mais les deux femmes semblaient en vouloir plus. Elles étaient allongées sur le tapis, enlacées, se caressant, s’embrassant avec passion.
Ma femme se rhabilla, sans les quitter des yeux. Elle ouvrit la porte et quitta ce lieu de perdition dont elle sortait repue de sexe. Elle n’est jamais retournée là bas sans moi. Il ne se passa jamais rien quand j’étais là. Dommage !