n° 08006 | Fiche technique | 20469 caractères | 20469Temps de lecture estimé : 13 mn | 27/10/04 |
Résumé: Jeune homme en vacances dans la nature rencontre 2 jeunes campeuses à l'occasion d'un orage... | ||||
Critères: ffh fbi jeunes inconnu vacances bain forêt campagne hsoumis humilié(e) voir exhib hmast attache | ||||
Auteur : Catchme (Homme 45 ans aime la lutte érotique) |
Je m’appelle Eric et je venais de rompre avec une copine, citadine jusqu’au bout des ongles, et en cet été 2004, je rêvais de solitude et de nature.
Je décidais donc de partir avec camper avec mon sac à dos sur des sentiers peu usités dans une région des plus sauvage.
Je marchais depuis des heures et m’asseyais sur un promontoire qui dominait un petit ravin pour boire un coup.
Alors que cette région est réputée si peu fréquentée, j’eu la grande surprise d’apercevoir de l’autre côté au loin, un jeune couple qui s’était assis comme moi, semble t’il pour se reposer également.
Ils étaient assis dos à dos et se tenaient les mains amoureusement mais de cette distance, je ne voyais que la fille qui me faisait face. Elle était blonde, cheveux mi-longs, T-shirt bleu clair, short et chaussures de marche. Je distinguais mal le garçon qui avait les cheveux bruns coupés en brosse, T-shirt type débardeur laissant ses épaules à nues, short et mêmes chaussures.
Ils étaient trop loin pour se parler et je pense qu’ils ne devaient même pas me voir d’ailleurs.
J’étais bien tout seul et je repris mon chemin.
Je marchais pendant des heures et le paysage défilait, toujours changeant et plus beau et sauvage à chaque détour.
Il faisait très chaud et ce fut un tel bonheur que de tomber sur un petit lac d’eau si claire que je décidais de m’y baigner immédiatement.
Je ne suis pas adepte du naturisme, mais à l’idée d’être complètement seul dans cet endroit paradisiaque et par cette chaleur, je me déshabillais complètement et piquait une tête dans l’eau fraîche.
C’est la première fois que je nageais nu et je sentais le courant glisser sur mon sexe et mon entrejambe ;les sensations étaient divines !
J’essayais toutes les nages pour tester toutes les sensations possibles ! La nage sur le dos me permettait de voir mon sexe tantôt sous l’eau, tantôt exposé au soleil….j’étais bien.
J’allais ressortir de l’eau lorsque j’aperçus à l’autre bout du lac 2 personnes en train de se baigner aussi !
Décidément, il n’y avait pas moyen d’être seul me disais-je !
J’étais trop loin pour les distinguer clairement mais j’étais certain qu’il s’agissait du même couple car je devinais le T-shirt bleu qui était resté étalé sur un rocher. Ils semblaient s’embrasser car leurs têtes se faisaient face et ils ne bougeaient pas.
Je ne voulais pas les déranger et remontais sur la berge de mon côté bien que j’étais de toute façon trop loin pour qu’ils me remarque.
Je m’allongeais sur un rocher plat, sur le dos, les bras et les jambes écartés et laissait le soleil me lécher de ses doux rayons. Mon sexe se laissait aller et de son état recroquevillé du fait de la froideur de l’eau, il gonflait doucement ressemblant bientôt à une grosse saucisse molle. La chaleur m’envahissait et la légère brise qui me caressait la peau me procurait des sensations érotiques et je ne pu bientôt empêcher ma main de glisser vers mon bas ventre…j’allais empoigner mon membre lorsque je me penchais pour regarder l’autre rive et m’assurer que le couple ne s’était pas rapproché par hasard ; il avait disparu ! ils avaient dû reprendre leur chemin.
Je m’abandonnais alors à une vilaine masturbation débridée. Ma main se mit en mouvement. Mon sexe gonflé se raidit et commença à mouiller. Je sentais le plaisir m’assaillir et les rayons du soleil chauffant ainsi mon entrejambe décuplaient mes sensations.
Mes couilles étaient chaudes, ma bitte était chaude, dure et luisante ; sentant l’orgasme m’envahir, je levais mes fesses et projetais mon bas ventre vers le ciel comme pour toucher le soleil de mon gland lorsque je vis mon foutre gicler en l’air de toute sa puissance en longs jets épais qui retombèrent sur tout mon corps….
Je n’avais pas joui de la sorte depuis longtemps.
J’étais couvert de grosses tâches de foutre et plongeais de nouveau dans le lac pour me nettoyer.
J’enfilais alors mon slip et mon short et reprenais mon chemin torse nu, le corps et l’esprit reposés.
Je marchais de nouveau au travers de la forêt et me dirigeait vers un endroit que la carte indiquait comme étant plat et peu boisé et qui devrait convenir pour planter ma tente pour la nuit.
Mais, j’en étais encore loin lorsque le ciel s’assombrit et que le tonnerre grondait au loin.
Je pensais échapper à cet orage mais je dû l’admettre vite, il se dirigeait en plein sur moi !
J’accélérais mon pas mais bientôt les premières gouttes tombèrent.
J’ai alors couru jusqu’à perdre haleine.
Je distinguais alors une petite clairière qui se trouvait à pic d’une falaise haute de plus de vingt mètres. Je finissais ma course haletant lorsque j’aperçus une tente déjà en place !
La clairière n’étant pas grande, je commençais à déballer ma tente pour la planter le plus loin possible de l’autre.
La pluie tombait drue et j’en était encore à planter mes piquets.
Tout à coup le vent souffla en puissantes rafales et la grêle s’abattit sur moi !
Les éclairs déchiraient le ciel, le tonnerre redoublait d’intensité, le ciel était noir d’encre et on n’ y voyait plus rien.
J’étais transi de froid et complètement épuisé. La grêle me transperçait le dos, je n’y voyais plus rien et le vent devenait incroyablement fort.
Tout à coup, je poussais un cri d’effroi lorsque je vis ma toile de tente s’envoler et disparaître dans le ravin !
Je me retrouvais sans abri sous une pluie glaciale au milieu des éclairs !
J’entendis alors une voix qui hurlait entre deux grondements et je distinguais tant bien que mal un petit bras qui s’agitait dans l’ouverture de l’autre tente.
J’accourais sans me poser de question et m’engouffrais dans ce frêle mais inespéré abri.
Des bras m’aidèrent à rentrer dans la tente en me traînant sous les aisselles. Je cherchais vainement à apercevoir mes secouristes, mais je me suis retrouvé allongé sur le ventre sans bien les distinguer dans la pénombre .
Enfin, je reconnu la fille du couple que j’avais déjà aperçu . Mes lèvres étaient gelées et je tremblais tellement de tous mes membres que j’arrivais tout juste à balbutier « merci » !
Ils me couvrirent de serviettes et me frictionnèrent le dos mais mon short et mon slip étant trempés, ils me suggérèrent avec insistance de les enlever au risque d’attraper froid car j’avais effectivement les fesses gelées ! mais me retrouver à poil devant ce couple m’embarrassait fortement et je déclinais poliment….
Je me retrouvais alors avec leurs quatre mains en train de me frictionner lorsque je réalisais que je n’avais pas entendu le garçon parler.
Toujours grelottant, je me retournais pour le dévisager et à ma grande stupeur…c’était une fille !
Je restais bouche bée et les yeux écarquillées.
Ses cheveux étaient coupés à la garçonne et sa musculature n’avait rien à m’envier !
Je repensais à l’après-midi et au fait que je n’avais jamais eu l’occasion de bien le (la ) distinguer…mais je repensais alors au fait indéniable qu’ils…se tenaient les mains et s’embrassaient !!!
Je n’arrivais pas à croire que j’étais assis entre deux…lesbiennes !! Sylvie était la plus féminin et Valérie la garçonne.
Mon esprit s’égara dans des fantasmes inavouables et en un clin d’œil, je sentis mon sexe se durcir de façon incontrôlable.
Le frissonnement me paraissait aussi différent et beaucoup plus…sensuel.
J’étais définitivement réchauffé et débarrassé des grêlons qui s’étaient collés dans mes cheveux.
Les deux filles étaient en T-shirt et slips et me souriaient comme deux fées providentielles.
Le spectacle était plutôt émoustillant ; Sylvie remarqua que ma peau était rouge d’irritation, due à la grêle et aux frictions soutenues sans doute, et saisie de la crème qui transformèrent instantanément leur action en doux et relaxant massage.
Le contraste entre les éléments déchaînés du dehors et la douceur de ces deux anges était saisissante.
C’est alors qu’elles se mirent à dialoguer d’un dialogue qui dégénéra et leurs paroles commencèrent à me troubler !
( S ( Sylvie ) V ( Valérie ) M (moi ) )
S : Alors, comme ça tu te promènes seul dans la forêt ?
M : Oui, j’aime bien
S : Tu viens de quel sentier ? Tu es venu par le lac ?
M : Oui, effectivement je suis passé au lac.
S : Ah oui ? Vers quelle heure ? Tu n’a vu personne ?
Ma respiration s’accélérait. Ou voulait elle en venir ?
M : Euh non, pourquoi ?
V : Par que nous avons aperçu un jeune homme…comme toi.
Mon sang se glaça !
M : Vous avez vu quelqu’un ?? Comment était-ce possible ? je suis certain qu’elles n’avaient pu me voir ; j’avais même regardé dans leur direction avant de m’allonger sur ce rocher et elles n’étaient plus là.
M : D …dans l’eau ?….
S et V : Nous l’avons vu de très loin sortir de l’eau, de dos.
OUF !
M : Ah, vous ne l’avez pas vu de près, alors.
S et V : Pas tout de suite….
Mon sang se glaça !
M : Co…comment ça ?!
S et V : Oui, cela nous a intrigué et nous sommes aussi sorties de l’eau et nous sommes rhabillées – nous sommes très pudiques - (rires idiots ) et avons longé le lac jusqu’à….un gros rocher…
!!!!!!!!! Je deviens blanc et mon cœur bat la chamade.
M : Ahh…..et…et alors ?
S et V : Eh bien nous nous apprêtions à nous présenter….lorsque nous nous sommes aperçues que le jeune homme était allongé sur ce rocher au soleil, nu comme un vers !
J’étais mort de honte ; elle savaient forcément tout maintenant. Quelle honte, ce n’était pas possible !
M : Et… ?
S : Tu ne devineras jamais ce qu’il a fait !
M : Q…quoi ?
V : Il s’est branlé comme un demeuré.
S : Un vrai cochon, j’te jure ! C’était pas croyable ! Il s’est même complètement arc-bouté lorsque son sperme à jailli !
V : On n’avait jamais vu ça !
S : C’est vrai, j’ai jamais vu autant de sperme sortir d’une queue !
V : Faut dire qu’il était bien monté !
J’étais mortifié. Je balbutiais timidement.
M : Vous…. vous savez qui c’est ? Redoutant le couperet de leur réponse.
V et S : Mais non, justement, on a pas vu sa tête car on était derrière lui et dès qu’il a eu finis, on est partie sur la pointe des pieds.
OUF !!!!
V : Tu ne l’as pas vu ce jeune vicieux?
M : Ah non, non, pas du tout !
S : C’est bizarre, il n’y a personne dans cette région à part nous trois et…..ce jeune homme….
V :En tout cas, si on ne peut par reconnaître sa figure, ce n’est pas le cas du reste….
Je rougissais à vue d’œil !
M : Q…que voulez vous dire ??
V : Eh bien, une queue pareille, ça ne s’oublie pas ! Je l’a reconnaîtrais entre mille !
S : Ah oui, moi aussi !
M : Ahh ?
V : C’est vraiment bizarre parce que tu as la même taille que lui….
S : Et les mêmes cheveux….
V : Et la même coupe…
S : Et les mêmes jambes…
M : Oh là ou voulez vous en venir ? !
V : Il faudrait en avoir le cœur net, quand pense tu (s’adressant à Sylvie ) ?
S : Je suis de ton avis, mais comment en être sûr ?
J’écoutais leur dialogue dégénérer avec inquiétude ; Elles n’allaient pas me violer quand même ??! Elles sont folles !
V : De quoi est-on sûre ? Qu’est-ce qu’on serait sûre de reconnaître sans erreur ?
S : ( avec un large sourire diabolique ! ) Tu penses à la même chose que moi ?
V : Tout à fait !
Et à ces mots, elles joignirent l’action !!!!
J’étais prêt pour une aventure croustillante, mais pas contraint et forcé par deux folles vicieuses !
Elles essayèrent de m’immobiliser afin de m’arracher mon short !! Je décidais de ne pas me laisser faire et d’éviter l’humiliation !
J’étais épuisé mais trouvais des ressources pour résister ; je m’agrippais à leur T-shirts et l’un deux qui se déchira dans un craquement sinistre, révéla le sein gauche de Valérie. Son T-shirt était fichu et en tirant de toutes mes forces, sa poitrine explosa à ma pleine vue. Je finissais de lui arracher les lambeaux mais pendant ce temps Sylvie m’avait déboutonné mon short et de ses deux mains elle tirait comme une folle, le faisant glisser inexorablement vers mes chevilles.
Ce combat au corps à corps et chaire contre chaire m’excitait malgré moi ! Et pendant ce temps, ma bitte ne trouvait rien de mieux à faire qu’a gonfler et durcir dans mon slip !
Je ne voulais pas leur faire voir mes faiblesses.
Nous roulions les uns sur les autres entremêlés dans la petite tente. Valérie essayait de m’emprisonner les bras pendant que Sylvie s’attaquait à mon slip ! Je pouvais difficilement le retenir et je le sentais glisser vers le bas ; mon bas ventre était déjà exposé et ma verge ne demandait qu’ à sauter en l’air comme un ressort !
Je la repoussais avec mes jambes une dernière fois, mais tout à coup ma grosse bitte explosa à l’air au cries de victoires des filles qui jubilaient, alors que mes forces m’abandonnaient.
Mais, alors que mon slip passait le dernier obstacle des chevilles et que je me retrouvais tout nu, leur vigilance se relâcha et j’en profitais pour saisir le T-shirt de Sylvie que je pris un soin particulier à détruire de toutes mes forces jusqu’à ce que les lambeaux tombent d’eux-mêmes et que son opulente poitrine soit elle aussi exposée!
Ma bitte était toute raide pour ma plus grande honte ! Je ne voulais pas me soumettre et leur donner une victoire facile.
Les filles essayaient de m’immobiliser, leurs seins swinguaient devant ma figure et venaient s’écraser sur ma poitrine ou mon visage au grés des mouvements violents de notre combat.
Mes yeux s’écarquillaient de ce spectacle érotique !
Lorsque j’arrivais à m’échapper et à changer de position, mon sexe dur et tendu se cognait sur les différentes parties de leur corps, et ces contacts de ma bitte sur leur chaire nue m’excitait au plus haut point !
Elles l’avaient vu et ne manquaient pas une occasion de toucher et de peloter mon sexe! Je devenais fou !
Je tentais de repousser leurs mains vicieuses jusqu’au moment ou, me trouvant debout sur mes genoux, face à Sylvie, Valérie me fit basculer en arrière, m’emprisonnant mes pieds sous mes fesses…. Sylvie en profita pour s’asseoir sur mes cuisses repliées tandis que Valérie me tira les bras en arrière et planta ses genoux sur mes poignées, m’immobilisant complètement. Elles étaient debout sur ses genoux, cuisses écartées et juste au-dessus de mon visage ! Dans le feu de l’action, son slip avait un peu glissé et était plutôt…lâche révélant les bords de ses larges lèvres !
J’étais incapable de bouger et complètement à leur merci !
J’essayais de gesticuler pour m’échapper mais rien n’y faisait si ce n’est le fait de leur donner en spectacle ma grosse bitte qui se tordait dans tous les sens pour leur plus grande joie et leurs fou rires moqueurs!
Ma grosse queue était bien mise en valeur de par ma position si vulnérable ; mes cuisses repliés et mes pieds sous mes fesses la projetait encore plus haut….c’était tellement indécent !
Mon sexe était maintenant aussi dure que du béton et une abondante mouille regorgeait du sommet.
S : Alors, qu’est-ce que t’en penses ? C’est la même bitte que celle du jeune homme du lac ?
V : ça y ressemble bien !
S : Tu sais quoi ?…….( sourire vicieux ! )
V : Quoi ?
S : Faudrait la voir gicler pour en être sûr!!!!
V éclatant de rire : La on aurait plus de doute c’est sûr !
M : Jamais ! Jamais vous n’aurez ce plaisir ! Vous me prenez pour qui ? Sales vicieuses dégénérées !
S et V : Tu paries mon gars ? Les hommes sont si faibles !….
Je ne pouvais me résigner à une telle humiliation. J’étais en rage.
Je me mis à remuer tellement que Valérie me bloqua la tête en …s’asseyant sur mon front !
V : Si tu continues à te débattre,….je vais m’asseoir….plus bas !!
Je n’en croyais pas mes oreilles, mais à cette idée, je devins rouge de honte !
Alors, Sylvie se pencha en avant et laissa ses longs cheveux caresser mon sexe tendu ; elle faisait doucement tourner sa tête en petit cercles au-dessus de ma bitte, laissant ses cheveux exciter mon gland luisant : c’était un vrai supplice de tantale..
Ma bitte tremblait de plaisir et se cabrait en petits mouvements saccadés au rythme des battements de mon cœur…
Mon souffle s’accélérait…
Puis, elles avancèrent leurs quatre mains vers ma verge sans défense….
Sylvie engloba mes couilles et me les malaxa avec douceur tandis que les mains de Valérie empoignèrent mon gros gourdin….et ne bougèrent plus !!
Elles l’enserrèrent avec des pressions plus ou moins appuyées…..c’était insupportable et je me pinçais les lèvres pour ne pas lui crier de me branler sans retenu !
Ma mouille regorgeait à grands flots et ma queue vibrait de toute son impatience…
C’est alors que les deux mains commencèrent à glisser alternativement de haut en bas sur toute la longueur de mon sexe et mon gland décalotté et luisant tremblait de plaisir….je sentais rapidement monter en moi l’orgasme…alors j’essayais de me dégager car je ne voulais pas jouir si vite et de cette façon si humiliante mais elles accentuèrent leur prise. Sylvie avec ses cuisses grandes écartées, m’emprisonnait mes jambes repliées et Valérie, voyant que je me débattais à nouveau à l’approche de cet humiliant orgasme glissa ses fesses …sur mon visage, m’étouffant presque de sa chatte brûlante !!!
Je pouvais sentir son intimité malgré le tissu du slip qui avait d’ailleurs dévié sur un coté, me lassant le nez en contact direct avec le bords de ses lèvres !!
Mon excitation redoubla du fait de cette posture si obscène et de leur inexorable masturbation qui me conduisait à un orgasme inéluctable et contraint. Je n’en pouvais plus, mon foutre tournoyait dans mes couilles, cherchant la sortie…les mains des deux filles avaient ralentis leur mouvement jusqu’à une lenteur extrême, seuls leurs doigts titillaient mon gland …..c’en était trop !!!
Et alors que je ne pouvais me dégager, je succombais à un orgasme d’une violence incontrôlable ! Mon corps de cabra pendant que ma bitte expulsait de grandes salves de foutre sur leur figures et leur cheveux pendant de longues secondes…..
Je fermais les yeux, ne pouvant soutenir leurs regards moqueurs et leurs sarcasmes.
S : Tu vois, c’est bien lui !!
V : Aucun doute !
S : Alors, on aime se masturber, hein, vilain cochon !
V : et se faire masturber aussi, on dirait !
S et V : T’as bien fait de ne pas parier, hein ? Tous les mêmes ! Si cochons et si faibles !
La honte m’envahissait ; elles m’avaient progressivement relâché mais je n’avais plus de raison de chercher à m’échapper et je tombais d’épuisement et m’endormait comme une souche.
Le lendemain…était un autre jour…et une autre histoire…