n° 08007 | Fiche technique | 11294 caractères | 11294Temps de lecture estimé : 7 mn | 27/10/04 |
Résumé: Une femme s'exhibe devant son mari | ||||
Critères: fh couple prost fépilée voir exhib fmast hmast intermast fellation fgode ecriv_t | ||||
Auteur : Cerise (Orange et bleue comme une cerise) |
« Et si j’étais une pute, tu serais prêt à payer pour me baiser ?. »
La voix vient de cette petite maison cossue perdue dans une nuit d’août.
« Et combien tu mettrais pour m’avoir, mon amour ? …
La femme est séparée de son mari par une table où un dîner aux chandelles a été visiblement pleinement savouré. La femme en robe et mocassins noirs sirote un verre d’armagnac tout en regardant l’air mi-figue mi-raisin, son mari. Ce dernier un sourire en coin, se demande jusqu’où sa femme veut s’amuser… il sait et respecte sa femme comme une jolie femelle capable de très longue période d’abstinence sexuelle ponctuée par des débordements érotiques sans presque aucun tabou… Est-elle dans une de ces périodes ? La soirée est chaude et la conversation ricoche depuis quelques verres déjà sur les rives du cul et des fantasmes. Chacun est déjà ivre.
S’installant mieux sur sa chaise il avale une gorgée de son verre et fixe sa femme.
« Je ne sais pas… Tout dépend ce que tu vaux et ce … que tu fais.. »
Déjà debout dans un mouvement fluide, la jeune femme rit d’un chaud grondement ironique et s’éloigne vers la salle de bain. Sa robe lui tombe à mi-cuisse mettant bien en évidence un petit corps voluptueux. Ses escarpins à talon plat la mènent dans l’alcôve où elle disparaît un temps.
De la salle s’élèvent différents bruits.
« Mais tu fais quoi chérie ?. »
« Devine.. »
Un alcool et deux où trois questions indiscrètes plus tard, l’épouse revient. Elle a noué ses longs cheveux roux hauts sur la tête. Son mari qui comprend que le jeu continue, sent sa verge se réveiller, intriguée.
Devant la table où est toujours installé un mâle intrigué, un fauteuil de cuir crissant accueille le cul de la jolie rousse. Bien installé et une expression de concentration sur son visage, elle écarte doucement ses cuisses brunes et remonte d’une main sa jupe. De son autre main posée sur un sein elle se masse très discrètement.
« Les putes, tu les aimes cochonnes comme ça ?. »
Un sexe presque complètement rasé est découvert devant le voyeur surpris. Parfaitement lisse tout autour d’une vulve, il ne reste qu’un mince duvet semblant étirer plus encore cette deuxième bouche vers le nombril. Une main aux doigts curieux passe et repasse sur le mont dodu. Les yeux fermés la voluptueuse rousse flatte plus qu’elle ne caresse ses charmes intimes. L’homme se trémousse gêné par un sexe maintenant bien visible à travers son jean.
« Je dirais avoir devant moi une plus coquine que cochonne. »
Elle ouvre les yeux sourit en coin et tout en se retournant retrousse sa robe sur ses hanches. Elle sait que sa croupe n’a jamais laissé indifférent le moindre de ses amants et tout en se tenant au dossier du fauteuil, fait passer son autre main sur ce cul large
« Et là… c’est quoi ce que tu as là, un derrière de none ou une croupe bonne à prendre ?. »
D’abord d’une main puis, en équilibre sur les genoux, des deux mains, la jeune femme a écarté ses rondeurs. Culminant au-dessus d’un con charnu et dévoilé au grand jour, une petite rosette semble cligner comme sensible à tant de lumière. L’homme est surpris et réfrène un besoin de se caresser ou de rejoindre sa compagne en chaleur. Le jeu vaut la patience d’attendre une suite.
Ayant basculé en avant pour se dévoiler encore plus, une jeune femme totalement offerte commence à faire aller ses doigts le long d’une fente jusqu’à la naissance des hanches. Ses lèvres intimes, gonflées et maintenant naturellement écartées, luisent d’humidité. Les doigts en balades travaillent et amènent tout son entrejambe à luire comme enduites de la meilleur des huiles. Quelques soupirs ponctuent les glissements déjà bien gluants.
« Je te fais bander hein ? J’espère que ça pousse bien dans ton slip, parce que je fais tout ça pour que tu me paye bien pour avoir la suite.. »
Elle ponctue cette phrase en glissant un majeur plus hardi, que les autres dans sa chatte trempée puis, se retournant, suce ce doigt comme elle le ferait en goûtant la sauce d’un plat compliqué.
« Tu me donnes combien pour que je n’arrête pas ?. »
Le pauvre mec surpris en pleine érection cherche son souffle. Il ahane et finit sur une grimace digne d’un clown.
La femme s’est redressé et doucement baisse sa jupe sur la source des érections de cette maison. Elle a ce petit sourire en coin que l’homme connaît. C’est elle qui joue et elle a sa loi pour elle. Elle se lève et en tortillant des hanches va vers une patère. Elle fixe son mari, d’un air effronté. Il acceptera tout pour avoir la suite.
« J’espère que j’en aurais pour mon argent.. »
Elle a pris la veste de son mari et en extrayant les quelques billets qui s’y trouvent, les regarde en comptant peut-être ce quelle va faire.
Les yeux mutins se tournent vers la table où les restes d’un bon repas sont encore là. Elle s’attarde sur certains objets puis passant devant son mari, jette sa robe par-dessus sa tête.
« T’inquiète chéri. Y’a tout ce qui faut pour un petit spectacle…. »
Ne portant plus que ses chaussures plates, la femme ondule hardiment vers son mari.
« Tu as accepté de payer… je suis ta pute.. »
Il essaye de la saisir aux hanches. Elle le repousse.
« Laisse faire la pro. Pour l’instant tu as payé pour un spectacle.. »
Elle lui ouvre le pantalon et lui extrait un sexe déjà bien dur. Sa main monte et descend des bourses au gland comme pour tâter la marchandise.
« Pas mal… maintenant mate si je suis assez salope.. »
L’homme manque crever d’envie quand la belle rousse l’abandonne pour aller se servir un fond de coupe de champagne.
« Tu veux savoir jusqu’ou ta pute peut aller? …. »
Tout en vidant la coupe notre cochonne doucement commence à se masser la vulve avec la bouteille. L’homme n’ose bouger de peur que le moindre mouvement ne casse ce marché. Posant son verre elle s’approche de son fauteuil et lève un pied qu’elle pose sur un accoudoir. La bouteille en main et de face à son client, elle commence à se caresser avec le goulot de la grosse bouteille. Très vite des bruits humides commencent à se faire entendre dans le silence de cette comédie. Une femme joue les putains.
L’homme se masturbe devant sa femme qui maintenant vient de se rasseoir les jambes largement ouvertes de par et d’autres sur les accoudoirs. D’une main elle ouvre largement sa chatte tandis que de l’autre elle y fait rentrer le goulot de sa bouteille.
« Regarde ce qui rentre. Ce soir ta pute se farci devant toi. Tu es le seul à me voir me foutre la chatte.. »
Le goulot évasé disparaît lentement tandis que la femelle fixe un sourire tordu sur le male qui la lorgne.
« Tu regardes ce que je fais à mon con. »
Le bout évasé est retiré puis r’enfoncé un petit peu plus loin. Bien appliquée une main écarte mieux l’orifice complaisant. La pénétration de la bouteille se poursuit à chaque retour toujours un peu plus loin arrachant des soupirs à cette belle rousse. L’homme a baissé son pantalon et masturbe calmement un membre gluant.
« Je suis une belle pute … Ma chatte est ouverte. Je la transforme avec cet entonnoir. C’est un forage, une entrée de métro.. »
Dilaté par l’engin de verre, la femme sa bouche ouverte se défonce consciencieusement Curieuse elle essaye régulièrement de se tordre pour mieux voir son travail.
Ouverte à l’extrême elle a passé ses jambes derrière ses coudes. Une main actionne le lourd flacon tandis que les doigts de l’autre s’activent à écarter et tendre des lèvres luisantes et rouges.
« Tu me vois dit. Ça doit être beau ce que je fais. Ta queue et si grosse…mais moins que ce que je m’envoie T’es un voyeur et je me mate dans tes yeux, dans ta bite juteuse. Je me baise pour ton fric et j’aime ça. C’est bon et ça fait mal là. Je sens mes lèvres lécher ce gros truc. Ça m’ouvre de plus en plus. Ça va presque au fond …»
Un moment de silence où les deux se branlent religieusement. Seul les cris et les bruits de va-et-vient humides ponctuent les gémissements de la belle rousse forcée. Elle crie, puis se mordant les lèvres, ne laisse plus filtrer que des couinements coincés. Le gode improvisé n’avance plus mais est balancé en lent mouvement circulaire qui arrachent deux ou trois derniers cris rauque. Se calmant la femme en sueur regarde concentrée, son vis à vis éberlué. Retirant tout doucement et complètement la bouteille qui lui déformait le sexe elle se redresse abandonne la bouteille et va devant son mari.
« Alors…. Ta salope va pas se faire jouir sans son client»
Elle s’accroupit cuisse bien écartée devant l’homme et lui baissant totalement et violemment son pantalon elle vient passer les mains autour de la verge
« Je suis une pute et je vais te finir.. »
Le mari se cambre en arrière devant cette femelle venu à ses pieds. Il n’a jamais vu sa femme aussi déchaînée et sent son membre douloureux à force de se gorger de sang. Les yeux levés sur son mari, elle lèche membre et couilles d’une langue largement étalée.
« Ta cochonne te lèche bien ? … Je suis pas qu’une putain mais aussi une belle chienne qui veut ton foutre. Je vais te piper pour tu me craches bien tout. J’ai soif de sperme comme une belle salope»
Alors que les gémissements de son mec s’élèvent, elle aspire soudain le membre et une main serrée fort sur la base du mat, se met à le pomper violemment. Des cris de douleurs échappent à son mari qui joui soudain de long jet dans une bouche qui s’acharne. Les yeux baissés sur son ouvrage, telle l’abeille laborieuse une pute termine son client. Le silence est ponctué de bruits de déglutitions difficiles. Ça s’apaise ; il reprend son souffle alors que quelques derniers coups de langues finissent de rattraper quelques gouttes épaisses et fugitives. La femme se relève sérieuse et tenant tendrement le membre qui commence à déjà à se regonfler. Essuie les dernières traces de son breuvage d’un doigt. Elle embrasse délicatement son mari. Il n’a pas encore repris ses esprits, les yeux dans le vague. Un sourire timide apparaît sur les lèvres de l’épouse
« C’était délicieux. »
Elle va pour s’éloigner. Il tente de la rattraper son sexe de nouveau dressé. Elle se dérobe.
« Non la séance est finie.. »
Elle sourit mutine, ramasse se robe et s’éloigne sagement nue, vêtue de ses seuls petits mocassins noirs.
« Je suis crevée, je travaille tôt moi demain.. »