n° 08015 | Fiche technique | 6632 caractères | 6632Temps de lecture estimé : 5 mn | 28/10/04 |
Résumé: Une femme découvre que son homme achète en secret des revues pornos | ||||
Critères: ff extracon copains cunnilingu 69 ecriv_f | ||||
Auteur : Marie-Christine |
Comme toutes les femmes qui découvrent un jour que leur mec achète en secret des revues pornos, j’ai été bouleversée en trouvant parmi les dossiers un magazine où des femmes exhibaient complaisamment leurs charmes les plus secrets.
C’était un après-midi, ma première réaction a été d’appeler Pauline, ma meilleure amie. J’étais en larmes. Pauline habite tout près de chez moi, et un quart d’heure après elle était là. Elle a essayé de me consoler comme elle le pouvait en me disant que ce n’était pas bien grave, que tous les hommes sont des cochons, qu’après tout, il valait mieux qu’il se repaisse d’une maîtresse en papier glacé que d’une autre en chair et en os. Elle avait peut être raison, sauf que l’un n’excluait pas l’autre et qu’il avait peut-être en plus de ces journaux dégoûtants une vraie maîtresse.
Je pleurais tellement que Pauline ne savait comment faire pour me ramener à la raison.
Elle traînait sur la moquette de la chambre. Elle a commencé à la feuilleter avec des petits cris d’indignation.
Je me suis levée comme une furie et j’ai fouillé dans les autres dossiers.
Je faisais voler les chemises pleines d’organigrammes. Et il y avait d’autres revues, mieux dissimulées que la première. Je les ai lancées à travers la pièce.
Pauline les ramassait au passage, les ouvrait avec des exclamations indignées. Je suis venue m’asseoir à côté d’elle, sanglotant de rage.
Pauline était devenue silencieuse tout d’un coup. Je sentais qu’elle ne partageait plus ma colère. J’ai jeté un coup d’œil sur le magazine qu’elle feuilletait de plus en plus lentement. Deux filles, la chatte entièrement épilée, posaient l’une à côté de l’autre dans des positions tout à fait indécentes. Au fil des pages, elles se rapprochaient l’une de l’autre et finissaient dans un 69 très photogénique, lèvres contre lèvres si je peux dire… Après cette série de photos, il y en avait d’autres, encore plus hard. Une fille jouait à enfoncer dans la chatte d’une autre, un sexe en caoutchouc noir qui tenait à sa taille par une ceinture.
Ce qui m’a semblé beaucoup plus fou, c’est l’état dans lequel je me trouvais tout d’un coup. J’étais toute mouillée entre les cuisses. Et j’avais du mal à respirer. Et puis, je ne sais pas pourquoi, je n’osais plus regarder mon amie en face. Elle aussi fuyait mon regard, d’ailleurs. Elle a reposé la revue par terre et nos sommes restées allongées sur la moquette, silencieuses pendant plusieurs minutes, chacune sans doute pensant aux images.
Puis Pauline a dit :
Elle a retrouvé la page où elles se pourléchaient la fente.
C’était vrai que je n’en savais rien.
Paralysée, je l’ai laissée m’ouvrir les cuisses et enlever ma culotte. Quand j’ai senti sa langue sur mon clitoris, j’ai cessé de respirer et mon ventre s’est contracté. Elle m’a léchée un long moment, je me sentais couler de plaisir.
Elle m’a embrassée sur la bouche pour que je sente la saveur de mon propre jus, mais je trouvais plus intéressant d’aller voir du côté du sien. J’ai dénudé son ventre et j’ai sucé son sexe ouvert et mouillé. Elle avait raison, c’était salé et l’odeur était très excitante. Nous nous sommes vite retrouvées dans la même position que les filles de la revue, en 69, lèvres à lèvres, et aussi avides qu’elles. Nous avons joui très vite tant nous étions chaudes.
C’était une grande première pour elle comme pour moi, mais ça n’a pas été la seule fois. Depuis ce jour, nous nous voyons chaque fois que nous le pouvons. Je surveille de très près les achats d’Alain en matière de porno. Je ne lui ai rien dit de ma découverte et ne lui ai fait aucun reproche. J’ai remis ses dossiers en place et je crois qu’il ne s’est aperçu de rien. Chaque fois qu’il sort, je fouille, Lorsque je trouve un nouveau magazine, j’appelle Pauline et elle arrive aussitôt, très excitée. Nous nous déshabillons et nous nous plongeons dans les pages glacées, faisant des tas de commentaires sur ce que nous voyons.
Nous avons chacune nos préférences. Pauline est folle des chattes rasées. Moi, au contraire, j’aime les pubis très noirs et très fournis, comme celui de mon amie… Par contre ni l’une ni l’autre ne sommes excitées par les photos de bittes qu’on y trouve parfois. Seules les vulves nous mettent en état d’excitation.
Nous avons acheté un godemiché en caoutchouc noir muni d’une ceinture, et nous nous en servons de temps en temps. Je le cache au fond d’un placard où, je l’espère, Alain n’ira jamais fouiller. Sinon, tant pis pour lui !
Ce qui est drôle, c’est que mon mari prend la peine d’aller acheter en cachette des revues où des femmes font l’amour, alors qu’il lui suffirait, un jour, de rentrer à la maison deux heures plus tôt et sans prévenir, pour tomber sur un tableau vivant autrement intéressant que le papier glacé…
Je me demande quelle tête il ferait…