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Temps de lecture estimé : 15 mn
29/10/04
Résumé:  Audrey, après la fête, veut surprendre Edwin à son tour.
Critères:  fh fffh jeunes grosseins caférestau fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : C Bobin      

Série : Cabine

Chapitre 03 / 03
A mon tour

Dimanche, lendemain de fête, un peu en vrac, éparpillée. Je suis rentrée à 7h00, un peu trop d’alcool, de cigarettes mais surtout beaucoup de sexe. Le fait d’avoir été entraînée dans cette soirée, d’y avoir participé activement me surprend encore. Je m’interroge aussi sur mes relations avec Edwin, où veut-il en venir, me prend-il pour un coup facile? Je me demande bien ce qui pourrait lui laisser penser cela d’ailleurs depuis une semaine que nous nous connaissons…


Est-ce une approche calculée de sa part, est il coutumier de ce genre de séduction ou bien est ce autre chose que je n’arrive pas encore à percevoir? Agacée. Il doit me rappeler. J’ai néanmoins l’impression d’être menée là où il veut et cela ne me convient pas.


Il est 11h30 maintenant, j’émerge, les draps blancs sont étalés autours de moi, je me force à m’étirer, un bras et une jambe dépassant du lit qui est aussi le canapé convertible de mon studio d’étudiante. Il fait grand jour dehors, le chaud soleil de juin inonde la pièce aux murs blancs crépis et brille sur les lames de parquet du studio, j’avais laissé les volets ouverts. Je me lève, nue, indifférente comme d’habitude à tout voisinage potentiel et me dirige vers la salle de bain. J’habite au 4ème et dernier étage d’un vieil immeuble bourgeois de la vieille ville de cette honorable citée universitaire. Il y a bien un autre immeuble tout aussi ancien en vis-à-vis mais je n’y ai jamais vu personne et puis je m’en moque. D’ailleurs je dors toujours nue, sauf pendant mes règles bien sur où une culotte suffit. Je réserve les nuisettes et autres dessous aux soirées sexy, où je finie généralement nue, et mon dernier tee-shirt pour la nuit doit dater de mes 15 ans.


L’eau chaude de la paume de douche coulant sur mon corps désengourdit mes muscles, mon esprit s’éveille également. Je me savonne doucement, avec application, puis plus fermement, cherchant les stigmates d’une nuit agitée mais mes 19 ans ont absorbé sans soucis tous les hommages virils dont le seul souvenir d’ailleurs commence à allumer mes sens. Je coupe l’eau préférant garder mon énergie. Je dois à mon tour décider de ce que je veux faire d’Edwin. Il faut que je reprenne l’initiative, ce garçon me plait, notre relation très sexuelle m’excite mais pas question de rester passive, c’est tout simplement pas mon truc. Je me sèche doucement enroulant une serviette dans les cheveux sans arriver à contenir la dernière mèche blonde qui dépasse. Zut, je suis en retard. J’avais promis à Judith de déjeuner avec elle.


On se connaît depuis toujours avec Judith, nous étions voisines dans notre village, le bac à sable, puis l’école, le lycée ensuite et aujourd’hui la fac. On a tout partagé : fous rires, larmes, colères et même un mec l’an dernier. Une nuit en vacances en camping, on repartait le lendemain et on avait flashé sur le même dans la boite de nuit. Impossible pour l’une comme pour l’autre de céder. On l’avait partagé dans sa tente, en se relayant à tour de rôle jusqu’a ce qu’il s’épuise, trop rapidement à notre goût. Pourtant il avait deux bombes pour le stimuler chacune son tour, mais notre pouvoir détonnant lui avait certainement pompé trop d’énergie en trop peu de temps. Super souvenir quand même qui nous avait encore rapprochées, même si nous n’avions aucun penchant l’une pour l’autre, sexuel je veux dire. On aurait presque pu habiter ensemble, mais nos caractères sont trop différents, et nous le savons depuis le temps.


Je saute dans une culotte blanche que j’assortis en souriant avec le soutif noir qui me tombe sous la main. Un coup de crayon noir sous mes yeux marron, un peu de mascara et un trait léger de rouge à lèvre. Je choisi la seule robe repassée, bleu marine et légère pour ce début d’été et c’est avec mes longs cheveux blonds encore humides flottants au vent que je me précipite dans l’escalier laissant une nuée de Montana dans mon sillage. Les quatre étages descendus en trombe et deux minutes de sprint ne m’empêchèrent pas être en retard d’un bon quart d’heure.


Judith me connaît parfaitement, elle est arrivée depuis 5 minutes à peine, et cela ne l’a pas empêchée de déjà se faire brancher par les trois types de la table d’a côté, me raconte-t-elle en préambule. Elle plait aux hommes, dans un genre très différent du mien. Judith est brune aux yeux bleus, une jolie fille pas trop grande, elle fait environ 5 ou 6 cm de moins que moi, ses cheveux sont bouclés mi-long. Les garçons eux retiennent en général ses gros seins, et des fesses bien cambrées. Personnellement j’admire ses formes même si je préfère mes atouts de liane sportive, sachant que côté poitrine je me défends, et j’en suis fière. Mais son meilleur point fort avec les hommes c’est qu’elle oublie vite sa pudeur si elle se choisi une proie. Elle veut, elle a.


Après 5 minutes de discussion, et vu les cernes que j’ai eu du mal à complètement masquer, elle m’a bien vite fait avouer l’histoire que je comptais dans tous les cas lui raconter. Du coup je l’ai associé à ma réflexion sur mon désir de surprendre Edwin à mon tour. Et nous avons cherché ensemble une solution.


Mon idée est de changer les rôles, le mettre dans une situation qui lui serait a priori inhabituelle et voir ses réactions. Inverser les rôles. Facile à dire, plus difficile pour les idées géniales. Après de multiples hypothèses et autant de fous rires, nous sommes arrivées à l’idée que j’avais eue en flash dans l’escalier, et à laquelle je souhaitais qu’arrive aussi Judith. Le pousser dans ses derniers retranchements en lui organisant ma façon de voir une soirée.


Le seul hic du plan est qu’il fallait d’abord qu’il me rappelle. J’ai bien son portable mais vous connaissez les femmes, et puis cela irait à l’encontre du plan… Judith me rassura, la soirée de la veille lui apparaissait comme une évidence, il rappellerait. Je ne su pas dire si je devais être flattée ou vexée, et bien sur j’ai choisi d’être flattée, à chacun son caractère.


Edwin appela le soir même… Conformément au plan je l’invitai à me rejoindre au restaurant le lendemain soir, lundi. Cela me coûta de refuser de passer la soirée avec lui, mais les prétextes était nombreux : révisions, examens, lessives. Bref, plein de choses trop importantes à faire absolument que je ne pouvais pas du tout reporter au lendemain. En tout cas il m’a cru.


Nous nous sommes rejoint devant le restaurant à 21h30, enfin à peu après, à cause d’un léger retard de ma part, vraiment involontaire, une manie. C’est un petit restaurant méconnu que j’adore, au fond d’une impasse étroite de la vieille ville. Mireille la patronne est géniale. Ancienne gestionnaire du restau U de la fac, elle avait voulu changer de vie l’an dernier après 20 ans dans l’administration. Toujours faire des repas aux étudiants pour un prix modique, mais à sa façon. Cela fait qu’elle est proche de ses habitués qui sont le plus souvent du quartier. Et pour ma part c’est ma cantine et mon salon de révision, et je suis donc bien placée pour savoir qu’Edwin lui ne vient jamais.


Nous nous sommes installés face à face chacun sur une petite banquette en skaï à une table pour quatre le long du mur du fond. La salle est petite, une quinzaine de couverts, pourtant la place ne manquait pas ce soir. Seules deux tables était occupées. Une par deux garçons et deux filles, des étudiants bien sûr, et en couples. L’autre table accueillait deux filles tellement prises par leur discussion que c’est à peine si elles avaient levé le nez à notre entrée.



Nous assena Mireille en nous laissant deux cartes sur la nappe sans nous laissant le temps d’en placer une. Puis elle est repartie vers la table de quatre qui demandait l’addition.



Elle est revenue deux minutes plus tard prendre la commande, des lasagnes pour moi, des pennes rigates alla vongole pour lui, un peu de vin pour nous deux. Une vieille chaîne dans un coin diffusait une musique paisible, rythmée de salsa, du Spanish Harlem Orchestra, sauf erreur. Les lumières étaient douces, venant de chaque petite lampe posée sur les tables. Notre discussion commença doucement dans cette ambiance cosy.


Le groupe de quatre qui venait de payer est parti rapidement, raccompagné par Mireille qui a fermé derrière eux histoire de s’assurer que plus aucun client ne lui fasse regretter d’avoir fermé sa cuisine.


C’est la première fois que l’on discutait seuls en tête à tête depuis que l’on se connaît. On a des affinités si je puis dire, la conversation s’est lancée toute seule. Un peu sur nous, un peu sur la vie dans la ville, et un peu sur le sexe. Le sujet est venu naturellement sur le tapis, sur la table en fait, car les deux filles à côté rigolaient en nous regardant, ou plutôt en regardant Edwin pour tout dire.



Et je me levais pour aller aux toilettes sans le laisser répliquer. Arrivée au couloir d’accès je me suis mise en retrait, et comme je m’y attendait une des fille s’est levée pour demander du feu à Edwin. Evidement elle a engagée la conversation. Je ne sais pas comment Edwin a négocié cette approche mais la poitrine avantageuse penchée en avant, sans être vulgaire, avait de quoi ne pas être interrompue. Plutôt jolie fille, brune, les yeux clairs et de jolies formes sans excès, sauf ses seins opulents. Sa copine était restée à table. Pas le genre à garder les sacs à main en tout cas, d’abord parce qu’elle était très belle, le genre élégante latine, à la Peneloppe Cruz avec de longs cheveux noirs, ensuite parce qu’elle suivait la scène avec une gourmandise évidente.


Je suis revenue à la table, la fille brune s’éloignant à mon approche. Ce n’est pas mon territoire, mais quand même.



Je me levai pour aider Mireille qui arrivait à brûle pourpoint et qui avait du mal à apporter nos plats, le pain, le vin, le sel, l’eau…


Je l’ai suivie dans la cuisine pour tout ramener et évidement dès que j’ai eu le dos tourné j’ai entendu une des filles se lever. Nous sommes revenues avec plats, la fille se rasseyait. C’était l’autre qui était venue.



Je ne me suis pas dépêchée de finir les merveilleuses lasagnes, profitant pleinement de la sourde excitation qui me gagnait. Les filles à côté avaient repris leurs délires devant un dessert, et surtout une autre bouteille. Quant à Mireille elle avait disparue, certainement occupée à ranger sa cuisine.


Ayant fait semblant d’aller aux toilettes tout à l’heure, il fallait maintenant vraiment que j’y aille. J’ai un peu fait durer le plaisir de l’attente et je me suis levée en faisant un grand clin d’œil à Edwin.



Je suis repartie vers les toilettes. Comme tout à l’heure je me suis mise en retrait et immédiatement la fille aux yeux clairs a littéralement plongé sous notre table. J’étais sciée, et a priori Edwin si sûr de lui avait aussi l’air très surpris. Son expression me fit comprendre qu’elle avait assez rapidement atteint son but et qu’il trouvait maintenant cela très à son goût. Je voyais la nappe se balancer, masquant la scène mais laissant parfaitement imaginer les manipulations, succions et autres aspirations underground. Seule les genoux de la fille accroupie sous la table pouvaient se voir mais je l’imaginais sortant le sexe du caleçon, le branlant pour le faire grandir et l’embouchant doucement dans la douceur humide de ses lèvres. Sur le visage d’Edwin j’essayais de deviner les coups de langues, les aspirations profondes voire même les doigts sous ses bourses remplies. L’autre fille matait le spectacle de sa table, une main ayant subrepticement glissée entre ses jambes. Sous la table le rythme paraissait élevé vu les mouvements de la nappe. J’imaginais facilement la fille aux gros seins branlant et suçant frénétiquement la tige fièrement dressée et allant au-devant des caresses.


Malgré le spectacle j’ai quand même dû filer aux toilettes où j’ai au moins pu en profiter pour retirer mon soutien-gorge sous mon haut beige de laine fine. Mes mamelons clairs ne devaient pas trop se voir mais les bouts eux pointaient fièrement. Je décidais de garder ma culotte, en effet l’excitation me gagnait et mon pantalon blanc n’aurait pas supporté le contact direct avec ma vulve.


En sortant je me suis remise dans le recoin du couloir d’où je pu vérifier que la scène se finissait. Edwin avait tenté de résister certainement pour bien me faire profiter du spectacle mais là il était évident qu’il était sur le point de jouir. Je restais cachée, fixée sur les mouvements sous la nappe qui ne firent que s’accélérer. J’imaginais les lèvres goulûment rivées au sexe au bord de l’explosion. Le spasme qui l’agita fut éloquent. Apres les quelques secondes d’éjaculation la fille dû laisser le sexe nu sous la table car elle sortie presque immédiatement en lui chuchotant juste deux mots.


Au lieu d’aller directement se rasseoir et elle alla curieusement au tableau d’ardoise mentionnant les plats du jour et à l’aide de la craie elle fit un trait horizontal. Je laissais passer quelques seconde puis je suis revenue à la table Les deux filles discutaient déjà tranquillement.



Je me suis levée en disant que je voulais un dessert et que j’allais aider Mireille à le faire, s’il voulais aussi quelque chose.



Et je suis repartie. Dès que j’ai eu le dos tourné, même manège mais avec l’autre. Une disparition sous la nappe de notre table avec un sourire gourmand, une agitation dans les replis du tissu et l’air d’Edwin, aux anges. L’excitation de la situation et le charmant minois de la deuxième fille avait du lui redonner des vigueurs. Elle, de son côté avait l’air de déployer une ardeur de hardeuse. Connaissant déjà le film je me suis éclipsée à la cuisine.


Après cinq minutes je suis revenue jeter un œil, Edwin avait l’air d’être sur le point de craquer. Ma préparation ne pouvant attendre je suis repartie à regret.


J’ai continué en cuisine mais cinq minutes encore et je ne pu m’empêcher de retourner voir. Et là surprise, la scène avait changée, Edwin était toujours assis mais il avait son jean sur les chevilles et surtout c’est la brune aux yeux clairs qui le chevauchait sauvagement.


Elle tenait Edwin par les épaule, assise sur son pieu dressé, la jupe retroussée à la taille et pas ou plus de culotte pour ne pas entraver le coulissement du piston de chair. Ses gros seins étaient sortis du chemisier dégrafé et ballottaient sous le nez d’Edwin qui visiblement appréciait. Sa copine était restée près d’eux et caressait les bourses d’Edwin tout en se caressant de l’autre main. À cet effet elle avait soulevé sa jupe et écarté sa culotte très échancrée laissant libre passage à ses doigts agiles. De ma place je pouvais voir sa toison noire soignée et ses doigts agiles s’activer. De ses voisins je voyais les fesses et la vulve écartée monter et descendre sur le pieu luisant de cyprine. Edwin avait lui une main sur un sein de chacune des filles. Contraste entre le sein lourd de sa cavalière et le petit globe de la latine. Je n’ai pas résisté à l’envie et malgré moi j’ai commencé à me caresser le sein gauche pendant que ma main gauche s’aventurait entre ma ceinture et le ventre écartant la culotte pour plonger directement au cœur de ma motte trempée. En face de moi les mouvements étaient plus précipités, comme toujours dans les moments volés où la prolongation du plaisir est oubliée en raison de l’excitation de l’interdit. Edwin besognait vaillamment la fille qui avait mis sa main sur sa bouche pour retenir ses gémissements. Sa copine toujours une main sur son clitoris s’était penchée sur la banquette et léchait les boules d’Edwin. Sentant mon étalon sur le point de jouir, la cavalière s’est retirée prestement et s’est accroupie, et à grands renforts de langues les deux filles l’on fait éjaculer sur les gros seins offerts de la brune. Elles se sont ensuite rapidement rajustées, laissant Edwin à lui-même, un peu dans le cosmos La fille aux cheveux noirs est retournée à sa table tandis que la cavalière aux gros seins maintenant rangés dans leurs bonnets se dirigeait vers le tableau pour tracer une troisième barre avant de regagner sa table.


Le salaud, me dis-je, voyant les trois barres, il a fait un coup double pendant que je finissait le dessert. Ce n’est pas par jalousie mais je n’avais pas jouis et il fallait que je ramène les desserts, cela faisait vingt minutes que j’étais partie. Je suis allée chercher les assiettes pour retrouver mon calme malgré le tiraillement agitant mon bas-ventre qui réclamait des soins tout particuliers, et vite.



Et comme moi aussi j’ai ce fantasme, ma fontaine à repris dans ma culotte, je n’ose imaginer la trace sur mon pantalon et la marque sur la banquette de skaï. J’ai vite fini mon dessert et pris une cigarette. Voyant que je ne tiendrai jamais dix minutes, Edwin s’est levé.


Je l’ai vite rejoints dans les toilettes homme. Il m’attendait, la chemise ouverte sur son torse musclé, la ceinture défaite. J’ai refermé la porte, il ma saisie et m’a soulevée pour m’asseoir sur la chasse d’eau. Une fois assise, il s’est directement attaqué à mon pantalon, parant au plus pressé. Je l’aidé maladroitement, chaque friction de mes jambe provoquant une montée du désir. Mon pantalon ôté, ma culotte a rapidement disparue et il a plongé dans mon sexe, la tête la première, le premier coup de langue m’arrachant déjà des gémissements prometteurs. Les jambes écartées, nue jusqu’à la taille, en haut des toilettes, la tête d’Edwin parcourait mon sexe. Mon pied droit était posé sur l’abattant fermé et l’autre dans le vide pour lui laisser un large accès à ma vulve dégoulinante. Il titillait le clitoris du bout de la langue, puis plongeait dans les lèvres inondées. Ma respiration était saccadée, ses doigts s’étaient joints à la danse pour fouiller mon vagin et mes râles m’échappaient maintenant sans retenue. J’ai joui rapidement, de façon fulgurante et brutale, fermant mes cuisses sur ses joues, puis relâchant mon étreinte dans la descente du plaisir.



Il m’a fait descendre et tourner comme pour la première fois où nous avions fait l’amour mais ce coup-ci je n’avais même pas pris la peine d’enlever mon haut, et en levrette face au mur, les jambes écartées, cambrée, il a approché son membre de ma toison blonde et il m’a enfilée de toute sa longueur. Un feulement s’est échappé de ma gorge sous l’intrusion du sexe redevenu ferme et long. Mon vagin irradiait sous le tison. Me tenant par les hanches, il m’a besognée longtemps, accélérant ou ralentissant au rythme de mes plaintes et du flot de paroles incohérentes que je déversais pour le guider dans mon plaisir. Mes avant-bras plaqués au mur je sentais mes seins ballotter sous les coups de butoir. Le claquement de son bas-ventre sur mes fesses tendues accompagnait mes gémissements. Lâchant mes hanches il a saisi mes seins au pointes dardées pour les caresser et encore faire croître mon plaisir. Commençant a fatiguer par la position debout et les jambes tremblantes par la montée du plaisir, je me suis légèrement déplacée pour m’agenouiller sur l’abattant blanc, les bras sur la chasse d’eau, les fesses tendues vers Edwin qui m’avait suivie sans se retirer. Agenouillée et cambrée je pouvais le sentir encore mieux. Il pouvait me pilonner encore plus profondément, comme j’aime. Ses mouvements étaient amples au début pour s’accélérer au rythme de mes gémissements. Sous cette action jugulée à ses caresses sur mes seins je me suis sentie partir à nouveau. Lui également arrivait au bout, l’accélération consentie pour me faire jouir à nouveau l’amenait à l’éjaculation, il s’est retiré et est venu sur mes fesses tendues vers lui.


Le temps de retrouver mes esprits et pour ne pas laisser croire à Mireille que nous serions partis sans payer nous nous sommes rhabillés pour rejoindre la salle.


Avant de me rasseoir, je suis allée au tableau pour mettre mon trait de craie au tableau et au retour je suis allée faire la bise à Judith et à sa colocataire Francia.



Ravie de mon effet je lui présentais mes deux amies.



Je cherche maintenant des idées de scénario pour un numéro 4 et toutes vos idées érotiques seront bienvenues… A suivre…