n° 08036 | Fiche technique | 8743 caractères | 8743Temps de lecture estimé : 6 mn | 31/10/04 |
Résumé: A 42 ans, je n'avais ni enfant ni mari, j'étais ce que l'on appelle une vieille célibataire endurcie. | ||||
Critères: ffh fbi couplus voisins gros(ses) grosseins groscul intermast fellation cunnilingu pénétratio fsodo ecriv_f | ||||
Auteur : Odile |
A 42 ans, je n’avais pas d’enfant, pas de mari, pas de petit copain, j’étais ce que l’on appelle une vieille célibataire endurcie.
En dehors de son boulot, pas une femme ne se dévouait autant que moi pour les œuvres charitables, pour les associations à but non lucratif, pour les groupements réclamant beaucoup de bénévolat. D’un naturel actif, je ne pouvais demeurer dans mon appartement en me croisant les doigts.
Pourquoi cette affreuse solitude ? Parce que j’étais énorme, et que je n’inspirais ni amitié, ni désir, ni tendresse. Je mentirais si je disais que je n’étais pas complexée. J’avais honte de mon corps et je comprenais tout à fait, qu’étant si grosse, pas un homme ne pouvait s’intéresser à moi. J’avais essayé des tonnes de régimes avant de les abandonner et de retomber, dépitée, dans ma boulimie.
Il y a un an, s’est produit événement qui, s’il m’a tout d’abord horrifié, m’a finalement apporté plaisir et bonheur. Un affreux guet-apens m’a été tendu par ma superbe voisine et par son chenapan de mari.
J’habite depuis toujours au cinquième étage d’un grand immeuble de la banlieue parisienne. Moderne sinon luxueux, il y a cinq appartements par palier. Il y a environ deux ans, un des propriétaires de notre étage a vendu et un jeune couple est venu s’installer à sa place. Je ne fréquente pas beaucoup les habitants de l’immeuble mais avec Alain et Christine, ça a tout de suite accroché à tel point que quelques semaines plus tard ils m’invitaient déjà à dîner. Un jeune couple charmant d’une trentaine d’années, des gens ouverts et sympathiques, c’est tellement rare de nos jours.
Lorsque j’étais partie une dizaine de jours en stage de formation à l’automne, j’avais laissé un jeu de clefs à Christine pour qu’elle arrose les plantes. Lorsque qu’elle avait voulu me les restituer, je lui avais dit de les garder, au cas où.
Toujours est-il que le couple, disposant des clefs de mon appartement, a facilement pu s’y introduire en mon absence et se cacher dans ma chambre avant que je ne rentre de mon boulot. C’est là que j’ai découvert ces deux charmants voyous alors que j’étais toute nue après ma douche et que je voulais enfiler un peignoir.
Je ne suis pas cardiaque, fort heureusement. C’est vraiment terrible d’apparaître nue, énorme et laide. En outre, c’est fort troublant de contempler les testicules et le membre bandé du voisin qui, à poil, occupe la moitié du lit et affiche un air effronté ! Enfin ça fiche un coup au cœur de voir la vulve très fournie en pelage noir d’une femme qui vous vampe avec obscénité, moitié assise, moitié couchée sur l’autre partie du lit !
Christine me bravait du regard en m’offrant l’exacte géographie de son coquillage. Le couple audacieux comptait exacerber mon indignation et mon effarement en me livrant d’emblée ce qu’il avait de plus secret.
Je n’avais connu que deux hommes et dans quelles pénibles circonstances, de sorte que les organes d’Alain firent leur effet. Je n’avais jamais vu la chatte d’une fille, celle de Christine me fit trembler d’envie.
J’étais bloquée, comparé à leurs corps, le mien était affreux. J’avais soudain honte de mes lourdes mamelles, de ma panse au triple bourrelet, de mon tour de hanche éléphantesque, de mes fesses gigantesques.
Qu’ils étaient beaux, eux, à côté de moi ! J’étais partagée entre une légitime excitation et le chagrin d’être moche.
En tout cas, les époux ne s’étaient pas contentés de paroles, ils passaient aux actes et me provoquaient ouvertement. Je leur avais ri au nez quelques jours auparavant lorsqu’ils avaient juré qu’ils voulaient faire l’amour avec moi, car leur fantasme était de se rassasier d’une abondante chair féminine.
On rencontre de tous les goûts dans la nature, pas de quoi s’offusquer. Mais là, il s’agissait de moi. On ne raisonne plus de la même manière lorsque l’on est soi-même concerné. Je les avais écoutés sans trop m’offenser, car nous avions abusé d’alcool et de vin au cours d’un repas copieusement arrosé. Ils avaient tenté de me faire fléchir en profitant d’une certaine permissivité due à la boisson. Ils n’avaient pas réussi ce soir-là, mais ils n’avaient pas capitulé. La preuve, ils étaient à présent dans ma chambre, sur mon lit, et leur attitude ne laissait aucun doute.
Ce qui m’a fait craquer, c’est le culot d’Alain : Il a saisi son membre et l’a secoué devant mes yeux écarquillés.
Puis, Christine a dit :
Décidée à me faire fondre, elle se chatouilla le bouton puis ajouta :
J’étais au bord des larmes, mon émotion grandissait et m’affolait.
Alain quitta brusquement le lit et s’approcha de moi. Mes yeux s’abaissèrent au niveau de son ventre, son dard me subjuguait.
A cinquante centimètres de mon nombril, il s’arrêta, le gland menaçant, orgueilleux, puissant.
Alain s’était immobilisé comme s’il ne voulait pas me forcer à quoi que ce soit. Quelques secondes plus tard, c’est ma main droite qui s’enroulait autour de sa hampe. Ce fut ma perte et mon bonheur. Ma fête aussi !
Le lendemain je fus incapable d’aller au boulot. Quelle tête j’avais ! Le couple s’était régalé toute la nuit de mes opulences exagérées. Leur désir n’était pas du baratin, Christine et Alain rêvaient vraiment d’une femme obèse, ils me le prouvèrent leur ardeur, leur passion et leur faim. Ils me baisèrent jusqu’à plus soif.
Ils m’interdirent presque toute initiative tant ils furent actifs. Ils m’embrassèrent sur la bouche, jouèrent avec mes seins, mordillèrent mes fesses et les bourrelets de mon ventre, léchèrent la profonde vallée de mon postérieur ainsi que ma vulve. Ils n’étaient jamais rassasiés.
Alain jouit dans ma bouche, entre mes reins puis entre mes mamelles. Il était fou de bonheur. Christine n’arrêtait pas de se frotter sur ma chair adipeuse, jouissant plusieurs fois d’affilée en se frottant le bouton sur mes cuisses ou en masturbant son clitoris avec mes tétins érigés.
Bref ! Tout ce qui chez moi est source de dégoût pour les autres, toutes mes hypertrophies, tout cela semblait follement les exciter et les combler.
A l’heure actuelle, nous sommes toujours voisins, des voisins très très proches qui partagent souvent le même lit, tantôt chez eux, tantôt chez moi. Et nos rencontres sont toujours folles et dans la démesure.
Ce qui me plait le plus c’est de me mettre en position de nageuse au beau milieu du lit. J’écarte les bras et les jambes et je me livre entièrement aux caprices de mes amants. Mon ventre est si enflé que je n’ai pas besoin de glisser un coussin dessous pour rehausser la partie de mon corps la plus volumineuse.
Dans cette position, les deux époux, chacun leur tour, me lèchent l’anus, me sodomisent en utilisant des godes, me giflent les fesses et le gras des cuisses, pincent mes hémisphères. C’est merveilleux, mon cul est roi.
Cette expérience m’a en quelque sorte libérée et m’a permis de voler de mes propres ailes. Ainsi, j’ai abandonné les œuvres caritatives en faveur des sorties associatives : Pique-niques, soirées dansantes, excursions en car. C’est bien le diable si dans un groupe de 50 personnes il n’y a pas un vieux célibataire qui rêve de se taper une grosse. Mais s’il est jeune et marié, je ne dis pas « non » non plus.