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n° 08046Fiche technique13100 caractères13100
Temps de lecture estimé : 9 mn
01/11/04
Résumé:  J'ai l'enorme chance d'avoir beaucoup de cousines pas très farouches, mais l'une d'entre elle l'est encore moins que les autres
Critères:  fh cousins intermast fépilée fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Filou  (Brun, 1m82, 71 kg à la recherche de plaisirs)      Envoi mini-message
Ma cousine préférée


J’ai la chance d’avoir plusieurs cousines plutôt mignonnes toutes âgées entre 18 et 27 ans.

Ce qui s’est passé est arrivé il y a environ deux ans, j’avais alors 26 ans et elle 25.


Stéphanie est la cousine dont je me sens le plus proche, depuis tout petit nous sommes inséparables, elle est un peu la petite sœur que je n’ai pas eue, je suis un peu le grand frère dont elle avait besoin.


Nous sortions souvent ensemble, au ciné, dans les bars, au bowling, en boite, faut dire que le fantasme qu’elle me procurait m’empêchait de chercher l’amour plus loin, mon rêve était d’être constamment à ses côtés… Et elle, elle sortait d’une histoire un peu farfelue avec un gars qui n’était pas fait pour elle mais leur histoire avait tout de même durée 4 ans, il lui fallait le temps de s’en remettre.


Ce samedi soir-là, nous allions faire un bowling avec des amis et d’autres membres de notre famille puis nous devions aller en boite ensuite pour finir la soirée.


Nous avions rendez-vous à 22h00, personnellement je devais aller chez Steph vers 19h00 pour manger et ensuite nous allions ensemble au rendez vous.


Je me suis donc pointé chez elle à l’heure précise, je sonne, elle met un peu de temps à venir m’ouvrir, quand enfin elle m’ouvre, je la découvre en peignoir de bain, pour commencer la soirée je ne pouvais espérer mieux car à cette vue j’ai déjà mes sens qui travaillent et je sens venir en moi une érection.


Elle s’excuse, me dit qu’elle n’est pas encore prête, je la pardonne bien volontiers, et lui dis d’aller finir de se préparer. elle retourne dans la salle de bain, je me décide à préparer à manger pendant ce temps là. je fouille un peu dans ses placards, et trouve vite de quoi faire des spaghettis bolognaises, c’est vite fait, c’est pas dur, en clair c’est parfait pour ce soir.


Je commence donc mon labeur, tout en essayant de contrôler mes pulsions car je n’ai qu’une envie c’est d’aller la rejoindre dans la salle de bain, je l’imagine sous la douche, nue, en train de se frictionner les parties intimes et cette vision ne me fait pas débander, bien au contraire, c’est de pire en pire, je commence à être drôlement serré dans mon caleçon, pour essayer d’apaiser ça je vais mettre un peu de musique, au moins avec ça je n’entendrais plus l’eau de la douche couler et je n’imaginerais plus ma cousine nue, et peut-être que mes pulsions se calmeront.


Environ quinze minutes plus tard, je l’entends enfin sortir de cette salle de bain, elle vient me rejoindre dans la cuisine et là je tombe des nues, elle a revêtu une robe hyper moulante noire fortement échancrée sur la jambe gauche, je reste bouche bée, je l’admire sans rien oser lui dire, mon regard s’attarde sur sa poitrine, elle doit faire à vu d’œil un beau 90C, je suis persuadé qu’elle n’a même pas mis de soutien-gorge, je n’arrive pas à détourner mon regard de ses seins, ce qu’elle ne manque pas de remarquer, d’un ton très ironique elle me demande si je veux des lunettes pour mieux voir. Heureusement pour moi j’ai eu un éclair de lucidité à ce moment précis et je lui ai fait remarquer que ce n’est peut-être pas la meilleure tenue pour aller faire un bowling ce à quoi elle m’a répondu que pour l’instant elle n’allait pas au bowling mais qu’elle dînait en tête à tête avec son cousin préféré et qu’elle irait se changer après le repas. Personnellement, avec le décolleté qu’elle avait, je ne demandais pas mieux qu’elle garde cette robe.


Elle me dit qu’elle prenait le relais dans la cuisine et me demanda d’aller m’installer dans le salon, elle arrêta la cuisson des pâtes et me rejoint 5 minutes après avec à la main deux verres de martini, un blanc pour elle, un rouge pour moi.


Elle s’assit juste à côté de moi, et me dit qu’elle avait quelque chose de très très important à m’annoncer ce à quoi je lui répondis que j’étais à l’écoute et qu’elle pouvait tout me dire.


Elle se décide enfin à me parler de Franck, son ex, elle ne m’en parlait jamais car elle savait l’animosité que je vouais à cette personne, elle m’explique qu’elle veut me dire la raison de leur séparation, chose à laquelle je réponds qu’elle n’est pas obligée, que cela ne me regarde pas, mais elle me dit que si, car la raison de leur séparation c’est moi.


Je prends un coup de massue sur la tête, Stéphanie, la cousine que j’aime tant, dont j’ai tellement envie vient de me dire que ce qui a fait le malheur de son couple c’est moi, alors que je ne veux que son bonheur, je ne comprends pas, je ne comprends plus, je lui demande de m’expliquer.


"Vois-tu", me dit-elle, "Je viens de m’apercevoir que tout le temps que j’ai passé avec Franck n’était pas sincère, je n’étais pas amoureuse de lui, lorsque nous faisions l’amour ce n’est pas avec lui que j’avais envie d’être, lorsque je jouissais, ce n’est pas son nom que j’avais envie de hurler, c’est le tien…"


Deuxième coup de massue, ai-je bien compris ce qu’elle vient de dire ??????


Elle reprend : "Tu sais, ça fait longtemps qu’on se connaît, on est comme frère et sœur et c’est justement ce lien si fort qui m’a empêché jusqu’à aujourd’hui de te dire tout ça, mais après l’épisode avec Franck je n’ai plus envie de jouer, je veux du sentiment, du vrai, du profond"


"Tu sais Stéphanie, ce que tu viens de me dire me touche énormément, je ne vais pas jouer non plus, ce que tu viens de me raconter, je pourrais t’en répéter autant, voire même plus, depuis bien longtemps tu es mon plus grand fantasme, je n’ai qu’une envie c’est de te faire l’amour, mais nous sommes cousins, et l’éthique m’empêche…"


Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase, elle s’est jetée sur moi et m’a embrassé fougueusement, je ne veux pas, mais je ne peux lutter, l’envie est trop forte, je me laisse aller et lui rends son baiser, j’introduis ma langue dans sa bouche et rencontre la sienne, ce baisser est interminable, elle a comme un goût de vanille qui me procure une nouvelle érection, j’ai envie d’elle, je veux la posséder, c’est décidé cousine ou pas je lui donnerai le maximum, ce qu’elle veut, elle l’aura puissance 10.


Elle décolle ses lèvres des miennes, et se met debout devant moi, me regarde, et avec un petit sourire malicieux, fait glisser sa somptueuse robe le long de ses jambes. Comme je l’imaginais elle ne porte pas de soutien-gorge, ses seins sont encore plus beaux que ce que j’imaginais, 90C, ronds, biens fermes, les tétons légèrement rosés, pointant vers moi, plus bas elle porte un petit string blanc, légèrement transparent mais curieusement ne laissant entrevoir aucune toison, elle doit être épilée me dis je, je fais un mouvement pour me lever, je veux lui caresser les seins, les embrasser, les sucer, mais elle m’empêche de me lever, me dit de rester assis, je ne sais pas quoi répondre, je suis hyper serré au niveau de la ceinture, je ne peux qu’obéir, je reste là, assis sans bouger, je l’admire, elle me regarde, m’observe, et je vois son regard bloqué sur la bosse de mon pantalon, nos yeux se croisent, elle entrouvre les lèvres, et se les humidifie avec sa langue, je n’en peux plus, il faut que je libère mon sexe de son emprise, la douleur devient trop forte, je fais un mouvement pour ouvrir ma braguette mais elle se saisit de ma main et me dit que ce n’est pas à moi de faire ça, elle s’agenouille devant moi, et ouvre ma braguette doucement, mon pantalon est maintenant ouvert, seul mon caleçon retient encore mon sexe, elle caresse doucement ma verge au travers du léger tissu qui le recouvre encore, elle m’observe, je ne la savais pas aussi douée pour faire monter l’envie chez un homme.


"Je croyais que tu ne voulais pas jouer" lui dis je. Elle ne répondit rien, elle se contenta juste de défaire le petit bouton de mon caleçon, ce qui eut pour effet de faire sortir ma verge d’un seul coup, tendue, droite comme un piquet, ne demandant qu’à être engloutie, Stéphanie commença par me la caresser doucement de haut en bas, sans rien dire, ne regardant que mon engin de plaisir qu’elle tenait entre ses mains, elle accélérait peu à peu ses mouvements, et rapprocha ses lèvres de ma bite. Elle commença par la décalotter, puis titilla mon gland du bout de la langue avant d’engloutir complètement ma verge, elle faisait des mouvements de va-et-vient dignes d’une professionnelle, je n’en revenais pas, ma cousine, objet de mes fantasmes était là, agenouillée devant moi en train de me faire la meilleure pipe qu’on m’ait jamais faite, je sentais monter en moi l’explosion, j’aurais voulu la prévenir, mais je n’ai pas su, ce qu’elle me faisait était trop bon, je ne voulais pas qu’elle s’arrête, alors je n’ai rien dit, j’ai laissé venir, j’ai éjaculé en plusieurs jets puissants dans sa bouche, je m’attendais à une réaction de sa part, bonne ou mauvaise, il n’en fut nullement le cas, elle avala ma semence et nettoya ma bite avec sa langue.


"Ma chère cousine, personne ne m’avait jamais autant donné de plaisir, tu ne vas pas le regretter, le plaisir que tu viens de me donner tu vas le ressentir également" lui dis-je en lui saisissant le crâne, je la redressai, l’allongeai sur le canapé, mon rêve se réalisait, j’allais bientôt posséder la femme qui me faisait le plus envie au monde, blonde, 1m70 environ, 55kg, cheveux mi-longs, dotée d’une superbe paire de seins.


Elle était là allongée devant moi avec pour seul vêtement son petit string, je me déshabillai totalement, la verge mi molle suite à l’éjaculation que je venais d’avoir, je m’allongeai à ses cotés, et m’empressai de lui caresser les seins, je commençais pas en faire le tour doucement avec mon index, je me rapprochais des mamelons et les embrassai, je me régalais de cette petite dureté qui glissait au contact de ma langue, je les suçais, les embrassais les mordais. À chaque petite morsure, Stéphanie laissait sortir de petits gémissements de sa bouche me laissant penser qu’elle appréciait, tout en lui suçant les seins je rapprochais doucement ma main de son intimité, je glissais ma main sous son string, et constatais qu’elle était effectivement épilée, je posais mes doigts sur son sexe et caressait ses lèvres, la mouille était déjà présente et je n’eue aucun mal à la pénétrer de mes deux doigts, elle se cambra pour que je puisse aller au plus profond, elle poussa quelques petits cris lorsque. Je commençai mes mouvements, elle aimait ce que je lui faisait, ça se sentait, elle en voulait plus, elle appuyait sur ma tête à chaque fois que mes doigts la pénétraient.

"Baise-moi, maintenant, prends-moi".

Je vous laisse imaginer que je ne me suis pas fait prier, j’avais de nouveau une érection à m’en faire mal, alors je n’avais qu’une envie, la faire jouir avec mon sexe.


Je me redressai, me mis en face d’elle, et baissai son string d’un seul trait, j’avais maintenant devant moi ma cousine, totalement nue, cuisse écartées, se caressant les seins et n’attendant qu’une seule chose, mes coups de butoir.


J’approchais donc ma bite de sa petite chatte épilée et toute humide, je me plaçais juste au bord et la pénétrai d’un coup sec, ça y était, ma queue était au fond d’elle, elle poussa un gémissement de soulagement au moment de la pénétration, j’étais bien, au chaud. Je profitais de sa soumission totale pour lui dire d’oublier le bowling, car ce soir c’était soirée baise. Elle me répondit par un léger sourire qui disparut, remplacé par des petits gémissements lorsque j’amorçais mes vas et viens, je prenais un malin plaisir à la posséder, j’atteignais enfin mon but ultime, baiser Stéphanie, j’étais dans un état second. Au plus ses gémissements étaient forts au plus mes coups de butoir étaient rapides. Je sentais que j’allais jouir, ça arrivait, lorsque cela arriva, elle hurla, on jouissait tous les deux en même temps, j’inondai son intérieur de sperme, et m’écroulai sur elle, épuisé, nous sommes restés un long moment comme ça, allongés sur le lit, tous les deux, nous demandant si ce que l’on venait de faire était bien ou mal, et notre seule conclusion fut que l’on s’en foutait, qu’on ne le regrettait pas, et c’était bien là le plus important.




Stéphanie et moi ne sommes pas ensemble aujourd’hui, sûrement par peur de choquer les "qu’en dira t’on", mais il nous arrive encore régulièrement de passer des moments agréables ensemble.