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n° 08051Fiche technique24777 caractères24777
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01/11/04
Résumé:  En cette fin de l'été 1400 sur l'île d'Hokkaïdo, au nord du Japon, Michiko, fille unique d'un couple de bouchers, découvrit devant elle un spectacle d'horreur.
Critères:  ff intermast cunnilingu anulingus fdanus historique
Auteur : European Sex Project      
Premières neiges


En cette fin de l’été 1400 sur l’île d’Hokkaïdo, au nord du Japon, Michiko, fille unique d’un couple de bouchers, découvrit devant elle un spectacle d’horreur.


Rentrant d’une longue promenade solitaire dans les collines avoisinant son village, elle tomba à genoux à l’entrée de celui-ci et de grosses larmes se mirent à rouler sur ses joues.


Komaruchi, son village, n’existait plus. La quasi totalité des maisons était en feu et, partout dans les rues, Michiko ne vit que des cadavres.


Elle se remit péniblement debout et se mit à avancer vers sa maison située près du petit temple bouddhiste. Devant elle, les yeux toujours ouverts, son amie Mari avait été égorgée et son petit corps frêle lui barrait le chemin. Le vieux Onda, le sage du village, avait été crucifié sur une croix rapidement fabriquée.

Yosuke et sa jeune épouse Miri étaient morts d’une flèche dans le dos. Et tous les autres…


Michiko retomba à genoux et se mit à hurler le nom de ses parents dont elle découvrit les corps sans vie devant le seuil de leur maison en flammes.


Les fumées piquaient au nez et aux yeux embués. Miki, le chien du charpentier, s’approcha de Michiko en pleurnichant et se mit à lécher les joues de l’adolescente. Sa patte avant droite était cassée et la bête se déplaçait tant bien que mal d’un cadavre à l’autre, comme pour tenter de réanimer les habitants qui l’appréciaient tant.


Michiko était toujours à genoux et en pleurs lorsqu’une main se posa sur sa frêle épaule droite. La jeune fille se tourna brusquement et s’écarta quelque peu, terrorisée par cette subite présence humaine.


Toujours assise sur le sol, elle découvrit devant elle un homme plutôt corpulent et au crâne rasé. Il portait une veste légère blanche et un pantalon bouffant noir. Il était pieds nus. Il n’était plus très jeune et son visage reflétait bonté et compassion.


L’homme tendit une main à Michiko.



La jeune fille eut un moment d’hésitation. Mais que faire d’autre ? Ce village ne lui apporterait plus rien et elle connaissait encore peu la région.


La main de l’homme resta tendue longtemps. Puis Michiko se releva, sans aide.



L’homme tourna les talons et, sans hésiter une seconde de plus, Michiko le suivit à distance.


Ils s’enfoncèrent dans la forêt…




Pendant deux ans, Michiko vécut dans la forêt avec le maître Matsumoto dont elle découvrit très vite l’agilité physique et le parfait maniement des armes. Ils ne virent strictement personne durant cette période et elle n’apprit quasiment rien de celui qui assura sa survie.


Matsumoto expliqua à Michiko que le village de Komaruchi avait été détruit par le seigneur Shinoda, en guerre contre son rival Muronaba, dont Komaruchi dépendait. Muronaba devait décéder peu de temps après dans un traquenard préparé par les hommes de Shinoda et, depuis lors, ce dernier avait définitivement gagné la guerre contre son rival, et son territoire s’était ainsi étendu.


Matsumoto avait longtemps formé Michiko au travail des armes, conférant à celle-ci un pouvoir quasi surnaturel qui effrayait la jeune fille elle-même.


Un soir d’automne, au coin du feu, Matsumoto, généralement taiseux, parla.



Matsumoto releva la tête et ses yeux perçants fixèrent le joli visage de la jeune adolescente qui devenait tout doucement femme.



Un silence lourd plana, seulement troublé par le cri d’une chouette dans le lointain.



Michiko fit un signe franc et affirmatif de la tête, sans mot dire. Elle sut que le moment était venu. Elle se leva, salua Matsumoto et partit se coucher dans sa hutte.


Le maître resta seul près du feu et partit se coucher lorsque les dernières flammes furent éteintes.




Tadamaru, petite ville sans âme et aux habitants aux regards tristes, fut atteint après deux jours de marche.


Matsumoto avait revêtu des habits de mendiant et avait paré Michiko de vieilles loques.


A la porte du palais de Shinoda, deux hommes en armes les arrêtèrent.



Matsumoto joua la comédie.



Michiko ne disait rien et gardait les yeux baissés. Un gardien s’approcha d’elle.



Son collègue fit un signe affirmatif.



L’un des gardes se rendit dans le bâtiment principal du palais et revint peu de temps après.



Il regarda Matsumoto.



Les gardes fixèrent le vieux et se moquèrent quelque peu de lui.



Michiko fut saisie aux bras et emmenées vers le palais par les deux hommes en armes. Elle se tourna vers Matsumoto. L’image de son vieux maître, regard figé et yeux perçants, disparut lorsque les deux lourdes portes fermant l’entrée du palais se refermèrent.




Dame Shunda, l’épouse du seigneur Shinoda, devait avoir trente ans. Grande et mince, elle était d’une beauté éblouissante. Mais son arrogance transparaissait à chaque instant. Autour d’elle voltigeait sans arrêt toute une série de courtisanes et de servantes stressées.


Au milieu de la pièce principale du gynécée, Michiko était debout, tête baissée en signe de soumission.



Michiko fut nue. À l’extrémité de ses deux petits seins blancs pointaient droitement des tétons bien fermes. Son nombril formait un bel orifice ovale. Sa toison pubienne était discrète et ses deux petites fesses bien musclées.


Dame Shunda s’approcha lentement d’elle.



Courtisanes et servantes disparurent par des portes coulissantes qu’elles refermèrent directement derrière elles.



De ses longs doigts fins, la maîtresse des lieux pinça le téton droit de Michiko qui fit une grimace.

Dame Shinoda tourna autour de la jeune femme. Son index droit parcourut toute la colonne, du cou jusqu’au creux des reins de Michiko. Elle lui donna une petite fessée pour apprécier la fermeté de son postérieur. De ses deux mains, elle écarta les globes fessiers pour visualiser l’anus de sa nouvelle soumise, petite fente épilée et discrète.

Dame Shunda frappa dans les mains. Courtisanes et servantes réapparurent.



Deux très jeunes filles emmenèrent Michiko vers une cour intérieure où une source d’eau chaude apparaissait entre des rochers, formant une petite mare accueillante. Elles invitèrent Michiko à s’y plonger.

L’eau chaude était apaisante et faisait du bien. Michiko, debout dans l’eau, garda quelque peu les yeux fermés, lavée consciencieusement par les deux servantes. Quand elle rouvrit les yeux, dame Shunda était devant elle, au pied de la mare. Une courtisane retira la longue robe rouge que portait l’épouse du seigneur des lieux et celle-ci fut entièrement nue également.

Dame Shunda avait des seins plus lourds que ceux de Michiko. Son pubis était plus fourni. Mais ses fesses étaient très menues également.

Dame Shunda s’avança dans l’eau chaude. Elle fit face à Michiko dont elle palpa les deux seins de ses longs doigts.

Les deux femmes s’embrassèrent longuement. Un doigt titilla le clitoris de Michiko. Puis cette caresse s’arrêta subitement.

Peu de temps après, Michiko était appuyée sur le rebord de la mare, ses petites fesses sortant suffisamment hors de l’eau. Dame Shunda lui léchait lentement l’anus. De temps à autre, elle embrassait cet orifice comme s’il s’était agi d’une deuxième bouche. Puis sa langue se plaisait à nouveau à humidifier les nombreux replis de son sphincter.


Michiko sentait une excitation monter en elle. Dame Shunda colla un sein contre l’anus de la jeune femme. Elle le frotta généreusement tout le long du pli de ses fesses. Michiko sentait la respiration haletante de la maîtresse des lieux dans sa nuque. Elle-même constata que son souffle s’était accéléré.

Puis la langue de dame Shunda pénétra longuement et profondément son fondement.

Soudain, Michiko fut invitée par deux mains qui tenaient ses hanches à se relever. Dame Shunda la fit tourner sur elle-même et les deux femmes se firent à nouveau face.

Un long baiser fut échangé. À l’odeur de ses profondeurs, Michiko fut prise d’un orgasme violent qui la fit uriner dans la mare d’eau chaude, sans pouvoir se retenir quelque peu.

Dame Shunda s’agenouilla rapidement et profita de ce liquide doré qu’elle fit couler sur son beau visage tout en se masturbant violemment d’une main. Elle atteignit, elle aussi, l’orgasme, et laissa échapper un long cri de jouissance. À ce moment, la première neige de l’hiver naissant se mit discrètement à tomber.


Michiko devint ainsi une servante soi-disant amnésique, servante comme dix autres jeunes femmes en ces lieux, entre autres Miki, dont elle devint très vite une amie.

Miki était toute petite de taille et gardait toujours le sourire malgré les accès de colère réguliers de dame Shunda. C’était la fille d’un vassal du seigneur Shinoda, déchu et ruiné. Devenu fou, son père s’était jeté d’une falaise dans la mer. Sa maman était morte en couches. Alors Shinoda l’avait recueillie et en avait fait une servante.


Un soir, Michiko, déjà endormie sur sa couche dans le quartier des servantes, fut réveillée par une main qui secouait ses épaules. C’était Miki.

Avant d’avoir pu dire un seul mot, Michiko sentit les lèvres de son amie sur les siennes. Rapidement, Miki déshabilla Michiko de sa blouse légère et fit de même. Les deux jeunes femmes, nues, entreprirent de partir à la découverte de leurs creux et de leurs rondeurs.

Alors que Michiko se faisait lécher la vulve par la petite langue agile de son amie, elle repensa à la raison principale de sa présence ici.

Matsumoto lui avait dit que l’hiver serait bientôt là et l’hiver était maintenant arrivé.

Miki tourna Michiko sur le ventre et plongea un doigt dans l’anus de son amie, puis deux et elle se risqua même à y placer un troisième. Mais la grimace de Michiko la fit stopper sa manœuvre.

Michiko revoyait les mouvements précis relatifs au travail des armes que lui avait longuement appris son maître Matsumoto.

Miki lui donna une petite fessée et lui souffla à l’oreille.



Michiko sourit et se remit sur le dos. Elle attira les hanches de Miki au-dessus de son visage et se mit à lécher alternativement les deux orifices de sa partenaire. Miki, d’excitation, écrasa son fessier sur le visage de Michiko. Les deux mains de cette dernière se mirent à palper vigoureusement les masses postérieures de son amie, écartant les fesses à l’extrême.

Miki sentit alors une langue se poser sur son anus. Ce n’était pas celle de Michiko mais d’une autre fille de la chambrée, Niiga, réveillée par les miaulements discrets de ses deux compagnes.

Pendant que cette langue s’engloutissait dans les viscères de Miki, Michiko, de son côté, enfonçait sa langue profondément dans le vagin mielleux de son amie.

Après de longues minutes, Miki explosa d’un orgasme violent. Niiga lui mit une main sur la bouche pour étouffer un éventuel cri.


Pendant que Miki reprenait ses esprits sur sa couche, Michiko se mettait tête-bêche avec la troisième participante à ces joutes saphiques inattendues.

L’anus de Michiko faisait face de très près au nez de Niiga. Cette dernière enfonça sa langue dans le vagin de sa partenaire tandis que ses narines reniflaient l’odeur âcre de ses profondeurs.

Michiko, d’une langue agile, titillait le clitoris trempé de Niiga. Faisant soudain dégouliner une quantité de salive importante sur sa main droite, elle dirigea celle-ci dans l’orifice vaginal de sa compagne de chambrée. La travaillant ainsi vigoureusement, elle la fit parvenir à la jouissance tandis que de longs filets baveux s’échappaient de son intimité.

Michiko explosa aussi lorsque Niiga releva quelque peu l’étroit bassin de sa compagne dont elle écarta à l’extrême de ses deux mains son orifice vaginal comme si elle avait voulu y enfoncer sa tête toute entière.

Ensuite, comme des pantins désarticulés, les trois jeunes femmes s’endormirent jusqu’à l’aube.




Or, ce matin-là, les servantes et tout le palais furent réveillés par des cris nerveux d’hommes ainsi que par des hennissements.

Michiko, par la fenêtre, vit les portes de la forteresse s’ouvrir. Une neige plus généreuse tombait et commençait à former un beau tapis blanc sur les collines avoisinantes. Il faisait froid et le ciel était très gris.

Une dizaine de cavaliers pénétrèrent l’enceinte du palais. Lourdement armés, ils mirent pied à terre.

Michiko, toujours nue, fut rejointe par Miki qui, tout aussi nue qu’elle, s’appuya d’une main sur son épaule.



Miki eut une réponse brève.



Ainsi, le moment était venu.




La salle du trône était grande, sobre. Toutes celles et tous ceux vivant au palais s’y étaient réunis pour entendre les relatés glorieux des combats du seigneur Shinoda.

Ce dernier était un homme au physique banal. Il devait avoir une cinquantaine d’années. Toutefois, son regard toisait fièrement l’assemblée.

Il siégeait au fond de la salle du trône, face à l’entrée de celle-ci. Dame Shunda était installée sur un siège plus petit, à sa gauche.

Elle avait un maquillage qui lui donnait un aspect méchant.

Sur les allées latérales de la salle siégeaient, d’un côté, courtisanes et servantes, et de l’autre, les officiers et quelques gardes.


La neige tombait de plus en plus abondamment.


Après avoir relaté froidement ses faits de guerre les plus récents, le seigneur Shinoda, sans toutefois la regarder, s’adressa à sa femme.



Le regard de dame Shunda se tourna légèrement vers les servantes qui gardaient toutes les yeux rivés au sol.



Michiko sentit une perle de sueur couler le long de sa tempe droite.



Miki et Niiga mordirent toutes deux sur leur lèvre inférieure pour ne pas laisser échapper un petit rire.

Mais Michiko était désormais très loin de ces considérations.



Le seigneur Shinoda regarda la dizaine de servantes sans dire un mot.



Michiko, dans un silence pesant, parée d’une longue robe de cérémonie rehaussée de dorures, se leva lentement. Toujours avec les yeux rivés vers le sol, elle glissa vers le milieu de la salle du trône. Elle fit un quart de tour et se retrouva face au seigneur Shinoda et à son épouse. Un garde vint immédiatement se poster derrière la jeune femme, immobile.


Le seigneur Shinoda parla.



Il y eut un silence.



Michiko émit un long soupir. Elle se pinça les lèvres. Dame Shunda fixa son époux d’un regard inquiet. Le seigneur de la guerre fronça subitement les sourcils. Il se pencha quelque peu en avant.



Michiko releva les yeux brusquement et fixa le seigneur Shinoda d’un regard noir.



"Tu te fieras à la vivacité de ton esprit qui guidera tes mouvements sans que tu ne doives réfléchir longuement à la manière d’agir."


Michiko s’est retournée en un éclair et a saisi le sabre et la dague du garde posté dans son dos. Elle lui a en même temps ouvert le ventre horizontalement.

Des cris ont fusé de la salle du trône et tout le monde s’est levé brusquement dans la plus grande pagaille.


"Tue d’abord les officiers et les gardes. Le seigneur Shinoda, trop fier de ses nombreuses victoires, ne quittera pas les lieux avant d’avoir tenté de te tuer."


Une rangée d’officiers fut massacrée en quelques secondes par les lames agiles de Michiko. Des hommes ont tenté d’encercler la jeune femme mais les coups sont adroitement partis dans tous les sens. Pendant quelques secondes, Michiko a utilisé un officier comme bouclier, qui s’est retrouvé transpercé de toutes parts.


Les courtisanes et les servantes se sont échappées du palais par toutes les sorties possibles et dans des cris stridents et terrorisés.


D’un seul coup, Michiko a décapité deux têtes à la fois. Des gardes, inexpérimentés, ont sabré dans les paravents en papier de riz sans atteindre d’un millimètre la jeune femme. Celle-ci, par contre, les a tous achevés d’un coup de sabre rapide et précis.




Un sang écarlate tapisse le sol et les murs. Tous les hommes du seigneur Shinoda sont maintenant morts et jonchent le sol de la salle du trône.


La robe de Michiko, suite à ce combat violent, s’est quelque peu ouverte et laisse apparaître son petit sein gauche qui se tient fièrement droit. Un silence lourd est retombé sur la salle du trône.

Le seigneur Shinoda, lentement, s’est levé et a porté la main à son sabre qu’il a rangé dans une gaine qu’il porte dans son dos.

Dame Shunda pleure. De son maquillage pour les yeux, il ne reste que de sales traînées noires qui dégoulinent sur ses joues. Toujours assise sur sa chaise, elle hurle à son époux de tuer Michiko.



Elle hurle tellement qu’elle en vomit et qu’elle en placarde toute sa longue robe aux riches ornementations.

Le seigneur Shinoda respire rapidement.



Michiko le regarde droit dans les yeux, très sûre d’elle.



"Il tentera de te distraire. Il est un renard rusé. Mais même le renard peut avoir un mouvement d’inattention."


Un seul coup pour la tuer, un seul. Mais il l’a raté. La lame du sabre de Michiko, par contre, est entrée dans l’abdomen du seigneur Shinoda pour ressortir dans le dos. Le seigneur des lieux est tombé à genoux au milieu de ses hommes déjà morts. Puis son corps est tombé vers l’avant, face contre terre.


Un silence lourd règne dans la salle du trône. Michiko a jeté son sabre et sa dague sur le sol sans se tracasser de dame Shunda. Elle a ensuite quitté les lieux.




Le palais est désormais vide. Ses couloirs sont silencieux, son gynécée ne résonne plus des petits rires faisant suite aux jeux saphiques qui s’y pratiquaient, dans la cour intérieure les chevaux richement harnachés attendent leurs maîtres qui ne les monteront plus.


Dame Shunda est maintenant seule parmi tous cadavres masculins, dont celui de son époux. Elle a enlevé tous ses vêtements. Son corps, parcouru de soubresauts permanents, est soudain devenu laid et indésirable. Elle est tombée à genoux près de son époux et hurle des choses incompréhensibles. Soudain, elle a aperçu une dague encore vierge de sang. La saisissant de ses mains tremblantes, elle a porté la pointe à son cœur, contre son sein gauche.



Dame Shunda a relevé les yeux vers l’entrée de la salle du trône d’où est venue cette voix d’homme qu’elle connaît bien. Là, devant elle, il y avait le maître Matsumoto, toujours habillé sobrement, qui la regardait avec compassion.


Dame Shunda, à sa vue, a versé de grosses larmes.



Dame Shunda a regardé étrangement l’entrée de la salle du trône. Il n’y avait plus personne. Et la lame de la dague s’est enfoncée dans son coeur.




Personne ne sait où est partie Michiko et personne ne peut dire si le maître Matsumoto hante encore les forêts d’Hokkaïdo.


Mais certains disent qu’on peut entendre dans les bois, à la tombée de la nuit, les lamentations de dame Shunda quand tombent les premières neiges…