Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 08078Fiche technique12552 caractères12552
Temps de lecture estimé : 8 mn
05/11/04
Résumé:  J'étais là pour dépanner un ami. Mais la session de photos de charme a vite tourné à quelque chose de plus... explicite. Une histoire inspirée d'une photo du web.
Critères:  ff exhib photofilm odeurs rasage cunnilingu anulingus jeu ecriv_f
Auteur : Anarchick_mimi            Envoi mini-message
Twister



… Un jour je reçois un appel d’un ami, ancien camarade d’études, dont je n’avais aucune nouvelle depuis quelques mois. Il me raconte qu’il est maintenant à Montréal et qu’il travaille sur différents types de choses. Puis il m’annonce que justement il vient travailler dans la région quelques jours… Puis que c’est en fait la raison de son appel. Il dit qu’il a une drôle de proposition à me faire…


Je suis curieuse d’entendre la suite, je souhaite très fort un peu de boulot. Il hésite un moment puis face à mon impatience annonce qu’il ne passera pas par quatre chemins. Il travaille dans la photographie… érotique… Il a un site sur le web (il se dépêche de spécifier qu’il n’y a là aucune nudité), et il vient photographier des filles de la région. Je lui demande ce que je viens faire là dedans. J’espère encore faire un peu d’éclairage. Il m’annonce plutôt qu’il a besoin d’une fille… Un moment de silence s’ensuit. Il commence alors à m’expliquer qu’il avait les trois filles qu’il lui fallait mais qu’une d’elles vient de se désister. Vrai que la jambe dans le plâtre ce n’est pas très vendeur. Il ne peut annuler le tout, trouver une fille par la voie habituelle est trop long, il lui faut une fille qu’il connaît déjà, et c’est à moi qu’il a pensé. Je reste muette, stupéfaite, mais aussi flattée au fond de moi, qu’il ait pensé que je puisse faire bonne figure sur de telles photos, et faire vendre un peu son site.


Je m’entends lui demander de quel genre de photo il s’agit exactement. Il promet que ça reste dans les limites d’une certaine décence, promet aussi beaucoup d’argent, et des consœurs de travail jolies et sympathiques. Je finis par lui dire oui, on s’entend pour la semaine suivante, et voilà. Bien sûr tout de suite après avoir raccroché je n’ai qu’une envie celle de tout annuler. J’en parle à Marianne, qui ri de moi, et fini par me dire « t’en a envie, c’est évident… qu’est-ce que t’as à perdre ? » Je lui demande de venir avec moi. Elle se fait moins fantasque… et refuse.


La veille du rendez-vous Mathieu me contacte pour m’inviter à prendre un verre avec lui et les deux autres filles avec qui je passerai la séance du lendemain. Je les rejoins en ville dans un bar d’hommes d’affaires. Mathieu est le même, charmeur, blagueur, mignon. Il me présente aux deux filles. La première, Nathalie, est une grande brune très belle, habillée de façon très ordinaire, dans un survêtement de sport ne laissant pas deviner grand-chose de ses formes. L’autre, Cynthia, est plutôt vulgaire par sa tenue, sa coiffure, et un faux bronzage un peu trop assumé. Mais elle est enjouée et anime la conversation. De nous trois elle est la seule qui connaît la chanson. Elle nous explique avec l’aide de Mathieu le déroulement auquel nous devons nous attendre moi et Nathalie. Les vêtements, les accessoires sont fournis. On nous donnera quelque chose pour s’amuser et Mathieu enregistrera le tout sur son appareil. Tout ça dans une maison luxueuse inoccupée dans un quartier en développement. La soirée se prolonge tard dans la nuit. J’aime bien ces deux filles. J’ai hâte au lendemain.


Mathieu passe me prendre dans la matinée. Nathalie dort sur la banquette arrière. Nous passons prendre une Cynthia survoltée puis débarquons à la maison. Le propriétaire nous attend devant son énorme garage. Un homme dans la cinquantaine, d’apparence respectable… Mais c’est un homme. Et déjà il nous matte. Particulièrement Cynthia qui, contrairement à moi et Nathalie qui sommes cernées jusqu’aux oreilles, est pimpante et maquillée comme une pro.


On nous montre une grande chambre où nos vêtements sont disposés… Il y en a très peu. Un petit ensemble pour chacune de nous. Mathieu nous explique son concept qu’il tenait jusqu’alors jalousement pour lui. Il est plutôt simple. Une partie de twister en petite tenue. Ça nous plait, même si c’est un peu débile. Il nous laisse nous préparer. Le proprio revient régulièrement s’assurer que rien ne manque à notre bonheur, surtout pas lui. Mathieu nous a laissé le choix des vêtements. De sérieux pourparlers sont entamés à savoir qui va porter quoi. Ma timidité dans le débat me vaut un ensemble plutôt simple en coton. Cynthia quant à elle reçoit un soutien-gorge blanc avec une culotte bleu pâle. C’est Nathalie qui décroche le plus joli : un petit ensemble gris foncé très peu discret. D’ailleurs je ne tarde pas à voir qu’elle est la plus belle.


Cynthia est déjà nue et prépare dans la bonne humeur une épilation de dernière minute. Nathalie retire une à une chaque pièce de ses vêtements amples, révélant à chaque fois une partie de son corps qui me force à la regarder. Elle ne remarque rien avec son air habituel, un peu boudeuse et fermée. Je me déshabille à mon tour, ressentant les premiers frissons d’excitation et de nervosité. Me voila aussi nue qu’elles et pendant un moment j’en ressens un certain trouble. Mais je sens que l’esprit est plutôt à la détente et à la légèreté. Je passe mon ensemble qui me va très bien après tout. Bientôt nous regagnons le salon où le grand tapis de Twister prend toute la place.


Mathieu a placé ses éclairages et il est prêt. Dans un coin de la pièce le proprio compte ne pas en manquer une. C’est lui qui va faire tourner la petite flèche et nous indiquer les gestes. Cynthia insiste pour commencer. Tour à tour nous nous disposons sur le tapis. Rapidement nous oublions le faible déclic de l’appareil. Bientôt le jeu atteint son but. Je suis dans une position plutôt inconfortable, difficile à tenir, et Cynthia est juste au-dessus de moi, une jambe de chaque côté, dans une position tout aussi incongrue. Nous rions beaucoup et il commence à faire chaud. Au dessus de moi je ne peux que regarder entre les cuisses de Cynthia, ou le slip laisse échapper un petit bout de lèvre. Elle me surprend et se contente de me sourire.


Puis c’est au tour de Nathalie de forcer un peu, alors qu’elle n’a comme appui fiable pour garder son équilibre que les jolies fesses de Cynthia. Cette dernière s’amuse comme une folle. Elle est vraiment dans son élément. La séance dure un bon moment, on recommence souvent le jeu. Mathieu nous sert du rouge ce qui contribue à la chaleur de nos corps. Puis à un moment précis, les choses prennent une tournure différente.


À ce moment Nathalie est pratiquement couchée sur moi, je sens ses seins appuyés sur mon ventre. La position n’est pas fortuite, Mathieu a commencé à nous diriger. Il intègre Cynthia au tableau, en la plaçant juste au-dessus de moi. Et c’est ce moment que l’appareil choisit pour avoir un pépin. Mathieu ordonne de garder la pose et jure que ça ne durera qu’un instant. Je meurs de chaud. Mon corps est couvert d’une fine couche de sueur. Celui de Nathalie aussi, sa poitrine est brûlante contre mon ventre. Cynthia nous déride un peu. Puis elle se met à m’agacer, disant que des trois j’ai toujours la meilleure vue et que ce n’est pas juste. Nathalie lève les yeux et m’irradie d’un sourire fabuleux. Puis elle embrasse tendrement la peau libre d’un de mes seins. Je suis en train d’oublier ce que nous étions en train de faire. Je suis littéralement enterrée sous deux filles, et tout ce que je vois est joli, sexy, attirant. Je sens leur parfum et le mien, mélangés à une subtile odeur de sueur. J’ai envie d’elles. Trop envie. Je suis mouillée, je ne m’en étais même pas rendu compte. Suis-je la seule ? L’attente se prolonge, Mathieu est sorti de la pièce en nous faisant promettre de garder la pose. Après une courte et déchirante hésitation je lève un peu la main et viens caresser les cheveux de Nathalie. Elle émet un faible soupire de contentement. Je regarde la chatte de Cynthia. Je me demande si elle aussi est mouillée… J’ai envie de la voir…


Je suis dans tous mes états. Je suis en train de perdre tout contrôle. Mes seins pointent à travers le tissu du soutien-gorge, je sens ma chatte se liquéfier et mouiller abondamment. Je ne peux réprimer un petit soupire qui me trahit. Nathalie lève les yeux, cette fois d’un air suspicieux. Elle ne met pas longtemps à comprendre, à voir mon visage tout rouge et mon regard fuyant, ce qui se passe en moi. Elle dépose encore quelques baisers sur mes seins, mais cette fois, bien cachée sous elle, une main vient glisser sur ma cuisse et se plaquer contre mon sexe. C’est la main de Nathalie, et cette fois pas de doute, elle sait que je meurs d’envie. Mon slip doit être tout chaud, tout humide sous ses doigts. Je pense à la première fois ou j’ai fait ça à Marianne, quand j’ai senti pour la toute première fois une vulve sous mes doigts, et l’excitation qu’elle trahissait. Et voilà qu’elle me masturbe délicieusement, ses doigts finalement sous mon slip, directement sur la peau glissante de mon petit bouton. Je ne peux pas cacher ces gémissements qu’elle m’arrache en me branlant ainsi. Mmh la chatte de Marianne… celle de Cynthia, a quelques centimètres au-dessus de moi. Cynthia qui n’a rien manqué, et nous regarde soudainement plus sérieuse. Je ne réfléchis pas, je lève la tête pour lui faire un baiser mais n’atteins que la cuisse, très haut, près du but. Elle fait glisser ses genoux, son sexe tant convoité descend lentement jusqu’à ma portée. Voila le bout de mon nez qui s’y écrase … Oui… elle aussi est excitée… l’odeur de son sexe est très forte. J’ai si envie de le dévorer, ce con lisse et odorant, que je tire la mince bande du slip sur le côté pour presser mes lèvres sur les siennes, moites d’envie. Toute sa vulve est dans ma bouche, je la suce comme un fruit mur et juteux, si vous me pardonnez le cliché. Nathalie a découvert mes seins et les lèche amoureusement. Je sens sa chatte toute chaude frotter contre ma cuisse.


Mathieu est revenu, cela me rappelle que nous avions complètement oublié notre hôte, qui lui se régale. Il recommence à prendre des photos, sans dire un mot. Cela m’est égal et n’a plus aucune importance à mes yeux. La suite des événements est assez floue. Ce n’est plus que sensations. Voyant mon appétit féroce, Mathieu fait placer les deux filles à quatre pattes, et prend des photos de moi en train de les lécher tour a tour par derrière. Mon nez appuyé sur leur petit trou, que je ne tarde pas à lécher au moins autant que leur chatte. La vulgarité toute pornographique des poses qu’il finit par oser nous demander m’excite et je m’y prête sans retenue.


Puis je suis couchée sur le dos. Les filles me tiennent les jambes bien ouvertes. Je pose ainsi devant Mathieu que je vois à peine. Bientôt leurs bouches viennent entre mes cuisses et se disputent les baisers de mon sexe. Parfois elles y arrivent simultanément, et quand Nathalie vient pincer un de mes mamelons, je gémis sans pudeur, de toutes mes forces, en bénissant son nom, et même ses parents.


Odeurs de chattes, de culs, odeur de sueur, mon nez au creux de l’aisselle de Nathalie, je gémis, et Cynthia qui me doigte, en reniflant sur mes doigts l’odeur laissée là par Nathalie. Nous nous frottons l’une contre l’autre comme en extase, collantes ici, glissantes là. Toute cette peau, cette douceur, ces rondeurs, tantôt mes seins contre les siens, puis contre ceux de l’autre. Ma langue lèche un mamelon, un ventre, une fesse, une chatte, encore un mamelon, plus gros, déjà couvert de la salive d’une autre. Je suce, je lèche, je mordille, j’expire, je tremble… Je me berce entre leur corps… Je jouis debout, sur la pointe des pieds, les jambes écartées, le visage entre les mains, celui de Cynthia entre les fesses, la bouche brûlante de Nathalie contre mon sexe…. Je jouis et plus rien n’existe, dans l’éclat des flashs.


Dans l’orgasme je tombe amoureuse. On se voit encore toutes les trois… Certaines font du sport ou parcourent les centres commerciaux… nous faisons l’amour et avons la ferme conviction que nous avons découvert le Sens de la Vie…


Nous vécûmes heureuses et n’eûmes point d’enfants.