n° 08120 | Fiche technique | 20264 caractères | 20264Temps de lecture estimé : 13 mn | 17/11/04 |
Résumé: Une femme laisse en plan un travail que sa jeune soeur saura terminer. | ||||
Critères: fh extracon alliance hotel voyage noculotte intermast fellation cunnilingu anulingus pénétratio | ||||
Auteur : Alex (Une nuit sur la route avec deux soeurs tellement différentes) Envoi mini-message |
Mes beaux-parents étant des « snowbirds » (gens qui migrent vers le sud pour y passer l’hiver) de longue date, mon ex-épouse, Johanne et moi avions l’habitude de les y rejoindre pour une semaine de repos, sous le soleil de la Floride, conduisant ainsi leur véhicule vers leur résidence d’hiver. Ce périple nous permettait de quitter le train-train quotidien et de s’éloigner de notre bel hiver québécois pour quelques jours.
Habituellement trois jours nous suffisaient à les y rejoindre mais en cette année du 70e anniversaire de ma belle-mère, nous devions mettre les bouchées doubles et les y retrouver pour le dîner d’anniversaire du surlendemain. Cela ne serait qu’une petite balade de plus de 2 600km en deux jours, un petit rien en soi, comme le disait si bien ma belle-mère, qui elle, se le faisait en avion. Faut-il comprendre que l’âge a ses avantages. N’en est-il que cette dernière n’avait pas fait la distance depuis les 20 dernières années et disons que sa mémoire, en terme de distance à conduire, n’était pas vraiment à jour.
J’étais alors marié avec une charmante et délicieuse femme au corps délicat, petite taille et petite poitrine dont les mamelons noirs pointaient longuement à travers l’étoffe de son pull lorsqu’ils étaient excités. Ma douce moitié ne conduisant pas alors je demandai à ma jeune belle-sœur, Mireille, seule depuis quelque temps, n’ayant pas réussi à faire entrer dans les rangs un amoureux trop volage à son goût, de nous accompagner, histoire de faire la conversation tout au long du trajet. Il faut ajouter que je me plaisais bien à la surnommer… Ma petite belle sœur…
Après s’être fait un peu prier, cette dernière accepta mais à la condition que nous prenions deux chambres pour la nuit en route. En farce, je lui dis de ne pas s’inquiéter, que j’étais satisfaisait des services de sa sœur et que je n’avais certainement pas l’intention de me partager entre les membres de la famille. Elle rougît un peu et baissa les yeux.
Partis de bon matin, nous roulions depuis près de 16 heures, se relayant de la même façon dont un distingue un cheval d’un poulet, soit : 4 heures de route pour moi et pas plus d’une trentaine de minutes pour elle. Un peu au sud de Charlotte NC, le sommeil se mit de la partie. Après seulement 30 minutes de mon quart de conduite, je ne tenais plus la route, Johanne et Mireille dormant profondément. J’ai alors décidé de prendre la prochaine sortie pour voir ce qu’on pouvait y trouver de convenable pour passer la nuit.
À l’arrêt du moteur sous le porche d’un premier motel, les deux sœurs sursautèrent et me demandèrent d’une même voie la raison de notre arrêt. Leur répondant qu’il se faisait tard et qu’une bonne nuit de sommeil nous assurerait de rejoindre notre destination en fin d’après-midi le lendemain.
Il me tardait de trouver un gîte pour la nuit. Toutes les deux approuvèrent de la tête. Mireille ajouta même, qu’il ne me fallait pas oublier de louer deux chambres car il n’était pas question qu’elle partage avec nous, soit disant un couple actif sexuellement, sa nuit de repos. Ne t’inquiète donc pas, nous sommes quand même dans un pays civiliser. Cet hôtel doit bien avoir deux chambres de libre. Johanne, mon épouse, me demanda donc de voir à ce que le vœu de sa sœurette soit comblé.
De retour à la voiture, je leurs fit part qu’il n’y ait qu’une chambre à deux lits de disponible. Mireille me dit qu’il n’était pas question d’y passer la nuit et qu’on trouverait bien autre chose un peu plus loin. Prenant mon mal en patience, notre trio repris la route à la recherche de l’endroit qui conviendrait à cette petite belle-sœur intransigeante.
Après 5 ou 6 arrêts du même genre, nous nous sommes retrouvés, une heure plus tard, toujours à la recherche d’un gîte pour passer la nuit. Déterminant que le prochain arrêt serait le dernier, je dis alors aux deux sœurs que s’il n’y avait qu’une chambre à deux lits, elles devraient en faire leur deuil et que de toute façon, après la route parcourue aujourd’hui, nous aurions tous tôt fait de nous endormir. Il ne fallait pas oublier que nous devions repartir aux premières lueurs du jour.
Revenu de l’accueil de ce millième motel visité, une clé à la main, mes deux compagnes de voyage jubilaient à la pensée de se mettre au lit sans tarder. Court a été leur enchantement car il m’a fallu leur dire, qu’en plus de n’y avoir qu’une chambre de disponible, elle ne comportait qu’un très grand lit. Les deux rouspétaient et pestaient contre ma décision de ne pas continuer les recherches plus longtemps.
Sans vraiment écouter leurs objections, je me suis emparé des sacs de voyage préparés pour cette nuit en route et me suis engouffré dans la chambre en question. Quelle fût ma surprise lorsque je suis entrée à l’intérieur. La chambre était très vaste. Il y trônait en son centre un immense lit rond rempli de coussins multicolores, une table et quelques chaises complétant l’ameublement.
La salle de bain y était détachée mais la douche dont un des murs était vitré donnait directement sur la chambre. Facile pour nous d’en conclure sur l’utilisation habituelle de ce palace. Maintenant faites à l’idée d’y trouver le sommeil rapidement, mes deux compagnes me dirent vouloir aller chercher des rafraîchissements et quelques croustilles à l’accueil. Ah ces belles dames, même à moitié endormies, elles trouvaient toujours le temps de grignoter quelques saletés qui, à moi, me faisaient prendre 10 kilos rien qu’à les regarder.
Ce court intermède réveilla en moi le goût de m’écraser littéralement sur le grand lit douillet, ce dernier ne demandant pas mieux que d’accueillir mon corps fourbu des longues heures de conduite de la journée.
Le temps de leur visite à la boutique située près de l’entrée de l’établissement, j’ai lancé sur une des chaises, les sacs à dos et, n’écoutant que mon courage, j’ai fait un double salto arrière avec triple vrille, me retrouvant, tout habillé, au beau milieu du lit, les bras en croix, ronflant à tous vents ma fatigue de la journée.
Trois régiments n’auraient pas su m’extirper de ce sommeil profond au point que les deux petites sœurs se résignèrent à me laisser ainsi dormir au centre de cet immense lit, sans même penser à me retirer les chaussures. Il est vrai que j’avais déjà près de 17 heures de route et un peu plus de 1600 km dans le corps.
Alors qu’il faisait encore nuit, les phares d’une voiture quittant la chambre voisine me tirèrent de mon sommeil. Voyant les deux petites sœurs, dormant sous les couvertures, une de chaque côté de moi, j’ai alors décidé de me déshabillé lentement, ne gardant que mon slip et de m’insérer sous les couvertures, sans faire le moindre bruit.
Quelques minutes plus tard, Johanne, probablement par habitude, vint se lover contre moi, retrouvant ainsi la chaleur habituelle de ses nuits. Ainsi au chaud, j’ai passé mon bras par-dessus son épaule et j’ai posé ma main sur son ventre comme à l’habitude. M’apercevant qu’elle ne portait qu’un t-shirt en guise de chemise de nuit et aucune culotte pour garder sa toison d’or au chaud, j’y ai alors glissé la main recouvrant ainsi la douce fourrure de son pubis de mes doigts amoureux. Sans quitter son sommeil, enfin je le crois, elle entrouvrît légèrement les cuisses me permettant ainsi de poser un doigt entre ses lèvres douces et humides. En un instant, son bouton d’amour était brûlant et pleinement gonflé de plaisir. Devait-elle se croire en plein rêve coquin? Profitant alors du moment, j’ai donc décidé de poursuivre ce rêve et d’en faire, pour elle, une douce réalité qui l’amènerait sûrement vers les plaisirs les plus doux
Le fait de masser ainsi doucement son clitoris provoqua sur mon bas ventre les picotements annonciateurs d’une érection magistrale. Dépassant de mon slip, mon pénis se trouvait dressé contre les fesses brûlantes de ma douce moitié, redoublant alors mon excitation.
Tout doucement, je lui ai écarté les cuisses, trouvant ainsi le moyen de m’introduire doucement en elle. En un lent va-et-vient, qu’elle semblait aussi bien apprécier que moi, je m’abreuvais de la tendresse de son intimité. Sans trop de mouvement brusque, j’étais en voie de perdre mon âme au plus profond de ma tendre épouse.
Tout à coup, j’ai senti une chaleur étrangère dans mon dos. Mireille, s’étant aperçu de ce qui se passait tout près d’elle s’était rapproché de moi. À ce que je pouvais en conclure par les mouvements perçus dans mon dos et son souffle court, elle avait déjà glissé la main vers son petit minou, histoire de partager, en solitaire, nos ébats amoureux.
Après plusieurs minutes de ce manège, sentant au creux de mon dos son souffle devenir de plus en plus rapide, j’étais au comble de l’excitation. D’un côté, elle gémissait doucement et de l’autre, je glissais tout doucement entre les lèvres en feu de ma tendre épouse qui me semblait sur le point d’éclater. C’est alors que j’ai senti une petite main se glisser, par l’arrière, entre cuisses et commencer doucement un massage en souplesse de mes couilles. Mireille s’était complètement collée à moi et je sentais les pointes de ses seins me gratter le dos. Sentant que mon tendre amour était en tain de jouir en silence, j’étais sur le point de la rejoindre et de lâcher en elle toute ma semence.
Mal m’en pris lorsque cette dernière, simula sortir de son sommeil, m’incrusta les ongles dans le bras et me somma d’arrêter mes activités amoureuses. Ma requête l’informant que j’étais sur le point de jouir et que d’une seconde à l’autre, tout serait terminé ne m’apporta pas plus de temps pour arriver au comble du plaisir. Elle se retourna de façon à ce que mon membre prêt à exploser quitte son fourreau et que je ne puisse plus atteindre son antre brûlant.
Je me devais donc de protester et de l’informer qu’il n’était pas gentil de me priver de plaisirs alors qu’elle, avait eu le temps de jouir. Ne sachant apparemment pas que sa jeune sœur était devenue actrice dans notre échange, Johanne me répondit que mes cochonneries réveilleraient sa sœur et que, de toute façon, je ne mourrais pas si j’attendais au soir pour prendre mon plaisir.
Sans que j’aie eu le temps d’ajouter une seule parole, elle se leva d’un bond et me dit qu’il était temps de se lever si on voulait être au rendez-vous pour le souper d’anniversaire de sa mère. Laissant alors glisser son t-shirt sur son corps, elle avait couru à la salle de bain, toute nue, disant qu’elle sautait dans la douce la première et que je devais être prêt à faire de même, dès qu’elle en aurait terminé elle-même. Cela signifiait, selon ses habitudes, entre trente et quarante minutes de bons soins, à mon avis superflu car je la considérais comme une femme d’une beauté toute naturelle. Il va s’en dire que je pensais la même chose de sa jeune sœur qui était tout aussi coquette, et ce même si elle s’était quelque peu renfermée après l’affront subit par son ex-mari qui l’avait quitté pour aller perdre son âme avec sa secrétaire.
Mireille tenant toujours au creux de sa main mes bourses, était demeurée immobile pendant notre dispute. Elle semblait maintenant intéressée à poursuivre où sa sœur avait laissé, recommençant à jouer avec mes testicules, qu’elle faisait aller dans sa main comme des boules chinoises. Voulant me laisser bercer par cette douce caresse, j’ai alors laissé retomber ma tête sur l’oreiller, fermant les yeux en espérant que je n’en serais pas, cette fois-ci, quitte pour une branlette en solitaire dès que je me retrouverais sous la douche.
Alors que je me laissais emporter si gentiment dans le monde du plaisir par cette petite main experte, Mireille me dit à l’oreille que sa sœur ne devait pas laisser son homme dans un si bel état. D’un même mouvement, elle souleva les couvertures et se retrouva agenouillée par-dessus moi prête à dévorer ce membre demeuré au garde-à-vous. Elle s’affairait déjà à lécher doucement le bout de ma queue, encore toute luisante du plaisir de sa sœur. Après quelques minutes de ce traitement, Mireille ajouta que s’était du gaspillage que de laisser un si beau morceau de viande. Pour sa part, elle se devait d’en profiter rapidement car le temps nous était compté. Elle s’est alors mise à me sucer de plus en plus voracement, succédant les entrées et sorties d’entre ses lèvres gonflées par le désir de sentir cette belle queue se répandre en elle. Par moment, elle m’avalait d’un trait et le suivant, elle me gobait tellement lentement qu’elle provoquait en moi une chaleur intense et un plaisir indescriptible. Voulant ne pas être le seul à profiter de la situation, j’ai alors glissé ma main entre ses cuisses, commençant ainsi à titiller son bouton de façon à lui faire partager mon. Après quelques minutes de ce manège, ouvrant les jambes, elle m’avait permit d’introduire en elle, un puis deux doigts. Les faisant aller dans tous les sens, je sentais sa chatte devenir rapidement toute bouillonnante sous mes caresses.
Plus je bougeais en elle plus elle me suçait avec énergie. Lorsqu’elle me sentit sur le point d’exploser, elle me retira prestement de sa bouche. Elle fixa du regard ma queue prête à lui éjaculer mon bonheur en pleine figure. Se tournant vers moi avec un regard de passion que je ne lui connaissais pas, elle dit qu’après tout, sa sœur n’avait qu’à mieux s’occuper de son butin et qu’elle serait folle de ne pas prendre avantage de la situation actuelle.
Avant même avoir terminé cette phrase, elle s’était retrouvé et accroupit au-dessus de mon visage, les cuisses bien écartées, présentant ainsi à portée de ma bouche son tendre petit minou aux lèvres toutes roses. Ce dernier ne demandant pas mieux que de se faire dévorer par le grand méchant loup. Sans même avoir eu le temps de prendre un bon souffle, elle me plaqua sa chatte toute juteuse contre la bouche, m’ordonnant presque de la lui brouter avec passion. Léchant, titillant et pénétrant ses chaires tendres, je pouvais boire les effluves sucrés de ce sexe dont toutes et chacune des parties étaient gonflé de plaisirs. Qui aurait pensé que le sexe de ma petite belle sœur avait un goût de miel, sécrétant abondamment cette liqueur aigre-douce à souhait. Ainsi assise sur mon visage, elle avait passé une main vers l’arrière afin de s’assurer que ma queue resterait bien dure, me branlant lentement, histoire de la garder en état de se l’enfourner jusqu’au plus profond de son corps dans les prochaines minutes.
Après avoir jouie en silence et m’avoir fait boire une abondante éjaculation, elle se redressa et d’un bond se retrouva un mètre plus bas, soulevée au-dessus de cette queue avec la ferme intention de se l’approprier pour les minutes à venir. D’un trait, elle se l’engouffra au fond du corps et laissa échappé un long soupir de bonheur. Les yeux fermés elle me confia alors que cela faisait déjà trop longtemps qu’elle n’avait pas senti un homme en elle et qu’elle en avait peine à se souvenir comment c’était bon que de se sentir ainsi empaler sur un membre long et dur. Me demandant de lui laisser prendre les choses en main, prétextant qu’elle voulait profiter de l’occasion pour goûter pleinement chaque seconde de ce doux plaisir.
S’assurant que l’eau de la douche coulait encore, elle entreprît un lent et tendre va-et-vient sur ce pieu enfoncé en elle, s’arrêtant à tout moment afin de sentir chaque frottement de ce membre prêt à exploser en elle. Je me retenais de toutes mes forces afin de lui donner tout le temps nécessaire à prolonger son plaisir.
Doucement, elle laissa glisser son bassin vers l’arrière, penchant le reste de son corps vers l’avant afin que ma tige, à chaque allée et venu se frotte contre son clitoris devenu énorme sous les caresses. Elle faisait un lent va-et-vient de l’avant à l’arrière, dégustant les entrées et sorties de mon gland frottant sur ses lèvres.
Tout à coup, sentant l’explosion approcher, elle ferma les yeux et accéléra ses mouvements, me faisant entrer et sortir d’elle de plus en plus rapidement. Je lui ai alors massé les seins, jouant doucement avec ses mamelons tendus tout en harmonisant mes mouvements de hanches au sien. Entrant alors dans un état second, elle se mit alors à hurler doucement, jouissant de toutes les parties de son corps. La bouche grande ouverte, elle vivait un orgasme qui ne semblait pas vouloir se terminer. Lorsqu’elle éjacula son plaisir, je sentis couler de sa chatte la même liqueur brûlante qu’il m’avait été donné de boire quelques instants auparavant. Ne pouvant plus résister au plaisir, je me suis laissé aller en lui envoyant plusieurs jets de tout le liquide que j’avais en moi. Cette sensation de recevoir en elle mon plaisir brûlant sembla l’entraîner dans un deuxième orgasme successif.
Suite à cette fin des plus réjouissante, elle se laissa lentement fondre et glissa sur moi. Nos lèvres se rencontrèrent et ce baiser fût comme un remerciement réciproque du plaisir reçu de part et d’autre.
Revenant à la vie nous nous sommes aperçus que la douche ne coulait plus et que nous étions mieux de remettre un peu d’ordre dans nos esprits. La porte de la salle de bain s’ouvrit alors et ma charmante petite belle-sœur, bousculant presque sa sœur aînée, s’engouffra dans la salle de bain.
Même si j’avais le drap remonté jusqu’au cou, on pouvait quand même voir la forme de mon sexe encore bien dressé. Ma douce moitié s’en aperçue et me regarda d’un œil inquisiteur. Elle s’approcha, souleva le drap un sourire au coin des lèvres, elle entreprît de soulager ce qu’elle croyait être un désir profond, toujours refoulé au fonds de mes couilles et aussi se faire un peu pardonner de m’avoir laissé dans cet état.
Malheureusement pour moi et pour elle, sa chère petite sœur ne prit que 5 minutes à se doucher, ne laissant pas suffisamment de temps à ma douce moitié pour atteindre son but et boire mon plaisir. Mireille avait déjà ouvert la porte avant que sa sœur ne s’aperçoive qu’elle se tenait debout à côté de nous, observant sa grande sœur s’affairer sur la bite de son homme. Ouvrant les yeux j’ai alors vu, sourire aux lèvres, ma maîtresse de l’instant passé, ayant été témoin de cette scène, s’en retourner, chantant joyeusement.
Quelques minutes plus tard, ma toilette faite, nous avons repris la route. Regardant dans le rétroviseur, j’avais à ma vue, une petite femme souriante et heureuse d’avoir pu goûter au plaisir de la chaire.
La semaine en Floride se passa dans les règles, sans éclats ni nuages. Lorsque est venu le jour du notre retour, ma chère belle-maman, feignant une faiblesse dans le but de garder avec elle ses deux chéries, eu la joie de voir mon épouse, s’offrir pour prolonger son séjour et ainsi prendre soin d’elle, encore un peu. Par contre, ma petite belle-sœur Mireille, devant subvenir à ses besoins ne pouvait manquer le travail plus longtemps. Nous avons donc, tous les deux, pris l’avion en direction de notre cher beau pays qu’est l’hiver. Je laisse à votre imagination les événements meublant les sept jours et surtout les sept nuits suivantes.