n° 08123 | Fiche technique | 13866 caractères | 13866Temps de lecture estimé : 9 mn | 17/11/04 |
Résumé: J'avoue qu'au bout de quelques semaines, je l'ai inscrit à la liste de mes phantasmes masturbatoires. Je l'imaginais nu, cambré sur le canapé du salon et moi derrière en train de l'enculer en douceur et en profondeur. | ||||
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Auteur : CoolOthello Envoi mini-message |
Je le connaissais de vue pour l’avoir remarqué à l’arrêt de bus. Au bout de quelques mois, nous nous saluions d’un signe de tête discret et curieusement chaque matin j’espérait le voir. Les livres qu’il portait indiquait qu’il était étudiant en Sciences Eco, certainement en DEUG vu l’âge qu’il devait avoir. Entre dix-huit et vingt ans, le visage encore poupin, la peau très douce, les joues couverte d’un duvet blond, silhouette juvénile et athlétique. Nous habitions le même pâté de maison.
J’avoue qu’au bout de quelques semaines, je l’ai inscrit à la liste de mes phantasmes masturbatoires. Je l’imaginais nu, cambré sur le canapé du salon et moi derrière en train de l’enculer en douceur et en profondeur. Ou moi assis comme un pacha et lui à genou devant moi en train de me pomper le dard docilement. Je m’éclaboussait de foutre en me fourrant un majeur humide dans le fion, perdu dans ma rêverie lubrique. Et puis je m’endormais en me disant que demain serait un autre jour, peut-être moins pire que celui que j’avais terminé.
Un de mes amis m’avait conseillé le jogging pour sortir de ma déprime. Aux premiers beaux jours, j’ai profité des promotions dans un grand magasin d’articles de sport pour m’équiper de la tête au pied. Les runnings m’allaient bien, et au bout d’un mois j’ai retrouvé mon souffle. À la fin de mon parcours du dimanche matin, les endorphines qui couraient dans mes artères m’emplissaient d’une douce euphorie me faisant flotter au-dessus du trottoir. Ma bonne humeur durait jusqu’à la fin de l’après-midi. Le jour tombant me rappelait que le lendemain serait le lundi et que je retrouverais ce boulot qui ne m’intéressait plus du tout et tous ces collègues dont je n’avais rien à foutre, et qui me le rendaient bien, léger harcèlement moral en prime. Depuis plusieurs mois, on ne me confiait aucune mission, personne de me demandait de participer à un projet ou un autre. La blague courait dans les couloirs : "Tout le monde et charrette sauf Frédéric. Parce que Frédéric est dans la prochaine charrette !" J’ai répondu à un petit malin que manifestement on me payait "beaucoup trop pour ce que je faisais, mais pas assez pour ce que je m’emmerdais dans cette boîte". Le bon mot avait fait son chemin dans la hiérarchie, j’étais grillé. Evidemment ils ne voulaient pas me licencier, cela aurait été trop coûteux. Ils attendaient simplement que je décroche, ou que je fasse une faute grave. Moi je continuais à prendre mon bus tous les matins en espérant le voir, et puis à courir le dimanche matin, quelle que soit la météo, histoire de m’imposer un peu de discipline.
Ce dimanche là, en sortant de mon immeuble, je l’ai trouvé assis sur le banc le plus proche. Il m’attendait. Sans un mot il m’a emboîté le pas en courant. Je l’ai regardé en souriant, et lui aussi m’a souri. Du coup j’ai eu envie de l’embrasser là, en pleine rue.
Il courait bien. Pas vraiment essoufflé alors que j’atteignais mes propres limites. Ses jambes musclées que couvraient des poils blonds clairs étaient certainement le fruit d’un entraînement consciencieux. "Tu cours souvent ?" lui ai-je demandé alors que nous marchions pour revenir à notre point de départ. "Je fais du foot le samedi après-midi" m’a-t-il répondu. "Tu as joué hier ? Tu tiens vraiment la forme !". "Non, je n’ai pas joué hier, je me réservais pour aujourd’hui !". "Ah ! tu joues cet après-midi ?"
Nous étions arrivé devant mon immeuble. "Ca dépend de toi si on joue cet après-midi". Comme un con, je n’ai pas compris tout de suite. Il avait rougi brusquement en entrant dans le hall de l’immeuble derrière moi, regardant ses pieds. Il ressemblait souvent à un petit garçon qui va faire une bêtise. Quand j’ai compris, j’ai commencer à bander comme un salaud. Je lui ai dit "Troisième étage" et il a répondu "Je sais, j’habite en face". Je me suis dit qu’on ne s’était pas rencontrés par hasard, et puis aussi que j’aurais peut-être du tenter quelque chose, depuis plus d’un an qu’on se matait comme ça le matin.
Une fois entrés dans mon appartement, j’ai été tirer les rideaux. Quand je me suis retourné, il était debout, face à moi, complètement nu. La beauté de son corps m’a frappé en plein visage comme une vague de chaleur. J’ai arraché mes runnings, enlevé mon tee-shirt et mon short que marquant une tache de liquide séminal. "Viens dans ma chambre" lui ai-je dit. Il m’a suivi sans un mot. Il est monté sur le lit et a enfoui son visage dans les oreillers, me tendant son cul en cambrant le dos, comme un appel muet. Je me suis agenouillé au bord du lit et j’ai commencé à lécher.
La raie de son cul était salée par la sueur de notre jogging et délivrait à mes papilles la saveur de son fion rose et plissé, imberbe. J’ai gobé ses burnes qui pendaient entre ses cuisses, puis j’ai léché sa belle bite en la ramenant vers l’arrière. Dans l’oreiller, il gémissait doucement, avançant son cul dans ma direction.
Ma bite était sur le point d’éclater et je soulageais cette délicieuse douleur en me branlant tout doucement, de peur de jouir tout de suite. Je ne savais plus sur quel planète j’étais.
Je suis remonté à son petit œillet rose que j’ai léché doucement, pour y déposer de la salive. Je l’ai violé du pouce, les deux phalanges d’un coup. Il a crié dans l’oreiller d’une voix rauque, à bout de souffle. Son cul serré sur mon doigt était brûlant et doux. Au rythme de mes coups de langue sur sa bite, il a serré son anus sur mon doigt, tout en gémissant en cadence.
Il a levé la tête pour me dire dans un souffle : "Arrête, tu vas me faire jouir !" J’ai allongé la main jusqu’au tiroir de la table de nuit. il me restait une dernière boîte de capotes que j’avais entamée, et pas finie, des mois auparavant. J’en ai pris une, ainsi qu’un flacon de gel que je lui ai tendu. Pendant que je déchirais l’enveloppe de la capote et que je me la déroulais sur la bite, je le regardais se doigter le cul avec méticulosité. Deux doigts, trois doigts, en me glissant un regard en coin qui en disait long sur son caractère.
"Je me sens salope aujourd’hui" a-t-il murmuré avant de se mordre la lèvre inférieure. "Viens me fourrer comme un salaud !" Je lui donné une petite claque sur la fesse pour lui faire comprendre que je prenais les opérations en main, et que son langage ordurier m’excitait aurait que je le réprouvais.
Je l’ai pris par les hanches et j’ai posé mon gland dans la raie de son cul. Je l’ai fait glisser jusqu’au creux de son anus et j’ai appuyé doucement. il a dit "Ah !" quand le gland est passé d’un coup. Il s’est cambré et a reculé doucement, jusqu’à ce que son dos soit contre ma poitrine. Les muscles de ses cuisses étaient bandés et jouaient sous sa peau que je caressais. Il respirait à petite goulées, comme pour faire passer la douleur, mais il s’empalait résolument sur mon pieu.
Bouleversifiant ! Les sensations qui remontaient de ma bite dans ma colonne vertébrales me faisaient perdre la tête. La chaleur, l’étroitesse et le jeu de ses muscles intimes qui m’étranglaient la base de la bite. J’avais presque oublié que c’était aussi bon de baiser ! Je l’ai pris par les cheveux, doucement, pour lui faire tourner la tête et l’embrasser. La sueur sur sa lèvre supérieur donnait à notre baiser une saveur salée que j’ai retrouvée dans le creux de son épaule et sous ses bras. Fiché dans son cul, je l’ai léché et caressé, presque sans aller et venir en lui. Il se tordait de volupté sous moi, me donnait des coups de cul en me regardant du coin de l’œil. Il m’a dit "Oui, prends-moi, je suis ta pute !" Alors j’ai pris ses hanches et j’ai commencer à le baiser à fond en grondant à chaque coup de rein. Il est parti dans son délire en disant des choses comme "Oui, je suis salooooope ! Je suis ta salope ! Bourre-moi le cuuuul !" J’avais le regard fixé sur son anus imberbe, distendu par mon chibre qui allait et venait de plus en plus vite. J’ai craché dans sa raie pour lubrifier le tout parce que j’avais peur de lui faire mal, et lui donnait des coups de reins pour s’empaler encore sur mon chibre. Ça n’a pas duré, j’ai giclé comme jamais je n’avais giclé de ma vie, dans un cri, presque un sanglot. Chaque giclée de sperme me traversait comme une décharge électrique brûlante. Lui s’est recroquevillé en criant du fond de ses tripes, pris de tremblement, son anus crispé sur ma bite. Ses cuisses et les miennes se sont maculées du sperme qu’il éjaculait sans même se toucher. Il n’était plus qu’un pantin cassé par le plaisir, frémissant de volupté, qui avait enfin abandonné toute sa morgue BCBG. J’ai donné encore quelques coups de reins pour le faire gémir encore, avant que sa main sur ma hanche m’empêche de lui faire trop mal. Je ne suis effondré sur son dos, complètement vidé et euphorique.
Quand nous nous sommes réveillés, quelques minutes après, reprenant sa composition, il m’a caressé la joue avant de m’embrasser légèrement. "Tu m’as baisé comme un dieu. Si j’avais su, je n’aurais pas autant attendu". "Ah ? Tu savais que ?". "Que tu baisais avec des mecs ? Je n’étais pas sûr, mais je me suis dit qu’il me fallait bien tenter ma chance avant de…" "Avant de ?" "De partir. Je vais poursuivre mes études en Angleterre à partir du mois prochain".
Nous avons pris un petit déjeuner copieux, et il est resté une bonne partie de l’après-midi. Bien sût il m’a sucé à fond, à genoux entre mes jambes, me prenant jusqu’au fond de sa gorge, son majeur poussé à fond dans mon cul et titillant ma prostate. Pour finir j’ai giclé sur sa gueule d’ange et sa poitrine imberbe. Et puis je lui ai re-bouffé le cul, en faisant bien entrer ma langue, jusqu’à le faire jouir comme ça, sans autre stimulation. Je l’ai sodomisé à nouveau, debout devant le miroir, observant toutes les saisons du plaisir sur son visage. Pour finir, je l’ai terminé en levrette sur le parquet, au milieu du salon, le défonçant consciencieusement, presque avec de la rage, alors qu’il murmurait de sa voix égale, en pratiquant son anglais porno "Yeah man ! Take my ass, plow it ! Fuck my ass, I am your bitch !". Moi je lui donnais des claques sur les fesses pour le faire taire, parce que j’avais envie de pleurer parce qu’il partait le lendemain. L’orgasme a pris du temps à venir, il a rampé dans mes reins subrepticement et s’est imposé avec l’évidence du plaisir qui prenait possession de mon souffle. Je respirais à fond, le sang me battait aux tempes et l’arrivée du plaisir me nouait les tripes. Lui restait stoïque, silencieux, ses omoplates saillant sous sa peau si douce, salée par la sueur. Mes cuisses claquaient sur les siennes dans un rythme inéluctable que j’accélérais ou ralentissais pour le faire gémir, pour lui faire dire quelque chose. Il restait muet. J’ai avancé la main sous son ventre et j’ai trouvé son sexe flasque. Je l’ai tiré par les cheveux et je me suis rendu compte qu’il pleurait. "Go on" m’a-t-il dit, "Fuck me again. It’s all I have to give you. I want to fuck your blues away". J’ai continué par vengeance. Chaque coup de rein signifiait que je ne lui devais rien, qu’il n’était qu’une jeune salope bourgeoise se faisant enculer par un mec de rencontre, comme ça, sans conséquences, juste parce qu’il partait très loin le lendemain. Et puis au fur et à mesure, le plaisir a disparu, j’avais l’impression que ma bite était un morceau de bois je la lui fourrais dans les tripes sans même savoir pourquoi.
Je me suis arraché de lui d’un coup, le faisant japper de douleur. Je me suis levé et je suis allé me doucher, longuement. Quand j’ai fini, je suis revenu dans le salon et j’ai allumé la télé pour voir la fin de "TOP GUN". Evidemment il était parti.
Tom Cruise, avec son grand pif en ombre chinoise, embrassait Kelly McGILLIS sur fond bleu. "Take my breath away" disait la chanson. Bordel de merde, à la fin du film tout le monde s’imagine qu’ils vont rester ensemble, mais Hollywood nous berne ! Une bonne grosse pelle, un peu de musique jazzy et tout le monde croit que la vie est belle ! Foutaises !
Un coup de blues comme ça aurait été un bon prétexte pour que je me saoule, mais il ne me restait rien de bien buvable. Je n’avais pas envie de descendre à l’arabe du coin pour acheter une bouteille d’alcool à bon marché parce qu’un minet avait cru que tout que qu’il avait à m’offrir pour me sortir de ma déprime était son cul en location à courte durée. Non, je n’étais pas descendu aussi bas, il me restait un peu de dignité.
"I don’t need someone to fuck my blues away !" me suis-je dit. "It is my life ! I will take care of it". Fuck you man ! moi aussi je parle Anglais !
Ce soir-là j’ai pris la ferme résolution de prendre au plus vite une semaine de congés pour rafraîchir mon CV et chercher un autre job. J’en avais marre de cette déprime et de ces gens qui s’invitaient dans ma vie parce qu’il croyais que je n’en étais pas faire la fine bouche. Ce soir-là, sous la douche, en lavant les dernières traces de merde que ce minet avait laissées dans mes poils pubiens, j’ai décidé de reprendre ma vie en main.