n° 08126 | Fiche technique | 17083 caractères | 17083 3055 Temps de lecture estimé : 13 mn |
17/11/04 |
Résumé: Une femme séduit un homme via des récits et des odeurs | ||||
Critères: fh extracon copains voir exhib lingerie odeurs fmast hmast massage intermast fellation cunnilingu pénétratio hdanus uro | ||||
Auteur : Xav (Fou du plaisir féminin) |
Ici je serais Xav, ma Femme Nicole et notre amie Nadège, ceci dit, tout le reste est scrupuleusement authentique.
Nous vivons tous dans les Alpes et avons tous des enfants, nous avons tous les trois entre 30 et 40 ans.
Ce week-end une fois de plus, avec enfants, bagages et barda, nous descendons de nos montagnes, vers le Piémont et la ville.
Ce week-end encore, nous allons chez cette « vieille » copine de Nicole, Nadège.
Je suis de taille moyenne, très carré, type talonneur au rugby, en muscle.
Nicole est une femme magnifique, la mère de mes enfants, la femme que j’aime, mais depuis la naissance de notre troisième enfant, notre sexualité est rentrée en hibernation.
Nadège est moins belle, avec des petits seins, mais toujours souriante et avec quelque chose de très sensuel qui se dégage d’elle, des cheveux auburn, elle a deux enfants et s’est séparé de son compagnon depuis deux ans au moment des faits.
Nadège est aussi ma meilleure amie, nous faisons de la montagne et de la rando tous ensemble, nous avons partagé ensemble des bivouacs à trois dans la même couverture, des bains dans les rivières, notre nudité à tous, sans jamais la moindre équivoque, jusqu’à ce jour.
Ce soir, nous avons encore faire mitonner quelque petits plats sympas, nous avons vidés deux excellentes bouteilles de Croze Hermitage entre le repas et la veillée, nous refaisons le monde et vers 1 h du matin, Nicole va se coucher.
Je suis dans le canapé avec Nadège, elle a fait un footing dans l’après midi, plus le vin de la soirée, elle ressent une courbature.
Comme je l’ai si souvent fait, je me prépare à la masser, elle retire son pull et son jean et au lieu de ses sempiternelles culottes de sportive type "odlo", elle porte une culotte arachnéenne, quasi transparente avec des motifs brodés.
Je l’ai vu nue souvent, avec ses fesses fermes et son pubis à la jolie pilosité, mais là, avec cette lingerie, j’ai une érection fulgurante.
Elle s’allonge et je lui masse la zone lombaire et les ischio-jambiers (muscle à l’arrière de la cuisse) avec moins de détachement que d’habitude, je ne soulève pas mes mains pour passer d’une zone à l’autre et tout naturellement, elle ôte son voile de soie, se rallonge sur le ventre et j’ai une vue imprenable sur son sexe qui s’ouvre . Je suis en train de me rendre compte que la copine de vieille date est aussi une femme et qu’elle essaye de m’allumer ! .
Ca marche très bien, je bande à en avoir mal et ma position assise contre elle sur le canapé, fait qu’elle sent très bien mon érection contre sa jambe.
Le massage se termine, elle remet son jean sans la culotte et son pull.
Nous buvons un dernier verre, il est 3 heures du matin, en bavardant comme si de rien n’était, mais il y a une lumière dans ses yeux et une tension dans mon pantalon qui tendent tous deux à prouver le contraire.
Elle ramasse négligemment sa culotte, et me déclare :
Je suis interloqué, j’ai toujours fantasmé sur ce genre de situation mais elle fait cela de manière si naturelle, puis je ne vois pas grand chose, que je me mets a rire.
Elle retourne à la salle de bain, se douche en vitesse et me laisse la place.
Une bise au passage, une douche pour moi aussi, puis je vois la fameuse culotte posée sur le rebord du bidet, je la prends, la hume, elle est poisseuse et il s’en dégage une odeur terrible, je la respire longuement, puis je me masturbe langoureusement et éjacule dans sa culotte que je remets au même endroit.
Je monte me coucher et rejoint Nicole et nos enfants.
Au petit matin les cris et rires des enfants me réveille, Nicole est debout, Nadège est déjà en bas, c’est mon tour pour la douche du plus petit.
Au passage, Nadège me dit d’un air espiègle, tu peux y aller, j’ai fait le ménage, je crois saisir l’allusion, ne dit rien et file laver ma progéniture.
Le reste de la journée se passe comme prévu, VTT avec nos 3 enfants, Nicole, Nadège et ses deux filles. Je fais le serre file, le dernier dans la remorque VTT, Nicole fait la course devant avec tous les enfants et Nadège pédale tranquillement 100 m devant moi, quand elle s’arrête, baisse son cycliste et pisse tranquillement au milieu du chemin, se rajustant quand je suis à quelque mètres.
Nous filons dans sa vieille maison, un bon chocolat pour tout le monde et c’est le chargement et le retour vers la station de ski où nous habitons depuis maintenant 15 ans.
Nicole conduit, les enfants dorment, nous bavardons tranquillement quand je lui demande si elle se souvient de sa rencontre avec Nadège.
Et je dois reconnaître que, en dehors de quelques « coucheries » rares et quelques sorties débridées en discothèque avec ses copines, Nicole a toujours été « sage » et travailleuse.
Ce qui est parfait pour gérer la petite affaire que nous avons en station.
Quant à moi, malgré travail et enfant, je me réserve des plages "apéro entre copains" entre deux sorties en montagne, rien de plus, rien de moins et jamais de tromperie…
Nous sommes resté trois WE, fait rare, sans revoir Nadège, elle ne « monta »pas, nous ne « descendîmes »pas, une mauvaise météo, des travaux d’entretien au snack et au magasin avant la saison d’été, une angine pour l’aînée, puis vint ce fameux week-end.
Nous devions laisser les enfants à leurs grands parents et partir faire une course en montagne sympa dans le Vercors, Nicole et moi, Nadège un autre couple et un vieux copain, célibataire endurci, misogyne, puceau peut-être même encore à 35 ans mais très bon grimpeur et plein d’humour.
Au programme, une belle rando, une voie de 600 m, un bivouac dans un coin de rêve et deux autres jours de rando, l’idéal pour se refaire une santé avant d’affronter la saison estivale.
J’entasse duvets, cordes, nourriture, sacs etc dans le coffre, nous avons rendez vous ce vendredi soi dans un village au sud du Vercors, quand j’entends un cri, Nicole vient de se fouler une cheville, elle est out pour le week-end, je lui propose sincèrement de rester moi aussi.
Les kilomètres se déroulent, je passe chez Nadège, qui n’est pas surprise, Nicole l’a prévenue. Du coup elle monte en voiture avec moi, il nous reste 150 km à faire , elle s’installe, je mets un Cd de ce bon vieux Bob (Marley) et nous papotons tranquillement, pendant une heure quand :
Sitôt dit sitôt fait, Nadège descend, et face à moi, baisse jean et culotte et urine tranquillement, je la regarde, elle me regarde, elle me sourit, j’ai une vue imprenable sur ses lèvres, son petit jet, sa toison fournie, je descends aussi, et fais de même devant la voiture. Je continue, entre deux vrombissements de voiture, à entendre sa petite rivière (elle m’avouera plus tard avoir bu beaucoup d’eau, s’être retenu et savoir de Nicole, méfiez vous des copines elle se racontent beaucoup de choses, que je fantasmais sur le fait de voir une femme faire pipi).
Nous remontons en voiture, papotons :
Elle descend, retire son jean et remonte dans la voiture, en culotte, la culotte de la soirée dans laquelle je me suis masturbé (elle m’avouera plus tard aussi que sachant Nicole absente et désirant jouer avec moi elle avait prévu diverses choses).
J’ai un 4x4, un vrai, pas pour monter sur les trottoirs et elle ne risque pas d’ameuter la population dans cette tenue ni de se faire remarquer par d’éventuels flics en bord de route.
Nous nous mettons tout à coup à parler de son célibat, elle me raconte ses nuits seule, l’envie d’avoir un câlin, etc etc
Nous en restions là , arrivant au rendez-vous où Philou, égal à lui même, le cheveux hirsute, la barbe de 5 jours, nous faisait de grand signe, une bouteille de blanc de Savoie à la main.
Eric et Laurence arrivèrent de concert, embrassades, tapes dans le dos, puis tous dans mon 4x4, les sacs sur le toit pour encore une heure de chemin de débardage, qui nous faisait gagner 500 m de dénivelé et atteindre presque le pied de la voie.
C’etait une belle soirée de juin, rapidement les duvets sont étalés, les "bleuets chauffent", le blanc nous chauffe les sens, nous mangeons, je passe un coup de téléphone à Nicole pour prendre de ses nouvelles "C’est bien une belle entorse", et tous nous endormons bercés par les grillons.
Réveil à 4 heures, un peu de polenta, du café, une heure de marche et là voilà, le plan est simple, nous grimperons en tête à tour de rôle Philou et moi, il y a de gros relais à faire pour le hissage des sacs et une fois en haut c’est le plateau ( on pouvait monter par le sentier), et on fera deux jours de rando……
La grimpette rocheuse n’étant pas la grimpette préférés des lecteurs de Revebebe, venons en aux faits sex…
Vers 15 heures nous sommes sortis de la voie, trempés de sueur, pas beaucoup d’eau dans les gourdes. Comme c’est le début de saison, il y a de l’eau vers les bergeries et là nous pourrons faire un truc scandaleux mais tellement en temps normal sur ce plateau aride, prendre un peu d’eau pour se laver.
Tous nu, le berger aurait aimé être là pour Laurence et Nadège, sauf Philou qui s’en fou des odeurs, nous nous aspergeons d’eau bien fraîche, il est temps de marcher encore un peu pour trouver un coin isolé pour le bivouac, car il ne faut pas gêner les troupeaux et le bivouac est tout juste toléré par le Parc.
… La soirée passe et un peu avant 22 h tout le monde dort, sauf Nadège et moi. Mon portable ne passe plus, nous sommes seuls au monde, si ce n’étaient quelques ronflements.
Il y a un abri sous roche à 50 m, nous ramassons une pignée de bois et prenant matelas et duvet, nous nous y installons, avec un mini feu.
Je me plais à rêver aux âges farouches où j’aurais traîné Nadège par les cheveux dans ma grotte !!!
Excité par la situation, le lieu, la nuit, je commence à me lâcher
Je la regarde, je bande énormément, elle a glissé une main dans son pantalon, je crois rêver, elle est en train de se masturber, les yeux mi clos :
Elle dit cela avec gourmandise, je jette un coup d’œil au loin, rien, je retire mon pantalon, sort ma bite et commence un long va-et-vient
Je me rapproche d’elle, croise une jambe avec les siennes et reprend ma masturbation en la regardant, elle a baissé son pantalon, je vois son abricot gonflé, le corail de son sexe, je jette deux branches dans le feu, me rapproche encore, roule les duvets dans notre dos et parle :
Elle frotte énergiquement son clitoris maintenant, son autre main est presque enfoui dans son sexe-
Elle a ressorti sa main, elle est luisante, elle caresse ma bouche avec, puis met ses doigts gluants dans ma bouche, un nectar, du miel, un vrai bonheur je les lèche avec avidité
Elle me regarde, du feu dans ses yeux, elle recommence, me redonne ses doigts à sucer, je me branle comme un fou, nous ne touchons plus terre, c’est de la folie et du plaisir.
Je m’allonge entre ses cuisses, je la bois, je la lèche, la fouille, je mets mes doigts dans sa chatte, dans son anus, elle se soulève, elle s’ouvre, elle va jouir, elle se relève un peu
Elle s’assied sur mon visage son anus sur mon nez, son sexe sur ma bouche, Xavvv….elle jouit, je redouble de léchage, de caresses, je lui aspire et lui mordille le clitoris, elle jouit encore puis se soulève un peu :
Je craque, chavire, essaie de la prévenir, elle s’accroche à ma bite comme à une bouée, je jouis dans sa bouche, elle avale tout puis viens m’embrasser, nous mélangeons nos jus, nos odeurs.
Alors, follement, sans préservatif, je la relève, l’accroche à mes reins et la prends sauvagement, je viens en elle à nouveau et je sens sa jouissance, elle m’aspire avec ses muscles intimes, me vide, c’est la première fois de ma vie que je peux faire ça deux fois de suite sans débander entre, elle me rend fou de désir.
Je m’allonge, elle reviens vers moi, se masturbe, puis prend ma verge molle dans sa bouche, souffle dedans, la lèche, l’embrasse, me redonne son sexe à lécher.
Nadège est insatiable, infatigable
Elle est hystérique, folle de désir, mais ça me plait, miracle je rebande, elle m’allonge par terre, me tourne le dos et viens s’empaler sur mon sexe, puis elle le ressort, se masturbe avec pendant que je pénètre son anus avec mes doigts, elle se soulève puis vient à nouveau se poser sur moi, pousse, gémit et mon sexe disparaît dans son petit trou.
Elle ne bouge plus, instant de plénitude, puis sans bouger, me « trait » avec son cul, je ne connaissais pas, c’est dingue, elle commence à bouger, à danser, à sauter presque, elle se laisse tomber sur mon ventre, elle hurle jouit, j’ai peur qu’elle ne réveille nos voisins qui ne sont pas à plus de 200 m, je hurle à mon tour et, extenué, m’écroule en éjaculant, elle reste avec mon sexe se ramollissant fiché en elle, nous nous tournons sur le coté.
Je la caresse doucement, l’embrasse doucement dans le cou, sur les cheveux, les épaules.
Nous devenons un océan de douceur, nous passons la nuit comme cela, à nous embrasser, nous caresser, lécher, sucer, masturber.
Nous avons continué comme cela pendant 6 mois, elle m’a fait découvrir des truc inouïs, jusqu’au jour où je l’ai trouvée… dans les bras de Nicole (dans la suite de mon histoire,)
Aujourd’hui (C’était en 1997), elle vit en Bretagne, avec une fille.
Nicole vit avec un de mes meilleurs amis, nous nous sommes séparés pour des raisons d’abord de mésentente «professionnelle».