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n° 08128Fiche technique26080 caractères26080
Temps de lecture estimé : 16 mn
17/11/04
Résumé:  Une bousculade dans une course cycliste, un contact sensuel avec un petit cul cambré et...
Critères:  fhh inconnu fête volupté fellation sandwich fsodo
Auteur : Marcus 33
Soir de fête ou les joies de la petite reine


L’aventure que je vais vous raconter s’est déroulée dans une petite ville du Sud Ouest.


Chaque ville, chaque village en période estivale organise sa fête locale avec toutes les animations possibles, son défilé de chars fleuris, de majorettes, Hé oui il y en a encore…. Son feu d’artifices et sa course cycliste en nocturne.


J’adore déambuler dans ses manifestations, on y fait des rencontres sympathiques, le soleil, la fête, l’ambiance lève les inhibitions. Les jeunes femmes sont légèrement, très légèrement vêtues.


Assis à une table de ces bistros improvisés on peu passer de très agréables moments, découvrant, au gré du mouvement d’une jupe ou d’un léger coup de vent, une cuise dénudée, une fesse bronzée, des dentelles pastel, un décolleté profond quand ce n’est pas un sein par l’échancrure d’un débardeur.

Tout pour se mettre dans une ambiance gentiment érotique.


Donc ce samedi soir, après avoir passé une partie de l’après midi à me balader dans la « frérie » comme on dit ici, je poursuivais la soirée par la course cycliste en nocturne. Je ne suis pas un fana de ce sport, mais pour passer une soirée de vacances….


Je vous passe la première partie cette soirée, repas sous les platanes et ballade sur le circuit de quelques kilomètres qui traverse une partie de la ville pour ensuite aller vers un quartier plus excentré et revenir au centre ville.

Départ des quelques dizaines de coureurs, les cris, les bravos, les mouvements de foule, il y avait beaucoup de spectateurs.

Je décidai donc de marcher un peu autour du circuit, rester debout à attendre le passage des coureurs…non merci !

Mais on se fait vite prendre au piège de l’ambiance et dès que les échappés ou le peloton passent chacun se précipite sur les barrières pour applaudir, encourager….4 ou 5 tours avaient été couverts, …des cris, un mouvement de foule me précipita contre la barrière et je me retrouvai à applaudir et encourager comme les autres. Autre mouvement et je refluai en arrière d’autres spectateurs ayant pris ma place. Apparemment cet endroit attirait pas mal de spectateurs et je me retrouvais ballotté, pressé contre les spectateurs.


Je ne sais pas si vous avez été dans cette situation, mais vous êtes contraint à suivre les mouvements de la foule, les bras le long du corps sans pouvoir esquisser un geste.


Nouveau passage et je me retrouvai pressé encore contre la barrière… enfin contre… .

Mon ventre, enfin mon bas ventre était en contact étroit avec une paire de fesses, bien fermes. Passé le moment de gêne et d’étonnement, je cherchai à voir qui appartenait ce petit cul qui ma fois ne se dérobait pas. C’était une femme, cheveux coupé courts et dégradé à mèches blondes, nuque dégagée, débardeur court à fines bretelles laissant une large bande de peau nue au-dessus de la ceinture, et après …. Hé bien je ne savais pas, jupe, pantalon, impossible de voir ou de deviner.


Par des contorsions difficiles j’arrivai à réduire la pression, je voulais éviter le scandale de la gifle en public en me faisant traiter de vicieux, de cochon… comme j’en avais souvent été témoin dans les transports en communs.

Son âge,… elle paraissait assez jeune de silhouette, sa taille était fine, bien marquée sur des hanches galbées ; mais c’était vraiment tout ce que je pouvais distinguer chez cette personne.

Et en plus elle était accompagnée !!!

Je venais de remarquer à sa gauche un homme d’à peine 40 ans à qui elle parlait maintenant. Se tournant de temps en temps vers lui, je distinguai son profil, elle paraissait avoir un minois agréable.


J’en étais là de mes pensées et de mes découvertes quand la foule se mit à encourager le groupe d’échappés qui arrivait, je me retrouvai encore pressé contre ce petit derrière qui ne faisait toujours rien pour éviter le contact. Je sentais parfaitement la pression des deux fesses sur mon bas ventre, le tissu qui nous séparait devait être très fin, j’optai pour une jupe.


Les coureurs passés, je tentai encore une fois de réduire la pression, léger retrait du bassin, mais la pression persistait…. Encore un léger mouvement de retrait, mais j’avais toujours ces petites fesses contre mon ventre.

Je me demandai vraiment si je rêvais, si je fantasmais ou si je prenais mes désirs pour des réalités…


La situation commençait à m’exciter et il s’opérait quelques modifications anatomiques, qu’il allait être difficile de cacher dans quelques instants surtout que….Le peloton arrivait et que de nouveau je me retrouvai pressé contre ce petit cul. Le mouvement qu’elle fit pour applaudir, entraîna un balancement de son corps ; ses fesses, pressées contre mon bas ventre montaient et descendaient dans un mouvement lent.

Brusquement elle se figea tout en maintenant le contact… Ca y est me dis-je… « Je suis bon pour le scandale public ».


Je retirai un peu mon bassin, prêt à partir. Elle tendit vers moi un visage très agréable avec un léger sourire, des yeux clairs, une bouche pulpeuse, un joli petit nez en se cambrant un peu plus. Elle dit encore quelques mots à son compagnon qui acquiesça et lui sourit.


Elle relevait un peu le buste en se cambrant encore plus ? Non seulement ses fesses étaient plaquées contre mon ventre mais je sentais ses cuisses contre mes cuisses. Elle bougeait discrètement, lentement à la recherche d’un contact plus précis. J’étais très à l’étroit dans mon pantalon et je comprenais sa recherche.

Lentement je glissai ma main dans ma poche et aussi discrètement que possible faisant remonter mon sexe le long de mon ventre.


Ce mouvement n’avait pas échappé à ma belle inconnue qui se calait contre moi, la hampe de mon sexe dans l’axe de ses fesses, faisant aller et venir son corps uniquement en se cambrant et se décambrant, se soulevant de temps en temps sur la pointe des pieds pour presser mon gland dans le creux de son intimité.

Elle avait trouvé le point de pression, elle se figea encore une fois et se mis à bouger presque imperceptiblement dans une caresse furtive, légère mais combien efficace.

J’osai enfin mes doigts sa taille nue, je sentais le grain de sa peau se contracter dans un frisson. Mes doigts parcouraient cette peau nue, douce, caressant la ceinture de son vêtement, glissant sur le tissu, partant à la découverte. Une étroite bande de tissu, puis la peau nue, puis encore du tissu.

Je fantasmais….L’élastique d’un string, une taille basse.


Je descendais le long de ses hanches que je découvrais nue sous le fin tissu de son vêtement, je continuais le long de sa cuisse en une caresse aussi légère que discrète.

Le contact inattendu de mes doigts sur la peau nue de sa cuisse me fit sursauter, lentement je remontai ma main sous sa jupe (maintenant j’en suis sûr).


Les coureurs passaient, la foule se pressait, j’en profitai pour la serrer plus fort contre mon sexe tendu et bouger plus fort avec des mouvements plus amples qu’elle accompagnait.

Elle était tellement cambrée qu’à chaque mouvement le bout de mon sexe était presque planté au creux de son intimité. À chaque contact précis, elle maintenait la pression quelques instants se serrant encore plus contre mon ventre et repartait dans son lent va-et-vient.

Ma main caressait sa cuisse de plus en plus haut, jusqu’au pli de l’aine pour atteindre le fin tissu de son dernier repart, frôlant son intimité ; Je vis sa main se crisper sur le bras de son compagnon.


Un autre mouvement de foule et elle se dégagea un peu de notre étreinte…. Le charme était il rompu…Non !!!!!!

Je sentis sa main se glisser entre nos deux corps, me caresser la cuisse et remonter lentement vers mon sexe tendu. Elle le prit à pleine main à travers le tissu et commença un lent va-et-vient.

Elle dit encore quelques mots à voix basse à son compagnon qui acquiesça ; puis tout en continuant de me caresser elle dit d’une voix plus forte :

« Si nous marchions un peu Jean Marc, on trouverait peut-être un endroit où il y a moins de monde » en se retournant complètement vers moi, son visage illuminé par un large sourire.


Je la découvrais, jolie, souriante, les yeux vifs et brillants, la poitrine gonflée sous son débardeur, ses seins tendus par l’excitation pointaient sous le tissu ; elle débordait de sensualité.


Ils se frayèrent difficilement un chemin à travers les badauds pour quitter cet endroit, je partis à mon tour quelques instants après avec autant de difficultés.

Sorti de la foule…. Personne !!

Etaient ils partis ?

Pourquoi alors m’avoir quasiment invité à les suivre ?

Ont ils changé d’avis ?

M’ont ils allumé pour rester seul ensuite ?

La réponse est très vite venue, ils marchaient à une dizaine de mètre devant moi serrés l’un contre l’autre, se tenant par la taille. Le tronc d’un platane centenaire les avait cachés de ma vue.


Les voilà qui s’arrêtent, s’enlacent, leurs lèvres se joignent dans un baiser tendre et voluptueux ; ils repartent non sans avoir jeté un regard dans ma direction.

Quelques minutes de marche et le circuit emprunte maintenant des rues moins fréquentées dans un quartier résidentiel, pavillons avec jardins. Nous étions loin des flonflons de la fête, des manèges, de la musique.

Un large trottoir sous des mûriers platanes, quelques massifs d’arbustes assez fournis, derrière lesquels ils disparurent.


Je fis quelques dizaines de pas et les découvris enlacés dans un baiser fougueux, se caressant avec avidité.

Il avait ses main sous la jupe de sa compagne, lui caressant les fesses en remontant lentement la jupe, découvrant de longues cuisses musclées, un joli petit derrière – enfin pas si petit que çà – bien cambré , deux fesses bien rondes séparées par un mince tissu blanc.

Et ces mains qui caressaient cette peau nue, qui s’insinuaient plus bas à la recherche de son intimité moite.

Elle était sur la pointe des pieds, les cuisses ouvertes et les jambes légèrement fléchies pour faciliter ces caresses plus précises.


Un bruit de pas, des rires et tout rentre dans l’ordre, la jupe s’ajuste et nous voilà tous les trois, côte à côte contre la barrière, comme dans l’attente du passage des coureurs.

Les pas s’éloignement, tout redevient calme. En fait nous étions presque complètement masqué par les touffes d’arbustes.

Leurs caresses reprirent ; j’étais très près de la jeune femme, je voyais son compagnon retrousser complètement sa jupe et continuer ses caresses précises. Peu à peu, elle se rapprochait de moi tendant son magnifique derrière à mes caresses.

Levant son visage vers moi elle me dit : « J’ai bien aimé tout à l’heure, mais on doit pouvoir faire beaucoup mieux » en plaquant vivement ses fesses quasiment nues contre mon ventre


Je me retrouvai dans la même position que tout à l’heure, mais là plus besoin d’être discret. Je caressai lentement ses hanches, lui imprimant un mouvement de va-et-vient ; mon sexe, tendu à l’extrême pressait le creux de son intimité ; ses cuisses s’ouvraient et se refermaient pour mieux sentir encore la pression de mon gland sur ses chairs intimes.


Mes mains caressaient, ses hanches douces et fermes, la rondeur de ses fesses, le velouté de ses cuisses, surtout en remontant à l’intérieur, tout prés de son puits d’amour, là où la peau est d’une finesse et d’une douceur incomparable ; là où il ne faut caresser qu’en effleurant avec le bout des doigts, ou mieux encore avec les lèvres ou la pointe de la langue.

Elle ondulait lentement des hanches, dans une danse lascive, recherchant le contact avec mon sexe et suivant mes caresses, ouvrant ses cuisses pour m’inviter à aller plus loin. Dans ces mouvements désordonnés, je ressentais la douceur du tissu de son dernier rempart, cette moiteur, cette douce chaleur qui venait du centre de son corps. Chaque fois que mes doigts s’approchaient de son intimité, elle m’encourageait d’un soupir, d’un petit : « oui » murmuré dans un souffle.


J’accédai à ses désirs en posant ma main en conque sur son sexe, la pressant plus fort contre mon sexe, lui faisant sentir tout mon désir.

Sous mes doigts, à ma grande surprise, je découvris son sexe quasiment nu, ses lèvres intimes gonflées de désir, parfaitement lisses, inondées par son excitation.

Son désir était si violent, que le léger voile de son string, complètement trempé, n’était plus qu’une mince ficelle qui avait pénétré son intimité.


Je compris aussitôt ses balancements, ses cambrures, les mouvements des ses reins, ses pressions sur mon sexe ; à chaque mouvement de son corps, cette mince « ficelle », glissait au plus profond de sa fente en une lente et douce masturbation

.

Mes doigts furent quasiment aspirés par sa fente tant elle était pleine de cyprine. Délicatement, je fis glisser le tissu sur le côté et je commençai mes caresses plus intimes, montant et descendant le long de sa fente, m’arrêtant à l’entrée de son corps, résistant avec peine à ses coups de reins qui m’invitaient à la pénétrer plus profond et m’attardant longuement sur son petit bouton qui durcissait sous mes caresses.

Ses mouvements se faisaient plus saccadés, son souffle de plus en plus court, elle étouffait difficilement de petits gémissements de plaisir.


Elle « s’accrochait » à son mari pour garder son équilibre, penché à son oreille, il lui parlait doucement, mais toute à son plaisir, elle continuait à gémir et ne lui répondait que par des mouvement de tête.

Il se releva, mais les mouvements de tête de sa compagne se poursuivaient à un rythme régulier et ses gémissements de tout à l’heure étaient encore plus étouffés ; elle était en train de le sucer.

« Oui…, continues…, suces moi bien…, hummmm, comme çà…… » Il l’encourageait discrètement ; à chacun de ses mots elle répondait par un petit grognement de satisfaction.


Sa main droite s’infiltra entre mon ventre et son petit cul, prit mon sexe tendu pour m’amener sur le côté, fébrilement elle tentait de descendre le zip pour me libérer mais elle n’y arrivait pas. Je l’aidai rapidement, il y avait longtemps que j’étais à l’étroit dans mon vêtement. Le lent va-et-vient de ma tige entre ses fesses, même à travers les étoffes m’avait mis dans un tel état d’excitation… mon slip était presque aussi trempé que son string.

Enfin elle dégagea l’objet de ses convoitises, elle me prit à pleine main comme pour l’évaluer, parcourant ma tige sur toue sa longueur, soupesant et jouant avec mes boules, remontant sur le gland pour le décalotter à fond et le « griffer » avec douceur du bout des ongles puis, me reprenant à pleine main elle commença un lent et profond va-et-vient, faisant coulisser lentement la peau sur mon gland.

A mon tour je l’encourageai à continuer ses caresses.


L’excitation montait de plus en plus, le rythme des nos caresses augmentait ; les mouvements de sa tête étaient plus rapides, mes doigts courraient de plus en plus vite sur son intimité, sa main accélérait le mouvement sur ma tige.

Elle releva la tête vers son mari à la recherche d’une complicité, se tourna vers moi et me prit dans sa bouche. J’ai bien cru exploser immédiatement tant j’étais excité mais aussi tant sa caresse était inattendue et profonde.

Sa langue chaude s’enroulait autour de mon gland en insistant sur les points les plus sensibles, ses lèvres se resserraient autour de ma tige et entamaient un doux va-et-vient ponctué de petits coups de langue puis descendaient tout le long de ma hampe en un baiser ininterrompu pour prendre mes boules entre ses lèvres en une caresse agaçante pour les nerfs mais ô combien efficace… et le rythme de ses lèvres reprenait.

Il me fallait tout mon pouvoir de « déconcentration » pour penser à autre chose et ne pas exploser entre ses lèvres brûlantes.


Tout à coup des mots à peine audibles :

« Oui !… vas y…. fait doucement… …tout doucement… …oui !… …. Attends !… … c’est moi qui … … ouchhh !!!!… … tu es gros ce soir… …çà y est !…tu rentres…..attends…..ne bouges plus… … … … maintenant… … vas doucement… …là !… … comme ça ».

Son mari était en train de la pénétrer par la petite porte.


Ses lèvres reprirent leur activité au même rythme que les coups de boutoir de son mari. Ce n’étaient plus des gémissements mais comme une plainte sourde qui montait et qui s’enflait, qui s’enflait….. Elle s’agrippa à mes vêtements pour garder son équilibre, me prit au plus profond de sa gorge dont les légers mouvements me massaient le gland en une caresse très efficace.

A chaque coup de reins de son mari j’avais l’impression de m’enfoncer encore plus et elle me recevait. Je tentais de me retirer un peu de ses lèvres par crainte de la voir perdre sa respiration, mais elle me ramenait au fond de sa gorge, se lèvres plaquées contre ma toison pubienne.

Elle n’était que gémissements et plaintes incompréhensibles, mais qui témoignaient de la monté de son plaisir.

A bout de souffle elle se releva lentement, des filets de salive unissant encore ses lèvres à mon gland ; elle était à bout et moi aussi ; quelques secondes de plus et j’explosais littéralement.


Elle continuait à ses redresser lentement, se cambrant le plus possible et portant ses mains a sa poitrine souleva son débardeur, quémandant des caresses plus précises.

Elle pressait ses mains sous sa poitrine, serrant ses seins l’un contre l’autre puis en faisait rouler la pointe sous ses doigts.

Je la regardais prendre son plaisir, fasciné par l’expression de son visage sur lequel je pouvais lire chaque va-et-vient de son mari au plus profond de son corps, chaque pression de ses mains sur ses seins, chaque pincements de ses doigts sur ses mamelons qui se tendaient de plus en plus.


Elle me prit la main, m’attirant vers elle et la pressa sur un sein. Quelle douceur, j’avais sous mes doigts une peau tendue à l’extrême, un mamelon d’une longueur et d’une raideur incroyable.

Tout d’abord mes caresses se firent douces légères, contournant l’aréole, épousant le galbe, agaçant la pointe ; mais elle se serrait contre moi, écrasant sa poitrine contre mon torse. Une pression plus forte de mes mains lui arracha un gémissement ; plus les caresses étaient « violentes » plus elle manifestait son plaisir.

C’était maintenant des petits cris, certes contenus par crainte de se faire découvrir, mais qui se faisaient de plus en plus aigus.


Elle avait repris mon sexe en main, le caressant sur toute sa longueur, faisant aller et venir sa main le long de ma tige, rythmant ses mouvements à ceux de son mari.

Elle s’écarta une nouvelle fois de moi, se courbant vers mon sexe tendu et me prit une nouvelle fois entre ses lèvres, mais très vite ses mains remplacèrent sa bouche et je sentis qu’elle me mettait un préservatif.


Elle m’attira vers elle en se redressant :

«Vient » me dit elle… …prends moi… …


Elle me guida vers elle, se redressant le plus possible pour faciliter la pénétration, se cambrant toujours pour garder son mari en elle.

Je fléchissais les jambes, son mari la soulevait….

« Ouiii … … là … … comme çà….. houpsss ….attend…. …là maintenant…. … non Jean Marc attends…. ne bouges plus …. on ne va pas y arriver…..


Elle guida mon sexe vers son intimité brûlante, mon gland la pénétrant à peine, mais les mouvements désordonnés, la position inconfortable nous firent perdre l’équilibre.


Enfin elle s’accrocha à mon cou, leva sa jambe droite, la passant par-dessus mon bras

« Ahhhh…. » le chemin de son corps venait de s’ouvrir enfin, je sentis ma tige comme aspirée. Nous étions maintenant tous les deux en elle.


Je laissai redescendre lentement sa jambe et me redressai. Elle se retrouva debout entre nous deux, accrochée à mon cou, les pieds touchant à peine le sol, sa tête abandonnée sur mon épaule.

Ce fut elle qui commença à bouger d’abord lentement et difficilement, c’était plus son corps qui se contractait, ses muscles vaginaux qui massaient délicatement mon sexe au plus profond d’elle.


Puis nous commençâmes à bouger en elle ; lentement d’abord cherchant notre rythme, l’excitation montant nos va-et-vient étaient de plus en plus amples, de plus en plus rapides.

A chaque mouvement de nos hanches, elle décollait du sol, calées entre nous deux « littéralement plantée » sur nos sexes.


La tête en arrière, la bouche ouverte exhalant une longue plainte rauque et modulée, elle se laissait aller à la montée de son plaisir, encourageant nos coups de reins par des grognements de satisfaction.

Ouiiiii … … Ouiiiii… …plus fort… … ensemble … …je… je…ahhhhh !!!!!

Tétanisée, cherchant sa respiration, bougeant la tête dans tous les sens, lancée dans une danse infernale de ses reins telle une vahiné, elle jouissait aussi discrètement que son plaisir le lui permettait.


Un coup de rein brutal de son mari lui arracha un cri qu’elle étouffa sur mes lèvres me mordant jusqu’au sang, elle jouissait une deuxième fois sous les coups de boutoir de son mari qui se vidait au plus profond de son corps en une longue plainte étouffée. Toute à son plaisir, elle s’était violemment cambrée pour être pénétrée plus profond mais aussi m’avait rejeté de son corps.


Elle se calmait lentement, déposait de petits baiser sur mes lèvres, reprenait son souffle, son mari continuant à aller et venir très lentement entre ses reins en une caresse apaisante.

« Et toi » me dit elle… en tendant la main vers mon sexe qui était toujours aussi tendu.

« Tu m’as lâché un peu trop tôt, sinon … » et elle recommença ses caresses.

Lentement elle fit glisser le préservatif et me prenant la tige à pleine main, entama une lente masturbation. Elle se courba vers mon gland pour le prendre entre ses lèvres brûlantes, jouant avec sa langue et me prenant tout au fond de sa gorge.

Elle s’excitait toute seule à m’avoir dans sa bouche, ses hanches bougeaient au rythme des ses lèvres pour le plus grand plaisir de son mari qu lui aussi accélérait le rythme.

Sa main parti à la recherche du sexe de son mari, s’activer entre leurs corps…

« Là c’est mieux » dit elle dans un soupir, « ma petite chatte en réclame plus que mon petit cul… » et sa bouche reprit sa danse sur mon sexe, mes boules ; ses doigts caressant, griffant ; son souffle s’accélérant, ses hanches tanguant de plus en plus.

Les caresses de ses lèvres étaient très efficaces, je sentais monter en moi cette douce chaleur préparant le plaisir, je sentais mes testicules durcir, se contracter de plus en plus, mon gland se tendre encore plus entre ses lèvres.

Ses gémissements qui s’amplifiaient traduisaient son excitation, ses lèvres courraient de plus en plus vite le long de mon sexe, mon souffle s’accélérait et cette délicieuse brûlure qui partait de mes reins, vers mon ventre….

« Je… …. je… … je viennnnnnnn…… » le souffle coupé par la montée du premier spasme.

« Vas …. laisses toi allll…… » et j’explosais entre ses lèvres en de longues saccades.


Bouche ouverte, elle criait ou plutôt elle suffoquait elle aussi son plaisir, un orgasme fulgurant s’est déclanché au moment où je me répandais dans sa bouche.

Elle voulait tout à la fois ; m’avoir entre ses lèvres, boire le liquide chaud et épais qui jaillissait par saccades, crier son plaisir.

Elle me garda entre ses lèvres jusqu’au bout de mon plaisir et du sien, avide à ne rien perdre des dernières gouttes.

Elle se releva souriante, presque triomphante, la bouche maculée de ma jouissance, passant sa langue sur ses lèvres pour bien montrer qu’elle avait apprécié.

Son mari s’était retiré lui aussi et nous commencions à reprendre nos esprits et à remettre de l’ordre dans nos tenues, quant elle se tourna vers son mari :

« Mais… …mais… …çà coule le long de ma cuisse… … t’as jouis dans ma petite chatte…… et je ne m’ensuis pas rendue compte….. »

« Hé oui ma chérie… … t’entendre crier aussi fort…. Je n’ai pas pu résister……. »


« Je crois que la course est finie » dit elle, « e ne sais pas qui a gagné…. mais moi j’ai franchis plusieurs fois la ligne d’arrivée et j’ai même eu droit au bouquet….. »


« Ce fût très bien me dit elle, parfait, mais il faudra recommencer dans un endroit plus confortable, n’est ce pas ??? »

« Avec plaisir …

Et nous repartîmes vers la fête et les flonflons, prendre un rafraîchissement bien mérité.