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n° 08141Fiche technique19020 caractères19020
Temps de lecture estimé : 12 mn
19/11/04
Résumé:  Pendant mon job d'été de pompiste dans une station service, un tendre routier me fit passer un moment.
Critères:  hh inconnu poilu(e)s travail voiture volupté intermast fellation anulingus 69 préservati hdanus hsodo
Auteur : Farfalino  (Homme 37 ans, lillois. informaticien et photographe amateur)            Envoi mini-message

Série : Ma vie à la fac

Chapitre 04 / 08
Tendre routier


Je contemplai les bulles irisées de mon café au lait qui éclataient pendant que je tournai ma cuillère pour le refroidir.


J’avais le coup de pompe habituel de 2h du matin. En cet été de 1986, après avoir passé brillamment mes examens de fin d’année, mon père m’avait trouvé un job un peu éprouvant : pompiste de nuit dans une station service qui était ouverte 24h sur 24h, 7 jours sur 7. Elle se situait à la sortie de la ville. Avant qu’on ouvre le contournement, beaucoup de routiers venaient faire leur plein ou même y passait leur nuit. Maintenant, la station périclitait et cette lucrative clientèle se faisait de plus en plus rares. Je travaillais entre 22h et 6h, je m’occupais de la caisse des véhicules légers, mon collègue avait en charge celle des poids lourds. J’avais pris le rythme de cette vie décalée mais entre 2h et 5h du matin, nous avions peu de clients et la somnolence me gagnait. Pour s’occuper, et pour avoir une prime, nous en profitions pour nettoyer les pompes et faire du rangement dans les rayons.


Le liquide maronnasse faisait un tourbillon hypnotisant dans mon gobelet. J’entendis la porte s’ouvrir et je vis quelqu’un entrer, vraisemblablement un routier. Il est assez petit, râblé, la trentaine environ, des cheveux noirs en bataille, une petite barbe de quelques jours. Il était habillé d’un jean et d’un tee-shirt fripé. Il n’était pas spécialement beau mais il avait du charme. Il avait à la main sa trousse de toilette posée sur une grande serviette blanche avec des motifs que je n’arrivais pas à discerner. Il hocha la tête pour me saluer et il se dirigea vers un distributeur. Il commanda un café et pendant que la machine fabriquait son liquide chimique noirâtre, il me dévisageait de la tête aux pieds. Il prit son gobelet et hésitant un tout petit peu, il se mit à ma table. Il posa son café, sa trousse de toilette et sa serviette blanche à fleurs bleues. Il me demanda « habla español? ». Sa voix était rugueuse et basse. « no » répondis-je. Je parlais italien couramment mais je ne connaissais pas l’espagnol. Il me fixait du regard. Ces yeux étaient marrons très foncés. Ses traits étaient un peu épais mais agréables. « inglés ? » continua-t-il ? « Yes, a little bit » répondis-je avec mon plus bel accent français. Il but son café lentement en continuant à me fixer. « I’m going back home » dit-il d’un accent espagnol prononcé. « ah .. » répondis-je un peu stupidement.


Nous terminions nos cafés, toujours les yeux dans les yeux. Ma nuque frissonna car je perçus son désir de manière indicible. Je sentis ma verge se gonfler de sang à l’idée qu’il pouvait me vouloir. Je n’avais rien contre car il ne s’était rien passé d’intéressant sexuellement depuis Pâques. Il me demanda « Where is the shower ? » en roulant les r. Je lui désignai les toilettes pour hommes. À croire, qu’il n’y avait pas de routiers femmes, ou alors qu’elles n’avaient pas besoin de douches. « Go there, I must to open the door ». Les douches n’étaient pas en accès libre. Je devais les ouvrir et veiller à ce qu’elles restent propres après usage. Je détestais cette partie « femme de ménage » de mon travail bien que je n’eus jamais de désagréables surprises et ce n’était pas très pénible.


Nous nous dirigeâmes silencieusement vers les douches. Je sortis mon passe et je lui ouvris l’une des deux cabines dont nous disposions. Il y entra et appuya sur le commutateur. « you have a quarter, 15 minutes » dis-je en mimant le nombre 15 avec mes doigts. La cabine n’était pas très spacieuse. Il y avait deux parties : une partie « vestiaire » et une partie « douche ». Elle sentait un mélange de savon, de parfum bon marché et de produit de nettoyage. Il se tourna vers moi et dit « do you want to come with me ? » Je rougissais jusqu’aux oreilles. Décontenancé, je regardai ma montre. Je n’avais pas beaucoup de temps devant moi, on ne pourrait pas faire grand-chose. Il me caressa le visage de sa main. Cela provoqua une décharge électrique. Sans plus réfléchir, je pénétrai dans la cabine et je refermai la porte. Il se déshabilla rapidement. Il était musclé, hâlé et très poilu. Il avait un peu de bide. Sa queue était déjà dressée. Elle était très épaisse et de taille respectable. « undress you too » me demanda-t-il doucement. Je réagis, mes chaussures volèrent au fond du vestiaire et en un tour de main, je me débarrassai de mon short, de mon slip et de mon tee-shirt.


Il m’enlaça et m’embrassa. Sa langue épaisse et chaude était à l’intérieur de ma bouche. Son corps vigoureux m’embrasait les sens. Nos verges se frottaient l’une contre l’autre, nous malaxant les testicules. Nous nous caressions nos corps en s’attardant sur les fesses que nous nous pétrissions mutuellement. Son odeur était un musquée, sa barbe naissante m’irritait un peu. Sa main empoigna mon sexe et il commença à me masturber. Je pris son épais chibre tendu et j’en fis de même. Il imposa une cadence juste suffisante pour me faire trembler de plaisir. Je me baissais à la recherche de ses tétons. Son torse était très poilu. Son parfum de mâle qui s’en dégageait m’enivrait et sa pilosité ne me freinait pas. Je lui stimulai les tétons avec ma langue et je les lui mordillai. Je passai de l’un à l’autre tout en continuant à le masturber. Ses mains voyagèrent entre mes cheveux, ma nuque et mes épaules.


J’embrassai son ventre, son nombril puis je me mis à genoux. Je vis son sexe dressé, qui jaillissait d’une jungle noire agréablement parfumée. Ses testicules étaient gros et proéminents. Je le décalottai et son odorant gland violacé apparut. D’une main, je le masturbai tant dis que de l’autre je malaxai ses testicules. Avec mes lèvres, je lui caressai son gros gland, puis ma langue en fit le tour jusqu’au frein. J’ouvris ma bouche et j’enfournai complètement son phallus. Je serrai les lèvres et je fis le sortir lentement. Arrivé au gland, ma langue entra en action. J’avalai à nouveau son sexe complètement et je recommençai mon manège. Il poussa un gémissement à chaque aller et retour.


Je commençai à aspirer son sexe qui allait et venait de plus en plus rapidement. Il appuya sur ma tête pour que je l’enfourne complètement et plus profondément. J’eus un petit hoquet et il cessa immédiatement. Je parcourais rapidement avec la pointe de la langue tout son sexe m’attardant sur son gland. Je recommençai deux ou trois fois et je repris ma fellation un peu plus rapidement. Il respirait bruyamment.


Il me fit me relever et m’embrassa passionnément. Il prit mon sexe en main. Il s’abaissa un peu et me lécha mes tétons qui étaient aussi en érection. Pendant qu’il me masturbait, il les léchouilla et les mordilla provoquant en moi des ondes de plaisir. Puis il s’agenouilla. Il me décalotta et ses lèvres enrobèrent mon gland. Il prit le reste de la verge dans sa main et il commença un va-et-vient. Il suçait divinement et les variations de ses caresses buccales envoyaient des décharges électriques dans le creux de mes reins et dans le reste de mon corps. Je me pinçai les tétons pour accompagner sa fellation.


« et tu es où ? qu’est-ce que tu fous ? » C’était la voix de mon collègue qui me rappelait à la réalité. Nous nous arrêtâmes immédiatement. J’entendis les portes battantes des toilettes s’ouvrir et se refermer. Le routier se releva. Il m’embrassa et commença à me masturber rapidement. Je pris son gros chibre et j’en fis de même. Il accéléra et nous branlions au même rythme. Je sentis la jouissance monter immédiatement. Il m’embrassait le cou puis revenait à mes lèvres. Nous tremblions tous les deux. Il eut une secousse et je sentis son sperme couler dans ma main. J’hoquetai et je remplis la sienne. Nous continuâmes à nous embrasser et à nous masturber.


Je fis couler l’eau pour me nettoyer de son sperme très épais et collant. Puis, je me rhabillai rapidement. Il me caressa les fesses et me dit « go after work ». Je hochai de la tête et je l’embrassai pour toute réponse. « see you later, at 6 » dis-je tout de même en refermant la porte. J’avais chaud, j’étais en sueur. Je me jetai de l’eau fraîche sur le visage. Je rejoignis mon collègue qui me demanda si j’étais malade. Je le rassurai. J’ai prétexté la fatigue de ce rythme décalé, et la chaleur de la journée qui m’empêchait de dormir. Alors que nous étions en train de laver les pompes, je vis sortir le routier espagnol, tout propre, rasé de près et il alla rejoindre son bahut. Il s’affaira à l’intérieur, et jeta un sac plastique dans la poubelle toute proche. J’avais hâte que la nuit se passe.


Mon service terminé, je saluai mon collègue et je me rendis à la cafétéria pour prendre deux cafés. Je me dirigeai vers le bahut en tenant deux gobelets du liquide parfumé et chaud qui allait nous réveiller. Arrivé à son camion, je vis tous les rideaux tirés. Je me débrouillai tant bien que mal pour frapper à la porte du conducteur malgré les gobelets qui menaçaient de verser à tout moment. Je vis sa main écarter le rideau et jeter un œil. La porte s’ouvrit. Il avait le visage gonflé de sommeil. Il était nu. Il me prit les deux cafés en souriant et je montais dans la cabine. Elle était assez propre et bien rangé.


Il s’assit côté passager et moi je me plaçais côté conducteur. Il me caressa la cuisse et s’approcha de mes lèvres pour les embrasser « very nice, thanx » dit-il en me désignant les gobelets. Je souris un peu gauchement. « undress» m’invita-t-il. J’enlevai mes baskets, je fis glisser mon short et mon slip. Je retirai aussi mon tee-shirt. J’étais nu comme un ver. Il s’approcha de moi. Nous fûmes cuisse contre cuisse. Malgré la pénombre de la cabine, il me détaillait tout en buvant son café. Nous étions déjà en pleine érection. Nous vidâmes nos gobelets les yeux dans les yeux.


Il me caressa la joue et m’embrassa. Son haleine sentait le café. Puis il caressa ma nuque, et mes épaules puis ses mains glissèrent vers mes tétons. Elles descendirent jusqu’à mon pubis pour finir enfin sur mes testicules. J’écartai les cuisses pour qu’il puisse passer une main. Il continua à m’embrasser doucement pendant que ses mains parcouraient mon corps. Je lui rendais ses caresses sur sa peau adoucie et rendue soyeuse par la douche de la nuit. Il me massait les couilles, ses doigts cherchant à descendre au plus profond de moi. Nous nous masturbâmes lentement et sensuellement. J’étais maintenant à moitié affalé et je sentis un de ses doigts qui me massait l’anus. J’avais chaud dans cet espace confiné et je m’immergeai dans un océan de caresses.


Il me désigna la couchette. Il grimpa et s’installa au fond de la cabine. Je m’installai à mon tour. Nous étions sur le coté, face à face sur l’étroite banquette. Il m’enlaça et recommença à m’embrasser. Ses doigts effleuraient ma peau en slalomant sur les courbes de mon dos et de mes fesses. Nos sexes durs de désir se frottaient l’un l’autre. Je le caressai en même temps en allant de la raie de ses fesses jusqu’à sa nuque et ses cheveux fournis. J’aimais ses muscles bien développés et fermes. Ses petits bourrelets étaient agréables au toucher. Je sentis un de ses doigts me caresser la rondelle pour aller jusqu’à la naissance de mes couilles puis revenir vers l’anus. Il le massa et fit pénétrer légèrement son doigt en appuyant dessus.


Il me coucha sur le dos et il roula sur moi. J’écartai les jambes autant que je pouvais pour envelopper son corps musclé. Il ondula et nos sexes se mélangeaient. Il m’embrassait dans le cou et me caressait mes tétons. J’emprisonnai ses fesses fermes que je malaxai pendant qu’il me donnait des coups de boutoir sur mon bas-ventre. Il s’approcha de mes tétons et les lécha et les mordilla. Ils étaient durs et tout mon corps n’était plus que désir et volupté. Je me cambrai un peu pour varier notre plaisir et j’accompagnai ses va-et-vient par des ondulations du bassin.


Au bout d’un temps indéfinissable, il fouilla une pochette sur le côté et en rapporta un préservatif. « can I fuck you ? » demanda-t-il ? « yes, you must ! » répliquai-je en souriant. Il me laissa me retourner sur le ventre. Je l’entendis mettre le préservatif. Ses doigts tartinèrent ma rondelle de gel et il en enfonça un sans problème. Il mit sa grosse verge noueuse entre mes fesses et il se coucha sur moi. Il ondula et il m’embrassa les épaules. Il fit coulisser son chibre entre mes parties charnues. Il mit à nouveau un doigt dans mes fesses. Il le fit tourner à l’intérieur. Je sentis que je m’ouvrais. Il en passa un second. Je n’avais pas mal et j’aimais sentir ses doigts rugueux aller et venir.


Puis il cessa son manège et sortit ses doigts. Je me cambrai et il m’écarta les fesses. Il était quasiment debout sur ses genoux. Il présenta son gland à la porte d’entrée de mon anus et y entra doucement. Je le sentis m’écarteler le bas-ventre. Certes, maintenant j’avais l’habitude, mais sa verge était réellement très épaisse. Après qu’il fut complètement entré, il se coucha sur moi pour m’embrasser la nuque et me caresser les épaules. Il commença à me limer lentement tout continuant ses caresses. Des vagues de plaisir déferlèrent en moi. Je poussai un petit râle à chaque fois qu’il était au fond de moi. Ses mains sur mon dos accompagnaient sa pénétration. La sensation de vagues de volupté était réelle tant leurs rythmes étaient justes et parfaitement synchronisés. Il prit le temps de bien me sodomiser lentement massant mes entrailles avec son gros mandrin.


Il sortit complètement de mes fesses. Je retournai à demi et il m’embrassa goulûment. Il se mit sur le côté contre la paroi de la cabine et me tourna également sur le coté. Il me pénétra à nouveau, sans tarder tant j’étais ouvert. Une de ses mains s’accrochait à moi tandis que l’autre me masturbait. Il continua à m’embrasser la nuque et le cou en même temps. C’était divin ! J’étais perdu dans une mer de volupté intense. Je grognais, je gémissais, je râlais, je respirais fort au gré du plaisir qu’il me donnait. Il accéléra le rythme de ses coups de boutoir et tout en adaptant sa masturbation. Ses fesses cognaient contre la paroi de la cabine et son pubis claquait contre les miennes. Puis il décéléra pour me mordiller le lobe de l’oreille puis il accéléra à nouveau. Il soufflait fort, je sentis ses va-et-vient, il cognait au fond de moi avec énergie. Il me remit sur le ventre, souleva mes reins, me pénétra à nouveau et s’accrocha à mes fesses. Il remuait frénétiquement son gros chibre à l’intérieur de moi. Il se coucha sur moi et une de ses mains me masturba pendant qu’il s’agitait dans mon anus. Il m’emporta au septième ciel et je sentis une décharge de millions de volts me parcourir le bas-ventre et le reste du corps. J’arrosai ses draps dans un cri sauvage. Il se tendit d’un coup en m’empalant à fond et il poussa un feulement sonore. Il s’effondra sur moi.


Après un temps indéterminé, il se détacha de moi. Il enleva la capote pleine de sperme et la mis dans un sac plastique qui devait lui servir de poubelle. Il me mit sur le dos et se coucha sur moi. J’étais allongé sur mon sperme poisseux mais cela ne me dérangea pas. Il m’embrassa à nouveau tout en me caressant. Nos verges commencèrent à durcir à nouveau. Avec son bas-ventre, il malaxait nos verges. Puis il descendit de la banquette pour regrimper à l’envers : sa verge était près de ma bouche et sans attendre, il avala mon sexe. J’engouffrai son épais chibre tout en massant ses gros testicules et en remontant vers son anus que je ne tardais pas à doigter. Il était serré mais souple. Sa bouche experte aspirait ma verge alors que ses mains s’occupaient de ma bourse et de mon anus encore ouvert. Je sentis monter la jouissance en moi, je retirai sa verge de ma bouche et je bredouillai un « attention ! ». Malgré cela, dans un grand tremblement qui parcourut mon corps, et il me laissa décharger dans le fond de sa gorge en avalant le tout.


Je repris ma fellation de plus belle et un de mes doigts le pénétrait. Puis je me penchais vers lui et ma langue lécha sa raie poilue. Je montais et je descendais. Quand j’atteignis son anus, je tendis ma langue pour le pénétrer. J’écartai ses fesses pour m’aider à entrer le plus profondément. J’agitai ma langue pour lui masser l’anus et l’intérieur de ses fesses. Son bassin ondula sous ma pénétration buccale. Je le fis basculer légèrement et ma langue se détacha de sa rondelle pour je puisse enfourner à nouveau son chibre. Il était gonflé à bloc et semblait prêt à exploser. Il me lança un « warning » mais je décidai de lui rendre la pareille : il éjacula sa crème dans ma bouche que j’avalai avec délice.


Nous restâmes un moment dans un demi-sommeil. J’étais éreinté. Puis il descendit de la couchette. Il me caressa ma verge humide et me dit « I have to go now, sorry ». Je repris mes esprits et je descendis également de la couchette. Nous nous regardâmes droit dans les yeux et il m’embrassa une dernière fois. Je me rhabillai rapidement tandis qu’il nettoya le sperme sur ses draps avec des mouchoirs en papier. J’aurais bien aimé pénétrer ses fesses poilues qui étaient à quelques centimètres de moi mais toutes les bonnes choses ont une fin. Il s’habilla également en prenant des affaires propres d’un sac. Je me retournai vers lui et je le saluai d’un signe de tête. Je descendis du camion. Il ouvra les rideaux et me fit un signe d’au revoir à travers la vitre. Alors que j’arrivai à ma voiture, je vis le camion s’éloigner. Je restai un peu dans ma voiture un peu stupidement et hébété en repensant à ce qui venait de se passer. Je soupirai et je rentrai chez moi où attendait mon lit, d’une personne, vide et froid.


Je ne le revis pas à la station ni ailleurs. Cet été, je ne rencontrai plus d’autres routiers. Certes j’ai senti deux ou trois fois des regards de routiers ou d’hommes de passage se poser sur moi mais aucun qui me donne envie de passer un moment. Mais je ne passai pas l’été complètement seul, un amant inattendu entra temporairement dans ma vie.