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n° 08146Fiche technique24693 caractères24693
Temps de lecture estimé : 15 mn
19/11/04
Résumé:  Une jeune femme, s'ennuie à la campagne. À l'occasion d'une promenade, elle rencontre un automobiliste égaré à qui elle propose une promenade. La fille est attirante et s'ensuit des jeux plaisants, à deux puis à trois...
Critères:  fh fhh forêt voir exhib intermast fellation cunnilingu préservati pénétratio sandwich jeu fouetfesse
Auteur : Everly  (La cinquantaine, écrivain)      
Agréables contraintes


Sylvianne déambule le long d’un petit chemin de campagne, à la sortie d’un hameau alors que je suis perdu dans ce foutu pays où les panneaux de signalisation sont aussi rares que les fraises des bois au mois de janvier. Elle est assez grande, beau petit cul ; non : adorable petit cul. Elle porte un chemisier rouge et une jupe noire assez légère qui ondule en accompagnant le mouvement de ses fesses. Je ne vois pas encore son visage et ne peux déterminer son âge. Je roule derrière elle en ralentissant à son approche. Quelque chose en moi me donne envie de m’arrêter ; peut-être est-ce une poussée libidinale provoquée par l’allure de cette femme qui semble coïncider à l’idée que je me fais du plaisir sensuel. Arrivé à sa hauteur, je constate qu’est n’est pas vilaine du tout ; elle doit avoir la quarantaine et son allure vue de profil confirme bien l’impression qu’elle m’a donné de dos. J’ouvre la vitre côté passager et m’arrête.



Elle m’aperçoit et son regard s’éclaire. Est-ce le mien un peu lascif qui ranime en elle un feu érotique ? En souriant, elle me répond :





Elle s’est penchée pour me parler et je ne peux réprimer un coup d’œil coquin sur sa gorge. L’échancrure de son corsage laisse apparaître un mince soutien-gorge bordé de dentelle enrobant deux seins que je devine agréables.


Elle s’en est aperçu et sourit de nouveau sans se redresser.



En disant ces mots, elle a cessé de sourire et a dans les yeux et la voix une expression qui me fait penser qu’elle regrette que je doive continuer.



Je m’apprête à repartir.



Son sourire est revenu. Elle est plus enthousiaste.



Je démarre.


Mon regard se veut charmeur, un peu caressant aussi et Sylvianne y répond par un sourire approbateur.



Pendant que Sylvianne m’indique la route, je ne puis m’empêcher de reluquer ses genoux et l’amorce de ses cuisses. Sur le chemin de terre que nous empruntons à présent, avec les soubresauts, sa jupe remonte peu à peu et, voyant la direction de mon regard, elle sourit largement en me disant :



Le chemin se rétrécit nous obligeant à nous arrêter. Nous descendons de voiture. Sylvianne déploie ses longues jambes laissant entrevoir au passage un morceau de tissu blanc en haut de ses cuisses. Large sourire prometteur… Le tutoiement est de mise.



Elle m’interrompt :



Nous nous enfonçons dans le petit chemin de terre qui semble aller nulle part, et nous éloigne de la route. Tout en avançant, derrière Sylvianne, je déguste des yeux son petit cul qui se dandine sous sa jupe légère. Par moment, ne pouvant me retenir, ma main lui palpe une cuisse ou lui soulève la jupe jusqu’à voir sa culotte. Sylvianne ne dit ou plutôt n’émet qu’un petit rire amusé tout en s’échappant. Nous parcourons plusieurs centaines de mètres dans un paysage de taillis et de bois avant de trouver sur notre gauche une bande de gazon où l’on peut s’asseoir. J’attrape le bras de Sylvianne pour la stopper.



Et sur ce, je la tire vers moi, et comme elle me fait face, m’incline pour soulever de la main gauche, sa jupe derrière elle, jusqu’à ce que ses fesses soient dégagées. Et là, levant la main droite, je lui assigne une tape sur son postérieur. Elle ne dit rien.



Et ce faisant, j’attrape l’élastique de sa culotte et le tire vers le bas, libérant ses fesses. La culotte tombe aux pieds de Sylvianne et celle-ce soulève les pieds l’un après l’autre pour que le morceau de tissu quitte ses jambes.



Et sûr qu’elle aime ça. Je relève la jupe qui était retombée et j’en profite pour aller jeter un coup d’œil à sa chatte.



Elle sourit en écartant les cuisses pour que je puisse observer ses petites lèvres qui dépassent des grandes, elles mêmes entourées d’une fine toison brunâtre, puis resserre les jambes pour se cacher. Sylvianne rougit, non qu’elle soit réellement timide ou innocente, mais par jeu, pour faire semblant. Elle se met dans la peau de son personnage. Et elle rabaisse sa jupe. Ceci a le don de m’exciter d’avantage. Je tire à présent sur sa jupe pour tenter de la faire descendre. Sylvianne s’y accroche, la retient. Le vêtement glisse un peu vers le bas, dévoilant un peu de ses fesses. Sylvianne tient bon. Elle ne se laisse pas faire. La jupe est à présent à mi-cuisses et la belle n’a de recours que de la laisser filer. C’est ce qu’elle se décide à faire.


Je jette mon trophée sur l’herbe. Sylvianne se cache le sexe à l’aide de ses mains. Je lui attrape les poignets et les lui écarte pour la mettre à nu. Elle résiste et cela me plait. Je joins ses deux mains dans son dos pour ne les tenir qu’avec seulement une de mes mains afin de pouvoir utiliser l’autre pour lui déboutonner le chemisier. Les boutons sautent les uns après les autres, dévoilant un soutien-gorge de coton blanc orné d’une fine dentelle et recouvrant deux adorables seins de taille moyenne que je m’empresse de libérer en détachant l’agrafe située dans le dos. Deux petites auréoles ornent les tétons qui pointent de manière aguichante. Je me hâte de les pincer.



Je continue ma manœuvre en pelotant les mamelles, en les entourant, en les pressant, en les touchant partout et de toutes les manières pour les connaître parfaitement. Sylvianne feignant toujours de ne pas se laisser faire n’en exprime pas moins un certain plaisir si j’en juge par l’accélération de son souffle. Ma main à présent descend sur son ventre et y dessine de grands cercles. Sylvianne simule de se débattre un peu, histoire de s’exciter. Je la retiens, l’agrippe, lui colle la main au sexe, enfonce un doigt dans sa fente, la relâche. Sylvianne s’enfuit et je la poursuis. Ce jeu me passionne, elle également. Elle se débine là devant moi, contourne les arbres, se laisse rattraper pour mieux fuir. Je lui accroche le poignet, la fait tomber sur l’herbe, l’immobilise en bloquant ses bras avec mes genoux et ses jambes avec mes mains. J’approche mon visage de sa chatte, ouvre la bouche et commence à lécher ses grandes lèvres fermées sous la pression de ses jambes serrées. Je passe la langue le long du sillon, tente une incursion pour atteindre les petites lèvres. L’étau se desserre. Ma langue accède à la moiteur de son intimité qui s’ouvre en même temps qu’une odeur caractéristique parvient à mes narines. Sylvianne est trempée, je me délecte de sa mouille et ma langue s’enduit du contenu de ses sécrétions vaginales. Le souffle court, la belle se prête à ces caresses enivrantes avec l’impression fantasmagorique d’y être contrainte. Mais déjà sa tête se redresse un peu pour parer l’étrave de mes genoux sur ses bras et tenter de s’approcher de ma braguette. La bouche ouverte, Sylvianne mordille la bosse formée par ma bite en érection. N’ayant plus besoin de mes mains pour tenir ses jambes devenues dociles, je déboutonne mon jeans pour libérer ma queue et la donner à la gloutonne qui l’enfourne immédiatement et la suce avec frénésie. Et la voici qui entre dans sa bouche vorace, puis qui en sort, laissant entre deux un filet de liquide. Sylvianne s’intéresse maintenant à mes couilles qu’elle ingurgite et régurgite comme un bonbon. C’est trop bon ! pendant ce temps, je joue avec son clitoris, gonflé et luisant.


Mais des envies plus fortes me tenaillent et mon index gauche s’insinue à présent entre ses cuisses à la recherche de son anus. À l’aide de la mouille récupérée au passage au bord de son vagin, je décris du doigt des mouvements circulaires pour déclencher le plaisir et favoriser le décrispation. Mon doigt peut enfin entrer sans forcer. Un va-et-vient s’en suit qui fait gémir Sylvianne. Son plaisir est tel que j’en ressens les effets sur mes couilles et sur ma queue. Au cœur du bien être sexuel, je décide de la prendre en levrette. Je me redresse donc et l’oblige à se mettre à quatre pattes. Sylvianne obtempère et, lui tenant les cuisses, je plonge ma bite dans sa chatte humide.


C’est le Nirvana. Je m’enfonce, la défonce, la lime machinalement et mécaniquement. L’excitation est à son paroxysme mais je tiens, je laboure, en pétrissant ses seins et sa croupe. Mon pouce manœuvre dans son cul tandis que ma queue déverse son sperme dans sa chatte et que Sylvianne émet une long râle de jouissance.


Nous restons un moment collés l’un à l’autre, elle la main serrant mes couilles comme si elle les pressait pour en extraire le reste du jus.




Et puis voilà un bruit qui provient du chemin à proximité. Je me dégage et me rhabille rapidement alors que Sylvianne reste allongée sur l’herbe, nue comme un ver. Je me dirige vers ce chemin pour voir qui s’approche et encore caché, je découvre un homme mal rasé qui sans être sale me semble être pour le moins un marginal. Il a un sachet dans la main et ramasse de ci de là des champignons. Je m’approche et lui demande ce qu’il cueille ? Surpris, il commence par s’étonner de ma présence et je lui dois des explications. Je lui explique que je suis venu avec une femme que j’ai rencontrée par hasard et qui est plutôt chaude. Son regard s’illumine et je me dis qu’il y a quelque chose à exploiter. Lui ayant signifié que je n’avais pas de relation durable avec cette femme et que je ne faisais que m’amuser, je lui demandai s’il voulait aussi rigoler un moment.


Il me dit que ça faisait longtemps qu’il n’avait pas eu la possibilité de toucher une femme et que l’occasion était inespérée. J’enjoignis mon interlocuteur à demeurer sur place, le temps que j’aille parler à ma copine. Entre temps, Sylvianne, ayant entendu les bruits de la conversation, s’était rhabillée elle aussi. Je lui dis qui j’avais rencontré et lui proposai d’être gentille avec cet individu qui méritait bien une faveur pour donner à sa vie un peu de joie. Elle fût d’accord lorsque je lui demandai de ne rien faire mais de me laisser agir. Elle serait soumise. Je retourne donc vers mon interlocuteur et lui demande de me suivre. Nous voici face à Sylvianne. L’autre la regarde avec lubricité. Je m’approche de Sylvianne et de la main gauche lui effleure la joue, le cou et l’épaule. Elle sourit. Mon index poursuit son vagabondage, glissant sur le chemisier de la coquine contournant son sein droit, décrivant de petits cercles concentriques autour du gauche. Alors de Sylvianne affiche un sourire complaisant et bascule légèrement la tête en arrière pour afficher son abandon aux caresses qu’elle prévoit, l’homme reste figé les yeux écarquillés dans l’attente de la suite qu’il espère.


Mon index migre maintenant vers l’échancrure du chemisier de Sylvianne s’insère entre les deux premiers boutons, fait sauter le premier, retire le second de l’emprise de sa boutonnière et s’attaque au suivant. Jugeant l’espace suffisant pour que le tissus puisse dégager le buste, mes doigts remontent alors vers le soutien-gorge de la belle qui s’offre à présent au regard concupiscent du vagabond. Celui-ci s’approche. Devant son regard hagard, après en avoir détaché les bretelles, je saisis entre le pouce et l’index la frêle dentelle qui orne le fin sous-vêtement, du côté du bonnet droit, sous lequel une protubérance est apparue, la tire vers le bas, dévoilant progressivement les discrètes rondeur du mamelon de Sylvianne. Je temporise à l’apparition de la corolle rosée annonçant le téton. L’homme lève la tête comme pour devancer ma progression dans ce strip-tease improvisé. Je surprends un début de rougeur sur les pommettes de Sylvianne. Devant cet homme, serait-elle parvenue à retrouver en elle, jusqu’à le faire vivre, comme savent si bien le faire les comédiens, le sentiment illusoire d’une certaine naïveté ?


L’espace de quelques secondes, le temps d’attiser le désir de notre observateur, mon geste s’est figé, la dentelle légèrement écartée de la peau, libérant sa pression sur le téton. Et puis, doucement, j’abaisse le tissu, faisant surgir l’objet de convoitise qui darde de plus belle et provoque un large sourire de satisfaction chez notre spectateur. Le second téton peut être dévoilé sans autre formalité et le soutien-gorge est descendu sous les seins, livrant ceux-ci au regard inquisiteur qui les détaille sous tous les angles.


C’est alors que mes doigts se saisissent des tétons et les pincent délicatement, d’abord dans toute leur épaisseur, puis à la périphérie, tantôt en leur imprimant de légers mouvement de rotation, tantôt en les pressant vers l’intérieur du sein et lorsque le bout est bien enfoncé, mon doigt exécute un mouvement oscillant comparable à une titillation. La tête de Sylvianne bascule à nouveau et son souffle se fait court. L’homme, n’y tenant plus attrape à son tour l’un des seins de Sylvianne. Je le lui laisse entièrement à sa disposition. Il le palpe, pince également le bout ou caresse la mamelle avec candeur. Il ne fait aucun doute qu’il bande. Son pantalon en témoigne. Soudain, il approche la bouche et engouffre la pointe exacerbée. Je pense que sa langue suce la turgescence goulûment et s’en rassasie. Sa queue doit à présent baver. Je le sens prêt à poursuive ses pérégrinations, aussi, voulant conserver la maîtrise de la situation pour mon propre plaisir, selon mon scénario, j’écarte le vorace en lui intimant l’ordre d’attendre la suite. Et là, lentement, ma main descend vers l’estomac de la belle, détachant au passage les derniers boutons du chemisier.


Ma main caresse son ventre plat, Passe au-dessus de la jupe à hauteur de la ceinture, s’abaisse en direction du pubis sur lequel elle s’attarde sans mouvement, plaquant juste le tissu sur le mont de vénus.


Tout en m’accroupissant, ma main poursuit son chemin le long de la jambe droite de Sylvianne pour atteindre son genou. Là, s’engageant sous le vêtement, elle décrit le long des cuisses des mouvements de caresses qui se manifestent aux yeux du témoin par des frémissement d’étoffe. Saisissant à deux mains le pan, je surveille les yeux de l’homme lorsque posément, je commence à trousser Sylvianne. Le temps doit sembler une éternité à notre homme car je découvre les cuisses sans empressement. Il écarquille les yeux lorsque apparaît la délicate culotte bleue. L’homme s’abaisse aussi pour se mettre à hauteur d’observation. Pour me libérer les mains, je coince la jupe dans la ceinture de la taille en prenant soin de bien dégager la culotte. En le regardant, je commence une série de caresses en promenant un doigt de haut en bas en suivant l’emplacement du sillon pelvien, mettant ainsi en évidence la fissure de la vulve que le tissu finit par épouser en se teintant au contact de l’humidité intérieure.


En s’insérant ainsi entre les lèvres, le fond de culotte dégage un peu des parties latérales de la chatte, parsemées d’une légère pilosité, sur une peau discrètement tannée, sans doute par l’excès d’attouchements, de masturbations et de pénétrations.


Sous les caresses appuyées, Sylvianne laisse échapper un petit cri, écarte les cuisses et le bord gauche de sa culotte glisse plus encore vers sa fente, laissant apparaître une partie de la grand lèvre. Avec des airs de voyeur, notre homme se lèche les babine et n’en perd pas une goutte. L’effet attendu s’est produit. La main sur la braguette de son pantalon, il serre sa bite comme pour retenir ses pulsions. Il marmonne :



Tout en soufflant d’exaltation, Sylvianne trépigne sous mon doigt, tentant de faire glisser sa culotte de côté afin de s’offrir à la vue de son admirateur. Elle n’en peut plus, c’est ainsi que je la voulais, aussi j’accroche le bord du slip et le tire sur le coté. Les lèvres écartées de plaisir, la cavité vaginale tapissée de sécrétions, le clitoris gonflé sous le capuchon rosé, l’homme n’est pas déçu du spectacle. Tout en maintenant la culotte dans cette position, je me place aussitôt derrière Sylvianne pour signifier au vagabond que la belle est à lui. Il ne se fait pas prier et provoque un cri de plaisir lorsqu’il plonge index et majeur entre les lèvres de Sylvianne. Ses doigts inspectent la fente de haut en bas, s’arrêtant au passage pour s’enduire de mouille puis aller en titiller le clitoris surexcité, générant des «oh» spasmodiques de notre petite salope dont les jambes flageolent à chaque nouvelle incursion. Tantôt, les doigts s’enfoncent dans le vagin et le branlent énergiquement déclenchant des «non !» de Sylvianne qui sont des appels à plus de vigueur, tantôt, le pouce accompagne le mouvement en frottant le clitoris.


De l’autre main, il a saisi un sein qu’il triture compulsivement. Cet acharnement d’un homme qui n’a sans doute pas baisé depuis longtemps m’excite au plus au point et la manière dont il s’occupe de Sylvianne et dont celle-ci réagit, tout en abandon, ne sachant plus se contrôler, livrée aux doigts ravageurs de l’inconnu, me donne de envies lubriques. Aussitôt, recueillant les bavures vaginales s’écoulant sous ses lèvres entre ses fesses, je les répands à l’orifice de son anus, par petits paquets, et les étale copieusement sur le pourtour en mouvements circulaires, ce qui a pour effet de distendre les muscles annulaires, douce invitation à la pénétration. Mon index y entre sans effort, suivi de mon majeur et nous voici tous deux, l’inconnu et moi-même en train de branler madame, lui par-devant, moi par derrière.


L’orgasme ne se fait pas attendre, il est violent : les jambes de Sylvianne tremblent son corps se pâme sous les secousses de la jouissance. Libérant Sylvianne je n’ai que le temps de sortir un préservatif de ma poche car l’homme a déjà baissé son pantalon et son slip, en un seul mouvement et sa queue est gonflée, le gland décalotté, des perles de liquide prostatique s’échappent en fins filets. Il attrape le capuchon et l’enfile promptement. Tout aussi vite, les genoux pliés pour être à bonne hauteur, prenant la femme à la taille, il la plaque contre lui, sa bite turgescente s’engouffrant dans la grotte suave alors que notre vagabond exprime sur son visage une sorte de soulagement. S’en suivent des mouvement répétitifs du bassin, longs et puissant, alternés avec de rapides coup de bélier la verge entrant très peu dans la cavité, le gland paraissant parfois comme aspiré par le vagin de Sylvianne comme si cette dernière voulait lui faire vomir tout son jus.


Quelle scène ! C’est un plaisir de voir cet homme se délecter de Sylvianne, la baiser avec acharnement, la défoncer, la prendre, une main agrippant ses fesses comme pour mieux assurer une complète pénétration, avec l’expression de quelqu’un qui n’a d’autre but que de vider ses couilles dans le con de cette femme.


Je me réjouis de la satisfaction qu’il peut retirer de sa pine à chaque nouvel assaut du vagin, lorsque ses couilles ballottent et viennent se cogner sur le cul de Sylvianne, comme une petite claque dont elle retire beaucoup d’agrément. À présent, je ne contiens plus mon désir et je quitte rapidement mes vêtements pour me joindre au couple. Ma queue trouve sans trop de difficulté l’entrée du tunnel de son cul et s’y enfonce. Ainsi prise en sandwich, Sylvianne est ballottée entre ses deux hommes les couilles s’entrechoquant à chaque coup de boutoir, l’un des seins de la belle est malmené par ma main pendant que l’autre est sucé et mordu par l’inconnu qui lui fait face. Après une grande respiration, le marginal empale une dernière fois Sylvianne dans un grand râle significatif et je sens le cul de la belle se resserrer autour de ma bite alors qu’elle pousse un cri puissant, ce qui a pour effet de me faire éjaculer. De multiples saccades du sperme se déversent dans sa chatte. Je les accompagne d’une pénétration maximale.




Après quelques minutes restés sans bouger, nous quittons notre trou, l’homme retire sa capote maculée de sperme. Mais avant de nous rhabiller, Sylvianne attrape au passage nos queues qu’elle porte alternativement à la bouche en nous pressant les roustons afin d’en récolter les dernières gouttes qu’elle avale avidement.