n° 08153 | Fiche technique | 29178 caractères | 29178Temps de lecture estimé : 17 mn | 22/11/04 |
Résumé: Un homme a une vue imprenable sur la chambre de sa voisine d'en face. | ||||
Critères: h fh couple voisins gros(ses) grosseins groscul fsoumise voir hmast cunnilingu anulingus fgode pénétratio double fdanus fsodo fouetfesse piquepince humour ecriv_f | ||||
Auteur : Pitounette (Demoiselle) |
La grosse d’en face avait une sexualité intéressante.
À cette époque-là, je vivais seul. Ça me convenait parfaitement. Je sortais beaucoup et je me laissais ramener dans les maisons de demoiselles très accueillantes. Ça m’évitait de devoir justifier l’accumulation de vaisselle dans l’évier, le rangement inédit de ma penderie, l’occupation du canapé par un vieux reste de pizza et le frigo désert.
J’étais rarement chez moi. Mais un jour, alors que je finissais le fameux vieux bout de pizza en même temps que l’étude d’un dossier urgent, j’arrêtai de me lamenter sur mon sort, ainsi que toute la rue, je suppose, en entendant un bruit à la fois familier et étranger.
Familier parce que je l’entendais quand même assez régulièrement.
Étranger parce que généralement, la demoiselle qui le produisait était toute nue dans un lit, près de moi tout nu.
Une pause s’imposait.
J’allai à la fenêtre, pour voir si par hasard, une nymphomane ne serait pas en action en bas, dans la rue, au chaud soleil de midi.
Vérification faite, hélas, la logique l’emportait : pas de nymphomane dans la rue.
Pourtant, le bruit continuait.
Et en relevant les yeux, je manquai l’apoplexie. À vrai dire, je ne sais pas au juste ce qu’est l’apoplexie, mais s’il s’agit d’un gros coup de chaud qui fait s’écarquiller les yeux et draine un maximum de sang à la bite, c’était bien de l’apoplexie. Et je ne la manquai pas, finalement.
Là, devant moi, dans l’immeuble d’en face, au même étage, à peine séparée de moi par une petite rue à sens unique, de l’autre côté de la fenêtre ouverte, se tenait, une demoiselle à quatre pattes surmontée d’un monsieur.
Les fenêtres, dans ma rue, montent haut et descendent bas, quand on se met à la fenêtre, on ne peut pas s’accouder, le bas de la fenêtre arrive au milieu du tibia. J’avais une vue plongeante dans la chambre de ma voisine d’en face. J’avais déjà remarqué ce panorama intéressant, mais, bien que je sois très porté sur le voyeurisme, la voisine était vraiment trop replète à mon goût, et j’attendais patiemment qu’elle déménage.
Là, ça prenait une autre tournure. Je buvais la scène des yeux.
Dieu merci, elle n’était pas complètement de dos, sinon je n’aurais vu que les fesses du monsieur, ce qui eut été fatal à mon apoplexie (si tant est que ce soit de l’apoplexie)
Elle se tenait de trois quarts, les fesses tournées vers moi (vers le monsieur, plus exactement).
Moi qui pensais ne bander que pour les femmes minces, je n’hésitai pas à faire fi de mes principes pour rendre hommage illico à cette opulente demoiselle, dont les fesses dépassaient de part et d’autre du monsieur. Je voyais une partie de ses nichons volumineux ballotter sous l’ardeur de son cavalier, par-delà un ventre rebondi. Elle devait bien approcher des 100 kg et elle n’était vraiment pas de taille à être mince avec un tel poids.
Pendant que ma main partait à la rencontre de la manifestation de mon apoplexie, je me demandais furieusement dans quel trou l’heureux homme était allé se nicher.
Mais ce n’était pas bien important, tout compte fait, la demoiselle était déjà tellement excitante en elle-même. Si charnue, toute ballottante, si abandonnée aux secousses de son amant et si… si sonore !
Toute la rue devait être aux fenêtres, comme moi ! Je me reculai un peu, en me dissimulant derrière le rideau, pour ne pas risquer d’être vu. Mais visiblement, tout le monde mangeait sagement.
L’homme tenait les hanches de la demoiselle des deux mains. Il en détacha une et pointa un doigt vers le beau gros cul qu’il pénétrait.
C’était donc une simple pénétration classique. J’en fus presque déçu, mais je changeai très vite d’avis en voyant le monsieur faire disparaître son doigt entre lui et le gigantesque fessier.
La demoiselle sembla apprécier le traitement autant que moi, car elle feula de plaisir. Si, si, elle feula, comme un animal sauvage dans la jungle, un cri qui partait du fond de sa poitrine agitée et qui s’éraillait dans sa gorge. J’aurais bien aimé voir sa bouche. J’aurais bien aimé aussi que le monsieur cesse de me cacher une grande partie de ses fesses.
Mais… le sort du voyeur est de se contenter de ce que ses yeux peuvent accrocher.
Je profitai donc de l’instant, comme le faisaient ces deux affolants affolés.
Hélas, je jouis avant eux, dans ma main, tout triste d’être moins endurant que le monsieur.
J’attrapai du Sopalin et continuai à apprécier la scène qui s’offrait à moi, en amateur.
Le monsieur avait un coup de rein très expérimenté.
Je regardai ma montre. Ça devait bien faire vingt minutes que je les regardais. La demoiselle avait beau donner de la voix, elle n’avait pas l’air de jouir. Je regrettais moins de n’être pas à la place du monsieur !
Il l’avait redressée contre lui et tentait de remédier à la situation, en lui caressant les seins. Les tétons étaient bien dressés. Il les a pincés dans ses doigts.
Je songeai que moi, j’aurais plutôt caressé son clito. Infaillible. Alors que le pincement de téton est souvent le plus court chemin vers la baffe.
Le monsieur sembla avoir la même idée que moi : une de ses mains lâcha le téton dressé et alla titiller plus bas.
Mais la demoiselle ne jouissait toujours pas. Finalement, le monsieur dut perdre patience, il la remit à quatre pattes et se mit à pomper entre ses fesses, sans plus se préoccuper de ses humeurs, les mains agrippées à ses larges hanches.
Au plus fort de ses mouvements, il leva une main et la claqua sur l’imposant fessier.
La demoiselle sursauta et protesta. Le monsieur jouit et se retira, s’allongeant près d’elle, sur le dos et l’attira à lui. Elle râlait encore de cette claque inattendue. Il lui fit des petits bisous et elle finit par se calmer.
Je revins vers ma pizza et mon dossier en me sentant nettement supérieur : moi, je l’aurais sans nul doute faite jouir !
Quelques jours plus tard, je me trouvais chez moi, un soir. Je me préparais pour sortir, histoire de trouver, dans un café, une gentille demoiselle accueillante chez qui passer la nuit.
C’était toujours les beaux jours de l’été et les fenêtres étaient ouvertes.
J’avais oublié la demoiselle d’en face, qui n’entrait pas, malgré ses excitantes positions et sa voix, dans le cadre de mes préférences.
Je m’approche de la fenêtre, pour la refermer et… je suspendis mon geste…
Le monsieur était de retour chez ma voisine. Elle était allongée sur le dos. Je voyais son visage, joli, les yeux clos, détendu, qui se crispait parfois un peu, ses seins généreux, vraiment énormes, s’affalaient mollement sur sa poitrine, mais dont les tétons étaient dressés.
Je voyais aussi son ventre lourd et, horreur ! Son pubis poilu… Une véritable femme de Neandertal, là, en face de moi ! Ignorante d’outils aussi complexes que des bandes de cire ou un rasoir… Ah si… elle connaissait… J’étais assez près d’elle et s’il y avait eu un poil sur ses jambes, mon œil de lynx l’aurait décelé !
Quoique mon œil de lynx était un peu troublé par le spectacle qui s’offrait juste sous la touffe touffue. Le monsieur, à quatre pattes entre ses jambes, lui prodiguait quelques soins amicaux. Il tenait les lèvres bien écartées avec ses doigts, pour ne pas s’emmêler la langue dans les poils. Dieu soit loué, il ne tournait pas ses fesses vers moi !
Je décidai de retarder quelque peu ma sortie, pour profiter du spectacle. La demoiselle commençait à gémir. Je me souvins que je ne l’avais pas vue jouir et j’avais envie de voir son visage se crisper sous l’orgasme et de voir comment il pouvait secouer son corps gras. Perversité de voyeur, d’aimer voir, même ce qui ne correspond pas à ses goûts !
Je songeai « Vive la perversité » et baissai mon boxer. Puis je me ravisai, et je l’enlevai complètement.
Le pire cauchemar (le plus excitant aussi !), pour un voyeur, consiste à être surpris dans la position ridicule du branleur, le caleçon sur les cuisses. Au moins, j’éviterai la honte du sous-vêtement à moitié baissé !
Au cas où une belle demoiselle se pencherait à sa fenêtre, je défis les boutons de ma chemise, aussi, pour montrer mon torse, que je savais apprécié des dames. On ne sait jamais. Autant être à son avantage, la bite gonflée à la main, l’air sexy et désirable, même les yeux exorbités et la bave aux lèvres !
Je me concentrai à nouveau sur le spectacle. La demoiselle avait entrouvert ses lèvres et laissait échapper un gémissement continu, comme une chanson murmurée. Belle bouche, un peu de rouge à lèvres avait dérapé… Je me demandai avec désespoir si j’avais raté l’épisode de la fellation…
Le monsieur s’activait toujours plus bas. J’admirai la technique. Langue douce, à plat, tout le long du sexe. Puis langue pointue, tournant autour du clito. Parfois il le prenait entre ses lèvres, probablement pour l’aspirer légèrement. Langue dure, ensuite, pour pénétrer la chatte offerte et jouer à l’intérieur.
La demoiselle chantait plus fort. Elle était au bord de la jouissance. Mon regard allait de son sexe ouvert, envahi par la langue, à son visage, aux sourcils froncés, la bouche ouverte, la respiration haletante, ses bras relevés, qui se tordaient sur le drap et ses seins qui dansaient.
« Là, pensai-je en connaisseur, il faut qu’il accélère le rythme… Allez, vas-y, tricote de la langue ! »
On voyait le plaisir de la demoiselle monter. Le monsieur accéléra le rythme de sa langue. Le gémissement de la demoiselle changea d’octave, mais…
« Raté, constatai-je, étonné, elle a repris le contrôle… »
Et en effet, le visage n’était plus aussi crispé. Elle avait frôlé l’orgasme, mais ne l’avait pas atteint.
Elle ne boudait pas son plaisir pour autant, la gourmande.
Elle se tortilla et sa main vint à la rencontre de la queue de son lécheur. Celui-ci, sous le trouble, oublia les poils, lâcha les lèvres tout en continuant son jeu de langue et releva les cuisses épaisses de la demoiselle. Là, il se mit à la lécher tout le long.
Je retins mon plaisir… Allais-je assister à une sodomie ?
En effet, l’homme semblait décidé ! Il assouplit la zone avec sa langue.
Il enfonçait rythmiquement ses doigts dans la chatte mouillée. Je regardai les doigts de la demoiselle autour de la queue. Pas très douée… Je reportai mon regard sur son anus. L’homme avait un peu reculé la tête, pour contempler son œuvre. Il enfonça doucement un doigt mouillé dans le trou. La demoiselle sembla apprécier ce traitement. Il commença à lui doigter le cul. J’avoue que bien qu’elle fut trop grosse à mon goût, j’aurais bien aimé être à sa place, pour goûter le plaisir de fesses si moelleuses…
Deux doigts semblèrent emballer la demoiselle.
L’autre main du monsieur, qui titillait doucement les tétons un peu au-dessus, suspendit son mouvement et s’aventura sous l’oreiller. Il en sortit un gode de taille hélas normale (dans l’état où j’étais, j’aurais aimé la voir se cambrer de délices sous les assauts d’un bon gros monstre de 30 cm sur 6 !)
Il l’enduisit de lubrifiant et l’enfonça doucement dans le trou qu’il avait un peu dilaté. La demoiselle poussait de petits cris et haletait.
Le monsieur fit tourner le gode, doucement. Il le déporta légèrement sur les côtés. La demoiselle paraissait trouver ça à son goût.
Quand le trou fut plus détendu, il la goda gentiment, lentement, sortant le gode et le replongeant sans précipitation.
« Rien à dire, il est plus patient que moi… », songeai-je, au bord de l’éjaculation.
Tout juste si je ne prenais pas des notes ! Mais j’avais les mains occupées.
Je ralentis mon propre rythme, essayant de l’accorder au va-et-vient que l’homme imposait au gode, dans le cul de sa copine. J’essayais de ne pas exploser, voulant me réserver pour le moment où je verrais la bite entrer dans le cul.
En plus, j’apprenais… L’homme imprimait un mouvement irrégulier au gode, tantôt rapide, tantôt lent, tantôt profond, tantôt en surface. C’était lui le maître du gode et il guidait le plaisir de la demoiselle, au lieu de se laisser guider par la montée de ce plaisir. Il m’ouvrait un univers, à moi qui me contentais de garder un rythme régulier et de l’augmenter quand je sentais qu’il fallait l’augmenter !
La demoiselle en devenait secondaire, tant j’étais fasciné par le savoir-faire du monsieur.
Mais il la remit très vite à l’honneur, en se relevant, en retournant la demoiselle et en présentant sa queue entre les fesses qu’il venait de stimuler de si belle façon.
Elle était ramassée sur elle-même, paraissant plus corpulente et pourtant très désirable, les fesses offertes, ouvertes, les yeux fermés.
J’explosai au moment où la queue du monsieur entrait dans la demoiselle.
À titre informatif, je regardai la suite. Un voyeur peut-il sans rougir quitter un poste si intéressant ?
La demoiselle cambrait les reins, priant parfois son amant d’arrêter, puis, après une pause pendant laquelle il lui agaçait les seins et le clito, lui demandait de continuer. Au bout d’un moment, les mouvements devinrent fluides, aisés et plus rapides.
« Mon dieu ,elle va jouir », me dis-je.
Mais elle ne jouit pas, malgré les caresses de son amant sur son clito, ses seins et le traitement de son cul, qu’elle semblait apprécier au plus haut point.
Le dos de l’amant se crispa soudain, il la prit aux hanches, la cambrant davantage et poussa un râle de jouissance.
Un peu ému, je sortis de ma cachette de rideaux, retournai sous la douche et finis de me préparer pour sortir, un peu songeur.
Le lendemain matin, en rentrant de mon habitat nocturne provisoire (une jolie petite brune épilée qui avait refusé la sodomie malgré mes demandes répétées et avait ouvert de grands yeux choqués quand je lui avais demandé si elle possédait un gode), je croisai le monsieur. Je faillis ne pas le reconnaître : ça vous change un homme, des vêtements !.
Il tenait dans sa main un sachet rempli de viennoiserie.
C’est une sensation étrange de voir un homme qu’on a observé à l’œuvre. Pour un peu, je l’aurais arrêté pour lui demander un autographe en hommage à sa dextérité au gode et lui payer un café pour le consoler de ne pas réussir à faire jouir sa copine.
Finalement, je rentrai chez moi me coucher.
Je fus réveillé à midi, par le bruit d’une voiture dans la rue.
J’hésitai… Allai-je espionner à nouveau la grosse d’en face, pour la voir se faire prendre par tous les trous, sans parvenir à jouir, ou bien allai-je replonger dans mon sommeil ? Ma trique ne me laissa pas le choix.
Je retrouvai mon poste derrière les rideaux.
Je fus déçu : elle dormait dans son lit, le corps recouvert de sa couette. J’aurais bien aimé me branler en voyant ses grosses fesses et ses énormes seins. La jolie petite brune de la nuit passée était parfaite, mais elle manquait de relief, mes mains avaient envie de pétrir plus de chair que ça.
Je pestais intérieurement contre ma grosse voisine, qui dormait paresseusement à une heure où il aurait été préférable qu’elle se promène nue dans son appartement, en se caressant lascivement les seins, en passant langoureusement sa langue sur ses lèvres et en s’arrêtant parfois pour se mettre à quatre pattes, les fesses tournées vers la fenêtre, ses mains séparant les globes pour que je puisse voir ses trous…
Où était donc le monsieur ?
Le voilà qui arrivait justement. Pourvu qu’il soit en forme…
Il était en peignoir. Il regarda sa copine dans le lit, un petit moment. Puis baissa doucement la couette. Je pus me repaître de toute cette peau et de tous ces bourrelets.
Elle dormait sur le ventre et pour une fois, le monsieur ne me bouchait pas la vue avec ses fesses. Je pus donc admirer la courbe de son cul.
Le monsieur admirait lui aussi. À force de les mater, il me semblait qu’on était deux vieux potes en train de regarder cette belle grosse dormir, avant de se la partager. Sauf qu’elle n’était qu’à lui, je n’étais que passager clandestin dans leurs jeux !
Il ôta son peignoir et en retira la ceinture. Il en tint un bout, roulé dans sa main et fit courir doucement l’autre bout sur les fesses dodues de la demoiselle. La ceinture l’effleurait à peine. La caresse était délicate. Il fit courir la cordelette sur le dos dodu de sa copine. Elle frémit, encore dans les limbes du sommeil. Il continuait son jeu, promenant l’extrémité de la ceinture sur le dos, les fesses, les cuisses, la laissant pendre entre les cuisses qui s’écartaient un peu.
La demoiselle ne bougeait pas. Je l’imaginais les yeux clos, goûtant la douceur de la caresse.
Le monsieur balança la corde d’avant en arrière. Elle passait entre ses cuisses écartées, certainement mouillées, car les gémissements qui me devenaient familiers avaient commencé. Puis elle passait entre les fesses et continuait dans le dos, allant se perdre sur la nuque, puis redescendait.
Le monsieur la regardait, un sourire aux lèvres, content de la voir se tortiller à sa guise. Il fit ensuite passer sa ceinture de gauche à droite, d’abord sur les épaules, puis sur la taille, puis les fesses, en insistant, en gourmet et puis les cuisses et il remontait, tout doux, attentif aux réactions qui s’intensifiaient.
Il accentua alors le balancement latéral et la cordelette venait buter contre le corps de la belle grosse allongée, ou de bas en haut et elle se heurtait aux fesses, en avant et en arrière.
Plus le gémissement augmentait en volume, plus le balancement augmentait en intensité.
Je me souvins du claquement qu’il lui avait administré, la première fois que je les avais vus. Elle avait protesté, ce jour-là. Là, elle ne protestait pas, bien au contraire.
J’admirais le maître à l’œuvre. Il était en train de parvenir à lui faire accepter une sorte de fessée. Et elle aimait ça !
Ma queue aussi, aimait ce spectacle, tout en douceur, tout en maîtrise. Cet homme tenait les rênes. Je songeai furtivement que lui se serait mieux débrouillé que moi, avec la jolie brune. Il ne lui aurait pas demandé si ça ne la dérangeait pas, une bonne petite sodomie… Il aurait fait en sorte, par des caresses, des mots, que ce soit elle qui se traîne à ses pieds, en lui demandant comme une faveur de l’enculer.
Les halètements de ma grosse voisine m’excitaient autant que la vue de cet homme en train d’augmenter le rythme ; c’étaient des coups, qu’il lui donnait maintenant et elle se tortillait de bonheur. Elle se souleva sur les coudes et cambra les fesses pour mieux recevoir les coups de cordelette.
Il se pencha et sortit le gode de sous l’oreiller. Il embrassa la demoiselle sur la bouche et le lui posa entre les lèvres. Elle se mit à le sucer, comme si c’était son sexe. Moi qui regrettais de ne pas l’avoir encore vue sucer, j’étais aux anges. Je la voyais jouer avec sa langue, titiller chaque recoin du gode, le prendre dans sa bouche, l’enfoncer doucement au fond de sa gorge, le retirer tout aussi lentement, et aspirer, et téter. Elle jouait aussi avec ses dents, mordillant tendrement le gland de plastique, les faisant courir délicatement sur la verge.
On voyait le plaisir sur son visage. On voyait le plaisir de sucer, on voyait le plaisir d’être fouettée et le plaisir de s’offrir aux regards et aux désirs de son copain.
Il rejeta la cordelette sur le peignoir qu’il avait posé au coin du lit et il se pencha pour prendre son jean. Il en retira sa ceinture de cuir. Ma bite tressauta dans ma main.
Ma voisine vit ce qu’il faisait, du coin de l’œil. Je priai pour qu’elle ne bouge pas. Elle eut un long soupir de volupté, elle cambra davantage ses fesses.
L’homme commença à caresser son dos avec la ceinture de cuir. Puis il la frappa, sur les fesses, pas trop fort, mais j’entendis le cuir claquer sur le cul et je vis ses globes tressauter.
Elle laissa échapper un petit cri et murmura :
« MMMM, oui, encore… »
Il continua, à son rythme, augmentant l’intensité des coups. Il la fouettait maintenant avec des mouvements amples. J’étais très excité, mais je regardais attentivement, refusant de m’abandonner au plaisir pour ne pas perdre une miette du spectacle. Il avait une excellente maîtrise du mouvement, lançant son bras avec une certaine élégance et l’abattant vivement. Je remarquai toutefois qu’il ralentissait le geste, pour retenir les coups et ne pas lui faire trop de mal. En la regardant, elle n’avait pas l’air d’avoir mal. Elle feulait sans retenue sous chaque coup, son cul montait à la rencontre du fouet. Il était un peu rouge maintenant.
L’homme arrêta soudain, il se pencha, embrassa les fesses de la demoiselle et partit dans l’autre pièce.
La demoiselle resta un moment les fesses en l’air, j’imaginais ses yeux encore perdus dans le plaisir. Puis elle se retourna sur le dos, s’assit avec précaution, se pencha pour voir où était parti son homme.
Il revint et déposa, sans qu’elle les voie, deux pinces à linge sur la table de nuit. Elle lui sourit et il l’embrassa, se coucha à côté d’elle, la prenant tendrement dans ses bras.
Il caressa ses fesses avec sa main, pencha la tête vers ses gros nichons et prit un téton, délicatement, dans sa bouche. L’autre main s’arrondissait autour de l’autre sein, sans parvenir à le recouvrir. La demoiselle laissa aller sa tête en arrière, tendue vers le plaisir que lui procurait son amant.
La main du monsieur quitta le sein, partit à la recherche du gode et l’enfonça calmement, comme une formalité, en regardant à peine, distraitement, entre les cuisses de la demoiselle, mit en route la fonction de vibration et revint vers le nichon.
J’avais rarement assisté à un spectacle aussi excitant. Je devais retenir le plaisir pour ne pas exploser dans un râle libérateur qui les aurait alertés.
La bouche s’activait sur les seins. Il prenait le téton entre ses lèvres, titillait rapidement et fortement avec sa langue, puis aspirait. Il mordillait aussi, de plus en plus, jouant à prendre le mamelon entre ses dents et à tirer, je voyais le sein remonter, se déformer et j’entendais le gémissement de la demoiselle s’intensifier. Il faisait le même genre de jeu de pincement et d’étirement avec ses doigts, sur l’autre téton.
Puis il se redressa et attrapa les pinces à linge. La demoiselle ouvrit de grands yeux, me rappelant la jolie brune de la veille, quand j’avais parlé de gode. Il dit quelques mots, que je ne compris pas, probablement pour la rassurer. J’imaginai…
« Chérie, je viens de te fouetter comme une chienne avec ma ceinture, tu as un gode enfoncé dans la chatte, tu mouilles à n’en plus pouvoir, tu te tortilles comme une salope quand je mords tes seins et que je tire sur tes tétons et tu veux me faire croire que deux malheureuses pinces à linge te font peur ? Allons donc ! »
Enfin, je suppose que ses mots ont du être mieux choisis, parce qu’elle se laissa faire, la tête renversée sur les oreillers, le corps abandonné aux désirs de son amant.
Il embrassa un téton, le prit entre l’index et le pouce, le tira vers le haut et y plaça la pince.
Elle grogna un peu, en sursautant.
Il prit alors la pince et l’enleva, léchant doucement le mamelon. Elle le laissa un moment jouer avec sa langue, puis lui parla doucement.
J’imaginai à nouveau les mots, que je n’entendais pas :
« Chéri, tu as raison, pince-moi les nichons, fais-moi mal, traite-moi comme une chienne, j’aime ça. »
Il reprit donc la pince et recommença, bisou sur le téton, pincement, étirement et clac, la pince. Elle grimaça, mais ne dit rien. Il laissa passer un moment, se contentant de caresser doucement l’autre téton. Puis il lui fit subir le même traitement.
Voir cette grosse demoiselle allongée près de cet homme si maître de lui et d’elle, un gode dans la chatte, des pinces sur les tétons, qui bougeaient au rythme de sa respiration haletante, c’était vraiment un grand moment de ma vie de voyeur !
Je me demandai fugitivement si ce monsieur ne donnait pas des cours, par hasard !
Quand elle fut habituée à la douleur, il se mit à califourchon sur son ventre et prit les pinces entre ses doigts. Il les tira doucement vers le haut. La demoiselle souleva son torse, suivant le mouvement, un peu inquiète. Il la calma d’un mot (quelque chose du genre « Laisse-toi faire salope », probablement, mais en un peu plus gentil) et elle s’allongea docilement, le laissant faire.
Il enleva ensuite le gode de sa chatte et le posa à côté, sur le lit. Il releva les cuisses épaisses et la pénétra dans cette position. Il maintenait la chatte très ouverte, les cuisses repliées sur les épaules de la demoiselle, une attitude de domination totale, elle ne pouvait plus bouger, immobilisée par ses cuisses et le poids du monsieur sur son ventre.
Elle le regardait, les yeux grand ouverts, la bouche entrouverte pour trouver son souffle, les pinces s’agitant au rythme de sa respiration. Il fit quelques allées et venues, regardant les nichons se secouer et les pinces remuer. Puis il se retira, reprit le gode, l’enduisit de lubrifiant, et, doucement, l’enfonça dans le cul ouvert de la demoiselle, soumise à ses désirs. Ensuite, très délicatement, il s’enfonça à nouveau dans sa chatte.
J’imaginais les vibrations du gode contre sa queue, à travers la paroi.
Il restait maître de lui, alors que moi, j’avais déjà joui fortement rien qu’en le voyant replier les jambes de la demoiselle. Il prenait son temps. Il attrapa les pinces dans ses doigts et les tira à nouveau vers le haut. La demoiselle criait de plaisir. Il tordit un peu les pinces, puis plus fort et donna un grand coup de rein pour s’enfoncer en elle. Je crus qu’il avait joui, mais non, il continuait. Elle non plus, d’ailleurs, mais je doutais qu’elle y arrive. Elle ne semblait pas s’en offusquer et prenait quand même du plaisir.
Il continua ainsi pendant un long moment, alternant la douceur des coups de rein, leur profondeur et la douleur des pinces.
Puis je perçus une variation dans les gémissements de la demoiselle. Elle semblait ne plus apprécier autant ce traitement de choc.
Le monsieur le sentit aussi et il retira doucement les pinces. Il rabaissa un peu ses cuisses, les maintenant très écartées, mais les empêchant de bloquer la demoiselle dans l’attitude de soumission qu’il lui avait fait prendre. Il ôta le gode, avec douceur.
Il pencha la tête et lécha alternativement les deux tétons, avec une grande douceur. Les gémissements recommencèrent, plus sereins. L’homme la prit plus rapidement, pompant, les deux bras appuyés de part et d’autre de sa tête.
Puis il se pencha et l’embrassa doucement. Il donnait des coups de rein amples, sortant presque entièrement et replongeant entièrement en elle, parfois lentement, parfois presque brutalement, et toujours il embrassait sa bouche, son cou, ses seins.
Il s’enfonça tout à coup très profondément et gémit, puis se laissa aller contre elle, la tête entre ses seins. Elle lui caressa doucement les cheveux, et je me sentis importun.
Je quittai mon poste d’observation, pensif, ma trique revenue m’ouvrit la voie vers la salle de bain.