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n° 08154Fiche technique6523 caractères6523
Temps de lecture estimé : 5 mn
22/11/04
Résumé:  Clémence, femme mûre et veuve, s'offre un dernier plaisir...
Critères:  f fagée cérébral fmast fist
Auteur : Jeff            Envoi mini-message
Clémence


Clémence, assise dans son fauteuil préférée, regarde le feu dans la cheminée. Elle repense que dans un lointaine époque, elle aurait bien aimée faire l’amour devant une telle flambée. Aujourd’hui, veuve et seule dans la vie, elle a passé l’âge de faire des galipettes.


Pour mieux se réchauffer, elle serre son châle autour de ses épaules et cale sa tête contre le dossier. Une main tenant le châle sur ses seins, une main posée sur sa jambe, Clémence, doucement remonte vers son ventre. L’épaisse robe de chambre la gène, elle en écarte les pans et entre au contact direct de sa cuisse. Doucement, elle remonte vers son entre jambe et touche son pubis. Elle écarte légèrement les cuisses et introduit ses doigts entre sa culotte et son sexe. Elle sent les lèvres fanées et flasques qui heurtent ses doigts. Tranquillement, elle remonte une jambe sur l’accoudoir du fauteuil pour mieux se frayer un chemin dans son vagin. Elle écarte les lèvres, légèrement humides, remonte vers le haut de son sexe et touche son clitoris. Le petit gland, avachi dans le haut de sa fente, pend dans son repli de peau. Du bout de l’index, Clémence le frotte, lui appuie délicatement dessus. De temps à autre, elle plonge l’index dans sa chatte qui commence à mouiller puis remonte vers le clitoris afin de l’exciter, lui redonner la vigueur de ses vingt ans. Le petit gland, sous les doigts de sa maîtresse commence à se tendre, à sortir de sa réserve de chairs et pousse vers le haut. Il se développe et bande. Maintenant Clémence sent la petite tige dure rouler sous ses doigts. Elle la saisit entre le pouce et l’index et commence un doux mouvement de va-et-vient, masturbant le clitoris comme elle l’aurait avec une queue de male. Elle sent le plaisir gagner sa chatte, envahir son ventre, mouiller son sexe et dégouliner vers son anus.


Sa deuxième main vient aider la première à mieux donner du plaisir à Clémence. Sans difficultés ses doigts viennent écarter les lèvres, maintenant totalement lubrifiées par la cyprine qui coule de son vagin. La glaire épaisse favorise la remontée des doigts dans son sexe. Elle introduit l’index et le majeur dans sa vieille chatte lubrifiée et en les écartant pour donner du volume, elle entame un mouvement de va-et-vient, de plus en plus saccadé, de plus en plus rapide. Sa respiration s’accélère. Le plaisir monte dans son ventre, son clitoris roule sous son doigt, se tend comme une jeune bite. Elle lâche un long soupir en même temps qu’un long jet de cyprine qui vient mouiller abondamment la raie de ses fesses, ses doigts, la paume de sa main et déborde largement sur le fauteuil et la robe de chambre.


Clémence, un doigt sur le clitoris, la main prise dans sa chatte toute mouillée, reprend son souffle après cette jouissance.


Doucement, ses doigts bien gluants de mouille, glissent dans le fourreau chaud de son sexe. Cette douce sensation excite à nouveau son désir. Masturbant toujours son clitoris pour prolonger sa jouissance, elle glisse ses doigts hors de son vagin, caresse les lèvres pendantes et grasses, les écarte, les pince, les fait rouler entre elles. Puis délicatement, elle glisse vers son anus.


Sous ses doigts elle sent l’anneau culier, large et fortement plissé. Elle en fait le tour avec le bout de son majeur, et passe de temps en temps sur l’entrée de son anus. La sensation qu’elle éprouve alors lui lance de grands frissons dans tout le ventre, jusqu’au bout de son clitoris qui se redresse encore plus et durcit sous ses doigts qui le masturbe toujours. Du bout de l’ongle elle écarte l’entrée de son anus. Tout mouillé, le doigt pénètre, est aspiré par le boyau culier. Elle sent autour de son doigt l’anneau se refermer, se serrer et s’écarter au rythme de sa respiration qui se fait de plus en plus haletante. Elle imprime au doigt un nouveau mouvement de piston et pénètre de plus en plus loin dans son cul. La sensation de plaisir monte au fur et à mesure. La main qui branle le clitoris accélère. Le doigt entre de plus en plus loin.


Maintenant Clémence ahane. La jouissance monte, envahi ses reins, son ventre, son clitoris, son cul. Elle lâche un long jet de mouille, une glaire gluante et épaisse qui sort de sa chatte, vient encore plus lubrifier son doigt qui glisse de plus en plus loin dans le trou de l’anus. La cyprine est aussitôt remplacée par un long jet de pisse, chaude qui asperge son poignet, mouille ses cuisses et se répand sur le fauteuil, la robe de chambre et le tapis. Clémence se tord de plaisir. Sa respiration est de plus en plus sifflante, elle crie de plaisir et son cœur bat la chamade.


Clémence, sous la force du plaisir, les doigts frottant de plus en plus fort le clitoris qui bande et qui lui fait mal parce qu’il est trop tendu, a profité du soulèvement naturel de ses fesses, sous l’arc du plaisir, pour s’enfoncer deux autres doigts dans l’anus. L’anneau s’est largement ouvert pour accueillir un nouveau compagnon de plaisir et Clémence leur a imprimé un va-et-vient rapide et profond, qui lui fait toucher le fond de son cul, buttant contre une masse molle.


Sa respiration n’est plus qu’un halètement. Son cœur bat à tout rompre. Le plaisir la fait décharger une fois encore sur ses mains et son fauteuil. Elle éjacule. De la cyprine gluante et odorante, de la pisse chaude et les muscles de son anus semblent vouloir lui broyer la main.


Dans un grand sursaut de jouissance, seules les épaules et le bout des fesses touchent le fauteuil. Clémence est tendue, le dos en arc de cercle. Elle pousse un grand cri de plaisir, ferme les yeux et retombe sur le fauteuil, une main au doigts glissés dans l’anus, une main masturbant son clitoris, rouge et bandé de plaisir, la robe de chambre trempée de mouille et d’urine. Elle ne respire plus. Le cœur vient, dans un ultime sursaut de plaisir, de cesser de battre.


C’est ainsi que l’infirmière trouvera Clémence, le lendemain matin. Devant une âtre où les braises finissent de se consumer, Clémence, les yeux fermés, un léger sourire sur les lèvres, une main sur sa vieille chatte nue, les doigts pris autours de son clitoris, l’autre main sous les fesses, les doigts encore enfoncés dans l’anus. Le voyage de Clémence vers ailleurs avait commencé par une extase, fatale.