n° 08155 | Fiche technique | 16726 caractères | 16726Temps de lecture estimé : 11 mn | 22/11/04 |
Résumé: Nos amours avec Nadia. | ||||
Critères: ffh fbi couple collection fmast journal | ||||
Auteur : Putch (Mes histoires vraies...) |
Je connaissais Nadia depuis 1 an ou 2, on s’etait croisé chez des amis en Lorraine et le copain avec qui j’avais fait le voyage avait un peu tout fait pour l’emballer, malgré la présence de son légitime…
Laurent a d’ailleurs fini par l’emporter puisque quelques mois après il se mettait en ménage avec elle. Je dirais que notre rencontre se passe en l’An 16 je pense, qu’ensuite on se croisa a nouveau de temps à autre en l’An 17, s’étant trouvé un autre ami commun en la personne de mon cher patron de l’époque.
Je travaillais alors comme développeur dans une minuscule mais sympathique société de télématique, vous savez cet ancêtre d’Internet qu’était le Minitel… Je m’occupais entre autre d’un service minitel qu’on disait convivial, donc officiellement tout sauf "rose", et j’étais ce qu’on appelait un "sysop", System Operator, bref le gars chargé de la technique mais vu depuis les utilisateurs du service, le grand manitou, le chef, le boss, bref celui dont on parle et qui est la cause de tous les bugs, de tous les plantages et de toutes les censures… l’homme à abattre. Ou à mettre dans son lit, aussi, ça aidait d’ailleurs.
Septembre de l’An 17, je suis célibataire depuis 2 semaines, je me cloître dans mon appartement, j’ai décidé d’être sage et sérieux, je pense qu’il va falloir que je me menotte sinon je ne répond plus de rien et vais aller draguer toutes les nanas disponibles ou non. Ce qui n’est pas mon genre. Enfin pas comme ça. Je me décide à déjeuner avec Nadia, le pourquoi du comment je ne sais plus. Elle était à l’époque plus ou moins célibataire de ce que j’en comprenais. Je vais dans le fin fond du 15eme arrondissement de Paris, c’est charmant et mignon tout plein, nous déjeunons. Elle me parle de tout et de rien, on en vient à parler de mes cheveux longs, elle me dit « tu devrais les entretenir » je lui répond « oui mais comment », elle me dit « avec du henné par exemple, mais il faut quelqu’un pour te faire le shampoing car c’est très salissant » et je termine par « dis moi où en acheter et je viens chez toi quand tu veux… » Bref comme d’habitude je m’invite chez les gens, chez elle, pour pas dire plus….
Ce soir-là, 1 ou 2 semaines après, nous dînons, nous nous battons un peu sous la douche mais gentiment durant le shampoing, mais pour une raison que j’ignore il ne se passe rien entre nous, même quand nous nous endormons l’un contre l’autre dans son grand lit en mezzanine….
Par une belle soirée d’Octobre de la même année, je me met en ménage (j’ai toujours tout fait en même temps mais là ce fut très précipité…) avec Valérie. Quelques semaines plus tard, je ne sais si je suis l’initiateur du coup de fil ou si c’est elle, nous discutons Nadia et moi au téléphone :
Plusieurs jours sont passés …
Arrivé dans cette charmante ville de Banlieue ou habite Nadia, son petit appartement, certes exigu est très sympa et nous nous y sentons bien. Nous faisons connaissance avec le nouveau copain de Nadia, un gars extrêmement sympathique, cultivé et un futur excellent copain à ne pas en douter (je n’ai aucune moralité…). Je sais que Valérie dévore Nadia des yeux, je ne vois pas trop comment on va faire pour ne pas dormir sur le canapé, vu que son copain est présent et que les parties à 4 c’est pas vraiment notre truc…
Bref on mange, on picole sec, on fini par se coucher, proche de l’ivresse, sur le canapé ! enfin sur un matelas par terre !
Je ne me souviens pas si Valérie et moi sommes tombés comme des masses ou si nous avons fait discrètement l’amour une fois couché, sachant qu’on avait beaucoup bu et qu’en plus Valérie et la discrétion cela faisait 2 à l’époque (depuis elle a appris…. Un peu !), je penche pour la première fin.
Matin, 6h30, le copain de Nadia, Yannick, se lève pour aller au taff. Il nous bouscule, me réveille, et je fais genre je dors et ca ne me dérange pas. 7h30, la porte claque, Nadia qui s’est levée en même temps que son homme revient dans le salon une fois l’avoir accompagné à la porte pour lui souhaiter une bonne journée… J’ouvre un œil, leve la tête, elle se retourne alors qu’elle n’a pas encore grimpé à l’échelle pour rejoindre son lit mezzanine. « si vous voulez vous pouvez monter avec moi la haut, ça sera plus agréable pour finir la nuit… ». Valérie, qui normalement dort comme une masse bizarrement se réveille et se lève ! Bon, ok, je la suis et nous nous retrouvons tous les 3 dans les hauteurs de son lit. Les deux filles se retournent, bref me tournent le dos, et s’endorment ! j’y crois pas…
2h passent je pense, je ne dort que d’un œil, pas à l’aise de sentir ces deux corps chauds contre moi et moi qui forcément pense à plein de choses agréables à faire avec….
Valérie se retourne, fourre son visage contre ma poitrine et dit « bon alors on la saute ? » un peu fort… Toujours aussi délicate… et Nadia de répondre « Mmmmmmmmm ? » et de coller également son nez contre moi… et puis sa bouche contre moi… et puis sa bouche sur celle de Valérie qui avant était sur moi… et puis leur bouche sur mon ventre puis sur mon sexe qui a enfin une vrai raison de se dresser gaillardement !
C’est fou ce qu’on peut faire sur une mezzanine, mais bon un moment plus tard on décide de retrouver le plancher des vaches car un 69 et une pénétration en même temps faut être un Nain de la Moria pour faire ça à 50cm de plafond…
C’était la première fois que je voyais Valérie jouir autant avec une femme, faire l’amour avec elle et non pas juste quelques jeux érotiques de langues et de mains où je finissais par être l’objet central de leur attention. Là je pouvais être simple spectateur et jouir de leur jouissance, je faisais ce que tout homme rêvait et en même temps refusait de faire : je prenais du plaisir avec deux femmes et je laissais la mienne prendre du plaisir avec quelqu’un d’autre, du plaisir sexuel pur et dur, mais d’une part entre deux femmes c’est tellement moins brutal qu’avec un homme que l’on ne peut penser qu’il n’y a qu’une histoire de sexe dans l’histoire, et d’autre part, que je sois présent ou non n’y changerait rien : elle jouissait de l’autre et la faisait jouir, à pleine main et à pleine bouche.
Cette première fois fut le début d’une longue et profonde amitié, d’un amour en fait car il faut l’appeler comme cela, d’un amour non pas passionnel mais d’un amour de la passion…
Nous avons souvent revus Nadia par la suite. Quand je dis souvent, c’est qu’à partir du moment où il me faut plus d’une main et mes cinq doigts pour compter cela devient « souvent », « de nombreuses fois » …
Sa peau acide, sa bouche dévoreuse de sexe, aspirant sans relâche, son souffle court, ses fesses fermes et son corps de liane tendu, ses cheveux longs entre mes cuisses.. et je crois que Valérie a exactement les mêmes souvenirs d’elle.
Les anecdotes ? Elle fut la première que je pénétrai en présence de Valérie. À sa demande d’ailleurs. Depuis une heure ou deux nous nous affairions tous les trois à nous faire jouir, et j’avais du moi-même jouir au moins une fois, en pénétrant Valérie et même si je me souviens bien dans sa position préférée : Nadia allongée sur le dos, les cuisses bien cartée, Valérie sur elle en 69, son sexe posée sur les lèvres dévoreuse de notre partenaire et son visage enfoui entre ses cuisses, et moi la pénétrant. Valérie et moi avons souvent la faculté de jouir simultanément ou tout du moins de s’entraîner mutuellement dans la jouissance, et à trois c’est très souvent pareil. Une fois l’extase atteinte, quelques secondes de repos à voir les filles se caresser doucement et amoureusement me remettent en conditions à une vitesse rarement égalée autrement je dois dire. Et Valérie de proposer : Nadia, tu veux qu’il te pénètre ? Valérie est allongée, les cuisses entrouvertes, les mains malaxant doucement les cotés de son sexe. Nadia est à côté d’elle, à genoux face à elle. Elle me tourne le dos, tourne la tête et me regarde avec un sourire par dessus son épaule. Je viens me coller contre son dos, mon sexe déjà dur frottant entre ses fesses, ma poitrine contre ses épaules, ma bouche vers la sienne qui me rejoint. Elle passe une main entre ses cuisses et l’autre entre ses fesses et attire mon sexe entre ses lèvres, humides et même détrempées. C’est chaud, je pousse, cela rentre c’est serré et accueillant, bien que très glissant. Mes mains se posent sur ses petits seins, ma bouche laboure sa bouche pendant que mon sexe fait doucement la même chose à sa chatte. Valérie s’occupe seule et nous regarde, dévore des yeux la scène en se masturbant activement le clitoris. Elle mouille ses doigts en les rentrants dans son sexe pour mieux revenir sur son bouton. Elle mange des yeux Nadia qui commence à gémir, elle s’excite de me voir excité et par ma jouissance à venir. Nadia tombe à quatre pattes, je pose une main sur sa nuque et pousse sa bouche vers le corps de Valérie, vers son ventre et ses seins qu’elle lape goulûment. Mon sexe la pénètre au fond, de plus en plus vite, la défonce en une lente agonie de jouissance et je vois et entend Valérie qui vient elle aussi, qui n’en peu plus de se branler et joui sans retenue aucune, ni dans son corps ni dans ses gémissement qui deviennent des hurlements, et Nadia s’effondre entre nous, repus de mon sexe explosant et de sa jouissance.
Et maintenant quels souvenirs d’avec Nadia ? Ceux qui m’ont le plus marqués. Sexuels, bien sûr, chaque fois que je la vis ce fut le principal thème de la rencontre… mais pas tout le temps. Alors réfléchissons…
Interview de Valérie en direct pendant la rédaction de cet article :
« Lors de sa dernière visite à la maison, on commençait à s’échauffer en t’attendant, tu étais au bureau et nous t’attendions… ça a commencé par un effleurement de mains, sans en avoir l’air… les doigts se mêlent, un sourire fleuri sur nos visages, les regards s’accrochent et on se comprend à demi-mot… on se dirige vers la chambre, pour te faire une petite surprise… quand soudain :
L’interphone sonne et ma chère mère débarque avec une de mes soeurs… le pire, c’est qu’elles ont tellement squatté, que Nadia a du partir pour rentrer chez elle… dégoûtée »
Voilà ce qui me revient en mémoire, ce qui NOUS reviens.