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n° 08156Fiche technique20200 caractères20200
Temps de lecture estimé : 12 mn
22/11/04
Résumé:  Ma visite à une prostituée et l'invitation à une autre de venir se joindre à nous.
Critères:  ffh prost poilu(e)s hsoumis odeurs fellation cunnilingu yeuxbandés
Auteur : Jeannot  (Provincial étudiant nostalgie des nuits parisiennes)            Envoi mini-message
Les yeux au bout des doigts


Cette soirée d’août s’avérait décidément encore tiède; il avait fait si chaud aujourd’hui à Paris comme une belle journée d’été. J’étais monté à la capitale comme tous les mois pour le travail et, je n’avais pas perdu mon temps puisque j’avais signé un contrat représentant quasiment une année de mon salaire.


J’avais décidé de sortir ce soir malgré la fatigue . Je crois que j’avais une envie de baiser qui me serrait le ventre et sûrement besoin d’une récompense que je souhaitais m’offrir.


Visiblement , j’avais besoin qu’une prostituée me prenne en mains, aussi je me rendis rue St Denis en pensant trouver ce que je cherchais. Le début de soirée se passa en une petite halte dans un vidéo-shop histoire de me mettre dans l’ambiance. Je crois que mon choix se porta sur une vidéo anglaise où les filles s’évertuent à s’exhiber en train de pisser en pleine ville, soit dans les parcs, soit derrière les voitures. Vraiment pas froid au yeux, les filles ! Moi en tout cas, cela m’avait fait monter la température avant d’aller baiser.


Il était maintenant autour de 23 heures au moment où je ressortis pour reprendre ma quête. Le haut de la rue n’était maintenant plus très loin. J’essayais de faire le point dans ma tête sur mes envies de sexe pour ce soir. Il est vrai que mes poches s’étaient remplies aujourd’hui et que je pouvais envisager un petit extra. Je crois que j’avais envie une fois de plus d’exotisme. Les belles étrangères aux formes généreuses arrivaient premières au box office de mes fantasmes, et je savais que j’aurais le choix avec les africaines, nombreuses, et quelques maghrébines qui tapinaient dans ce quartier. Sans parler des Françaises qui pouvaient très bien emporter mon choix au dernier moment.


Je commençais donc ma prospection érotique en reluquant les blackettes, toujours discrètes en t’adressant un petit « Tu viens chéri… ». Mais elle ne m’attiraient pas vraiment sauf les plus grandes peut-être, qui arboraient souvent des plus grosses poitrines et des grosses fesses correspondant à mes désirs d’abondance. Je fis un tour aussi rue Blondel sans vraiment pouvoir faire mon choix ; il est vrai que plusieurs auraient fait l’affaire mais une seule devait l’emporter. Je repensais à Nadia avec qui j’étais monté quatre mois plus tôt, et qui m’avait donné pas mal de plaisir et entièrement satisfaction. Je me souviens que nous avions parlé de la possibilité de faire venir une autre fille pour baiser devant elle et avec elle.


Voilà, mon choix était fait. Nadia m’avait glissé son numéro de portable pensant avoir flairé un bon client. Aussi, je décidais de l’appeler car je ne l’avait pas vu devant son entrée. Elle possédait son studio et, en bonne call-girl y attendait parfois sa clientèle . Elle répondit tout de suite et me donna rendez-vous dans l’instant.



Ce n’était pas un vain mot. Et je repris



Elle était d’accord avec ce plan surtout que je lui avais alloué une somme raisonnable. Puis elle me dis :



Nadia avait résumé le scénario que j’avais imaginé. Je commençais à être vraiment excité à l’idée qu’elle allait faire venir une fille que je ne connaissais pas et que j’allais pouvoir la prendre devant elle.


Quand elle revint : elle me dit qu’elle avait trouvé celle à qui elle pensait et que nous ferions comme prévu. On pouvait monter. Nadia me précédait et quelques marches derrière, j’observais ses grosses fesses qui tendaient le cuir noir de sa minijupe, les jambes étaient gainées de bas résille et je découvrais parfois la chair laiteuse qui débordait légèrement en haut de ses cuisses. Elle portait visiblement une petite culotte très resserrée sur la fente de son cul, mais rien à voir avec un string. Cela n’avait rien pour me déplaire car je préférais le charme d’une petite culotte classique et cotonneuse à la raréfaction textile du string entre les fesses.


Dans sa studio, après qu’elle m’eût décrit le charme qu’elle attribuait à sa copine. Je lui donnais son argent en lui disant que je mettais 100€ de plus que leur tarif, et qu’elle se charge de partager avec sa collègue. En me remerciant, elle me demanda ce que je voulais.



Elle était d’accord. Je la fis venir devant moi et commença à lui caresser la poitrine au travers du chemisier. Sa lingerie très fine tenait ses seins opulents, bonnet D sans aucun doute ! Les premiers boutons furent défaits sur le champ. Je glissais maintenant les doigts entre la dentelle noire et la peau laiteuse de son nichon gauche tandis que mon autre main caressait ses hanches et ses fesses. Pendant que je titillais le téton qui grossissait, je soupesais un moment son volume mammaire, Nadia me caressait la bite au travers du jeans qui avait pris un volume considérable (pas Nadia non, mon sexe bien sûr !) ce qui m’impatientait. Nadia le compris et elle baissa carrément mon pantalon et mon slip pour me la caresser du bout des doigts.



Nous étions maintenant quasiment nu l’un et l’autre, Nadia exhibait ses gros seins qui pendaient un peu, maturité oblige, marqués d’une aréole foncée et de pointes comme de gros petit pois, toutes rondes et érectiles. Elle présentait des formes généreuses, une taille assez fine qui soulignait ses hanches sans lui faire des trop grosses fesses . Sa petite culotte rouge lui enveloppait la chatte et soulignait légèrement le sillon de sa fente ; une petite tache de mouille marquait le dessous de son vagin. Quelques poils courts dépassaient et signifiaient qu’elle taillait ses poils sans les raser. Je la repris en main debout en la prenant dans mes bras pour lui peloter le cul et frotter ma bite dressée contre son bas ventre.



Ouvrant l’étui , elle prit le préservatif et posa le réservoir sur ses lèvres et entreprit de me l’enfiler avec la bouche. Quel professionnalisme ! Elle suçait alternant, les délicats coups de langue et la mise en bouche tandis que ses mains s’affairaient l’une sur mes couilles, l’autre dans ma raie des fesses cherchant apparemment mon petit trou avec un doigt. Je lui caressais les cheveux et descendit sur sa poitrine. Le tout m’excitait dur et je ne pus m’empêcher de soupirer et souffler. Je dus lui proposer de s’arrêter un instant car je sentais monter la sève, compte tenu de mon excitation du moment, et celle de ma tête qui pensait à ce que j’avais envie de faire.



Je m’allongeais en travers du lit, la tête au bord regardant le plafond et la fit venir au-dessus de moi pour sentir son entrejambe que je pressentais odoriférant. La première impression fut la bonne. Nadia portait sa culotte depuis ce matin et elle vint la poser délicatement sur mes narines. Mon cœur battait mes tempes et la chaleur de sa peau irradiait mon visage. Nadia mouillait son fond de culotte qui exhalait une odeur délicate mêlant urine, sueur et excitation ; le cocktail qui remettait mon sexe en extrême tension. Je continuais à renifler cette odeur de femme chaude en glissant un doigt pour soulever le tissu et caresser son minou. Je voulais, maintenant au paroxysme de sa sollicitude, lui rendre le plaisir qu’elle me donnait car elle avait repris ses caresses des doigts sur mon sexe dur. Je doigtais la chatte en écartant sa culotte pour la léchouiller. Elle ruisselait de mouille. J’avais rarement vu cela d’une prostituée. Aussi, j’appuyais ma caresse en rentrant deux doigts que j’agitais de plus en plus vite. Son vagin bouillonnait et faisait « fioc, fioc… » en sécrétant de plus en plus de cyprine . Ecartant culotte et petites lèvres ( par ailleurs très discrètes chez elle et légèrement ourlées de foncé) , je finis de la branler pour entreprendre un léchage en règle qui la fit souffler et gémir. Elle feignait sûrement , mais cela faisait partie du jeu.


Je lui demandas de se mettre à quatre pattes . J’avais envie d’admirer son cul et sûrement encore de la sucer. Elle se mit en position ; je lui ôtais sa culotte non sans avoir regardé de nouveau l’intérieur de celle-ci les traces éventuelles laissées par sa vulve tout au long de la journée et sentir une ultime fois ce bouquet érotisant. Son cul m’apparaissait bien rond, ses cuisses pleines et généreuses . Je n’en pouvais plus de bander comme un cerf. Je léchas sa fente et, écartant le globe des fesses, avec les deux mains, je lui fis une feuille de rose sur son petit trou. Le désir de la prendre me taraudait maintenant.



A peine quelques va-et vient profonds car je m’étais enfoncé jusqu’au bout, je me mis à jouir. Il faut dire que ses doigts dessous me serraient la base de la bite comme un cigare, ajoutaient à mon désir de juter. J’avais l’impression de me vider complètement. Je finis hors d’haleine et comblé de plaisir allongé sur elle sentant déjà ma queue se rétracter.



Elle m’enleva la capote copieusement garnie, me passa un mouchoir en papier et me proposa de passer au cabinet de toilettes pour me rafraîchir.



Rien qu’à me dire cela, mes sens s’étaient remis en alerte et la perspective de la suite m’impatientait déjà. De retour dans la chambre, Nadia m’annonça que la visiteuse serrait là dans 10 minutes environ. Juste le temps de préparer se venue. Nadia avait ré-enfilé sa culotte et passé une nuisette transparente super sexy avec ses gros nichons aux bouts dressés dessous.



Nadia prépara un collant noir pour faire un bandeau. Je crus que j’entendais monter, c’était sans doute elle. Mes palpitations repartaient de plus belles me mettant dans un état agréable de surexcitation, bien que ma bite restait encore petite et molle. Elle frappa délicatement à la porte.



Je compris qu’elle lui expliquait la situation et lui remettait l’argent convenu. Nadia revint vers moi pour me bander le yeux. Moi, j’étais dans un état second sentant Nadia qui s’affairait et les yeux de Rania posés sur moi.



Nadia jouait très bien le jeu. Je commençais par caresser les cheveux de l’inconnue qui me semblaient coiffée épais et bouclés. En parcourant son visage, je ne me rendis pas vraiment compte de ce à quoi elle ressemblait . Son cou était fin et doux, ses épaules graciles , de taille moyenne . Mais quand j’arrivas sur ses seins, mon désir remonta d’un cran. Sous sa robe courte, légère, sans soutien-gorge, elle possédait des seins de taille moyenne légèrement pendants. De bons nichons au toucher. Son ventre dodu et rebondi , ses hanches bien larges me faisaient penser au corps d’une danseuse du ventre. Nadia me dis en me voyant m’affairer.



Le charme érotique de Rania s’opérait sur moi. Il faut dire que j’étais déjà bien excité, aveugle que j’étais.


Mon exploration passa sous sa robe sur ses grosses fesses un peu cellulitiques enserrées dans une culotte bien coupées qui lui rentrait un peu dans la raie. Il faut dire qu’elles étaient aussi rondes que ses hanches.


Mes doigts s’immiscèrent sous l’élastique de son slip, lissant en descendant la raie de son cul. Je titillais son petit trou tourmenté et finit sur le début de ses grandes lèvres déjà humides. Ma main droite ressortit pour que je sente :c’était délicieux ! Puis, elle repartit en exploration sous la robe sur le devant, passant les doigts entre les cuisses rebondies. Je découvris son Mont de Vénus proéminent et des grandes lèvres dodues. Rania était énormément poilue puisque que je sentais sa toison dépasser de sa culotte et couvrir ses cuisses ainsi que son petit trou.


Nadia m’avait remis d’aplomb et Popol était de nouveau au garde-à-vous. Je n’en pouvais plus ; il me faisait mal et je voulais en savoir plus. Nadia s’en aperçût.



Je m’allongeais sur le dos, la tête bien au bord du lit et je sentis s’approcher Rania . Elle vint s’ accroupir sur mon visage. Son odeur était puissante. C’était celle de la journée avec toute la mouille et les fins de petits pipis. Ma bite se tendit encore plus tandis que j’écartais avec un doigt l’élastique pour titiller sa vulve poilue. Ma langue entra en action dans les poils dépassant sur sa cuisse puis sur ses grosses lèvres odoriférantes. Mon doigt découvrait maintenant la fente noyée dans la toison mais surtout les petites lèvres développées et humides comme des escalopes. Et je léchais alternant langue pointue et langue plate pour l’exciter et mieux la déguster. Rania bougeait son bassin ,témoignage de son plaisir qui naissait.


Nadia avait déjà enfilé ma bite dans une capote et me fit relever les genoux pour mieux me tripoter les couilles. Je sentais même qu’elle s’approchait de mon anus qu’elle pénétra du bout d’un doigt. Je demandais à enlever mon bandeau pour découvrir mieux cette chatte que je caressais. Nadia reprit son rôle de médecin.



Je découvris de mes yeux la belle Rania. Très typée aux cheveux bruns bouclés, elle était toute en fesses avec des seins en goutte d’eau. Les aréoles bien brunes et bien larges entouraient un mamelon très fin et pointu. Elle était vraiment désirable et jolie.


Nadia la fit mettre à quatre pattes devant moi et écarta les gros globes fessiers avec ses deux mains.



Je voyais en réalité sa chatte maintenant épaisse et poilue. Ses petites lèvres hypertrophiées débordaient des grandes et, liserées de brun, elles contrastaient avec le rose vif de sa vulve qui s’écartait. Allongeant la langue , je me remis à lui lécher méthodiquement le minou et en remontant, son petit trou.


Nadia repris ma bite pour la branler sous moi et préparer le pénétration qu’elle ne tarda pas à commander. Mon bas ventre me serrait, le besoin de décharger reprenait.



Et elle écarta de l’autre main la vulve humide. Elle branla encore ma bite un instant et l’approcha en l’introduisant délicatement le gland entre les lèvres luisantes de mouille.



Elle me poussait les fesses pour me donner le rythme. Elle me triturait aussi délicatement les boules du bout des doigts. Je n’en pouvais déjà plus de ce régime et je sentais le sperme venir. Nadia voyant que les va-et-vient s’amplifiaient me rentra son majeur dans le cul ce qui eût pour effet de me faire partir. Je jutais intensément presque douloureusement en ahanant tellement le plaisir m’envahissait. Nadia finit en une délicate caresse sur mes fesses et je me retirais pour qu’elle libère mon sexe de son étui plastique, non sans avoir remercié Rania de quelques bises sur le dos J’étais comblé. Je demandas de nouveau à sentir la culotte de Rania pour en garder un souvenir olfactif.


Quelques commentaires vinrent conclure notre rhabillage et nous redescendîmes tous les trois. Je quittais mes deux baiseuses avec regrets en les remerciant encore pour leurs talents et leur charme. Nous nous embrassâmes au plaisir de peut-être nous revoir pour le refaire…