n° 08175 | Fiche technique | 15565 caractères | 15565Temps de lecture estimé : 10 mn | 25/11/04 |
Résumé: Me revoilà proche du départ en vacances : comme chaque été, direction le sud de la France... | ||||
Critères: fh hplusag jeunes copains vacances bateau fdomine hdomine voir facial fellation cunnilingu jeu init | ||||
Auteur : Luke Skywalker |
Épisode précédent | Série : Mes Années Vacances Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Me revoilà proche du départ en vacances : comme chaque été, direction le sud de la France.
L’année c’était écoulée sans heurt mais avec une bonne dose de frustration : cela faisait presque 1 an que je n’avais pas revu Véra. Les souvenirs de nos vacances passées et de nos moments chargés d’excitations étaient devenus flous et diffus.
Dans le train qui m’emmenait, je l’espérai, vers 3 semaines de fêtes, de flirt et d’amours, je repensais à Julia.
Je l’avais presque oubliée. Notre première entrevue, ces beaux seins lourd, sa peau dorée par le soleil…
Enfin la gare ! Tous étaient là pour m’accueillir, les amis venus de Paris, de Lyon, de l’étranger, les locaux… et derrière tout ce beau monde, Véra, Sandra, sa sœur et Julia, sa jeune cousine.
Oups ! Trois belles filles dont 2 qui m’avaient remué les sens l’été dernier.
Ce premier soir, nous l’avions dédié aux retrouvailles. Il était prévu que nous nous retrouvions tous ensemble pour boire un bon verre. Mais, avant tout cela, direction l’appartement afin de poser les valises et de se rafraîchir.
Mais, cette année, pas d’appartement. Mon ami avait du consentir à lui donner un coup de jeune, et me proposa de m’installer dans le petit voilier qui lui appartenait et qui était amarré dans le port d’à côté.
Parfait ! une vraie petite maison rien que pour moi.
Première soirée formidable. On discutait tous, on riait, on se racontait nos histoires de l’année…
La fin de la soirée se déroula en boite de nuit. Véra et Julia nous accompagnaient et je sentais déjà pointer la jalousie dans les yeux de quelques unes de nos amies à l’idée de devoir être en concurrence avec d’aussi jolies filles.
Quelques verres plus tard, je n’avais toujours pas dis grand chose à Véra. Julia, quant à elle, était partie avec un jeune homme qui l’avait draguée toute la soirée faire le « tour de la boite ».
Le petit matin se rapprochait : je regardais discrètement le groupe de filles qui nous accompagnait : il y en avait pour tout les goûts : des grandes, des fines, des petites, des sportives. Toutes s’étaient fait une beauté, mettant en avant leurs attributs physiques qu’elles pensaient les plus sensuels.
Il y avait cette jolie blonde, un peu timide qui sortait avec un nouveau du groupe. Elle s’appelait Amélie. J’avais passé une partie de la soirée à lui parler. J’en avais bien entendu profité pour la détailler discrètement. Son parfum m’attirait particulièrement, mélange de musc et de fleurs. Elle était très certainement fière de sa poitrine qu’elle mettait particulièrement en avant et elle avait bien raison. Petite, elle n’en avait pas moins la taille fine, les jambes menues et les fesses bien dessinées.
Dommage, me disais je à la fin de la soirée, sachant qu’il faudrait que je trouve une autre déesse.
Il était temps de rentrer. Véra vint me voir, sursaut d’excitation et d’espoir sans raison :
« Je rentre, me dit elle, je ne sais pas où est partie Julia. Peux tu t’occuper d’elle ».
M’occuper d’elle ??? Je me disais qu’il y avait certainement quelqu’un qui s’en occuperait bien mieux que moi.
Bonne poire, et bon dernier du groupe de copains dans la boite, je fis un tour pour retrouver la jeune cousine.
Derrière un poteau, je la surpris en train d’embrasser langoureusement le garçon avec qui je l’avais vu partir.
Ayant été repéré, je n’hésitais pas à lui dire que tout le monde était parti et qu’il fallait que je la ramène !!!
Le port et ma nouvelle maison de vacances n’étaient qu’à quelques 300 mètres de la discothèque.
Je n’avais à vrai dire, aucune envie de prendre la voiture que mon ami m’avait prêté pour la ramener chez sa cousine qui ne m’avait même pas regardé de la soirée.
Arrivé au bateau et voyant qu’elle ne se décidait pas à lâcher la main de sa conquête, je lui dis bonne nuit et rentrait me coucher. Après tout, elle n’avait qu’à se débrouiller, appeler un taxi ou faire ce qu’elle voulait. La mauvaise humeur me rattrapait.
Les écoutilles fermés, je m’installais dans la petite cabine pour une courte nuit, en espérant qu’elle me fasse oublier la frustration de cette fin de soirée.
Le lit plutôt grand mais de forme triangulaire, se trouvait à l’avant du bâteau, sous la cabine de pilotage. Pas beaucoup de place au-dessus des draps, je du presque ramper pour m’installer.
10 minutes plus tard, j’entendis Julia qui rentrait dans la cabine. Elle avait donc éconduit son prétendant, pensais je.
Faire semblant de dormir profondément était, je pensais alors, le meilleur moyen de ne pas lui donner envie de me réveiller pour jouer au taxi.
C’est ce qui se passa en effet. Mais, au lieu de disparaître, elle décida, qu’il était plus simple d’attendre le matin en passant la nuit ici.
L’œil entrouvert et légèrement excité, je la vis récupérer un de mes débardeurs, se déshabiller en ne gardant que sa culotte. Je ne vis que son dos et ses jolies fesses.
Elle s’aperçut simplement à ce moment, que la couchette d’appoint n’était pas prête.
Je la vis hésiter un instant, regarder dans ma direction.
Elle finit par se rapprocher et tout comme je l’avais fait avant, se mit à ramper pour se glisser sous les draps, à l’autre extrémité du lit.
Première nuit ici et première jolie fille dans mon lit, mais pas comme je l’avais espéré.
Elle ne tarda pas à s’endormir, alors que je restais parfaitement éveillé, excité par cette situation pas trop prévue.
Je me rapprochais sans bruit. Le petit jour qui pointait amenait une très légère clarté dans la cabine.
Je décidais de l’observer pendant son sommeil. Elle avait des traits doux et de jolies lèvres assez épaisses.
Le débardeur, dans les quelques mouvements qu’elle avait fait en s’endormant, n’était plus tout à fait ajusté, me laissant entrevoir parfaitement la blancheur et la rondeur d’un de ses seins.
Je résistait à la terrible envie de le toucher et soulevait les draps. Le tee shirt était remonté me laissant voir une culotte de jeune fille.
Je devinais son pubis sous la fine étoffe de tissu.
J’avoue, j’étais complètement excité.
Pris d’une idée coquine, je l’appelais doucement : 1 fois, puis 2, 3 et enfin 4.
Elle ne répondait pas et dormait profondément.
J’approchais alors une main de son sein et effleura son téton avant de retirer rapidement ma main et de simuler le sommeil : Rien.
Je recommençais ce manège une nouvelle fois : toujours rien.
J’appuyais alors un peu plus ma caresse. Sa peau était douce.
Je soulevais les draps et posa mon index dans son entrejambe en guettant son réveil : encore une fois : Rien.
J’appuyais un peu plus sur l’étoffe, puis encore un peu encore.
Au bout d’un instant, je sentis une légère chaleur et un trait d’humidité sur son slip.
Je frottais délicatement mon doigt entre ses lèvres qui doucement s’entrouvraient.
Immédiatement, je m’installais en position sommeil simulé, mais Julia ne se réveillait toujours pas.
Je repris mon inspection en appuyant toujours un peu plus mes caresses au niveau de sa petit culotte jusqu’à ce que l’étoffe rentre légèrement dans sa fente.
Il fallait tout arrêter, je ne tenais plus.
Péniblement, je trouvais le sommeil.
La « nuit » fut de courte durée, quelques heures tout au plus.
J’ouvrais les yeux après Julia qui était en train de s’étirer à l’autre bout du lit.
« tiens, tu as dormi ici ? » fis je innocemment.
« Oui, je suis désolé, je n’ai pas osé te réveiller pour te demander de me ramener et vu que le lit d’appoint n’était pas préparer, je me suis permis de me glisser dans ton lit »
« Tu as bien fait, et puis d’ailleurs, l’autre matelas n’est pas très confortable, paraît-il ! »
« Ca t’ennuie si je dors ici de temps en temps ? C’est pas très grand chez mes cousines et c’est un peu loin ! »
« Pas de problème, si tu ne remmènes pas tes conquêtes » lui répondis je avec un clin d’œil.
« Oh, tu veux parler du garçon d’hier soir ? Je lui ai dis qu’on ne se reverrait pas »
Elle était superbe : les cheveux en bataille, ses beaux yeux bleus me regardant presque timidement… et ses seins, merveilleux ! Ils tendaient doucement le débardeur qui les dissimulait tout juste.
Nous sommes restés ce matin là à discuter tout en déjeunant.
Dans le courant de l’après midi, elle quitta le bateau pour aller récupérer quelques affaires chez ses cousines.
Il était 19H lorsque elle revint avec 2 grosses valises.
Elle avait vraisemblablement prévu de s’installer ici pour les vacances.
Le soir venu, quelques amis nous avaient rejoint pour l’apéritif , un peu étonnés de voir notre étrange couple les accueillir.
La fatigue de la veille ne tarda pas à se faire sentir et, alors que nos derniers invités nous quittaient, je me réjouissais déjà à l’idée de la nuit qui m’attendait.
L’apéro s’éternisa un peu alors que nous n’étions plus que tout les 2. Julia commençait à rougir sous l’effet de l’alcool. Il était à peine minuit lorsqu’elle me déposa un baiser sur les joues en me souhaitant bonne nuit.
« Je vais installer le second lit et puis au dodo ! ».
« Je ne vois aucun inconvénient à ce que l’on dorme tous les 2 dans la cabine, tu sais ! A toi de voir »
Elle descendit pendant que je fumais une dernière cigarette sous le ciel étoilé.
15 minutes plus tard, je la trouvais allongée dans le grand lit de la cabine.
J
e me déshabillais à mon tour, espérant secrètement qu’elle n’en perdait pas une miette.
J’osais jusqu’à me glisser nu sous les draps, réellement fatigué par la courte nuit de la veille et fermais les yeux.
Etrangement, et peut être du fait de l’excitation d’avoir cette si jolie fille à côté de moi, le sommeil ne venait pas.
Cela faisait 10 bonnes minutes que Julia bougeait à mes côtés lorsque je l’entendis prononcer mon prénom. Alors que je ne répondais pas, elle m’appela à nouveau à 2 reprises.
Je décidais de feindre le sommeil alors que je la sentais en train de m’observer.
Je sentis les draps bouger et ne pu contrôler le début d’une érection.
Sa main effleura alors l’une de mes cuisses avant de disparaître précipitamment.
Elle m’appela à nouveau sans que je lui donne une nouvelle fois la moindre réponse.
Sans le savoir, elle se livrait au même jeu que moi la veille.
Cette fois-ci, alors que mon sexe grossissait, elle posa doucement sa main entre mes cuisses avant de saisir ma verge entre ses doigts. Continuant à feindre le sommeil et imitant un léger ronflement, je la sentis s’enhardir et entreprendre un léger mouvement de masturbation.
Elle avait à présent retiré le drap jusqu’à la mi-cuisse. Mon sexe était à présent dressé. Entrouvrant un œil je vis son visage tourné vers mon entrejambe. Je sentais le plaisir qui montait en moi et ne savais plus si je devais arrêter cette situation ou la laisser aller jusqu’à l’explosion.
Alors qu’elle continuait à me masturber avec une infinie douceur, je la vis se rapprocher un peu plus près de mon sexe en entrouvrant la bouche.
Elle s’apprêtait donc à recueillir ma semence, ce qui me libéra complètement.
J’éclatais puissamment : un premier jet lui aspergea le visage puis elle recueilli la suite de mon sperme en pleine bouche avant de se recoucher précipitamment alors que je poussais un râle de soulagement.
Le sommeil me pris subitement.
Je me réveillais le lendemain matin alors qu’elle dormait profondément. Elle était toujours aussi belle. Son tee-shirt était roulé en boule à ses côtés. Je tirais doucement sur les draps jusqu’à ce que je puisse admirer ses jolis seins.
Satisfait, je partis pour une bonne douche. Julia s’était levée entre temps.
« Bien dormi » me dit elle avec son sourire timide.
« Très bien, et j’avoue que j’ai fais des rêves surprenant » lui répondis je, la faisant rougir.
« Tu ne t’es pas réveillé cette nuit ? » essaya t elle doucement.
« Non, j’ai dormi d’un trait comme un bien heureux. »
Notre discussion du matin s’arrêta là ce jour, puisque je devais rejoindre quelques vieux amis à la plage.
« A ce soir, Julia. On se voit après dîner ? » et je m’éclipsais.
Je repensais toute la journée à cette nouvelle nuit passée avec elle sans que nous ayons échangé le moindre baiser, la moindre caresse volontairement appuyée.
Je rentrais tard le soir.
Julia était couchée. Je me glissais sous les draps après mettre complètement déshabillé et fus surpris de la découvrir entièrement nue. Alors que je tentais discrètement de me rapprocher de son corps, je sentis quelque chose sous ma cuisse. Glissant la main, je sentis sous mes doigts un objet de forme longue et droite… C’était une incitation au plaisir.
Cette fois-ci, j’eu beaucoup moins de retenue que la première nuit passée avec Julia.
Je ne savais pas si elle dormait ou si elle m’observait mais me posais peu de question lorsque je lui entrouvris les jambes.
Sa toison était douce et je sentis immédiatement une pointe d’humidité lorsque je glissais un doigt dans son sexe.
Délicatement, je fis glisser un doigt dans son sexe avant de le porter à la bouche. Elle avait ce goût légèrement amer et sucré que j’aimais tant. M’emparant de ce gode improvisé, je l’approchait de ses fesses jusqu’à le faire glisser entre ses jambes écartées. J’entrepris de la masturber avec volupté tout en lui excitant le bout des seins.
Elle n’ouvrait toujours pas les yeux, mais ce n’était plus ce qui absorbait mon attention.
Son corps se tendis alors que je chatouillais du bout des doigts son clitoris tout en poursuivant mes mouvements de masturbation avec l’engin que j’avais trouvé dans le lit. J’étais à présent sûr qu’elle l’avait laissé à mon attention.
Julia poussa un long soupir plaintif lorsque je retirais l’objet de tout son plaisir. Je ne pu m’empêcher alors de boire à la source son jus chaud et si parfumé.
Cette scène m’avait tant excité que je du prendre mon sexe à pleine main. Je me mis à l’ouvrage juste au-dessus d’elle et me masturbais sans retenue. Je senti ma sève monter et me calais juste devant sa fente encore humide de plaisir avant d’exploser. Le jet de sperme parti puissamment en s’abattant sur ses lèvres encore entrouvertes.
Calmé et repu de sexe et d’excitations je m’allongeais après lui avoir effleuré la bouche d’un doux baiser.
Les vacances commençaient tout juste…