n° 08178 | Fiche technique | 23135 caractères | 23135Temps de lecture estimé : 14 mn | 26/11/04 |
Résumé: Rencontre autour de la musqiue | ||||
Critères: fh intermast fellation cunnilingu pénétratio fsodo | ||||
Auteur : Jefranrene (H quarantaine raconte souvenirs) |
L’histoire que je narre ici s’est déroulée dans les années 80. À cette époque j’avais une trentaine d’années, et je travaillais dans le secteur des engrais agricoles. Je parcourais donc la partie Est de la France, de Lyon à la Lorraine, pour placer auprès des agriculteurs les produits de la société. Bien entendu pendant toutes ces années, il m’est arrivé quelques histoires plus ou moins piquantes. Celle que je narre ici fait partie des plus originales que j’ai pu vivre.
Par une chaude soirée de juin, je fis étape dans un hôtel où je n’étais jamais allé, et qui était situé en périphérie de la ville, dans un cadre agréable, loin de l’autoroute. Je pris ma chambre à la réception, et en montant je remarquais, posé sur une étagère dans l’escalier, un accordéon. Il faut dire qu’à mes heures, c’est un instrument que je pratique, et sans un être un champion, je fais danser quelquefois les membres de la famille ou des amis au cours de soirées festives. Cet instrument attira particulièrement mon attention, car il était du type « accordéon piano », c’est-à-dire que le clavier main droite possède des touches comme celles d’un piano, et du même modèle que celui sur lequel j’avais appris.
Je pris ma douche, et alors que je me préparais à descendre - j’avais l’intention d’aller faire un tour en ville-, j’entendis un brouhaha dans le couloir. Il s’agissait d’un groupe d’allemands qui venaient d’arriver, et qui cherchaient leurs chambres. Je passais au milieu d’eux, et je m’arrêtais à nouveau en admiration devant l’instrument que je trouvais en excellent état, et dont j’aurais bien voulu tâter les touches.
Derrière moi un allemand d’une soixantaine d’années, une valise à la main me montrait l’instrument. Il se trouve que je parle assez bien l’allemand, (j’y ai fait mon service militaire), et nous échangeâmes quelques propos. C’est ainsi que j’ai su qu’il faisait partie d’un groupe de touristes originaire de la région de Münich qui allait visiter les châteaux de la Loire. Je le laissais gagner sa chambre, et je posais ma clé à la réception. Je ne sais pas pourquoi j’ai demandé à la réceptionniste l’origine de cet instrument, mais à cet instant le patron, un gaillard d’un mètre quatre vingt dix, et pesant au bas mot ses cent vingt kilos, arriva.
Je lui narrais mon histoire d’accordéoniste amateur, et il me dit que si je voulais en jouer, il n’y voyait aucun inconvénient. Nous en sommes restés là et je suis allé faire un tour en ville, puis vers huit heures demie, je rentrais dîner à l’hôtel dont la table était réputée et assez bon marché.
Les allemands étaient à table, faisant du bruit et, au regard que leur lançaient certains convives, ce n’était pas du goût de tout le monde. Le hasard du placement fit que je me retrouvai à une table voisine de l’allemand qui m’avait déjà parlé dans l’escalier, il était attablé avec un autre homme, et trois femmes, tous dans la soixantaine. Ils me félicitèrent pour ma connaissance de la langue de Goethe, et nous avons ainsi discuté un bon moment de choses et d’autres. Cela avait pour moi l’avantage de maintenir mon niveau d’allemand, et aussi de m’occuper la soirée. Ludwig, c’était le nom de cet allemand, m’invita à l’issue du repas à prendre un verre, une bière en l’occurrence, et avec les autres personnes présentes à la table nous sommes allés au bar.
Je ne sais comment la conversation et venue à la musique, et pourquoi Ludwig fit référence à l’accordéon. Et puis de fil en aiguille, la bière aidant, je proposais de jouer un morceau.
Je demandais à voir le patron, et celui-ci m’accompagna dans l’escalier, prit avec une facilité déconcertante cet instrument, ce modèle assez ancien pesait bien douze kilos, et m’aida à passer et à régler les bretelles.
Je lançais quelques notes pour le prendre en main, puis revenant vers le bar j’y fus accueilli par un tonnerre d’applaudissements ! Je commençais par jouer quelques valses, puis un tango. À chaque fois l’assistance m’encourageait, et à plusieurs reprises, le barman me faisait des signes pour m’indiquer que l’on venait de m’offrir un verre ! Si j’avais du tout boire, j’aurais pissé toute la nuit et au-delà ! Mais cela était fait avec générosité et dans la bonne humeur.
Je me rappelais aussi que mon second professeur d’accordéon était Alsacien, et m’avait fait travailler pas mal de mélodies de son pays ; aussi je commençais par une valse qu’il m’avait apprise, et ce rythme, proche de la musique d’outre Rhin sembla subjuguer une partie de l’assistance. Je me lançais alors dans un enchaînement de ces musiques, et même certaines que j’avais simplement entendues dans des tavernes lors de mon service militaire et qui firent un effet à certaines personnes de l’assistance : une des femmes se leva, et vînt m’embrasser, et se mit à chanter, moi l’accompagnant, sous les flashes de quelques un de ses amis !
La soirée s’avançait, et l’ambiance allait crescendo, tant et si bien que vers onze heures, le patron qui était aux cuisines vînt et semblait très heureux de voir l’ambiance qui régnait alors dans son établissement. Il s’éclipsa, et revînt avec quatre ou cinq bouteilles de champagne !
Je traduisis ceci en allemand, et les « Prosit » fusèrent, entrecoupés de notes de musique. C’est au cours de cet épisode « Champagne » que je sentis la main de la « chanteuse » qui s’était posée sur mon épaule, se crisper légèrement à deux ou trois reprises. Sur le moment je n’y prêtais guère d’attention mais à la fin du morceau suivant, elle m’embrassa à nouveau et me dit quelque chose à l’oreille que je ne compris pas, mais son regard avait tout dit !
Je m’étais fait draguer sans m’en rendre compte ! Dès lors je n’eus d’yeux que pour elle, et elle le sentit aussi ! Elle devait avoir la cinquantaine, encore assez bien conservée, une forte poitrine et un fessier de teutonne ! Mais un visage avec des traits très fins, et un regard à faire bander un impuissant !
L’heure avançait et de temps à autres des gens se retiraient, non sans m’avoir salué, et j’eus droit ce soir-là à de nombreuses bises de la part des femmes du groupe. Croisant leur regard je sentais aussi, dans certains d’entre eux, une forme d’affection que j’aurais bien aimé mener plus en avant…Puis Greta, c’était le nom de la chanteuse, me fit comprendre qu’elle aussi aimerait se retirer, et j’avais compris depuis longtemps qu’elle n’avait pas l’intention de finir seule sa nuit. Après avoir bu une dernière coupe, je déposais l’instrument que le patron se proposa de ranger.
Lorsqu’il dit ceci, je sentis dans sa voix une certaine émotion et après lui avoir serré la main qu’il me tendait, je montais.
Greta m’attendait sur le palier du premier étage, et dès que je fus à sa hauteur, elle se jeta littéralement sur moi, et m’embrassa avec fougue. J’avais du mal à reprendre mon souffle, si nous avions continué ainsi, nous aurions baisé sur le palier ! Finalement, nous avons opté pour ma chambre qui était au second, la sienne étant au quatrième.
A peine entrés j’eus droit à nouvelle séance de baisers, prodigués avec un tel savoir faire qu’ils me donnaient envie de la prendre dans les plus brefs délais ! C’est elle qui prit l’initiative, déboutonnant son corsage, et extrayant elle-même de son soutien-gorge ses seins opulents de couleur blanche, comme du lait.
Je les lui suçais sans qu’elle m’y invite, et cela semblait l’exciter prodigieusement, ses tétons que je prenais alternativement entre mes lèvres, les mordillant légèrement étaient durs comme de la pierre, mais très réactifs à mes câlineries. Pendant tout ce temps, je la sentais occupée à faire glisser sa jupe, puis son jupon, ne gardant que sa culotte, puis elle s’occupa de mon pantalon, de mon slip pour en extraire ma queue tendue et impatiente d’en découdre avec la teutonne !
A peine l’eut elle en main qu’elle s’éloigna un peu de moi, et se penchant dessus se mit à me sucer avec ardeur, seules mes mains continuant à lui caresser ses seins.
Je me décidais alors à faire glisser sa culotte, et debout, face à elle penchée et occupée à me sucer, je découvrais le haut de se superbes fesses. Je réalisais soudain qu’entre les portes de l’armoire il y avait un grand miroir, je la fis se tourner légèrement pour jouir du spectacle qui s’offrait ainsi à ma vue. Je poussai avec mon pied sa culotte vers ses chevilles, et elle comprit fort bien ce que je voulais, elle s’en débarrassa non sans continuer à s’occuper goulûment de ma verge.
Lui faisant écarter les jambes, j’avais alors une vue, par glace interposée, sur son entrejambe, et j’écartais, avant d’y glisser un doigt, les lèvres de son sexe. J’y glissais facilement un, puis deux doigts, et je lui branlais le clitoris en même temps, ce qui eut pour effet de la faire onduler des reins, mais ce qui me surprit le plus ce fut la suite.
Elle relâcha ma queue, trempée de sa salive, et sans la lâcher, elle m’attira vers le lit, s’affala plus qu’elle ne se coucha, et guida ma queue vers son sexe dégoulinant de mouille. Je me mis à la pistonner, tandis que ses cuisses s’étaient repliées, et que ses pieds se croisaient sur mes reins. Plus je la défonçais, plus elle geignait et en allemand c’est pas mal ! Mais si « Oui » se traduit par « Ja », « Hummmpffff » se dit aussi « Hummmpffff » en allemand !
Nos bouches étaient soudées, et soudain, elle ouvrit des yeux comme jamais je n’avais vu, poussa violemment son ventre contre le mien, le fit onduler de l’intérieur, contractant son vagin, tant et si bien que je ne pus résister à ce traitement et je déchargeais en elle qui eut son orgasme à ce même moment délicieux. Ses mains étreignaient mes fesses, m’attirant au plus profond de son être, pour notre plus grande joie. Je sentais sa chatte inondée dégouliner sur mes cuisses, et me retirant, je vis un spectacle auquel je n’étais pas habitué ; son sexe ouvert béant laissait échapper ma semence mêlée à sa mouille qui dégoulinait en suivant le périnée vers son anus. Je passais alors un doigt dans son vagin, puis le fit glisser vers son petit trou, et le lui introduisis. Elle ne manifesta aucun geste de mauvaise humeur, se contentant de remonter ses cuisses encore plus haut, ses mains à hauteur des genoux, elle me laissait lui pénétrer l’anus avec mon doigt.
Il faut dire que j’avais un petit passage à vide après la giclée que je venais de lui mettre, mais je continuais à l’exciter ainsi en attendant des instants meilleurs ! Je changeais alors de position, et me mis au-dessus d’elle, afin que sa bouche se trouve face à ma queue, un peu ramollie, et moi dans une position me permettant de lui exciter les orifices de son corps situé entre ses cuisses. Elle comprit, sans que nous ayons à échanger un quelconque mot, et se mit à m’aspirer la queue qui se remit de facto à bander !
Je ne restais pas inactif de mon côté, et je lui suçais le clitoris, dont le goût porté de nos jus mélangés était excitant au possible. J’en profitais pour astiquer son anus, lequel ne devait pas en être à son coup d’essai, tant la dilatation se faisait avec facilité ! Je sentais que mon érection se développait, que j’allais être en pleine forme pour la prendre par la rondelle.
J’attendis, voulant lui laisser le soin de me donner le signal ; ce ne fut pas long. D’un léger mouvement du corps, elle se tourna, et se mit en position de levrette, offrant à ma vue son sexe ouvert et son anus tout humide de la masturbation que je venais de lu faire subir. J’appliquais alors mon gland sur cette rondelle, et je crois qu’à ce jour c’est la plus facile des femmes que j’aie pénétrées par cet orifice ! Sans forcer, toute ma verge s’immisça en elle, je commençais à la pistonner à nouveau, tandis qu’elle, appuyée sur les deux bras, puis sur un seul coude, se mit à mes caresser les burnes et à se branler le clitoris.
J’ai dit plus haut qu’elle avait un fessier de teutonne, et c’est vrai qu’elle avait les hanches larges. Je me régalais de ce spectacle de ma queue coulissant avec une facilité dans son anus dont le sphincter ressortait en même temps que je reculais, et surtout les ondes provoquées par mon ventre qui venait s’écraser contre ce cul, et qui se propageaient jusqu’à ses cuisses tout aussi imposantes. Ceci dura un bon moment, entrecoupé de ses gémissement qu’elle avait du mal à réfréner, et je sentais que j’allais, pour la seconde fois, exploser en elle. Je me penchais, et lui demandais, par décence, si elle acceptait que j’éjacule dans son cul. Cela lui était égal, et à peine eus-je eu une réponse positive, que ma seconde livraison partait dans son rectum. Elle s’affala sur le ventre. Je me laissais également tomber sur elle, vidé, repus, transpirant à grosse gouttes. Je laissais ma queue revenir au repos, mais son sphincter, qu’elle utilisait à merveille, se refermant, je restai en elle de longues minutes, me contentant de l’embrasser dans le cou, et de lui mordiller les oreilles.
Je n’ai aucune idée du temps où je suis ainsi resté « prisonnier » de son cul, mais c’est moi qui décidai de me retirer, et j’entends encore le « plop » de ma queue quittant ce lieu de plaisir. J’allai immédiatement prendre une douche, et de retour dans la chambre, je la trouvai endormie ; elle s’était glissée dans les draps, sans même aller se laver. Je ne trouvai pas d’autre solution qu de m’allonger à ses côtés, il était une heure du matin passée ! Mes rendez-vous du lendemain, ou plutôt de la matinée à venir me semblaient compromis !
C’est le bruit de la chasse d’eau qui me réveilla, il était six heures un quart ! Greta était dans la salle de bains, j’entendais couler l’eau du lavabo. Je me levai pour aller la rejoindre :
Je l’enlaçai, et pour toute réponse, je posai mes lèvres sur les siennes qu’elle me tendait. C’était reparti ! Mes mains s’égayèrent sur sa poitrine dont les tétons se dressaient comme des obélisques, alors qu’elle était occupée à se laver entre les cuisses. Je lui pris le gant, et sans se parler, je continuais sa toilette. Elle posa un pied sur le rebord de la cuvette, m’offrant une vue imprenable sur sa chatte ; elle était de taille respectable, ses petites lèvres flasques et roses se baladant au gré de mes caresses devant l’ouverture du vagin luisant de mouille dès le matin. Inutile de dire l’effet sur ma propre sexualité !
Je tentais une introduction dans cette position, et j’y parvins, mais Greta était grande, et bien quelle se baissa un peu, nous comprîmes rapidement que l’envie mutuelle que nous avions ne pourrait se faire en ce lieu. Elle se cambra pour laisser sortir ma queue déjà ruisselante de sa cyprine, et elle s’assit sur la cuvette, Elle commença alors une fellation d’enfer ! Je n’avais d’autre ressource que de lui caresser les épaules, descendant mes mains jusque sur ses seins tendus, et tandis qu’elle me caressait les testicules avec douceur, elle passa son autre main entres ses cuisses largement ouvertes, et elle se branla.
Elle sautait sur la cuvette, lorsque j’éjaculais dans sa bouche ce qui parut la surprendre, car elle laissa s’écouler une partie de mes effluves sur sa poitrine, puis sentant que le plus gros était passé, elle aspira les dernières gouttes, malaxant avec toujours autant de douceur mes burnes, les vidant comme rarement elles l’avaient été !
Sa langue continua un long moment à faire le tour de mon gland, il me fut rendu net, comme au premier jour ! Greta me regardait, et je lui tendis mes lèvres qu’elle prit, les siennes étant parfumées de mon sperme. Nous sommes restés un long moment avec nos lèvres soudées, nos langues se cherchant, s’enroulant. Comme elle continuait toujours à se caresser, je n’eus qu’à descendre légèrement pour placer ma main à côté de la sienne, et je lui branlais le clitoris, les secousses qu’elle donnait sur la cuvette étaient impressionnantes, elle m’en mordait les lèvres.
Elle se souleva, se contracta, et repris ma verge en bouche, bien que celle-ci soit complètement flasque tant elle avait été sollicitée au cours des heures précédentes. Son orgasme était impressionnant, sa chatte coulait littéralement, je me demandai même si elle ne s’était pas mise à pisser, tant j’avais la main mouillée. Je portais ma main sous mon nez, et l’odeur de son jus me fit un effet très excitant, même à six heures du matin !
Il lui fallut un petit moment pour se remettre, elle en profita pour continuer à m’aspirer la queue, qui petit à petit reprenait ses esprits ! Je la voyais l’avaler en entier, puis elle s’attachait à aspirer seulement le gland dont elle avait reculé le prépuce, et sa langue passant et repassant dessous, tout cela faisait un effet terrible !
Je la prenais sous les épaules, et lui fit comprendre que je voulais m’occuper d’elle d’une autre façon. Elle me suivit, me tenant par la main, et je la poussai doucement contre le lit. Elle s’y allongeât, les jambes largement ouvertes, écartant son sexe : je savais ce qu’elle attendait !
Je me mis à genoux devant cette partie de son corps, et j’apposai ma bouche dessus, commençant à le lui embrasser, sans négliger d’y introduire ma langue. Autant dire que la teutonne n’arrêtait pas de gémir, et surtout de mouiller, cela lui coulait le long du périnée, le drap en avait aussi sa ration ! C’est elle qui tira sur les lèvres, m’offrant son clitoris dont elle releva le petit capuchon : il était d’une extrême sensibilité, à voir les coups de reins qu’elle donnait lorsque je le titillais avec ma langue, puis ce furent mes lèvres qui l’entourèrent, l’aspirèrent, tandis que je lui avait introduis un, puis deux et finalement trois doigts dans son vagin complètement distendu.
Cette phase de cunnilingus et de masturbation la conduisit à plusieurs orgasmes, et j’en ressentais à chaque fois l’effet a travers du flot de mouille qui s’amplifiant juste avant qu’elle jouisse. Mais moi j’en voulais aussi pour mon Popaul qui était au garde à vous depuis un bon moment ! Aussi je me dégageai, et m’allongeant sur elle je l’enfourrai d’un seul coup, j’ai même cru que mes testicules allaient y passer tant elle était ouverte.
Elle recommença avec ses « Ja » et ses « Hummpff », et lorsque je sentis ses ongles s’agripper à mes reins, je sus qu’il fallait que je procède à une livraison. Je vidais tout ce que j’avait mis en production depuis la pipe matinale, et je ressortis ma verge dégoulinante, (il y avait un long filet de jus reliant mon gland à sa fente ouverte), et remontant m’asseoir sur sa poitrine, je lui offrait celle-ci en guise de petit déjeuner.
« Das ist dein Früstück », (c’est ton petit déjeuner) lui dis-je en la lui glissant entre ses lèvres. Elle me remercia par une toilette labiale qu’elle pratiqua à merveille.
Néanmoins l’heure tournait, et elle me demanda soudain, réalisant qu’il fallait compter avec la pendule, car nous entendions une légère animation dans le couloir.
Un coup d’œil sur ma montre m’indiqua que les sept heures étaient largement passées. Le lui ayant révélé, elle se leva comme une folle, passa sa culotte, sa jupe, son chemisier, et après m’avoir embrassé une dernière fois, elle me dit un « Auf Wiedersehen » (au revoir), plein de nostalgie.
Je restais seul. Allongé sur mon lit, je reprenais mes esprits, tandis que j’entendais les allemands parler sur le palier en train de sortir leurs valises. Je me levai pour aller me passer un coup de gant rapide, mais la nuit ayant été courte, je repiquai un somme, et à neuf heures passées, je sortais de ma léthargie.
Quelle nuit ! Pensai-je en moi-même ! C’est en me levant, et en repoussant une des chaises que j’aperçus par terre le soutien-gorge de Greta, elle l’avait oublié dans sa précipitation ! Je le gardais comme une relique, sachant que je ne savais d’elle, rien d’autre que son prénom : Greta
Je descendis pour prendre mon petit déjeuner, et je passais à la réception, pour demander à ce que l’on prépara ma note. Le patron qui passait à cet instant vint me saluer, d’une vigoureuse, mais chaleureuse poignée de mains, puis se tournant vers la réceptionniste, il lâcha :
Après les remerciements d’usage, je pris congé, mais j’ai longtemps pensé à cette soirée, amusement, amour et tout ça pour…pas un rond !
Bien sûr que je suis revenu, bien sûr que j’ai rejoué de l’accordéon, mais jamais je n’ai connu, dans cet établissement une autre nuit aussi torride que celle avec Greta.