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Temps de lecture estimé : 15 mn
30/11/04
Résumé:  On fête l'anniversaire de la petite Marie. Cela évoque quelques souvenirs pour les adultes.
Critères:  fh alliance intermast fellation pénétratio init
Auteur : Bertrand D  (Rêveur solitaire)            Envoi mini-message
Anniversaire



Le couple et leur fille Isabelle sont accueillis par Paul. Aujourd’hui On fête l’anniversaire de Marie, la fille de Sylvie et Paul. Nadine recherche sa sœur, voilà Sylvie qui émerge de sa cuisine en s’essuyant les mains. Embrassades générales. Les deux couples et leurs enfants sont très liés. Et aujourd’hui c’est la fête. Car pour les quatre adultes les évènements qui se sont déroulés il y a dix ans leur ont laissé des souvenirs impérissables. Mais bien différents pour chacun d’entre eux. Et certains seraient bien étonnés s’ils connaissaient toute l’histoire. Nadine regarde Paul en coin, ce dernier sourit doucement…




.La journée se termine et Paul ramène son car au dépôt. Il est heureux plus que quelques jours de travail : le premier septembre, il est en congé annuel pour un mois. Il a choisi cette période car Sylvie doit accoucher aux environs du cinq de leur deuxième enfant, une fille après un garçon, le choix du roi. Il pourra ainsi l’aider durant toute cette période et surtout garder Lucas. Car son beau père est très malade, un cancer, sa belle mère doit le veiller et ne peut venir s’occuper de leur enfant.

En ouvrant la porte, il voit Lucas qui du haut de ses trois ans lui dit :



Effrayé, il se précipite dans la chambre. Son épouse, recroquevillée en chien de fusil lui dit :



Paul se précipite sur la valise, puis réfléchit qu’il y a Lucas. Comment faire ?

Il appelle ses beaux parents qui n’habitent pas très loin. Nadine, la petite sœur de Sylvie, elle n’a que cinq ans de moins, mais c’est toujours la petite sœur, se propose pour venir surveiller le garçon et passer la nuit chez eux.

Et quelques minutes après, la mobylette s’arrête.



En effet, elle est très souvent là, avec Sylvie elle s’entendent à merveille.

Le couple peut aller à l’hôpital tranquille.


Dans la nuit, vers deux heures, Paul ouvre doucement la porte et regagne sa chambre. Il est heureux, l’accouchement s’est bien passé, ils ont une belle petite fille et maintenant la maman repose. Il va essayer d’un peu dormir car dans quelques heures, il faut retourner au travail.

Le matin, sans bruit il se lève, et avant de partir laisse un mot à Nadine :

« Tu as une jolie petite nièce, tout s’est bien passé. S’il te plait, si ça ne te dérange pas garde Lucas aujourd’hui, je vais essayer de me libérer pour les jours prochains. »


La journée a été longue. Paul ne peut pas avoir ses congés avant la date prévue. Comme à l’ordinaire, il ne rentre pas à midi : il dessert la ville voisine et mange au restaurant. Aussi, le soir, il court à la maternité. Tout va bien, Sylvie sortira dans cinq ou six jours. Nadine est venue la voir avec Lucas et Vincent son copain. Elle se charge du petit, restera à la maison…



En effet, en rentrant il trouve les deux jeunes.



Lorsqu’il est sorti, Paul en souriant la taquine gentiment :



Elle éclate de rire



Pour lui, sa belle sœur est encore une gamine malgré ses dix huit ans. Il la connaît depuis huit ans, quand il a fait son entrée dans la famille. Et malgré leurs dix ans de différence ils s’entendent très bien, et même parfois elle lui confie des secrets qu’elle n’ose même pas dire à sa sœur.

Nadine a pris soin de la maison, de Lucas et le repas est prêt. Ils mangent tous trois, puis mettent le petit au lit. La conversation revient sur ses rapports avec Vincent. Tous deux se connaissent depuis le collège, ont toujours été dans la même classe et ont réussi le bac en juin. En novembre ils entrent en fac. Ils se connaissent tellement qu’ils sont complices en tout…



La conversation se poursuit un moment, puis il regagnent leur chambre.


Le lendemain matin, Paul se lève sans bruit, va à la salle de bains. Après sa douche il se dirige vers la cuisine et là, surprise, il voit Nadine, en culotte, se tartiner les seins avec de la confiture. Il n’est pas choqué par la poitrine nue, il l’a vue assez souvent à la plage, mais par le comportement



Interloqué, il ne sait que faire, d’autant que ce buste dégoulinant de marmelade est bien appétissant. Et puis zut ! Il s’assied, elle vient face à lui sur ses genoux, la confiture se trouvant à portée de sa bouche. Et, un peu pour lui faire plaisir et beaucoup par désir, il met ses mains sur les hanches, lèche la marmelade lentement avec application, taquinant les aréoles qui réagissent. Son sexe aussi se dresse et vient buter sur l’entre jambe de sa belle sœur. Pourtant un restant de lucidité le fait se redresser, repousser Nadine et partir en oubliant même de déjeuner.


La journée a été longue et Paul s’est posé plein de questions. Il a conduit mécaniquement son bus. Le soir il passe à la maternité. Sa femme se remet rapidement, leur fille est magnifique. Sylvie lui dit que Nadine, Lucas et Vincent sont passés, ils avaient l’air heureux.

Dès l’ouverture de la porte, il voit Nadine et son copain, tout souriant.



Le repas et le coucher de Lucas les occupe un moment. Pourtant, lorsqu’ils se retrouvent tous les deux, d’entrée, Nadine attaque :



Paul ne sait que répondre. Il est piégé, il lui faudra s’exécuter s’il ne veut pas d’histoires avec Sylvie, car il connaît Nadine, elle en serait capable. Mais d’autre part, il doit bien se l’avouer, ce côté pédagogique ne lui déplait pas, surtout les exercices pratiques…



Elle se lève et part. Ouf, débarrassé d’elle, je vais pouvoir regarder la télé tranquille.



Il se précipite dans la cuisine et trouve Nadine allongée nue sur la table, son sexe barbouillé de confiture.



Paul bouillonne. Il ne sait si c’est de colère, ou de désir. Car cette gamine offerte est tentante, et malgré la volonté de rester fidèle, le lien de parenté, il peut difficilement résister.



Et cet argument le libère, fait craquer ses barrages. Il s’approche et de la langue commence le nettoyage. Il oublie bientôt la confiture et ne pense qu’à donner du plaisir. Il déniche le bouton et bien que celui-ci n’ait pas de marmelade, il l’astique longuement de la langue, le mordille, redescend nettoyer la fente, l’entrecuisse et va même jusqu’à la porte arrière. Nadine gémit, pleure de bonheur. Il avance un doigt, avec l’ongle gratte tout le sexe, enfonce un peu le majeur dans le conduit vierge, appuie le pouce sur l’anus. Les jambes se tendent tandis qu’éclat un cri de bonheur. Paul se redresse.



Elle l’attrape par la taille et tâte son entre jambe. Son sexe est dressé, elle glisse la main dans le slip.



Et elle baisse le short et le slip. La verge jaillit, Paul cherche à reculer, mais Nadine l’a ceinturé avec ses bras.



Elle le prend en main et le serre.



Et elle l’examine, fait coulisser la peau du prépuce, le branle doucement.



Nullement effrayée, elle accélère le va-et-vient. Paul voudrait se dégager, mais c’est tellement bon cette main innocente. Et bientôt il ne peut se retenir et le sperme jaillit, éclaboussant la main au passage.



Sans un mot, il va dans la salle de bain, se lave et part se coucher.


Toute la journée du lendemain il est taraudé par les évènements de la veille. Il ne veut pas s’attacher à Nadine, ce serait une catastrophe. Et pourtant, il prend tellement de plaisir avec elle.

Le soir, à la maternité il trouve Sylvie en forme mais qui s’ennuie un peu malgré la visite de sa sœur, de Lucas et Vincent. Enfin, elle sort après demain.

Dans la rue il croise Vincent qui chantonne.



Dès son entrée, il entend chanter Nadine ; elle est de bonne humeur.



Pendant le repas, elle lui détaille son après midi érotique. Elle a mis en pratique tous ce qu’elle a appris la veille, lui a laissé aucune initiative. Comme il ne connaît pas grand chose à l’amour, il l’a laissé faire. Elle lui a dit qu’elle avait lu un livre qui expliquait tout ça.

À peine le petit couché, elle lui demande :



Et elle lui saute dessus, saisissant son sexe de la main. Il ne trouve rien a rétorquer à cette logique, son désir de la fille lui supprime toute morale. Fataliste, il s’allonge sur le canapé. Elle se déshabille très vite et vient lui retirer son short et son slip. Loin de résister, il lui facilite la tâche.



Elle saisit le sexe et le branle doucement. Rapidement il atteint son apogée. Lui reste impassible, dépassé par les évènements. Elle approche sa tête, examine le méat, timidement, du bout de la langue elle lèche la goutte qui perle. Puis elle prend le gland en bouche comme un bonbon. Avec la langue elle le lèche, puis se décide à absorber un peu plus de l’engin. Penchant la tête, elle en gobe une bonne partie, et entreprend un branle avec sa bouche. C’est tellement bon pour Paul, qu’il prend la tête d’Nadine dans ses mains et guide la cadence. Mais rapidement il se sent sur le point d’exploser et arrache sa queue de la bouche trop accueillante. Le jet retombe sur ses cuisses et les mains d’Nadine.



Voyant du sperme sur sa main, elle le lèche du bout de la langue.



Et il la quitte, la laissant insatisfaite, mais sachant qu’il lui reste encore un soir.




Paul a mal dormi. Il est dépassé par la tournure des évènements. Il s’est laissé piéger, par faiblesse, dans une histoire qui risque de mal tourner.

Le lendemain soir, il va honteux voir son épouse. Celle-ci est heureuse de sortir le lendemain. Puis elle lui dit doucement :



Paul est catastrophé, il espérait invoquer le manque de protection pour ne pas la baiser ! Et c’est Sylvie involontairement qui le piège !

Vincent est encore là lorsqu’il entre chez lui. Il est affalé dans le fauteuil, tout heureux. Tu dois avoir passé un bon après midi pense Paul, je fais confiance à Nadine. La voilà qui arrive avec Lucas, toute souriante :



Si tu te doutais ce qu’elle veux faire ce soir, tu serais moins fier pense Paul.

Le repas a été vite expédié, Nadine a accéléré la cadence et Lucas se retrouve au lit encore plus tôt que d’habitude.



Et elle éclate de rire.



Elle va dans sa chambre et se déshabille. Paul, un peu résigné mais surtout excité, la suit.



Nadine a écouté très sérieusement son beau frère, comme pour une leçon au lycée.

Sans un mot, elle vient auprès de Paul qui est assis au bord du lit. Elle se met sur ses genoux et l’embrasse tendrement. Il répond à son baiser, comme un amoureux, ses mains caressant tout le corps. Il allonge sa compagne sur le lit, lui lèche les seins, du plat de la main caresse sa fourche. Ensuite il pivote et vient poser sa bouche sur le nid douillet. Nadine comprend ses intentions et de son côté saisit la verge et entreprend une fellation. Elle a bien retenu la leçon et Paul sent sa tension monter. De son coté, de la langue et des doigts il excite se sexe, fait une feuille de rose, insinue un doigt dans l’anus.

Elle lâche le sexe, saisie par le plaisir. Il revient s’allonger à côté d’elle, la prend dans ses bras.



Il prend un préservatif et lui enseigne comment le mettre en place.



Et elle l’enjambe, guide le sexe face à la vulve.



Et lentement, c’est elle qui se dépucèle, arrêtant la progression par moment puis finissant en se laissant glisser à fond sur l’épieu. Elle reste immobile quelques instants, le passage a été un peu douloureux.



Lentement elle entreprend le va-et-vient. Après quelques minutes un certain plaisir vient la récompenser. Ce n’est plus douloureux, c’est même agréable. Et puis c’est surtout le sentiment d’être une femme. Mais pour Paul, son membre serré par ce corps tout neuf, il est difficile de résister longtemps. Et au bout de quelques minutes il prend son plaisir. Nadine sent que son partenaire a joui. Elle se relève et bascule sur le coté. Elle prend la tête de son beau-frère et lui dit :



Résigné, il s’allonge et bientôt s’endort.


Il rêve qu’il fait l’amour. La sensation est si forte qu’il se réveille. Nadine sur un coude le regarde et de l’autre main le branle.



Vaincu, il l’allonge se met sur elle, et lentement, il lui fait l’amour. Déjà soulagé par le premier rapport, il prend son temps, surveille sur le visage de sa compagne la progression du plaisir. Il commence doucement, bientôt le suc se dégage. La queue circule de mieux en mieux dans ce sexe tout neuf. Il voit avec plaisir les lèvres s’entrouvrir sur un miaulement prolongé. Il accélère la cadence. Elle noue ses chevilles derrière ses hanches et se cramponne à lui. Et soudain c’est l’apothéose pour elle, et lui se finit dans un galop effréné.



Après un baiser, ils se rendorment.




Paul est parti le lendemain matin travailler. Le soir il est allé chercher Sylvie et sa fille à la maternité. Arrivés à la maison, Nadine et Vincent avaient préparé un apéritif. Ce dernier rayonne de joie, plus même que le jour du résultat du bac.



Nadine se penche vers sa sœur et lui dit quelques mots à l’oreille. Celle-ci éclate de rire et l’embrasse. Paul est gêné, et ne sait quelle attitude prendre. Sylvie, le pensant ignorant lui murmure que sa sœur a perdu sa fleur. Il sourit, regarde Nadine qui lui confirme d’un signe de tête qu’elle a dépucelé son ami.





Oh si, je m’en souviens, mais pas pour la raison que tu crois pense-t-il, et il regarde sa belle sœur en souriant.

Pourtant, depuis, ils n’en ont jamais plus parlé, n’ont eu aucun geste équivoque. Mais jamais ils n’oublieront ces moments là.