n° 08196 | Fiche technique | 27167 caractères | 27167Temps de lecture estimé : 16 mn | 30/11/04 |
Résumé: Caroline vient d'avoir son bac, et assiste à une soirée en compagnie du garçon qui lui plaît. Elle joue à un jeu risqué... | ||||
Critères: f fh grp jeunes fête voir exhib préservati pénétratio jeu | ||||
Auteur : Anotherlovestory (Jeune homme comblé par sa douce et tendre) Envoi mini-message |
Caroline est heureuse comme jamais lorsqu’elle rentre chez elle en cette fin d’après-midi. Elle vient d’avoir ses résultats du bac, qu’elle obtient avec une mention bien inespérée qui la rend toute fière d’elle. Et elle a d’autres raisons d’être satisfaite de sa journée : sa meilleure amie Emilie a elle aussi eu son bac, et surtout elles se sont fait toutes les deux inviter à une petite fête improvisée dans la soirée chez un camarade de classe. À peine a-t-elle embrassé ses parents qu’elle file dans sa chambre faire le tour de sa garde-robe, et commence à choisir ses affaires pour se préparer. Ce soir, elle veut s’éclater avec sa bande de copains pour en finir avec les longues semaines de révisions et de stress.
Bien qu’étant déjà majeure depuis quelques mois, Caroline songe qu’elle a passé avec succès le rite initiatique qui va la mener dans le monde des grands, à l’université. Aussi, elle décide de délaisser ses traditionnels jeans qu’elle porte quotidiennement, et arrête son choix sur une tenue plus sexy. Elle choisit une jupe noire et un pull rouge léger, ainsi qu’un ensemble soutien-gorge et culotte noirs en dentelle, et des collants de la même couleur. Puis elle change d’avis, et décide de remplacer ses collants par des bas. Enfin, Caroline file dans la salle de bain, se déshabille et commence à se laver.
Sous la douche, elle s’imagine déjà comment va se dérouler la soirée. Sa soirée. Car ce qui rend Caroline aussi guillerette, outre sa réussite, c’est que, mis à part les garçons gentils mais un peu lourds de sa classe, elle va aussi retrouver Jonathan ce soir. Rien qu’à penser à lui en évoquant son nom dans son esprit, Caroline se sent toute chose. Jonathan n’est pas n’importe quel garçon. C’est un grand brun aux yeux bleus assez beau gosse, sportif, célibataire depuis que son ex l’a plaqué en début d’année, et muni de ce qu’Emilie qualifie d’un "petit cul de rêve". Mais c’est surtout celui qui vient rejoindre Caroline chaque nuit depuis plusieurs mois, bien que pour le malheur de la jeune femme celui-ci ne vienne jamais que dans ses rêves. Cette dernière étant bien trop timide pour oser l’approcher, Jonathan n’est son amant que dans ses songes. Et lorsque la nuit tombe, et que Caroline se sent seule dans son grand lit, elle laisse ses mains parcourir son corps, ses seins, ses cuisses, et elle laisse ses doigts explorer son bouton d’amour, imaginant les caresses que lui prodiguerait son Jonathan qu’elle désire ardemment.
Toute perdue dans ses pensées, et après avoir fini une toilette minutieuse de son corps, Caroline a machinalement placé le pommeau de douche sur son sexe. La jeune femme n’a jamais encore eu l’occasion de sortir avec un garçon ; mais si Caroline n’est aucunement expérimentée avec les hommes, elle connaît à présent parfaitement son corps, ayant appris la pratique des plaisirs solitaires dès le début de son adolescence. Et elle ne manque jamais une occasion de se donner beaucoup de plaisir lorsqu’elle en ressent le besoin. De sa main libre, elle dévale doucement les courbes de son corps, s’arrêtant sur ses tétons, son pubis savamment taillé, puis vient jouer avec son clitoris. Elle se masse alors vigoureusement l’entrejambe, introduisant un, puis deux doigts dans l’antre de sa féminité jusqu’à ce qu’elle se soit fait jouir. Puis, après avoir récupéré ses esprits, elle se reproche hypocritement de s’être fait perdre du temps alors qu’il lui reste tant de choses à faire, et se lave les cheveux encore toute frissonnante du petit plaisir qu’elle vient de s’offrir.
Une fois sa douche terminée, elle attrape une serviette, se sèche, et entreprend de se vêtir. Elle passe le soutien-gorge, puis met sa culotte et enfile ses bas. Elle est toute heureuse de constater que son épilation de la veille lui laisse ce soir encore une peau de satin. Avant de finir son habillage, elle se regarde dans la glace, et se trouve particulièrement sexy. Ce soir, elle n’a pas le choix, il faut qu’elle soit la plus belle, d’autant plus que c’est peut-être sa dernière occasion de voir Jonathan. Après avoir constaté avec soulagement que son visage ne souffre d’aucune imperfection particulière, elle passe sa petite jupe qui lui couvre les genoux de quelques centimètres, et enfin revêt son pull qui ne lui sera pas inutile par ce mois de juillet aux soirées pourtant fraîches.
Caroline ne quitte pas encore la salle de bain. Elle termine sa préparation en se passant une touche de fond de teint, un soupçon de gloss sur les lèvres, et souligne ses yeux noisettes à l’eyeliner. Caroline n’insiste pas davantage sur son maquillage, car elle désire juste se sentir plus féminine ce soir. D’autant plus que cette petite brunette aux longs cheveux d’ébène est déjà bien assez mignonne au naturel. Il ne lui reste plus qu’à passer sa paire de chaussures préférée, et elle se sent fin prête pour cette soirée historique.
Les quelques minutes qu’il lui reste à patienter lui semblent interminables. Comme Caroline voudrait déjà être à cette soirée ! Mais elle doit attendre Emilie qui passe la prendre en voiture. Cette dernière prend aussi son temps pour se préparer, et Caroline ne manque pas de reprocher à son amie son retard dès son arrivée, qui bien qu’habituel est absolument impardonnable ce soir. À peine Emilie est-elle arrivée chez Caroline que les deux jeunes femmes sautent dans la voiture, Caroline prenant à peine le temps de souhaiter une bonne soirée à sa famille, devant le sourire amusé de sa mère et la mine peu rassurée de son père. Les deux jeunes femmes n’ont pas beaucoup de temps pour se parler, la balade en voiture ne leur prend qu’un petit quart d’heure. Elles se retrouvent bientôt garées devant la maison de Marc, qui organise la soirée. Elles entrent après que ce dernier soit venu leur ouvrir la porte, et découvrent une salle à manger transformée en petite boîte de nuit.
Parmi la vingtaine de personnes présentes, Caroline reconnaît les camarades de sa classe, avec lesquels elle a partagé les joies et les peines devant le panneau donnant les résultats du bac. Elle se met pourtant à refaire la bise à tout le monde, au seul prétexte de pouvoir la refaire également à Jonathan. Et, pour son plus grand bonheur, ce dernier lui a souri lorsqu’il l’a vue arriver, ce qui met la jeune femme en émoi. Bonne comédienne, elle n’en montre rien, et seule Emilie, qui sait très bien la nature des sentiments qu’éprouve Caroline envers Jonathan, devine ce que ce genre de détail provoque chez son amie.
Pendant quelques heures, les jeunes dansent sur la piste improvisée et délirent. Ils se remémorent leurs cours, leurs profs, leurs meilleurs et leurs pires moments de l’année et du lycée. Parfois certains font quelques pauses, pour aller boire ou grignoter, pour aller griller une cigarette, ou pour aller discuter dans un endroit plus calme. C’est ainsi qu’Emilie, écoutant l’appel de son ventre, se retrouve à picorer dans la cuisine lorsque arrive Marc.
Emilie est pour sa part une jeune femme assez délurée, et trouve ce concept très amusant. Elle a vite compris qu’il y aurait plus de mecs que de filles pour jouer, et ne veut pas rater une occasion d’admirer les corps de ses camarades, dut-elle montrer à son tour certains de ses attributs. Mais elle y voit également une très bonne occasion de s’amuser. Aussi vient-elle chercher sa copine Caroline, toujours en train de danser, et l’amène à son tour dans la cuisine où le fond sonore leur permet de s’entendre.
Alors que Caroline s’apprête à tourner les talons et à regagner la piste de danse, où elle a passé le plus clair de son temps à reluquer Jonathan de loin, elle voit arriver Marc, accompagnée de l’homme de ses pensées. Marc interroge les deux jeunes femmes.
Caroline n’a pas envie de jouer. Elle est surprise que Jonathan soit là, car elle ne pensait pas qu’il était le genre de garçon à accepter ce genre de jeu. Mais à présent, elle n’ose pas refuser. Elle ne veut surtout pas passer pour une fille coincée à ses yeux. De plus, Caroline pense que Jonathan pourrait lui aussi devoir se déshabiller, et elle ne supporterait pas que d’autres pétasses puissent le voir nu. Aussi, elle prend sur elle, et lâche sur le ton le plus convaincant possible son approbation malgré sa réticence.
Jonathan ne sait pas pourquoi Marc l’a fait venir, et demande naïvement à quel jeu ses camarades comptent jouer. Caroline manque de défaillir en réalisant que Jonathan n’était pas au courant, mais il est maintenant trop tard pour reculer. Et lorsque Marc lui parle de son idée de strip-poker, Jonathan, tout comme Caroline, est à son tour surpris qu’Emilie et Caroline aient accepté de jouer à ce jeu, et se sent pris au piège. Orgueil de mâle oblige, il ne peut faire autrement que d’accepter, et ce sont finalement sept jeunes gens qui se retrouvent peu après dans le bureau du père de Marc. Chacun prend une chaise et s’assoit autour de la table. Marc prend la parole.
Les jeunes gens hochent la tête. Emilie demande une précision.
Chacun détaille rapidement sa tenue, et le jeu peut enfin commencer. Le début de la partie est assez équilibré, chacun perdant puis regagnant assez vite ses vêtements, et se déroule dans une ambiance bon enfant. Les jeunes gens se retrouvent à tour de rôle déchaussés, puis les filles commencent à montrer leurs soutiens-gorge pendant que les garçons font admirer leurs T-shirts. Par chance pour eux, le bureau est bien chauffé. Caroline, qui vient de perdre une partie, doit à présent retirer son troisième vêtement. Ayant déjà perdu ses chaussures et son pull, elle retire sa jupe, au grand bonheur des garçons, heureux de pouvoir la découvrir en petite tenue. Et lorsqu’elle leur fait découvrir que le voile opaque couvrant ses jambes s’arrête à mi-cuisses, Didier et Marc ne peuvent réfréner des sifflements admiratifs.
Sans comprendre la source de sa malchance, Caroline perd aussi sec la partie suivante, ce qui lui fait retirer ses bas. Elle bénéficie alors d’une trêve ; mais si la jeune femme ne perd plus, elle n’arrive pas à récupérer ses vêtements. Et juste après que Stéphanie ait dû retirer son collant et que Didier ait dévoilé son torse, c’est de nouveau son tour de perdre un vêtement. La tension monte petit à petit dans la pièce ; Caroline ne porte plus que son soutien-gorge et sa culotte, et l’effet que sa tenue provoque chez les garçons augmente l’attention qu’ils portent au jeu, au lieu de les déconcentrer.
Emilie, qui depuis le début de la partie passe son temps à défaire puis remettre sa robe, doit une nouvelle fois l’enlever, mais cette dernière est bien à l’abri comparé à son amie. Mis à part Didier, qui comme Caroline n’est plus très loin de la défaite, Emilie est assez frustrée de voir que les autres garçons sont restés tout comme elle couverts la plupart du temps pour le moment. Elle jette quelques regards à Caroline, des fois compatissants, des fois moqueurs, car les jeunes gens ne ratent pas une occasion de chambrer celui ou celle qui vient de perdre l’un de ses vêtements. Pour l’instant, Caroline arrive à rester concentrée, et se dit à elle-même qu’après tout, c’est le genre d’expérience qui peut lui servir à se lâcher un peu… si sa position ne s’aggrave pas !
Et pourtant, elle finit par s’aggraver. Ses rares victoires ayant été suivies de défaites, elle n’a toujours pas pu récupérer durablement de quoi se revêtir. Et dans un tête-à-tête avec Marc, son brelan échoue devant la suite du jeune homme. Les garçons ne tardent pas à demander leur récompense.
Caroline n’a pas envie de retirer son soutien-gorge. Cependant, elle ne voit pas comment y échapper. Et elle ne tient en aucun cas à passer pour une mauvaise perdante. Elle se résout à tenter un compromis.
Alors que Marc se préparait à refuser, Jonathan est le plus prompt à lui répondre.
Marc et Nicolas ne sont pas très contents de cette réponse et le font savoir, mais ils finissent par accepter, puisque de toute façon cela leur permet de voir la poitrine de Caroline. Cette dernière s’exécute et dégrafe son soutien-gorge. Les garçons manifestent bruyamment leur joie. Ils découvrent une poitrine blanche et ferme, avec des seins bien ronds de taille moyenne, qui correspond parfaitement à la poitrine dont rêve un grand nombre d’hommes. Puis Caroline, ayant exposé sa poitrine à tous, remet son soutien-gorge, et la partie peut reprendre. Bien que moins expressif que ses camarades, Jonathan n’a pas perdu une miette de l’exhibition de Caroline, et se sent troublé par les charmes de la jeune femme. Mais il se sent également frustré d’avoir du partager ce spectacle avec d’autres garçons.
La partie reprend avec une Caroline morte de trouille à l’idée de perdre une nouvelle fois ; elle devient plus agressive dans ses répliques. Didier, Nicolas et Marc narguent la jeune femme, tandis qu’Emilie et Stéphanie tentent de la soutenir tant bien que mal.
Caroline se raccroche à l’espoir que Didier, n’ayant plus le droit qu’à deux défaites, perde la partie avant elle. Elle évite le jeu autant que possible, mais est néanmoins obligée de participer, et à l’issue d’une ultime partie c’est elle qui doit concéder la sixième défaite. Les garçons exultent.
Caroline cette fois-ci ne peut cacher qu’elle se trouve au bord des larmes. Emilie, voyant le désarroi de sa copine, essaie de raisonner les garçons.
Didier et Nicolas partagent des pensées contradictoires. Ils se sentent honteux d’exiger de la jeune femme qu’elle leur dévoile son intimité, tout en refusant catégoriquement en leur for intérieur de la délivrer de son gage. Et Marc objecte à Caroline.
Emilie soumet alors une idée.
Les garçons, comprenant qu’il leur sera difficile d’obtenir plus et trouvant de surcroît l’idée amusante, acceptent cette suggestion qui n’enchante guère Caroline. Cette dernière accepte cependant, à contre cœur, ne pouvant prendre l’alternative de se montrer nue devant tous ces garçons. Et Jonathan se satisfait lui aussi amplement d’un tel choix, qui présente l’avantage de lui offrir un petit spectacle très sensuel tout en évitant de voir Caroline s’exposer nue devant les autres garçons. Ainsi, chacun récupère ses affaires et se rhabille entièrement. Et tous les yeux des garçons se rivent sur Caroline, qui fait disparaître ses mains sous sa jupe.
Sans lever les yeux, et après quelques secondes d’hésitations, Caroline attrape de chaque côté l’élastique de sa culotte. Elle descend d’un coup sec le dernier rempart de son intimité, puis le pose sur la table. Nico s’empare aussitôt du trophée, et file aussi vite que possible dans la salle à manger, poursuivi par Marc et Didier. Le cri de Caroline lui ordonnant de lui rendre son vêtement reste sans réponse, et elle s’affale par terre, désemparée, n’osant pas aller récupérer son bien devant tous ses camarades de classe. Pendant ce temps, Nicolas montre à qui veut le voir le trésor perdu de Caroline sur la piste de danse.
Caroline est désespérée. Comment cette soirée qui s’annonçait si bien a-t-elle pu se transformer en un tel cauchemar ? A présent, elle regrette d’avoir apporté autant de soin à se faire belle, elle regrette les vêtements qu’elle a choisis, et elle est terriblement déçue par les réactions de ceux qu’elle croyait être des copains. Même son Jonathan est sérieusement descendu dans son estime, lui qui, stoïque, n’a rien trouvé de mieux que de lui adresser un petit sourire compatissant en quittant la pièce.
Au bout d’une demi-heure, pendant laquelle Emilie et Stéphanie ont passé à discuter avec son amie pour tenter de la réconforter, Emilie se lève et regagne la salle à manger en demandant à Stéphanie de s’occuper de sa copine. Elle revient une petite dizaine de minutes plus tard et s’adresse à Caroline.
Emilie sort son dernier mouchoir et sèche tant bien que mal le visage de Caroline ; elle met ainsi fin à la moindre trace de maquillage de la jeune femme qui avait déjà été mis à mal de par ses pleurs. Caroline sort du bureau, suivant les instructions d’Emilie. Elle se fait aussi discrète que possible, et va rapidement ouvrir la porte de la chambre du fond. Elle entre, et retrouve Jonathan tenant sa petite culotte dans ses mains. Jonathan regarde Caroline ; il se sent particulièrement confus et stupide, et ne sait pas trop comment engager la conversation.
Jonathan lui tend alors sa culotte.
Ce dernier coup de théâtre est de trop pour Caroline. Submergée par la honte, elle n’a pas la force de lui répondre, et se met à pleurer à chaudes larmes. Jonathan la prend dans ses bras.
Jonathan ne dit pas à Caroline qu’il a frappé Nicolas pour que ce dernier lui rende l’objet si convoité. Et il ne lui dit pas non plus qu’Emilie a trahi son secret. Car lorsqu’Emilie reprocha à Jonathan de ne rien faire pour Caroline, et qu’il lui objecta qu’il n’était pas son mec, Emilie lui laissa clairement sous-tendre que cela ne tenait qu’à lui. Soucieux de savoir la part de vérité dans cette déclaration, Jonathan se met à bafouiller.
La jeune femme, le visage en larmes, lève la tête et l’embrasse en guise de réponse. Jonathan, surpris, met quelques fractions de seconde à répondre à son baiser. Quelques instants plus tard, ils s’embrassent passionnément, collés l’un contre l’autre, et finissent par s’affaler sur le lit de la chambre. Jonathan laisse tomber la culotte de Caroline par terre, et commence à caresser la jeune femme par dessus ses vêtements. En cet instant précis, Caroline écoute son corps et ne pense à rien, sinon qu’elle est folle amoureuse de l’homme qu’elle a tout contre elle, et qu’elle a envie que Jonathan fasse d’elle une femme. Elle laisse de côté toutes les appréhensions qu’elle pouvait nourrir à propos de sa première fois et ouvre la braguette de Jonathan. Ce dernier continue à embrasser fougueusement la jeune femme, puis au bout de quelques minutes se met à fouiller dans sa veste, sortant un préservatif de son portefeuille en interrogeant Caroline.
Jonathan fait glisser son pantalon et son caleçon le long de ses jambes, tandis que Caroline s’allonge sur le lit. Jonathan lui retire son pull, puis sa jupe. Caroline enlève la chemise de Jonathan, pendant que ce dernier commence à lui embrasser le cou, les épaules, les seins par dessus son soutien-gorge, en n’oubliant pas de revenir fréquemment embrasser ses lèvres. Petit à petit, les deux amants se déshabillent entièrement, et Jonathan explore de ses mains le corps de Caroline et ses trésors cachés. Il se met alors à caresser les cuisses de la jeune femme, puis ramène sa main sur son sexe, et la doigte. Il enfile son préservatif après avoir constaté que Caroline était prête à l’accueillir en elle. Alors qu’il se penche sur elle, Caroline lui chuchote à l’oreille.
Jonathan comprend immédiatement ce que Caroline veut lui signifier, et se met en devoir d’être le plus doux possible. Il vient placer son sexe sur celui de Caroline, avance très lentement, et attend que ce soit elle qui fasse entrer son sexe en elle par ses mouvements de hanches.
Caroline ressent une douleur fugace, heureusement suivie d’une sensation de plaisir, d’abord diffuse, puis de plus en plus intense. Jonathan effectue de petits mouvements, qu’il amplifie progressivement, suivant avec la plus vive attention l’expression du visage de Caroline. La jeune femme sent son bas-ventre en feu, mais, loin d’en souffrir, elle est surprise par cette chose si étrange et tellement agréable de sentir Jonathan aller et venir en elle. Les deux amants ne mettent pas longtemps à trouver le rythme qui leur convient le mieux. Ils se font beaucoup de bien, et ne tardent pas à atteindre le moment ultime de leur acte d’amour. Caroline ayant rêvé tant de nuits de ce moment magique est la plus prompte à jouir dans un léger râle, rapidement suivie par Jonathan, qui accélère pour pouvoir accompagner sa nouvelle petite amie dans l’orgasme. Il reste alors quelques instants allongé sur elle, passant sa main dans ses cheveux ; Ils se sourient, se regardent et se bécotent tendrement.
Les deux jeunes gens se sentent seuls au monde. Heureusement pour eux, la fête continue de plus belle à coté, et si tous leurs camarades ont remarqué leur absence, personne n’a osé aller les déranger. Ils peuvent ainsi rester blottis l’un contre l’autre pendant un très long moment. Jonathan finit par se lever, et commence à se rhabiller en passant ses affaires à Caroline, qui est préoccupée par la petite tâche de sang qu’elle a bien involontairement causée sur le lit de la sœur de Marc. Mais elle songe ensuite que si ce dernier s’était mieux comporté vis-à-vis d’elle, elle ne lui aurait peut-être pas offert une sacrée engueulade par sa sœur. Et au vu du moment magique qu’elle vient de partager avec Jonathan, elle ne regrette pas grand chose.
Pendant que Caroline se rhabille, Jonathan se penche pour ramasser sa petite culotte qui avait été abandonnée par terre, et lui tend à nouveau. Caroline lui sourit, la prend et vient la ranger dans l’une des poches de Jonathan, tout excité de conserver ce souvenir. Bien qu’inquiets à l’idée de devoir quitter la chambre, les amants finissent par sortir, et découvrent derrière la porte Emilie et Stéphanie accompagnées de Didier, Marc et Nicolas, ce dernier avec une pommette légèrement bombée. Les garçons présentent leurs excuses à Caroline, qui reste vexée de leur comportement et préfère ne pas leur répondre. Elle s’en va sans un mot, main dans la main avec Jonathan, sans oublier de montrer à Emilie un sourire très révélateur. Et cette dernière se réjouit d’avance de la discussion du lendemain, quand elles ne seront plus que toutes les deux, où elle cuisinera sans état d’âme sa copine pour tout connaître dans les moindres détails sur cette nuit si particulière…