n° 08200 | Fiche technique | 11990 caractères | 11990 2105 Temps de lecture estimé : 9 mn |
01/12/04 |
Résumé: Un jeune couple décide de découvrir les plaisirs à 3 avec une jeune et jolie femme... | ||||
Critères: fh couple hépilé fépilée amour intermast fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo | ||||
Auteur : Mcfly |
« Jeune femme célibataire, 26 ans, je viens de connaître une déception amoureuse et je recherche un jeune couple avec femme bi pour une nouvelle expérience à trois pleine de volupté et de sensualité, dans le respect de chacun »
C’est cette annonce qui a été le point de départ de cette histoire. Nous sommes un jeune couple de deux amoureux : elle a 21 ans, elle est blonde et mince, les yeux verts, un sourire ravageur avec ses pommettes saillantes, une poitrine généreuse mais pas lourde, des jambes interminables et des fesses ravissantes. Moi j’ai 22 ans, je suis brun et j’ai les yeux bleus. Je ne suis pas du genre baraqué mais pas gringalet non plus, assez grand. Nous vivons notre histoire d’amour depuis un peu plus de deux ans maintenant, et nous avons une sexualité assez… débridée. Elle était vierge quand nous nous sommes connus, et depuis qu’elle a découvert les plaisirs du sexe nous sommes toujours à la recherche d’originalité.
Quelques mois plus tôt, j’avais évoqué sans trop y croire un de mes phantasmes : partager nos ébats avec une troisième personne, une fille. Après le choc provoqué par cette révélation, nous en avons discuté plusieurs fois. À mon grand étonnement, elle me demanda des détails sur la façon dont cela pourrait se passer, la personne idéale pour ce genre de jeu dans notre entourage ou encore l’endroit ou cela pourrait avoir lieu. J’étais vraiment loin de m’imaginer qu’une telle idée aurait pu lui plaire, je m’attendais tout au plus à lui faire admettre que c’était un phantasme courant chez les hommes et qu’elle ne devait pas s’en offusquer. Mais je me trompais, et ma foi tant mieux !
Au fil de nos discussions, nous avons conclu que la meilleure solution était de le faire avec quelqu’un que nous ne connaissions pas, ni elle ni moi. Personne parmi nos amies ne faisait l’affaire, et l’idée de me voir faire des choses avec l’une de ses amies nous était difficile à tous les deux. « Mais comment trouver une fille qui puisse nous correspondre, alors ? » m’avait-elle demandé un soir où cette discussion était revenue sur le tapis. « Internet ! » lui avais-je répondu avec un grand sourire. Parmi les milliers d’annonces de charme postées sur le réseau, nous finirions bien par trouver notre bonheur…
Je fus donc chargé de prospecter les nombreux sites d’annonces. Après de longs efforts et quelques euros dépensés pour des inscriptions, je suis tombé sur l’annonce de cette jeune femme célibataire de 26 ans qui voulait comme nous tenter cette expérience de triolisme. Le profil me semblait idéal : une femme un peu plus âgée que nous, qui aurait certainement pas mal d’expérience du fait de sa vie de couple, qui me semblait sincère et très jolie. Pour savoir si Karine partageait mon sentiment, je l’ai appelée à l’ordinateur alors qu’elle lisait un livre dans le canapé, simplement vêtue d’un débardeur et d’une culotte en coton. Elle s’approcha de moi en s’étirant de tout son long, me laissant apercevoir son nombril.
En cliquant, je m’attendais à voir une simple image d’un visage souriant, mais je me trompais : pour faire valoir ses atouts, la belle Sophie – c’était son nom – s’était totalement dévêtue et posait, assise devant son écran d’ordinateur. Sur la photo suivante, elle se tenait debout, vêtue d’un string bleu, une main sur le sexe et l’autre sur le sein. Sur la dernière photo, Sophie se tenait de dos, le ventre allongé sur une table. Sa main droite écartait ses parties intimes et le majeur de sa main gauche pénétrait son intimité bien profondément.
Je dois avouer que ces photos me faisaient un certain effet… Joignant le geste à la parole, Karine posa la main sur ma braguette et palpa mon membre qui durcissait.
En faisant descendre lentement la fermeture éclair de mon pantalon elle me dit :
Devant mon hésitation volontaire à répondre, elle se plaça à côté de moi et d’un geste vraiment très sensuel elle fit passer son débardeur par-dessus sa tête, me laissant le loisir de comparer les deux magnifiques paires qui s’offraient à mon regard.
Je décidai de rentrer dans son jeu :
Elle se mit alors à califourchon sur moi, me faisant face, prit mes mains et les posa sur ses deux seins gonflés de désir. Ses tétons étaient déjà délicieusement tendus par l’excitation, et mon massage lui fit chavirer la tête en arrière. Elle entreprit alors de déboutonner ma ceinture et de la faire glisser pour s’en débarrasser. Ensuite elle termina d’ouvrir mon pantalon et plongea sa main dans mon caleçon, à la recherche de mon sexe. Le contact de sa main fraîche sur mon membre fut comme une décharge électrique, ce qui acheva de le raidir. Pendant que je continuais de malaxer ses mamelons avec fièvre, elle entama un doux et subtil va-et-vient le long de ma verge. Je commençai à me laisser aller au plaisir qu’elle me prodiguait quand tout à coup elle cessa son traitement et tira violemment sur mon sexe.
Elle lâcha enfin son emprise, et se leva d’un bond. Elle se tourna, se pencha complètement en avant pour me présenter son fessier, et d’un geste érotique à l’extrême retira la dernière pièce de tissu qui entravait sa nudité parfaite. Petit à petit, elle dévoilait la chair de ses fesses, laissant apparaître d’abord la naissance de sa raie, puis la fesse gauche, la fesse droite, sa raie entière, le bas de ses fesses, la naissance de son sexe et enfin ses cuisses incroyablement galbées. Elle fit glisser sa culotte jusqu’à ses pieds, mais resta dans cette position comme pour m’inviter à contempler les magnifiques formes du siège de son intimité.
Ma main se posa sur le haut de ses fesses, et glissa le long de sa raie pour aller s’imprégner de l’humidité de son sexe soigneusement épilé. Et quelle humidité ! Notre petit jeu semblait l’exciter autant que moi… Ma main fit quelques allers-retours de haut en bas, de son bas ventre au haut de la raie de ses fesses. Mais rapidement je m’attardais sur la partie allant de son clitoris à son anus, et je frottais de plus en plus fort. Elle poussa quelques gémissements de plaisir, m’encourageant à pousser mon investigation un peu plus… profondément. Ainsi j’écartai doucement ses grandes lèvres, puis ses petites, trouvant son bouton, pénétrant son sexe trempé ave mon index. Le pouce de ma seconde main vint titiller son anus. Récoltant la cyprine à la source, je massai son petit trou qui se détendait petit à petit. Un doigt, puis deux, mes phalanges coulissaient à merveille dans son sexe dégoulinant. Ne résistant pas à l’envie, j’approchai mes lèvres de son sexe et posai ma bouche pour boire le jus à la source. Quel parfum délicieux… Et quelle douceur ! Ma langue fit des va-et-vient tandis que mon nez masturbait ce sexe béant. Tout en titillant le clitoris de ma langue, j’insérai mes doigts dans son vagin. Et pendant que ma langue sondait son sexe au plus profond, mon index écartait ses lèvres pour mieux jouer avec son clitoris. Puis je m’occupai de son anus, qui était de plus en plus lubrifié. De ma langue, je m’attelai à détendre tous les muscles de la région, si bien que je pus m’y insérer. Mes doigts prirent le relais : une phalange, puis deux, je ressortais pour mieux revenir, de plus en plus profondément, de plus en plus rapidement. Une phalange, deux et enfin la troisième, arrachant au passage un petit cri de douleur et de plaisir mêlés. De ma main droite je masturbais son sexe, et de la gauche je pénétrais son anus, et elle semblait aimer ça : son bassin ondulait, venant à la rencontre de mes doigts ; elle gémissait, m’encourageait à continuer, à aller plus loin, plus vite.
Puis soudainement elle se retira, se redressa et me fit face. Ses seins étaient maintenant dressés fièrement vers le ciel et son visage trahissait l’état d’excitation avancé dans lequel elle se trouvait. Elle me chevaucha de nouveau et s’empala sur mon pieu turgescent. Ce fut comme un soulagement pour moi : mon sexe me faisait mal d’excitation contenue. Elle empoigna ses seins et les malmena en les triturant violemment, avant de m’enjoindre à faire de même avec mes paumes inoccupées. Et la voilà partie dans une chevauchée fantastique : elle bougeait son corps avec une telle frénésie que j’avais du mal à me contenir, et je faisais de mon mieux pour la ralentir dans ses mouvements verticaux. Elle hurlait, elle m’encourageait, elle me flattait avec des mots crus qu’elle n’osait employer que dans ces moments-là.
Après quelques minutes de ce traitement, elle se dégagea de mon membre et colla mon visage entre ses deux seins. Puis elle positionna mon sexe à l’entrée de ses fesses et redescendit en douceur. Son petit trou était tellement lubrifié par son excitation que je n’eu aucun mal à m’immiscer en elle par son conduit le plus étroit. Son intérieur me compressait au maximum, décuplant les sensations, pour elle comme pour moi. Elle poussa un râle de plaisir lorsqu’elle se trouva au plus bas, et remonta en douceur pour commencer un va-et-vient qui devait nous être fatal. En effet au bout de quelques instants je ne pouvais plus me contenir et j’explosai littéralement dans son cul, en fermant les yeux et en enfouissant mon visage dans sa poitrine. Un hurlement à la fois rauque et strident m’indiqua qu’elle jouissait en même temps que moi, avant de s’écrouler de tout son poids sur moi.
Je crois que nous nous sommes endormis peu après. Je sentais mon sexe perdre tout doucement de sa vigueur, toujours au plus profond d’elle. Nous aimons beaucoup savourer les instants post coïtaux en sentant le sperme dégouliner le long de nos cuisses, tout en sentant mon sexe sortir progressivement de son intimité. Alors nous nous laissons aller à la plus grande des tendresses et nous nous laissons emporter par Morphée.
Lorsque nous nous sommes réveillés, j’étais (ou du moins ce qui en restait) toujours en elle, et après un long baiser passionné où elle mêla sur mes lèvres sa salive à sa cyprine, elle se leva et se mit à genoux devant moi. Elle entreprit de me nettoyer très consciencieusement avec sa langue, ce qui eut pour effet de faire renaître un début d’érection.
Tout en me léchant la verge de bas en haut comme un cornet de glace, elle me dit avec un grand sourire :
Ma Karine termina donc de lécher toutes les sécrétions sur ma verge qui avait maintenant retrouvé toute sa vigueur, puis elle s’est installée sur mes genoux, mon sexe calé dans la raie de ses fesses, pour rédiger avec moi notre réponse à cette annonce.
Mais ceci est une autre histoire !