n° 08223 | Fiche technique | 9488 caractères | 9488Temps de lecture estimé : 7 mn | 06/12/04 |
Résumé: Comment une femme rencontre le plaisir dans le TGV. | ||||
Critères: fhh voyage train exhib noculotte fellation cunnilingu préservati tutu couplus | ||||
Auteur : Kyb |
Encore un voyage à Paris !
Tu es attendue pour ta réunion mensuelle au siège. Il est 6 heures du matin quand tu montes dans le TGV. Le soleil se lève à peine et tu resserres ta veste car l’air est frais en ce matin de juin. Pour ne pas faillir à ta réputation de femme du sud, tu as mis ton tailleur Naf-Naf, classe mais terriblement sexy.
Il ne reste plus beaucoup de places dans le wagon, tu en repères une à côté d’une femme qui si elle est du sud c’est plutôt du côté Castelnaudary. Tu vas devoir te serrer pendant tout le voyage. Tu hésites, regardes autour de toi… LÀ… à trois rangées, les sièges qui se font face. Tu n’es pas la seule à avoir vu cette place, une copine à Balasco, les cheveux rouges et une pointe dans le nez, aimerait bien s’y asseoir. Vous avancez toutes les deux mais elle semble plus près et n’est plus qu’à deux pas. Quand le jeune homme assis en face tourne ses genoux dans l’allée afin de te libérer la place ce faisant il bloque le passage de l’autre femme. Tu te laisses tomber sur le siège en remerciant ton voisin qui te répond en te regardant timidement :
Tu t’entends lui répondre :
Tes mots le font rougir et se replonger dans son livre d’économie, mais ses yeux ne restent pas longtemps fixés sur son livre. Ils sont inexorablement attirés vers tes jambes, longues et fines qui sont pour les hommes comme une route vers le bonheur. Cette jupe mieux qu’une carte montre le chemin du paradis.
Le train commence à rouler vers Paris dans une atmosphère électrique. Tu décides de retirer ta veste afin de voyager plus confortablement et, pour ne pas la froisser, tu te lèves pour la ranger dans le coffre à bagage au-dessus des sièges. Il te faut lever les bras pour bien mettre ta veste à plat et cela fait remonter ta jupe déjà si courte ; l’homme assis devant toi peut presque voir le voile qui recouvre les portes du paradis. La chaleur qui est montée de plusieurs degrés l’oblige à desserrer sa cravate et à détacher le bouton du col de sa chemise. Tu te rassois sans n’avoir rien remarqué comme d’habitude. Tu essayes de croiser les jambes mais il y a vraiment peu de place et tu dois te résoudre à garder les jambes jointes. L’homme en face n’a pas perdu une miette de tes jeux de jambes, en regardant vers lui tu es surprise de constater la présence d’une bosse sur le devant de son pantalon. C’est bien la première fois que tu vois quelqu’un avoir une érection en lisant un livre d’économie.
Après avoir surpris plusieurs fois son regard sur tes jambes tu en comprends mieux la cause. Pour en avoir le cœur net tu fais semblant de dormir et tu laisses tes jambes bouger et s’entrouvrir au gré des secousses du train. Il ne fait aucun doute que la grosseur de la bosse varie avec la position de tes jambes. Tu vas mettre fin à ce petit jeu quand profitant du passage entre tes deux cuisses l’homme glisse son genou. Que faire ? Si tu réagis, il va voir que tu ne dors pas et que ces mouvements étaient volontaires ; il pourrait se faire des idées. Tu ne réagis donc pas et attends la suite ce qui fait monter ton excitation. Tu sens les portes du paradis prêtes à s’ouvrir ; déjà de l’humidité commence à apparaître sur le tissu de ta culotte. À côté de vous un couple est assis face à face, la femme dort mais l’homme a bien vu le manège qui se déroule à côté de lui, le genou de son voisin entre les tiens. Il lui donne un léger coup de coude pour lui faire comprendre que lui aussi aimerait voir où mènent ces belles jambes. Pouvoir plonger son regard entre les cuisses de cette splendide femme endormie. Le voyageur qui te fait face appuie sur ton genou droit afin de dégager la vue sur ton petit nid douillet. Tu sens tes cuisses qui doucement s’écartent en se tournant vers le deuxième homme. La chaleur monte encore dans cette partie du wagon, deux hommes te regardent avec envie et toi tu penses… à la morale… nooonnnn… tu penses que tu as chaud, que tu as très envie de caresses et qu’après tous il n’y a qu’une chose qui compte dans la vie : le cul, le cul, le cul.
Ta main a remplacé le genou, doucement tu caresses l’intérieur de tes cuisses. Lorsque tu ouvres les yeux pour regarder les deux hommes tu constates que leurs pantalons sont déformés. Après les avoir regardé tous les deux dans les yeux en te caressant les jambes, tu te lèves en prenant appui sur la bosse du pantalon de ton voisin d’en face. Cette brève pression sur son sexe lui fait comprendre que tu veux être suivie. Les deux hommes se lèvent mais cela réveille la femme endormie :
C’est avec un regard triste sur tes fesses qu’il se rassoit.
Il y a peu d’endroits ou aller dans un TGV, tu te diriges donc vers les toilettes, suivie de près par ton admirateur. Une fois la porte refermée, tu t’appuies contre la cloison écoutant les mains qui caressent ton corps. Elles caressent tes cheveux et le tour de ton vissage, pour descendre doucement vers ta poitrine, tes seins sont durs et en veulent encore. Un baiser dans ton décolleté puis sur ton ventre et déjà ses mains sont sur tes cuisses. Accroupi devant toi il fait remonter ses mains sous ta jupe pour retirer le voile qui lui masque ton sexe. Le visage plaqué contre ta jupe il fait descendre ta culotte qui ne laisse pas de doute sur ton état d’excitation. Dommage que le deuxième passager ne soit pas venu, tu te sens des envies de nouveauté. Les mains de l’homme remontent enfin en soulevant ta jupe au-dessus de la taille, ton sexe a présent nu est offert à son regard. Il pose un baiser dessus puis sa langue se fraie un passage vers ton bouton d’amour déjà tout inondé.
Tu entends cogner à la porte :
Les billets sont restés à ta place. Tu ne sais pas quoi faire, tu ne veux pas arrêter cette caresse.
Tu entrebâilles la porte et tu donnes ta culotte toute mouillée de désir au contrôleur en lui précisant que tu cherches un endroit plus approprié. Dans un premier temps il est surpris, mais très vite en voyant ton visage d’ange, il te fait un grand sourire et te demande de le suivre. Tu rabaisses ta jupe pour remonter le train coincé entre les deux hommes jusqu’au compartiment du contrôleur. Une fois entré, il te demande en portant ta culotte à son visage si cet endroit te convient. Tu lui souris avant de te tourner vers le passager pour lui rendre la politesse de ses caresses. Tes mains ouvrent son pantalon pour libérer un sexe qui ne cesse de gonfler depuis des heures.
Après quelques va-et-vient pour en prendre la mesure, tu approches ta bouche pour distribuer quelques petits coups de langue le long de la tige. Bientôt ta bouche se referme autour du gland pour une fellation gourmande. Pendant ce temps le contrôleur s’est assis sur une des banquettes et te regarde à genoux devant cet homme, le sexe qui rentre et sort de ta bouche. Il s’est d’abord caressé à travers son pantalon mais n’y tenant plus il a alors sorti son sexe pour se masturber. Tu sens le corps du passager se tendre prêt à exploser sous la puissance de ta fellation. Pour ne pas mettre fin trop vite à cette union, tu te retournes vers le contrôleur qui le sexe à la main semble avoir besoin d’aide. Tu te débarrasses de tes vêtements pour ne pas les tacher avant une réunion qui te semble loin. Nue, tu t’allonges sur la banquette en prenant au passage la tête du contrôleur pour qu’il termine la caresse buccale commencée par le passager dans les toilettes. Sa langue fouille ton intimité à la recherche du point qui te fera défaillir. Pendant ce temps l’autre homme couvre ta poitrine de baisers. Tu ne tardes pas à avoir un orgasme devant pareil traitement. Après quelques instants pour retrouver tes esprits, tu te tournes vers le contrôleur pour le prendre en bouche. Le passager ne voulant pas être en reste enfile un préservatif et se présente à l’entrée de ton sexe. N’attendant que ça tu recules les fesses et il te pénètre d’un seul coup de toute sa longueur. Ses mains sur tes hanches donnent le rythme de cette chevauchée à trois. Dans une explosion de plaisir les deux sexes se vident en toi.
Ta culotte trop mouillée pour être remise sert à essuyer les traces sur les trois sexes repus. De retour à ta place tu regardes le couple assis à côté, la femme dort mais l’homme a l’air frustré et tu sais ce qui fait retomber la frustration. Tu déposes dans sa main la petite culotte puis négligemment tu lui montres ce qu’elle cachait. Un sourire éclair son visage.
Le train arrive à Paris, le voyage a été plus court que les autres fois. Pendant toute la journée tu as souri en pensant : « S’ils savaient que je ne porte pas de culotte… »