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Temps de lecture estimé : 14 mn
08/12/04
Résumé:  Agnès, veuve depuis huit ans, rencontre de nouveau l'amour avec le patron d'un garage.
Critères:  fh intermast fellation préservati pénétratio
Auteur : Bcbg
Agnès et le garagiste




Voici l’histoire d’Agnès, une femme seule qui rencontre de nouveau l’amour après huit années de solitude. J’attends les critiques, les plus tolérantes comme les plus dures, et comme d’habitude d’ailleurs.


Agnès appuie de nouveau sur la pédale de frein et entend encore ce bruit métallique qui l’inquiète de plus en plus.

Il faut absolument qu’elle se rende au garage pour que sa voiture soit examinée.

Ce n’est pas tellement le bruit qui la chagrine mais le fait de ne rien connaître en mécanique.

Il est vrai qu’à l’époque où son mari était encore vivant, ce dernier s’occupait de ce genre de problème.

Veuve depuis maintenant huit ans, elle parvient à se débrouiller pour toutes les affaires courantes mais la mécanique est un domaine bien spécifique.

Elle fait réviser son véhicule par un petit garage de son quartier. Son mari lui disait qu’il était sérieux.

Pourquoi changer d’habitude.

Agnès habite Paris, dans un appartement d’un arrondissement chic, bien trop grand pour elle mais qui renferme tant de souvenirs.

Son mari était architecte et lui a laissé suffisamment de ressources pour vivre correctement. Elle voit régulièrement ses amies mais la solitude est pesante.

Ses deux enfants habitent en province. Elle ne les voit que de temps en temps.


Agnès a cinquante cinq ans. C’est une belle femme d’un mètre soixante cinq. Ses longs cheveux poivre et sel sont coiffés en chignon et son front est barré par une mèche rebelle. Son visage ovale aux pommettes saillantes est animé par deux grands yeux bleu ciel. Son nez, légèrement retroussé, surplombe une bouche aux lèvres un peu charnues dont le sourire laisse apparaître de belles dents blanches et régulières. Quelques rides témoignent des années et du poids des moments terribles qu’elle a endurés.

Son corps possède des formes lourdes et charpentées mais proportionnées.

Comme toute femme tenant à soigner son aspect, elle se regarde de temps en temps dans la glace murale de sa salle de bain et est assez fière de ses seins encore fermes et en forme de poire, de ses hanches bien dessinées ainsi que de ses cuisses pleines. Son ventre un peu rond domine un pubis épais et clair aux mèches abondantes.

Ses reins légèrement cambrés mettent en valeur les deux globes de ses fesses musclées.

Il lui arrive de soupeser ses seins et de passer la paume de ses mains sur ses hanches.

Ces quelques caresses provoquent malgré elle quelques frissons qu’elle abrège rapidement car se sentant un peu honteuse.


La douleur due à la disparition de son mari ne s’est pas tout à fait atténuée et elle éprouve quelques scrupules lorsque parfois, en passant ses mains sur son corps à la peau claire et douce, elle ressent des sensations pouvant s’apparenter à du plaisir charnel.

Agnès décide de ne pas rentrer directement chez elle et de passer par le garage afin de régler le plus rapidement possible ce problème de freins.


Le patron est Mr Louis. Ce dernier, une bête d’un mètre quatre vingt cinq environ, reflète l’image type du mécanicien. Agé d’une cinquantaine d’année, il possède une stature imposante et musclée et un ventre légèrement proéminent. Ses cheveux gris et clairsemés sont coiffés en arrière. Son visage long, aux traits rudes est animé par deux yeux d’un vert perçant et sa moustache fournie dégagent une certaine virilité.

Mr Louis est en général vêtu d’un jean et d’un pull aux manches retroussés sur des avant-bras poilus et puissants se terminant par des mains larges aux doigts épais et marquées par le travail manuel.

Mr Louis ne manque jamais d’accueillir lui-même Agnès lorsqu’elle se rend au garage.

Elle a droit au sourire carnassier mais non dénué de charme du garagiste.

Elle s’est également rendue compte à plusieurs reprises des regards rapides et appuyés qu’il adresse aux différentes parties de son corps comme pour en effectuer l’inventaire.

Chose qu’il ne se permettait de faire lorsqu’elle lui arrivait d’accompagner son mari.

Son instinct de femme se réveille à chaque reprise et elle éprouve un sentiment fait d’un mélange de colère, de honte mais également de satisfaction.

Ce n’est pas le genre d’homme que son mari et elle-même avaient l’habitude de fréquenter mais elle est consciente de l’effet que le charme viril du garagiste exerce sur elle.


Elle stoppe le moteur à l’entrée de l’établissement fait d’un atelier principale et d’une réception servant également de bureau. Quelques véhicules sont sur des chandelles, d’autres plus ou moins démontés. Les employés s’affairent autour des voitures et s’apostrophent en utilisant parfois des termes qui choquent toujours un peu Agnès.

Les voix résonnent.

Agnès pousse la porte du bureau au moment même où monsieur Louis s’avance vers elle pour la saluer.

Comme à chaque fois, Agnès éprouve un léger malaise en présence de cet homme.

Elle sait qu’il ne lui déplaît pas mais sa suffisance l’agace.



L’homme la fixe de son regard profond et lui sourit. Sa voix est grave et légèrement cassée.



L’assurance de cet individu l’énerve et la repousse presque, mais elle ne peut s’empêcher de répondre à son sourire.



Agnès pénètre dans le bureau équipé d’une table sur laquelle est posé un ordinateur, de deux chaises de visiteurs et d’une armoire métallique.

Quelques tableaux sont fixés aux murs, représentant des voitures de sport.

Un calendrier est également fixé sur le pan se trouvant juste derrière le fauteuil de Mr Louis.

La feuille mensuelle représente une blonde juvénile, bronzée et à la bouche dédaigneuse. Elle est vêtue d’un chemisier transparent échancré et d’une jupe écossaise. Sa position accroupie, les jambes écartées, laisse entrevoir des cuisses charnues et une toison abondante.

Une porte malencontreusement entrouverte, dans le fond de la pièce, donne accès à une sorte de vestiaire meublé de quelques armoires. La porte de l’une d’elle est ouverte et tapissée de photos de filles dénudées.

Agnès jette toujours un coup d’œil rapide vers le calendrier à chacune de ses visites au garage.

Choquée au début, elle a mis cela sur le compte de l’univers de ce genre d’établissement, qui est surtout celui d’hommes se prenant pour des dieux irrésistibles.

Son regard se dirige également vers le vestiaire et elle éprouve un certain dégoût en voyant la décoration de la porte en question.



Mr Louis s’est installé derrière son bureau.



Elle remarque la direction du regard du patron.

Elle reste un instant immobile, pétrifiée par la honte.

Le rouge lui monte immédiatement aux joues et elle décroise les jambes automatiquement pour tirer sur le bord de sa jupe.

Le mécanicien retrouve ses esprits immédiatement.



Elle se lève et sort du bureau sans un regard pour son interlocuteur qui se précipite pour la précéder afin de lui ouvrir la porte du local.

Agnès attend d’être à l’extérieur de l’établissement afin de respirer un grand coup pour tenter d’évacuer le poids pesant qui comprime sa poitrine.



Le regard de cet homme lui a mis la tête à l’envers, il faut qu’elle l’admette.

Ce n’est pas un mauvais bougre, continue-t-elle à se dire car, dans le cas contraire, il n’aurait pas été aussi gêné qu’elle par son comportement.

Agnès poursuit ainsi son chemin vers son domicile situé dans le même quartier.

Une fois arrivée chez elle, une envie subite l’entraîne vers sa chambre.

Elle se positionne automatiquement devant la glace équipant son armoire de famille.

Le teint lui renvoie l’image d’une femme élégante aux formes encore attrayantes.

Elle n’a pas revêtu de pull par cette belle journée de printemps.

Les mains posées sur les hanches, elle écarte légèrement les jambes. Les formes de ses cuisses se devinent un peu plus sous le tissu tendu de la jupe.

Elle se cambre un peu et contemple sa poitrine automatiquement mise en valeur.

Elle est consciente de la sensualité qui se dégage de son physique.


Cet homme lui plaît, elle a du mal à le reconnaître.

Que veut-il d’elle exactement.

Ne cherche-t-il pas à passer un « bon moment » avec elle pour ensuite la jeter comme un mouchoir en papier ?

Huit années de solitude, c’est long.

Est-ce que son mari lui en voudrait de connaître de nouveau le bonheur d’être serrée dans les bras d’un autre.

Elle décide de regarder la télé mais son esprit est ailleurs.

Le temps ayant passé, elle décide de rejoindre le garage à pieds ne sachant plus quoi penser.

Lorsqu’elle arrive devant l’établissement, elle remarque que seule la porte annexe est ouverte.

Le reste de l’atelier est fermé et plongé dans le noir.

Elle ressent une certaine inquiétude mais décide néanmoins de franchir le pas.

Elle pousse la porte et pénètre dans le hall principal.

Seule la lumière du bureau est allumée et elle aperçoit monsieur Louis assis derrière sa table.

De plus en plus angoissée et ne sachant plus quoi penser, elle se dirige vers le local.

Le patron, au son des talons des mocassins sur le sol, lève subitement la tête et se lève.

Agnès pousse le battant et entre dans le bureau.

Mr Louis, un instant désorienté, se dirige vers une table annexe et saisit un bouquet de fleurs qu’il tend ensuite prestement à sa cliente.

Cette dernière se fige et sent une vague brûlante envahir son visage.

Elle regarde son interlocuteur, ébahie.



Le garagiste a prononcé toutes ces paroles en bredouillant et en se dandinant sur place, les yeux fixés sur ses chaussures de sécurité.

Agnès tend les mains, le souffle coupé et incapable de maîtriser les battements de son cœur.

Ce n’est plus le mâle viril et racoleur qui se tient devant elle mais un homme désemparé et elle en est émue.



Prenant son courage à deux mains, elle décide de faire ce qu’elle a envie de mettre à exécution depuis longtemps.

Elle pose délicatement les fleurs sur le bureau et s’avance vers l’homme pour lui caresser doucement une joue de la main tout en le regardant tendrement.

Ce dernier, surpris, sursaute et lève la tête pour plonger son regard dans celui d’Agnès.

Les deux souffles accélèrent progressivement.

Puis, Agnès saisit Mr Louis par la main et l’entraîne vers le vestiaire.



Le local est dans la pénombre et uniquement éclairé par la lumière du bureau contigu.

Ils restent immobiles un instant.

En plus des armoires, le vestiaire est meublé d’une table en bois et de deux bancs.

La veuve se rapproche de l’artisan et pose ses deux mains sur les épaules épaisses.

Elle ne sait pas où elle peut bien trouver ce courage.

Elle sent son souffle sur son visage lorsqu’elle tend ses lèvres.

Puis, Agnès sent les deux mains de son amant se poser sur ses hanches pour la serrer un peu plus contre lui.

Les deux bouches se rencontrent et la femme accueille une langue épaisse et chaude.

Elle sent le bas-ventre de son partenaire venir à la rencontre du sien et recroqueville ses doigts sur les larges épaules lorsque la barre déjà ferme s’appuie doucement sur son triangle intime.

Les deux bouches se quittent dans un bruit humide et Mr Louis, tout en serrant les hanches pleines de plus en plus fort, penche le visage pour coller ses lèvres sur le cou blanc et charnu.

Il commence à le picorer et déplace une de ses mains pour enserrer un des globes gonflés qu’il soupèse avant de le masser.

Agnès a l’impression que le sol va se dérober sous ses pieds et qu’un courant électrique lui parcourt la colonne vertébrale.

Elle repousse son amoureux délicatement et le prend par le bras pour l’entraîner vers un des bancs.

Elle le fait asseoir et écarte les jambes du genou pour être le plus proche possible.



Le mécanicien avance ses deux mains largement ouvertes et saisit chaque mollet.

Au contact des paumes chaudes sur le tissu de ses collants, Agnès, les yeux mi-clos et les mains posées sur les épaules de Mr Louis, penche légèrement la tête en arrière.

Les mains remontent à présent doucement pour atteindre le creux des genoux et stoppent.

Se rendant compte de la timidité du garagiste, Agnès décide de retrousser elle-même sa jupe.

Elle est maintenant enroulée autour des hanches.

L’amant regarde un instant le corps de femme qui s’offre à lui et approche le visage pour déposer un baiser sur le sexe recouvert du slip de soie noire et du collant.

Les doigts d’Agnès, recroquevillés sur la laine du pull au point de le déformer, quittent leur proie pour se referment brusquement sur le crâne aux cheveux gris.

Les caresses reprennent autour des cuisses et les doigts épais se crispent de temps à autre sur les chairs blanches et brûlantes.

Les deux masses mobiles se posent ensuite à plat sur les fesses rebondies pour les masser avec douceur.

Un feulement sourd sort de la gorge fine de la femme.

Mr Louis fait glisser le collant dans un crissement soyeux jusqu’au niveaux des genoux.

Les mains plaquées sur chaque cuisse, il parcourt de ses lèvres humides la peau frissonnantes et douce avant de poser de nouveau sa bouche sur le tissu fin de la culotte dont les bords laissent échapper quelques touffes de poils clairs.



Le cri sec et strident d’Agnès déchire un silence devenu pesant.

Deux doigts font glisser le slip jusqu’à mi-cuisse.

Une paume se fraye un chemin entre les cuisses pour remonter lentement vers le puits intime.

Agnès écarte un peu plus les jambes pour faire comprendre à son partenaire que le chemin est libre.

Ce dernier lève son visage pour la regarder.

Elle croit être frappée par la foudre lorsque la tranche de la main se pose sur son sexe pour l’ouvrir délicatement en deux.

C’est ensuite la paume à la peau rugueuse qui se referme comme un étau sur le volcan.

Deux doigts nerveux plongent rapidement dans les chairs trempées sans parvenir à les saisir tant la sécrétion est abondante.

Une phalange s’introduit dans le cône pour se retirer immédiatement après.

Le souffle coupée par l’excitation et le plaisir et incapable de pousser le moindre cri, Agnès recule.



Mr Louis s’exécute.

Agnès le fait pivoter pour prendre sa place.

Une fois installée, elle tend la main vers une cuisse de l’homme pour la saisir et l’attirer vers elle.

Le bas-ventre est à présent à hauteur de son visage.

Ses doigts s’empare du ceinturon de cuir épais pour le défaire puis virevoltent autour des boutons de la braguette.

L’homme pose ses mains sur les avant-bras pour arrêter le déshabillage.



Touchée par tant de retenue, Agnès lui sourit.



Le dernier bouton saute dans les doigts prestes qui s’agrippent autour du jean pour le faire descendre en même temps que le slip.

Un sexe long et brun se détend touchant presque la bouche d’Agnès.

Il surplombe deux couilles déjà remontées dans leur sac recouvert de poils drus.

Elle pose deux doigts sur le tube fait de chair fine pour décalotter le gland qui apparaît, effilé, mauve et luisant du liquide de plaisir.

Agnès entame un mouvement de va-et-vient et peut immédiatement apprécier le durcissement rapide de la hampe qui se cambre fièrement.

Un grognement sourd sort de la gorge de l’ouvrier.

Agnès dirige sa main libre vers l’entrejambe recouverte de poils noirs pour la refermer sur la chair ferme et chaude.

Elle avance ensuite les lèvres qu’elle arrondit afin de faire pénétrer le gland puis une partie de la queue.

Mr Louis ôte les épingles qui maintiennent son chignon et contemple la cascade qui se répand sur les épaules fines.

C’est une caresse qu’Agnès n’aurait jamais pu penser pouvoir faire à un homme.

Mais aujourd’hui, c’est un geste d’amour qu’elle veut donner.

Elle poursuit le coulissement affectueux et parvient à s’arrêter de manière instinctive lorsqu’elle sent le bâton se cabrer encore un peu plus.

Les cuisses raides de son amoureux se sont mises à trembler.

La main qui saisissait la cuisse glisse pour soupeser les bourses chaudes et entamer un massage ferme mais doux.



Mr Louis se cambre légèrement tout en caressant la chevelure soyeuse de sa maîtresse.

Sentant son amant au bord de l’explosion, elle extirpe la queue luisante et congestionnée pour ensuite se lever en repoussant doucement son partenaire.

Jamais elle n’aurait pu imaginer qu’un homme comme lui, sûr de sa personne, puisse se transformer en amoureux si tendre.

Elle redoutait un comportement vulgaire dû à l’excitation.

Le gaillard la regarde les bras ballants, le sexe encore dressé et semblant appeler de l’aide.

Agnès l’embrasse sur la joue.

Tout en le fixant, elle déboutonne son chemisier, glisse une main à l’intérieur et libère un sein, blanc, rond, à l’extrémité turgescente et à l’aréole large et pâle. Elle le présente au mécanicien.



L’homme pose une main sous la masse chaude et avance la bouche pour saisir la tétine rouge entre les lèvres et commencer à la sucer.

Agnès, une grimace déformant ses traits, saisit la tête posée sur son torse pour la caresser.



Au bout d’un instant, elle le repousse doucement.



Il fouille dans le casier pour en retirer une pochette et se dirige vers le lavabo présent dans la pièce afin se laver les mains.

Il retire ensuite la protection de son enveloppe et la pose sur l’extrémité du gland pour la dérouler.

Agnès s’approche pour lui poser une main sous les testicules et la referme légèrement.

La queue reprend instantanément de sa dureté et se redresse.

Elle se dirige ensuite vers la table de bois et se penche pour saisir fermement le bord du tablier des deux mains.

La jupe toujours retroussée autour des hanches et la culotte enroulée au niveau des cuisses, elle parvient néanmoins à écarter les jambes et se cambrer puis, elle tourne la tête vers le mécanicien et le regarde.



Mr Louis contemple un moment le spectacle qui s’offre à lui.

Les deux fesses blanches et rondes sont d’une blancheur crûe.

La vulve, recouverte de la toison blonde, laisse apparaître en partie la cicatrise rouge et luisante.

Quelques poils humides sont réunis en touffe le long de la coupure.

L’homme s’approche et plaque délicatement la paume d’une main sur le mont de Vénus pour le caresser.

Agnès enfouie la tête entre ses bras et se mord les lèvres lorsqu’elle sent une phalange se vriller progressivement au plus profond de son ventre.

Le doigt se retire rapidement dans un bruit humide.

La respiration du garagiste devient de plus en plus bruyante.

Il saisit sa verge, plie légèrement les jambes, appuie le gland sur la vulve offerte et écarte les lèvres pour trouver l’ouverture qui le conduira au cœur du chaudron.

Une fois la cible atteinte, il se cambre d’un mouvement de reins continu et le gland, suivi de la tige, pénètre dans le fourreau.

Une longue plainte se fait entendre dans le vestiaire.

Les cuisses blanches et entravées par la culotte tremblent légèrement.

Pendant quelques minutes, la tige entre et sort sur un rythme ponctué par le bruit mouillé provoqué par l’inondation qui envahit le bas-ventre d’Agnès.

L’amant prend la précaution de maîtriser le plaisir qui gronde de plus en plus au creux de ses reins.

Puis, d’une manière soudaine, Mr Louis, dans une dernière lancée, les mains crispées sur le tissu de la jupe enroulée et le buste en arrière, se fige, le bas-ventre collé contre les coussins laiteux de la veuve.

Agnès sent la chaleur du liquide qui remplit le réservoir du préservatif.

Transportée dans un univers de plaisir elle saisit d’une main le jean de Mr Louis afin de l’attirer à elle au maximum.


Après avoir retrouvé ses esprits, le garagiste se retire avec précaution et ôte la capote pour l’envelopper dans un mouchoir en papier qu’il dépose ensuite sur la table.

Il remonte son slip et son pantalon qu’il reboutonne rapidement.

Agnès reste immobile.

Inquiet, Mr Louis s’approche d’elle et la prend par l’épaule pour la soulever et la retourner face à lui.

Il aperçoit alors les larmes qui coulent sur les joues de celle qui lui a procuré un bonheur infini.

Sans prononcer un seul mot, il la serre dans ses bras comme pour la réchauffer et dépose ses lèvres sur son front.

Au bout d’un moment, il la libère et remonte sa culotte ainsi que son collant avant de redescendre sa jupe et de reboutonner son chemisier après avoir replacé le sein pâle dans le balconnet du soutien-gorge, prenant ainsi le soin de remettre sa tenue en place avec le plus de délicatesse possible.



Agnès lui sourit tout en séchant ses larmes.



Une fois revenu chez elle, Agnès se précipite dans sa chambre pour prendre un cadre posé sur sa table de chevet.

Elle regarde la photo de son mari et se met à pleurer.

Bizarrement, elle a la sensation d’une présence subite à côté d’elle, une sorte de source de chaleur qui essaie de la réconforter et de lui faire comprendre qu’elle doit continuer à vivre et être heureuse.