n° 08239 | Fiche technique | 11191 caractères | 11191Temps de lecture estimé : 7 mn | 09/12/04 |
Résumé: Une femme fréquente une boutique très spéciale ... | ||||
Critères: f ff fplusag fépilée magasin essayage fgode fdanus intermast | ||||
Auteur : Jeff Envoi mini-message |
En faisant attention où elle pose ses pieds, Camille sort des toilettes et se glisse vers le minuscule lavabo. Devant la glace, elle rajuste d’un coup de main experte sa coiffure, rentre une mèche rebelle dans son lourd chignon, vérifie que son maquillage et impeccable et en s’approchant de la glace piquée, écarte largement ses lèvres enduites de rouge vif, et passe sa langue pointue sur ses dents blanches et régulières pour vérifier qu’aucune trace de café ne vienne en ternir l’éclat. Sûre d’elle, avant de sortir, elle rajuste son chemisier et estime alors qu’elle peut réapparaître en public.
Elle traverse la salle de café, perchée sur ses hauts talons noirs qui claques sur le marbre, à petites enjambées, tant sa jupe est serrée. Les regards de mâles esseulés et attablés qu’elle croise sur son passage la suivent et l’accompagnent jusqu’à la porte. Sur le trottoir elle prend une grande respiration, serre contre elle son sac à main et se dirige d’un pas décidé vers la porte de la boutique qui jouxte le café.
Ding! Ding! Émet la porte d’entrée qu’elle pousse et qui lui permet d’accéder à un univers chaud et feutré.
Immédiatement, une jeune vendeuse avenante se précipite vers elle. Camille n’a qu’un instant pour voir qu’elle semble être la seule cliente. Derrière la caisse, une femme frisant la cinquantaine, l’air sévère, les lunettes demi-lune sur le bout du nez, relève à peine la tête à son arrivée.
Le jeune vendeuse précède Camille vers le fond du magasin. Là, sur des portants, dans de minuscules niches, s’étalent sous le feu vif des lampes halogènes, les derniers modèles de la collection de Lady X.
D’un coup d’œil rapide, Camille explore les rayons mais ne trouve pas ce qu’il lui plait.
Camille se tourne vers elle, la toise des pieds à la tête comme si elle cherchait l’inspiration sur cette jeune femme, découvre qu’elle porte un badge où son prénom est inscrit "Lucie".
Camille semble réfléchir un instant, puis opine en émettant un petit "hum" qui veut dire "oui", mais sans avoir à s’engager.
Les deux femmes s’engagent dans l’escalier de fer forgé tournant qui débouche au milieu d’un salon où s’alignent les niches qui présentent individuellement les articles de la collection particulière.
Lucie se dirige vers une niche et en la montrant de la main, commence à en vanter les mérites. Camille l’interrompt dans sa démonstration.
Camille hésite un instant, le regard contemplant l’article et dans un souffle, répond :
Lucie, se penche et sort d’un tiroir un étui oblong, bleu nuit et le tend à Camille.
Camille ouvre l’étui avec gourmandise.
Couchée sur un lit de velours, sous un blister en cellophane, un magnifique godemiché rose, long, veiné, au gland large attend qu’une main veuille bien le sortir de là et l’utilise. Camille le contemple avec gourmandise, elle le dévore des yeux.
Camille, sur l’invitation de la jeune femme, la précède dans une petite cabine, à la lumière tamisée. Dans un coin, une sorte de demi sofa couvert d’un drap, attend la cliente.
Camille dépose sur un portemanteaux sa veste, défait sa jupe, retire ses chaussures et apparaît en bas et culotte. Elle sent sur ses cuisses légèrement charnue le regard de Lucie. Enfin, elle fait glisser son string.
Camille fait face à la jeune vendeuse qui tient dans se main le somptueux godemiché et attend patiemment que sa cliente s’installe, à son aise.
Camille s’est assise, le dos parfaitement calé dans le fauteuil. Les jambes légèrement écartées, elle plaque ses deux mains sur les haut des cuisses, remonte vers son entrejambe et tire légèrement sur la peau de sa vulve rasée pour l’ouvrir.
Lucie, s’agenouille entre les cuisses ouvertes et doucement, approche le terrible engin du sexe de sa cliente.
Un léger ronronnement emplit la pièce et Camille sent se poser sur la peau qui couvre encore son clitoris, un frémissement agréable qui en masse la hampe encore repliée. Manipulé avec une douceur extrême, la tête vibrante du godemiché commence son travail d’excitation. Très vite, son clitoris durci, se développe et sort de son enveloppe de chair pour montrer le bout d’un gland rosâtre, luisant de plaisir, long et fin. La jeune vendeuse utilise le bout du godemiché comme un stylet.
Pour mieux exciter le clitoris, Lucie a poser sa main sur le mont de Vénus de Camille, tirant légèrement la peau de son pubis de façon à faire encore plus bander la petite tige dure et tendue.
Camille pousse de petits cris de plaisir.
Camille les mains toujours sur le côté de sa vulve, en écarte largement les lèvres charnues pour inviter Julie à aller plus loin dans l’essayage. La jeune vendeuse, tout doucement, fait glisser le gland vers l’entrée du vagin de Camille. Une entrée que sa cliente lui ouvre. Humide, large. Sans autre manipulation, le bout du gland commence à être pris d’un tressaillement plus prononcé.
Camille le sent écarter ses lèvres, pénétrer son entrée intime. Elle a l’impression d’avoir un vrai sexe mâle dans sa chatte. Cette sensation excite les muqueuses qui lâchent de plus en plus de cyprine, facilitant le passage du gland dans son sexe. Les vibrations, douces au début de la pénétration, s’accélèrent et Camille à la sensation que le bout du gland, en se frayant un chemin dans son sexe, vient cogner dans toutes les parois de son vagin, atteignant le fond, buttant contre son entrée d’utérus.
Maintenant, le bout du gland est à l’entrée du col de l’utérus de Camille, épousant merveilleusement sa forme et le tressautement se communique à tout son ventre.
Sous la poussée de l’engin, Camille soupir bruyamment et jouit largement en inondant le siège d’un long jet de plaisir. Sous la jouissance, les muscles du sexe de Camille expulse le godemiché et elle le ressent encore en elle, alors qu’il a déjà atterri dans les mains de Lucie.
Camille reprend sa respiration petit à petit.
Lucie tire de dessous le demi sofa, deux bras amovibles et installe délicatement les pieds de Camille sur les étriers. D’un doigt délicat, elle cueille un peu du jus qui s’écoule de la chatte de Camille et l’étale sur l’anneau culier de sa cliente. Délicatement et consciencieusement, elle passe le doigts sur l’ensemble du muscle anal et s’attarde sur l’entrée du petit trou.
Au contact du doigt, Camille frémit. Son sexe se mouille de nouveau, son clitoris bande et sa poitrine, retenue par son soutien-gorge tend les bonnets de dentelle, les tétons pointant à travers son chemisier.
De nouveau le doux ronronnement se fait entendre. Au contact du bout du gland avec l’entrée de son anus, Camille pousse un long soupir de plaisir et le frémissement automatique de l’engin entrant en contact avec sa chair produit une décharge de plaisir dans tout son corps.
De ces deux mains passées sous les fesses, Camille écarte son anus pour mieux être pénétrée par le godemiché. Le gland semble forer automatiquement son petit trou, l’élargissant au fur et à mesure de sa progression. Camille est envahi par les doux tremblements du godemiché qui la sodomise. Elle suit la progression. Son anus aspire le gode, avec des spasmes de plaisirs qui semblent accélérer les vibrations qui se font de plus en plus rapide et se transforment en coups de boutoir, comme une vraie queue qui l’empalerait par là.
Camille ne tient plus. De son clitoris, de son sexe partent de longues décharges de plaisirs qui la font crier de plaisir, mouillant abondamment le siège, lui faisant cambrer les reins. Le plaisir semble ne plus vouloir retomber. Les vibrations dans son fondement s’atténuent et dans une dernière contraction musculaire, l’anus rejette le godemiché. Camille retombe dans le fond du fauteuil, la respiration courte, les jambes tremblantes, les cuisses trempées de plaisir.
Un long moment après, Camille, rhabillée, remaquillée, les jambes encore un peu tremblantes, sort de la boutique et se retrouve sur le trottoir, au milieu de la circulation et des piétons qui la bouscule. Avec difficulté, elle gagne le taxi qui a été commandé par la boutique, s’affale sur la banquette arrière avant de donner l’adresse de son domicile au chauffeur, en lui demandant de se presser, tant elle a hâte d’essayer, seule, le terrible godemiché qu’elle vient de lui procurer un plaisir qu’elle n’avait encore jamais atteint, y compris avec un homme.
Note de l’auteur …
Dommage que de telles boutiques n’existent pas et que l’on ne trouve ces engins que dans des sex-shops, souvent glauques … peut être une idée à explorer !