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Temps de lecture estimé : 14 mn
09/12/04
Résumé:  Laurette L'environnement était magnifique et un lieu de villégiature superbe pour des vacances. Jean-Luc Pendant le repas du soir avec animation folklorique s'il vous plait, Laurette, rattrapée par la fatigue, nous a quittée pour aller se coucher.
Critères:  fh couple sport amour voir massage ecriv_f
Auteur : Magdeleine Robin      
Duo d'amour


Cette histoire, qui s’est passée à l’Ascension pendant un week-end VTT dans les Ardennes, est un duo (à deux voix) marquant les sensations vécues par un homme et une femme.


Jean-Luc

Il s’agissait d’un raid de 4 jours où l’on parcourait environ 60 Km par jour. L’organisation se chargeait de l’hébergement en gîte et des repas. Nous étions une équipe de 4 à participer à ce raid, Pierre, Eric, Laurette et moi, Jean-Luc. Nous en étions à la fin du 3ème jour et les organismes étaient un peu fatigués. Nous avions déposés nos bagages au gîte avant d’aller dîner. C’était un très beau gîte avec une très grande baie vitrée donnant sur un lac dont les rivages étaient boisés. Il y avait 2 chambres accessibles en traversant le living. Nous avons pris la première avec Pierre parce qu’il y avait 2 petits lits, Eric a pris la 2ème également équipée d’un petit lit et nous avons laissé le canapé double du living à Laurette.


Laurette

L’environnement était magnifique et un lieu de villégiature superbe pour des vacances. C’était bien la première fois que je partageais ainsi un hébergement, seule avec des co-équipiers.


Jean-Luc

Pendant le repas du soir avec animation folklorique s’il vous plait, Laurette, rattrapée par la fatigue, nous a quittée pour aller se coucher. J’ai bien trouvé que Pierre buvait plus que de raison, mais après tout, c’était la fête et on n’allait pas s’en priver… Le repas était bien copieux et composé de spécialités régionales dont je n’ai pas retenu le nom, ha si, peut-être le « coucou de Malines » ?


Laurette

Le côté sportif du VTT et la profusion de nouvelles rencontres des journées précédentes m’avaient épuisée et j’avais préféré aller dormir pour finir mon parcours initiatique avec brio et en état de fonctionnement acceptable.


Jean-Luc

A force d’exagérer, Pierre a fini par être hors d’usage et m’a demandé de le raccompagner jusqu’au gîte. Et ça n’a pas été une mince affaire que de longer le lac dans le noir sur un chemin étroit avec un copain qui divague à soutenir. Petite halte pour nourrir les poissons au « coucou de Malines » et nous avons enfin atteint le gîte. Le plus doucement possible, j’ai ouvert la porte de la chambre et couché Pierre qui s’est aussitôt mis à ronfler comme un sonneur. Ça promettait pour le reste de la nuit.


Laurette

Je m’étais couchée rapidement mais somnolais vaguement lorsque que je les ai entendus entrer. J’étais un peu agitée.


Jean-Luc

J’allais ressortir pour rejoindre Eric dans la salle du repas lorsque j’ai entendu venant du canapé une petite voix ensommeillée :



Je suis allé m’asseoir au bord du canapé, après tout, j’avais bien le temps de rejoindre Eric.



Laurette

Jean-Luc est une personne que j’aime beaucoup et pour qui j’ai toujours éprouvé une tendresse débordante. J’ai souvent rêvé de lui sans toutefois jamais avoir pensé qu’un jour nous nous trouverions réellement si près l’un de l’autre. J’étais littéralement ravie qu’il s’occupe de ma petite personne et j’ai toujours énormément de plaisir à le rencontrer chaque fois que nous partageons une épreuve sportive.


Jean-Luc

J’ai écarté la couette et j’ai découvert que Laurette dormait en culotte et soutien-gorge. Je m’attendais à une chemise de nuit ou un grand tee-shirt et j’ai eu une vraie surprise en découvrant une jolie culotte en dentelle et le soutien-gorge assorti. Je ne pensais pas que Laurette soit aussi féminine. Laurette est une femme d’une quarantaine d’année, plutôt jolie, brune, bien faite de sa personne, pas très grande, 1m65 environ mais avec de jolies formes. Jusqu’à présent, je la regardais comme une copine, une compagne de randonnée. J’avoue que de la contempler à moitié nue à la lumière du clair de lune a déclenché une certaine chaleur…


Laurette

Je suis petite puisque je mesure 1m60. Il est sûr que Jean-Luc est un homme grand, 1m80 environ, très brun, un regard profond, en fait, je l’ai toujours trouvé très attirant.


Jean-Luc

Laurette n’a pas cherché à se couvrir, elle est restée étendue sur le dos, les yeux mis-clos, les jambes serrées. J’ai pris son mollet gauche dans mes mains et j’ai commencé à le masser, doucement, en remontant vers le cœur comme il se doit. Le vrai massage décontractant, tout en effleurement, pas celui d’avant l’effort qui est plus soutenu. Je suis passé à la cuisse, toujours en effleurant vers le cœur et pour se faire, j’ai légèrement écarté la cuisse de Laurette. Je suis passé à la jambe droite, mollet puis cuisse. Laurette ne bougeait pas, elle avait fermé les yeux et respirait calmement, profitant pleinement de ce massage. Pour un peu, j’aurais pu penser qu’elle s’était endormie. En massant sa cuisse ma main remontait très haut et effleurait sa culotte et son mont de Vénus, sensation délicieuse pour moi, et je sentais déjà une belle érection dans mon pantalon. Je suis sure qu’elle n’était pas indifférente à ce massage caresse, d’ailleurs, j’ai senti que sa respiration s’accélérait un peu.



Laurette

Le massage commencé par Jean Luc a généré des vagues de chaleur dans mon bas ventre mais je demeurais immobile afin de me laisser lentement envahir par la féerie de ce moment magique.


Jean-Luc

J’ai intensifié un peu mon massage, surtout à l’intérieur et en haut de la cuisse, là où la peau est si douce et si tendre. Ce faisant, je passais de plus en plus près, voire franchement en contact avec le mont de Vénus de Laurette et je prenais un malin plaisir à m’y attarder. Laurette était loin d’être insensible à cette nouvelle caresse et je sentais ses jambes s’écarter au contact de mes mains. J’avais devant moi une jeune femme allongée, lascive, les cuisses ouvertes et ses sous-vêtements blancs ressortaient dans la lumière diffuse du clair de lune. Je me suis alors agenouillé au pied du canapé et j’ai commencé à déposer des petits baisers sur ses pieds, doucement, délicatement. Je pense que Laurette n’attendait que ça, parce qu’elle n’a pas eu de réaction et s’est laissée faire. J’ai pris l’un de ses pieds dans mes mains et j’ai continué à l’embrasser, passant ma langue entre les orteils, l’un après l’autre. Puis, j’ai pris son gros orteil dans ma bouche et je l’ai sucé comme s’il s’agissait d’un sexe. J’aime cette sensation de faire une fellation sur un pied, ce goût légèrement salé même si le pied est très propre ce qui était le cas de celui de Laurette. Et elle se laissait faire et semblait y prendre du plaisir si j’en crois la soudaine accélération de sa respiration.


Laurette

Une douce sensation de plénitude et de désir s’est dessinée dévorante et je voulais que ces instants durent à l’infini. J’étais, malgré une attente fertile, surprise de trouver Jean Luc capable d’autant de sensualité. Un bonheur d’être envoûtée par son érotisme brûlant.


Jean-Luc

Toujours agenouillé au bord du canapé, je suis remonté, en déposant des baisers, le long de son mollet puis de son genou où je me suis de nouveau attardé. Je suis reparti à l’assaut de sa cuisse en alternant les mouvements de massage et les baisers m’attardant à l’intérieur. J’ai posé ma tête sur le ventre de Laurette, la joue contre sa culotte et j’ai continué à caresser l’intérieur de sa cuisse, tout en haut. Ses mains se sont posées sur ma tête et elle a commencé à caresser mes cheveux. J’ai posé ma main sur son mont de venus, empoignant tout son sexe à travers sa culotte et j’ai senti un frisson parcourir son corps et ses mains se crisper légèrement dans mes cheveux. J’ai alors entrepris un massage différent, toujours à travers la dentelle de sa culotte, mes doigts de sont faits plus précis en écartant les grandes lèvres et j’ai senti l’humidité de son sexe, la moiteur de sa grotte. J’ai glissé ma main sous sa culotte, Laurette a écarté encore plus ses jambes et j’ai pu glisser mes doigts à l’intérieur de ses lèvres pour une caresse précise qui a généré une ondulation du bassin chez Laurette.



Laurette a changé de position, elle s’est allongée en travers du canapé comme je le lui avais demandé, cuisses écartées face à la baie vitrée, éclairée par la lune. Heureusement qu’il n’y avait aucun vis à vis. Je me suis de nouveau agenouillé entre ses cuisses et doucement, j’ai baissé sa culotte, l’enlevant complètement. Je pouvais maintenant découvrir son abricot gorgé de jus, un joli sexe entrouvert avec une toison brune, bien entretenue. J’ai recommencé à déposer des baisers à l’intérieur de ses cuisses, tout près de l’entrée de sa grotte, ses mains sont venues se reposer dans mes cheveux, me demandant d’aller plus loin dans mes caresses. J’ai écarté sa toison et les lèvres de son sexe avec mes doigts pour y poser ma bouche. Je suis resté un moment sans bouger, buvant sa cyprine puis, j’ai cherché son clitoris avec ma langue. Je n’ai eu aucun mal à le trouver tellement il était gonflé de désir. J’ai passé mes bras sous ses cuisses pour tenir ses hanches dans mes mains, la bouche toujours collée sur son sexe pour un baiser passionné. Comme tout à l’heure, son bassin s’est mis à onduler. J’ai aspiré son clitoris maintenant gorgé de sang et j’ai réussi à le prendre entre mes lèvres pour le sucer.


Laurette

Des tremblements saccadés ont parcouru mes membres de vapeurs chaudes et tourbillonnantes.


Jean Luc

J’ai senti l’orgasme monter chez Laurette, ses mouvements de bassin sont devenus désordonnés et j’avais du mal à la maintenir. D’un seul coup elle a serré ses cuisses contre ma tête et ses mains m’ont appuyé encore plus fort contre son sexe. Emportée par le plaisir, elle s’est mise à feuler, arc boutée et cambrée, le buste tendu électrisé par les spasmes de bien être. Elle a fini par se détendre et ses mains ont à nouveau tout doucement caressé mes cheveux. J’ai reposé ma tête sur son ventre et nous sommes restés un moment comme ça, sans bouger.



Laurette s’est allongée à nouveau dans le sens de la marche et après m’être déshabillé, je suis venu la rejoindre sur le canapé. J’ai rabattu la couette sur nous et je l’ai prise dans mes bras, une jambe entre les siennes. Nous nous sommes embrassés, un long baiser passionné ou nos langues ont fait connaissance, et se sont mélangées.


Laurette

Je n’avais jamais pu contempler le corps nu de Jean Luc. Toute la magie de mes fantasmes l’a enveloppé d’une lumière irréelle et donné à mon regard une magnifique envie d’être contre lui, sur lui, avec lui, dans moi. Il était beau. Une sculpture de Rodin, un géant comme on en voit dans les livres d’histoire grecque, un demi-dieu, une silhouette athlétique parcourue de bosses et de creux sinueux, sur lesquels mes doigts courraient impatiemment à la découverte de ses frissons et exaltations. Je veux faire trembler son corps.


Jean Luc

J’ai senti la main de Laurette qui se glissait entre nous, elle a empoigné mon sexe et a commencé à le masturber, lentement, s’attardant sur le gland, sensation délicieuse. J’ai passé mes mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge et découvrir ses seins. Encore une surprise, Laurette a de beaux seins en pomme, fermes, avec de larges aréoles brunes et des tétons bien dessinés déjà très érigés. Ils ne sont pas très gros, mais bien suffisants pour les mains d’un honnête homme… Je m’empresse donc de les prendre en main pour en apprécier la douceur et continuer la séance de massage devenue plus qu’érotique. Je m’attarde sur les pointes, les pinçant délicatement entre deux doigts ce qui a pour effet de faire gémir Laurette, elle semble aimer aussi ce nouveau massage. Je descends doucement, passant de sa bouche à son cou où je continue à déposer les perles d’un collier de baisers. Laurette sent bon le parfum d’un lait corporel, sa peau est douce, satinée sous mes lèvres, je m’enivre de son corps que je lèche du cou aux seins, prenant les pointes entre mes lèvres comme je l’ai fait tout à l’heure avec son clitoris. Je sens son corps parcouru de frisson sous mes lèvres, je sens qu’elle apprécie ce que je lui fais subir. Sa main se promène toujours doucement sur mon sexe. J’ai envie de cette femme, j’ai envie, j’ai besoin de lui faire l’amour, je veux la posséder.



Laurette

Mon corps était comme un volcan endormi quelques minutes plus tôt, et maintenant, des flux de plaisir et de désir désormais grondaient et ensorcelaient mes sens. L’envie de Jean Luc est devenue brûlante, la force aimantée de l’effusion m’enveloppait totalement. Mes caresses n’étaient plus l’écoulement d’un souffle de chaleur mais désormais, une ferme proposition sur sa peau, une éruption ardente sur sa chair. Je l’attirais vers moi, je poussais ses fesses sur mon sexe, je plaquais mes seins contre son torse, le velouté charnu de mes lèvres aspirait son cou, ses joues, sa bouche.


Jean-Luc

A nouveau, nous nous sommes embrassés, passionnément, pris par la folie du désir, à la recherche de la jouissance. Laurette a ouvert ses jambes et m’a laissé le passage. Je me suis présenté à l’entrée de sa grotte et c’est avec sa main qu’elle m’a guidée en elle. Puis, c’est d’une seule poussée que j’ai investi son sexe trempé de désir.


Laurette

J’ai aspiré l’air comme une asthmatique en poussant un long gémissement et j’ai serré Jean-Luc si fort que j’ai eu peur de lui avoir fait mal par l’empreinte de mes pincements sur sa peau.


Jean Luc

Abuté en elle, je suis resté sans bouger tout au plaisir de ne faire qu’un. J’ai commencé à aller et venir en elle et c’est à ce moment là que la porte du gîte s’est ouverte. C’est Eric qui rentrait de la soirée. Je me suis arrêté de bouger et nous sommes restés collés l’un à l’autre, silencieux dans le noir.


Laurette

Paralysée, le cœur battant, je goûtais de la langue une parcelle de la peau salée de Jean Luc, j’écoutais son souffle chaud caresser mon visage, je m’enivrais de son odeur musquée dans l’éternité du silence uniquement troublé par les craquements du lit d’Eric. Son sexe dans mon antre, les cuisses ouvertes, oh ! Que je me sentais bien.


Jean-Luc

Eric est allé directement dans sa chambre et s’est enfermé.



Nous sommes restés sans bouger encore un moment toujours étroitement liés et puis nous avons entendu des ronflements sonores venant de la chambre d’Eric. Il s’était endormi. Entre temps, j’avais un peu perdu de ma rigidité…



Laurette s’est dégagée et s’est retournée me présentant ses fesses et sa vulve grande ouverte. Quel beau spectacle ! J’ai senti ses lèvres se poser sur mon sexe et s’ouvrir pour absorber mon gland puis mon sexe tout entier. J’ai instantanément retrouvé toute ma vigueur et mon désir de cette femme si surprenante.


Laurette

Alors que je léchais, suçais, avalais avidement, délicieusement son membre érigé, je le laissais contempler les mystères de l’abîme du désir, les profondeurs de mon plaisir pour une exaltation de tous ses sens, lui laisser une image impérissable, lui faire perdre la tête.


Jean Luc

Dieu que sa bouche était douce et délicate, que c’était bon de la sentir monter et descendre le long de ma hampe, insistant exactement aux endroits les plus érogènes. J’étais au bord de l’explosion et elle a du le sentir parce qu’elle s’est arrêtée et s’est retournée vers moi.



Elle est descendue doucement, guidant mon sexe vers le sien, s’empalant bien à fond.


Laurette

L’entrée du pénis de Jean Luc dans mon orifice, lentement, profondément a parcouru tous mes membres de volupté. Ce moment si exaltant de sa prise de possession était une invasion qui m’a donné une sensation contradictoire de puissance. Ma poitrine s’est à nouveau soulevée, mon souffle a hoqueté, entrecoupé d’émotion, de mouvements désordonnés par des réflexes nerveux incontrôlés.


Jean Luc

Puis elle a entamé une sorte de danse du ventre en faisant rouler ses hanches autour de mon sexe. Je sentais que j’étais loin en elle, je voyais ses seins ballotter sous mes yeux au rythme de ses hanches et je les ai pris dans mes mains les caressant et les pinçant de nouveau. Laurette avait fermé les yeux s’abandonnant au plaisir qui doucement montait de ses reins. J’étais de nouveau au bord de l’explosion mais je voulais faire jouir Laurette encore une fois et je tentais de me retenir. Elle s’est mise à monter et à descendre le long de mon pieu, s’empalant de plus en plus loin.



A ces mots, j’ai senti le plaisir m’envahir déferlant par vagues au rythme des jets de sperme de mon sexe. Le corps de Laurette était lui aussi secoué de soubresauts et j’ai vu qu’elle se mordait les lèvres pour ne pas crier son plaisir. Nous avons joui ensemble, emportés par la tempête du plaisir vers des rivages inconnus mais paradisiaques.


Laurette

Mes reins ont explosé d’un orgasme puissant, étranger à toutes sensations vécues auparavant. Les flammes du bien être ont crevé le ciel et exacerbé ma volupté dans les confins lumineux des étoiles de la galaxie.


Jean Luc

Laurette s’est écroulée sur moi et nous avons échangé un autre baiser plein de passion. Nous sommes restés immobiles un long moment continuant à partager ces moments rares de communion dans le plaisir, nos cœurs battant à l’unisson.



Laurette s’est dégagée et s’est couchée juste devant moi, ses fesses contre mon sexe maintenant au repos. Je l’ai embrassée doucement dans le cou, là où ses cheveux font des petits frisottis. J’ai senti sa respiration se calmer, j’ai continué à lui caresser les cheveux et j’ai senti qu’elle s’était endormie. Je suis resté encore un moment contre elle, sans bouger, puis, je me suis dégagé. J’ai rabattu la couette sur elle, j’ai récupéré mes habits et je suis allé me coucher des images plein la tête en refermant la parenthèse…