Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 08248Fiche technique7857 caractères7857
Temps de lecture estimé : 6 mn
10/12/04
Résumé:  Ma conscience m'interdit de le faire avec ma meilleur amie
Critères:  fh jeunes amour contrainte revede jeu humour
Auteur : Gus

Série : Karine

Chapitre 01 / 02
Une soirée pas comme une autre


C’est en se faisant dernièrement une soirée télé avec Karine, ma meilleure amie que je n’avais pas vu depuis quelques mois, que me sont revenues en mémoire nos folles histoires de jeunesse… qui remontent à plusieurs années déjà.


A cette époque, nous étions au lycée. Pas dans la même classe en plus. On s’était rencontrés grâce à des amis communs et résultat, je l’avais invité à mon anniversaire.

Après cette soirée, on se faisait assez souvent des sorties ensemble, mais vraiment en tant qu’amis. Elle était pourtant du genre à courir après plusieurs mecs en même temps, sans pour autant coucher à chaque fois. D’ailleurs, elle ne couchait que rarement avec les gars qu’elle allumait ! Mais en tout cas pour moi, elle n’était qu’une amie. J’étais aussi son confident, et c’est souvent en pleurant qu’elle m’appelait à la rescousse pour se consoler de ses multiples histoires d’amour : hé oui, plusieurs mecs à gérer en même temps, c’est souvent la galère, avec les parents qui décrochent disant :"bonjour, vous êtes lequel ?"


De temps en temps, vu qu’elle s’engueulait pas mal avec ses parents justement, elle venait dormir chez moi. Il faut dire que j’avais une grande chambre aménagée dans les combles, et à côté une salle de bain avec une douche et des WC. Bref, le genre de truc qui fait qu’on se sent chez soi, et qu’on a pas besoin de redescendre dans la maison pour vivre, sauf pour manger. Un lit 2 places, une big armoire, un canapé, la chaîne Hi-fi… manquait plus que les spots et la boule à facettes pour pouvoir faire boite de nuit ! (ah non, j’avais pas la TV non plus dans ma chambre !)

Du coup, quand je dis qu’elle venait dormir chez moi, je devrais plutôt dire avec moi !


On avait une grande complicité, et tout était clair entre nous : nous étions amis. Bon, ok, il nous arrivait parfois de dormir dans le même lit, et alors ? La situation nous convenait et nous faisait bien marrer, car nos parents respectifs étaient persuadés que nous sortions ensemble.


Jusqu’au jour où …

Ce soir-là, mes parents étaient de sortie. Hop, un coup de fil à Karine : tentée par une soirée TV ? OK, en avant !

Je prépare quelques croque-monsieur, Choix du film ? Color of night …


La cassette dans le magneto, les assiettes sur la petite table devant le canapé dans le salon, la bouteille de coca, extinction des feux, et "lecture".

Jusque là, tout va bien.

Sauf que, je n’avais encore jamais vu le film (elle non plus mais bon…) ! Et y’a franchement des passages assez chauds, qui émoustillent assez facilement, surtout pour une allumeuse comme Karine …

A la moitié du film, elle vient se blottir contre moi. C’est pas la première fois que ça arrive, je n’y prête pas attention. Mais je remarque quand même que de temps en temps, elle me serre d’un peu plus près, et laisse subtilement passer sa main sur mon torse. Mais bon, on se connaît, et on a toujours été très clairs dans nos rapports.


Fin du film. Y’a pas à dire, c’est un bon film : suspense, sexe, bon scénario, impec quoi. Hop, on monte se coucher.

Comme d’habitude, elle n’a pas pris d’affaires… je lui passe un grand tee-shirtet elle file dans la salle de bain. Je me mets vite fait en pyjama, et attends qu’elle me libère la place pour aller soulager ma vessie, puis je la rejoins dans le lit.


Comme d’habitude, lampe de chevet allumée, chacun de notre coté, on discute de choses et d’autres, du film, de ces scènes plutôt osées, l’ambiance chauffe, et c’est alors que je la vois tenter de venir poser ses lèvres sur les miennes.



Elle éclate de rire : "prend un chewing-gum, Emile !" (Vous aurez tous reconnu "la cité de la peur")


Elle se lève, et va m’en chercher un.

Merde, plus d’excuse. Elle me le donne, je le prends timidement et commence à mâchouiller.

Elle éteint la lampe, revient sous la couverture, et après 30 secondes, se met à califourchon sur moi.

J’me sens crispé tout à coup. Surpris. J’ai pas vraiment envie de faire ça avec ma meilleure amie !

Elle me regarde, les yeux brillants, me sourit, et vient m’embrasser.

Je résiste, je détourne la tête, à droite, à gauche, mais elle se démène pour arriver à ses fins.


Ca y est, contact, sa bouche touche la mienne, je me fige.

Elle se relève un peu. Me regarde, fière d’elle. Puis revient déposer sur mes lèvres un baiser plus appuyé. Je me laisse faire. Puis je sens sa langue qui tente de percer le barrage de ma bouche : je résiste un peu pour la forme, et puis je l’embrasse. Y’a pas à dire, elle embrasse carrément bien, un vrai délice.


Elle s’agite. Ouh là, où ça va nous mener tout ça ? Timidement, je pose mes mains dans son dos, par-dessus le tee-shirt, et la caresse doucement, pendant que notre baiser s’éternise.

Je sens bien qu’elle en veut plus, mais je n’arrive pas à me décider…


Elle prend ma main, et la pose sur son cul. Ok, là c’est clair. Je malaxe doucement, et commence à passer ma main sous le tissu de son slip, pendant que mon autre main remonte sous le tee-shirt.


Puis tout à coup, elle glisse sur le coté, je ne sais pas trop ce qui se passe, je n’entend que deux ou trois bruits sans distinguer ce qu’elle fait. En un éclair, elle revient sur moi.

Elle reprend son baiser, et tout naturellement, je laisse mes mains reprendre leur caresse.

Elle est entièrement nue ! Visiblement, je n’allais pas assez vite pour elle !

Elle a des petits nichons en poire, qui tiennent bien dans la main, la fesse ferme, et… la chatte très humide ! Je l’ai senti en laissant un de mes doigts s’égarer sur son minou ; d’ailleurs je l’ai sentie frissonner.


Je la pelote maintenant sans retenue (ou presque), et mes doigts semblent lui procurer beaucoup de plaisir. Je lui titille le clito. Je lui mets alternativement un, puis deux doigts. Je passe de mouvements lents à mouvements rapides. Elle lâche des petits cris de plaisirs à chaque fois que je reprends mes allées et venues. Mais j’ai quand même des remords ! Faire ça avec ma meilleure amie.


Tout va vite ; trop vite, et s’accélère encore. Elle se redresse, enlève mon haut de pyjama, revient contre moi, ses seins sur mon torse. Contact électrisant des chairs. Elle se tortille sous l’action mes doigts, je suis de plus en plus perplexe sur ce qui je suis en train de faire. Et puis … elle pose sa main sur ma queue. Elle apprécie la taille de ma bite tendue de désir. Et elle commence à baisser mon pyjama et mon slip. C’en est trop pour moi !



Elle s’est rhabillée, s’est mise de son coté, et le silence de la nuit a soudain envahi la pièce.

Pas un mot de plus, pas un "bonne nuit", rien. Elle me fait la tête. C’est normal.

Je me tourne sur le coté, tente de reprendre mes esprits, pense à autre chose pour débander, et je m’endors.



La suite au prochain épisode …