n° 08250 | Fiche technique | 13698 caractères | 13698Temps de lecture estimé : 9 mn | 10/12/04 |
Résumé: Une aventure inoubliable qui m'est arrivée durant l'été 2003 dans le sud de la France, avec Serge, Luc et Jean-François. | ||||
Critères: h fh fhhh vacances plage voir exhib facial fellation cunnilingu init ecriv_f | ||||
Auteur : Anh (Etudiante 25 ans du nord-est de la France) |
Cette histoire s’est passée durant l’été 2003 (oui, celui de la canicule… la chaleur a dû jouer un rôle, c’est certain).
Je suis une étudiante du Nord-est de la France. À ce moment-là, je n’avais pas de copain, mais je n’en cherchais pas non plus. J’aimais faire la fête et rencontrer du monde. Vers la fin de l’année universitaire, j’allais me rendre vers les plages méditerranéennes avec une amie, Cécile. On allait rejoindre un groupe de notre région qui partait dans le sud en train, ayant loué un camp à proximité d’une plage de Montpellier, avec tentes et compagnie. On avait répondu à l’annonce et l’organisateur était plutôt enthousiaste que deux filles se joignent à eux. On allait se retrouver à cinq filles et sept gars. On était à deux jours du départ quand Cécile m’appelle pour me dire qu’elle ne pouvait plus venir, il y avait eu un malheur dans sa famille, elle n’avait plus le goût à s’amuser. Tant pis, elle ne viendrait pas, mais moi, je décidais de rester sur mon idée de partir, qui plus est, j’en avais besoin, mon année avait plutôt été moribonde. Je retrouvais toute l’équipe emmenée par Michel, l’organisateur, à la gare et nous nous retrouvions à 11 en partance vers les vacances chaudes qui nous attendaient.
Le camp était des plus sympathique, avec 4 tentes, il se situait sur le terrain arrière d’une église, à 200 mètres de la plage. Les vacances étaient idéales, on se baignait et on bronzait le jour, et on faisait la fête le soir, avec son lot de jeux cocasses et d’alcool (a l’arrière de l’église). Depuis le début du séjour (qui allait durer 20 jours), j’avais remarqué les avances de Serge, un beau gars aux yeux noisettes, assez grand et bien musclé, mais dans l’euphorie de la fête, je faisais celle qui ne remarquait rien. Mais cette après-midi, je ne sais pas pourquoi, j’avais décidé de laisser bas les masques. On s’est retrouvé à l’écart du reste du groupe dès 13-14h, certains étaient restés jouer aux cartes, d’autres étaient partis en ville, nous, on discutait. Puis, on avait décidé de laisser le camp pour aller sur la plage. Je ne sais pas comment ni pourquoi, mais je savais, dans mon fort intérieur depuis le petit matin, que cette journée, j’allais vivre une aventure qui allait rester dans ma mémoire. Alors que l’on se dirigeait vers la plage, on croisa Luc et Jean-François (JF) sur la route qui coupait le cap de la plage. Ils nous demandaient où nous allions et décidaient de nous accompagner. Ils prenaient leur jeu de racketball, histoire de s’amuser un peu. On jouait comme des gosses, 2 contre 2. Ils gagnaient, mais ça ne nous importait guère, à Serge et moi, on se laissait des regards de braise, qui en disait long sur ce que l’on voulait faire. Apres une demi-heure, je prétextais que j’étais fatiguée, en espérant que Serge me rejoigne. Ce qu’il fit sur le champ. Luc et JF continuaient leur partie endiablée, ils semblaient très pris au jeu. Avec Serge, on décidait de trouver un petit coin un peu tranquille, derrière quelques feuillages. On étala nos serviettes et on se coucha près l’un de l’autre. On pouvait encore entendre les deux gars crier et se chambrer sur lequel était le meilleur. On se regarda, avec Serge, puis comme si c’était préparé par avance, on s’embrassa et je sentis sa main passer sur mes seins, puis en dessous de mon bikini. Je décidais de l’aider et je retirais mon haut, il vint m’embrasser immédiatement, et me caressais les jambes, puis l’entrejambe. Je voyais à travers son maillot (un joli caleçon rouge) qu’il était déjà très ’en forme’ et je m’appliquai à le masturber sur son maillot, qu’il retira vite. Je fus comme hypnotisée par son sexe que j’embrassais sur tout son long, avant de le mettre en bouche. Il soupira, comme si il était maintenant soulagé que je m’occupe de lui. Il se laissa coucher sur le dos, alors que ma tête reposait sur son torse. Je le masturbais franchement, tout en donnant des petits coups de langue, qui le faisait frissonner. Avec une main je le branlais pendant que l’autre massait ses testicules. Il me signifia qu’il allait jouir sous peu. Je lui dis qu’il pouvait se laisser aller, mais il insista, il ne voulait pas éjaculer si vite.
Alors, il décida se s’occuper de moi, il me retira mon bas, et me regarda dans les yeux avec stupéfaction :
Il me tira plus bas sur la serviette et écarta encore plus mes jambes, il me mangeait littéralement. Je sentais sa langue rentrer et ressortir, puis rerentrer très profondément. Je me sentais très très mouillée et je sentais cette mouille sur ses joues et même son front. Il devait avoir l’impression que j’étais une rivière, et lui, il baignait dans mes secrétions. Il me faisait vibrer, je sentais le plaisir monter en moi, de plus en plus vite. Maintenant, il usait aussi de ses mains, il me saisit les fesses, pour avoir une meilleure prise sur mes mouvements. Il introduisit un puis deux doigts dans ma chatte en feu, tout en suçant mon clitoris. Je devenais folle. Il jouait avec l’entrée de mon anus avec son autre main. J’étais mouillée comme jamais. J’ai eu un orgasme foudroyant et je serrais les jambes, emprisonnant sa tête. Je lui faisais mal, mais je ne pouvais me contrôler, le plaisir était trop intense. Petit à petit, je relâchais mon emprise, à mesure que le soulagement m’inondait. Il remonta en m’embrassant le ventre puis les seins et je sentais son sexe à l’entrée de mon vagin. À peine avais-je retrouvé mes esprits qu’il allait me prendre. Il s’introduisit sans aucune difficulté dans ma chatte-rivière. Au début je ne sentais pas trop son sexe. Sans doute que ma mouille m’occultait certaines sensations, mais à mesure qu’il me pénétrait, je sentais sa bitte rentrer puis ressortir.
Soudain, il s’arrêta net, je lui demandais ce qu’il y avait. Puis je vu moi aussi, Luc et JF qu’on avait complètement oubliés se trouvaient la, à 15 mètres de nous et nous regardaient les yeux ébahis. Ils avaient probablement été sortis de leur jeu quand j’ai eu mon orgasme. Je suis une fille assez expressive en général, et la, avec l’intensité j’avais pas contrôlé grand-chose. On est bien resté 10 secondes comme des cons à se regarder, sans oser bouger. Et puis je dis à Serge de continuer, je ne voulais pas qu’il s’arrête, j’étais trop excitée (et lui aussi). Alors il m’embrassa et repris son mouvement, d’abord doucement puis plus rapidement. Je ne faisais plus attention à JF et Luc, et même je sentais que la situation m’excitait encore plus. Ils devaient fantasmer son moi, sur mon corps et ça, ça m’excitait au plus haut point. J’en eu confirmation quelques minutes plus tard, quand Luc sorti son sexe de son maillot et commença à se branler. JF, trop timide, n’osait faire de même, mais je sentais bien que ça le démangeait (il semblait raide lui aussi). Serge me demanda de changer de position, il me mit à quatre pattes et vint derrière moi. Il commençait à me doigter et de l’autre main étalait ma mouille sur mes fesses et à l’entrée de mon anus. Je sentais qu’il insistait alors je lui dis que je ne voulais pas qu’il me prenne analement. Il me répondit que ce n’était pas ses intentions mais qu’il trouvait que j’avais un beau cul.
J’avais les fesses à l’air et j’imaginais la situation plus qu’excitante : Serge me caressait, Luc se branlait en me mattant et JF allait mouillait son maillot. Soudain, Serge passa sa tête sous moi et m’abaissait le bassin avec ses mains, de façon à ce que je colle ma chatte sur son visage. Il m’agrippait les fesses et me ’mangea’ à nouveau. Il devait aimer mon jus. Je le sentais aspirer toute la cyprine qu’il pouvait. Il me donna mon second orgasme, moins puissant que le premier mais très puissant malgré tout. Puis il vint me présenter son sexe à mon visage, alors que j’étais toujours à quatre pattes. Je sentais que cette fois-ci il allait se laisser aller. Mais non. Apres 2 minutes il repassa à l’arrière et m’enfila brutalement. Je commençais à fatiguer sur mes jambes et nous repassâmes en missionnaire. Luc s’était un peu rapprocher de nous, sans doute pour mieux profiter de nos ébats, il devait être à 2 ou 3 mètres maintenant. Il se masturbait toujours. Je pouvais maintenant moi aussi profiter de la vue sur son pénis. Il semblait très violacé et d’une imposante taille, sans doute plus gros que celui qui me prenait à ce moment là. L’idée de lui demander de se joindre à nous m’a effleurée l’esprit, mais je ne voulais pas de relation à trois, et puis JF se serait senti de trop (à moins qu’il se serait rajouté). À ce sujet là, JF, sans doute moins effarouché s’était rapproché et se trouvait à hauteur de Luc. Cependant il résistait toujours à la tentation de se masturber. Je lui sortis :
Il vira au rouge, mais après deux minutes, et discrètement, il sorti son engin, qu’il branlait doucement. Plus petit, son sexe était très mignon, je le fixais discrètement. Quelle vue pour moi : je me faisais prendre pendant que deux hommes se branlaient pour moi.
Serge accélérait son mouvement dans mon ventre, et alla le plus profondément possible en poussant mes fesses vers lui avec ses mains. Je me sentais remplie par son sexe me pilonnant, et cela très profondément. Excitée par la situation et par les mouvements de Serge je sentais le plaisir m’envahir pour une troisième fois. J’agrippais Serge par le cou, prise par ce puissant orgasme. Sans doute mes contractions en étaient trop pour Serge, il commençait à me dire qu’il allait m’inonder le ventre. Je lui dis que je ne voulais pas qu’il jouisse en moi et je l’amenais devant mon visage. Je le repris en bouche. Son sexe était si chaud et si humide. Je le branlais énergiquement, tout en massant ses fesses. Il commença à gémir et je sentis son sperme gicler dans ma bouche. Il tremblait de partout, contractait les fesses et me remplissait la bouche par saccades de son jus. Il s’était retenu si longtemps et m’avait donné tant de plaisir. Comme pour le remercier, je voulais lui montrer que j’aimais son goût et je jouais avec son sperme en introduisant un doigt dans ma bouche. Je jouais à celle qui aime ça tout en le fixant dans les yeux, et j’avalais religieusement. Il avait l’air ravi. Avec une scène aussi chaude, sans doute Luc se disait que j’étais ’un peu salope’ et que je ne l’aurais pas repoussé. Il se mit à genou et plaça son sexe qu’il masturbait énergiquement à 20 cm au-dessus de mon visage. Je savais ce qu’il attendait de moi et comme j’étais au summum de l’excitation ce jour la, je rentrais dans son jeu. J’ouvris la bouche et comme pour l’encourager je lui sortis :
Ca avait du marcher car il ne mit pas longtemps à jouir. Je sais pas pourquoi, mais ce jour la, je sentais qu’il fallait que je sois surprenante, que je fasse ce qu’ils n’attendaient pas de moi, comme pour choquer, exprès, comme s’il y avait une compétition de la plus choquante. Il ne devait pas être autant excité que Serge plus tôt, puisque son sperme ne gicla pas, il coulait le long de son sexe. Comme une bonne fille je m’occupais de lui nettoyer le sexe pour qu’il ne reste plus une goutte de sperme.
JF n’avait maintenant plus d’inhibition et se rapprocha de moi, il se masturbait et je sentais qu’il voulait jouir. Sans doute moins doué, il mit du temps, malgré mes appels répétés :
Après dix bonnes minutes, il éjacula sur mes seins, sous les yeux de ses deux acolytes, qui semblaient apprécier. L’idée que deux hommes apprécient voir un troisième éjaculer… n’est-ce pas un début d’homosexualité ? Les hommes veulent toujours se montrer virils, mais dans une situation comme celle-là, ou chacun se laisse aller, on voit que les hommes peuvent avoir des affinités pour leurs congénères (sans aller jusqu’à des relations sexuelles physiques avec un homme bien sur).
Me sentant ’quelque peu collante’, je décidais d’attirer les gars vers la mer tout en laissant mon bikini sur la serviette. Rien de plus agréable que de se baigner nue comme un ver. Bien sur les gars, sans aucune inhibition désormais, m’ont suivie dans l’eau, nus eux aussi. Par la suite, nous sommes retournés au camp comme si de rien n’était. Et les jours suivant j’ai bien essayé de montrer mon attention à Serge, mais sans doute son amour propre avait été touché. Il restait assez distant. Les hommes ont du mal à partager apparemment. Mais je suis sûre que les deux autres garderont un très bon souvenir de ce jour. Comme moi, d’ailleurs.