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n° 08253Fiche technique22429 caractères22429
Temps de lecture estimé : 14 mn
10/12/04
Résumé:  Xavier doit superviser des travaux de peinture
Critères:  hhh hsoumis intermast rasage fellation anulingus hsodo init
Auteur : Toutou
Initiation de qui ?


DIMANCHE


21 heures déjà, cela fait maintenant plus de dix heures que je suis au volant. Enfin j’emprunte le chemin qui mène à la résidence. J’ai hâte de me mettre au lit. Tout est éteint, les autres propriétaires n’arriveront que dans une semaine. Quelle idée de m’être proposé pour suivre les travaux de peinture des murs extérieurs. Huit jours dans ce trou perdu qui ne renaîtra à la vie que dans une semaine….Louise est restée à Paris, elle n’a pas pu se libérer et moi bonne pâte, j’ai pris une semaine de congé pour rester seul comme un c.. à 15 kilomètres du premier village. Ça me permettra de décompresser un peu.

L’appartement est resté tel quel depuis notre dernier passage il y a un mois. Après une douche bien froide ( le cumulus étant débranché), je me sers un whisky sans glaçon. Je m’affale assez vite dans mon lit et m’endors aussitôt.




LUNDI


Je sens une douce tiédeur m’envahir, le soleil entre pleinement dans la chambre, je suis allongé sur le ventre, nu, une jambe repliée. Je m’étire, mon sexe est bandé, il faut que j’aille pisser. Je me retourne les yeux encore fermés et ma main saisit ma verge tendue à m’en faire mal, ma main commence à imprimer quelques mouvements masturbatoires quand j’ai soudain la sensation d’être observé. J’ouvre les yeux…….merde les ouvriers.

La nuit je n’avais pas repérer que les échafaudages étaient montés et je n’avais pas baisser les stores qui restent ouvert pendant notre absence pour faire croire que l’appartement est occupé. J’ai d’ailleurs installé un minuteur qui allume les lampes de façon aléatoire le soir.

Les deux hommes semblent occupés. M’ont- ils vu ?

Je rabats prestement le drap sur ma nudité et je les observe tout occupés qu’ils sont à gratter les murs.

L’un est de type méditerranéen espagnol ou portugais si j’en juge ses traits mats et burinés, sa chevelure noire, fournie et frisée, il est trapu ; l’autre est pâle de peau, les cheveux roux presque rasés, il est grand bien bâti mais son visage poupin tranche avec celui de l’homme mûr que je suppose être le chef.

Comme ils s’éloignent de la fenêtre, j’en profite pour gagner la salle de bain ou je peux enfin assouvir mon envie de pisser. J’enfile un short et me dirige vers le salon.

En passant devant la glace de la salle de bain, je ne peux m’empêcher de me regarder. J’ai 45 ans, pratiquant la musculation j’ai les muscles bien dessinés aucun poil sur le torse ni sur les jambes ( une idée de ma femme qui préfère les hommes glabres), côté sexe je n’ai pas à me plaindre même si sa taille appartient à la moyenne nationale.


L’appartement est tout en façade, un séjour spacieux avec cuisine américaine, une chambre et une salle de bain le tout exposé sud est qui nous permet d’avoir le soleil presque toute la journée, situé au deuxième étage, nous avons toute la vallée comme décoration ( ce qui explique qu’il n’y a pas de rideau).

Après avoir avalé mon café, enfilé un short et un tee-shirt, je descends rencontrer les ouvriers.


« bonjour monsieur, je m’appelle Ricardo et lui c’est Pierre un stagiaire, il passe son examen dans 8 jours ».

« Et moi c’est Xavier, je suis là pour m’assurer que les travaux se passent bien, les autres proprios arrivent la semaine prochaine »

« Pas de problème monsieur xavier, avec moi les clients sont toujours contents, le travail est toujours bien fait et mes clients me sont fidèles »


Cet homme me troublait. Etait-ce le bleu de ses yeux, le sourire qui ponctuait chacune de ses phrases ou ce corps qui dégageait une forte virilité ?


« Au fait, puisque vous êtes là monsieur, il faudrait que je passe mardi pour montrer à Pierre le stagiaire la reprise d’enduit au niveau des fenêtres, ça ne vous dérange pas ? »

« Pas du tout, maintenant je dois aller en ville pour remplir mon frigo, je compte sur vous pour que ce travail soit terminé à temps »

« Aucun problème, bonne journée. »


La ville était encore endormie, nous étions lundi, heureusement que la moyenne surface du coin était ouverte je pouvais faire quelques courses pour ne pas mourir de faim. Bizarrement en passant dans le rayon produits de toilette, je saisis un tube de crème épilatoire !


De retour, les denrées rangées, je décidais de prendre une douche. Je ne sais pourquoi, alors que je m’apprêtais à baisser le store, une voix intérieure m’en interdit.

Sous cette douche réparatrice, j’oubliai complètement qu’il y avait du monde autour de la résidence inoccupée, je fis comme si j’étais seul. J’avais résisté à ma femme qui voulait que je m’épile le sexe pendant quinze ans et aujourd’hui je m’apprêtai à franchir le pas pourquoi ?


Je saisis le tube, étala la crème sur mon pubis, mes couilles et plus encore puisque écartant les jambes, j’en enduisit la fente de mes fesses. Le temps de pause respecté, je pris la spatule et éliminais les poils morts de ce morceau de corps. L’opération achevée, je saisis le jet de la douche, me rinçai et à ce moment là, relevant la tête, j’aperçus le visage rieur de Ricardo qui leva le pouce en signe de contentement. Je ne savais plus où me mettre.


Après mettre séché, mis un short, je me suis précipité sur les stores et les ai baissés à moitié .

Assis dans le sofa je les voyais aller et venir sur la passerelle, ou plutôt, je voyais leur ventre et leurs jambes évoluer sur la passerelle. Une bosse marquait les braguettes, bizarre, j’aurais voulu voir leur sexe, les comparer au mien…je bandais… qu’est ce qui m’arrivait je bandais à la vue de braguettes ?

Ces bas de salopettes blanches m’obnubilaient, j’interprétais chaque geste comme une invitation à la découverte de plaisirs cachés. Cette main qui nonchalamment pressait le sexe comme pour le remettre en place, cette main furtive qui dessinait la braguette….trop c’est trop, je baissai mon short et entrepris une masturbation qui fut d’enfer, j’imaginai ces hommes avec moi…..putain j’étais marié, je ne comprenais pas cette envie. La jouissance est vite arrivée, mon cerveau mêlait ces hommes à mon plaisir. J’ai remis mon short sans m’essuyer, et j’ai fermé complètement les stores, je retrouvai le calme.




MARDI


Ce n’est pas le soleil qui me réveille ce matin, mais la sonnette de la porte d’entrée, encore dans les vaps du whisky que j’avais bu la veille pour chasser mes mauvais démons, je saute dans le premier slip qui émerge du tiroir de la commode.

La sonnerie se fait pressante, je me dirige vers la porte, comme un automate j’ouvre et je vois devant moi Ricardo et son stagiaire.


« Bonjour Monsieur Xavier, vous vous souvenez, je vous avais dit que je passerai mardi pour montrer au stagiaire la reprise d’enduis ! »

« Euh…oui entrez »


Je me rendis compte à la direction de ses yeux et à son sourire que quelque chose l’intéressait.

Merde, j’avais attrapé un string dans la commode, mon sexe à semi bandé en sortait presque, quand à mes fesses, elles étaient de sortie…..


« Entrez, je me change et je vous rejoins… »

« Oh , Monsieur Xavier, on est entre homme et ça ne me gêne pas, et avec Pierre on n’en a pas pour longtemps. »


La cafetière se mit à siffler, le café programmé avait coulé, il ne restait qu’à le boire.

Ricardo et Pierre étaient affairés autour de la fenêtre. Ils parlaient technique.


« Un café »

« Oui, merci Monsieur Xavier »


Toujours en string, je m’approchai d’eux, je posais les tasses et revins avec la cafetière, la discussion était animée.


« Pierre tu ne peux peindre que lorsque l’enduis une fois poncé est aussi lisse que la peau. »


Alliant le geste à la parole, alors que j’étais tout près de lui, Ricardo mit sa main sur ma poitrine, le résultat fut immédiat, je ressentis une décharge dans tout mon corps qui m’imposait de lui appartenir, tout ce qu’il ferait, je l’accepterais.

La paume de ses mains glissait contre mes seins, instantanément, mes tétons se mirent à durcir, ses doigts vinrent en prendre possession, il les pressait, les pinçait, et moi je n’étais qu’un objet. Ses mains parcouraient mon ventre testant chaque cm2. Mon corps répondait à chacun de ses gestes, j’étais à lui, son objet. Il prit la main de Pierre pour qu’il sente sur ma peau la qualité d’un enduis de bonne qualité. C’étaient maintenant quatre mains qui parcouraient mon corps, je me laissais faire n’entendant plus les explications de Ricardo à Pierre.

J’avais la tête en arrière, les mains de Ricardo et de Pierre s’occupaient de mon corps, mes fesses pointaient vers l’arrière, je voulais qu’elles prennent contact avec l’un deux.

Ricardo était aux commandes, il intima l’ordre à Pierre de se mettre derrière moi, les mains sur mes seins ( mes pectoraux avaient fondus !).

Pierre pinçaient mes mamelons avec plus ou moins de force, mes fesses partaient en arrière s’appuyant sur son sexe que je devinais très gros. À chaque pression, mes fesses cherchaient le sexe…..le sexe de l’homme.

Ricardo souriait toujours, il fit descendre ses mains le long de mon ventre puis prit mon sexe de ses deux mains, il en dessinait les contours, vérifiait sa nudité.

Il fit descendre mon string…..j’étais nu entièrement soumis.


« Pierre on ne laisse jamais tomber un client…tu continues avec la façade avant et tu entames l’arrière du bâtiment »


Ricardo écarta les bretelles de sa salopettes, il était velu comme un ours, il l’a fit glisser au bas de ses jambes….il était nu en dessous….un sexe imposant se dressait au-dessus d’une toison fournie d’un noir intense, tout le contraire de moi.


« suce » m’ordonna-t-il.


J’en avais trop envie, je me baissais et attrapais ce sexe avec délicatesse…ma bouche avait de la peine à contenir le gland, doucement il s’avançait, ma bouche se moulait à la taille de ce sexe qui rapidement fut englouti, quel délice de sentir cette peau lisse contre mon palais….ce gland frottait la fine membrane qui séparait ma bouche de mon cerveau, j’allais à sa rencontre, ce frottement produisait des ondes qui m’interdisait le contrôle de mon corps, j’en voulais plus….

Ricardo fit un geste à Pierre. Celui se dévêtit. Il lui expliquât que ses doigts devaient fouiller la fissure où se cachait mon œillet. Il devait la localiser, la diagnostiquer et apporter la meilleure solution à son rebouchage, cela pouvait être un sujet d’examen.


Pierre approcha son sexe de mon anus, il le frôlait, appuyait dessus , il cherchait à me pénétrer….


« Pas comme ça, tu commences avec le mauvais outil, mais qu’est ce qu’on vous apprend dans ce centre regarde moi ! »

« tout d’abord on commence par l’outil le plus petit, on agrandit doucement afin que l’outil approprié puisse avoir une efficacité 100 pour cent »


Il joignit le geste à la parole, il me releva la tête m’obligeant à abandonner ce sexe qui baisait ma bouche, il le remplaça par un puis deux doigts. Ceux-ci fouillait maintenant ma bouche, ils glissaient entre mes lèvres, me caressaient les gencives. J’allais au-devant d’eux, cherchant à les prendre le plus loin possible. Je salivais abondamment, lubrifiant ces outils. Mon bassin imprimait des mouvements d’aller retour sur le sexe durci de Pierre.


« Les outils sont prêts, maintenant on va pouvoir se pencher sur le travail »


Ricardo tout en s’adressant à Pierre, me mena vers le canapé, les doigts toujours dans ma bouche, il me tirait par la mâchoire. Je posais mes genoux sur le canapé et mes bras attrapèrent le dossier. Ricardo était debout devant moi, le sexe à hauteur de ma bouche.


« Pierre prend ma place et prépare tes outils comme je viens de te montrer, regarde bien la suite car tu auras à refaire cet exercice. »


Ricardo vint se placer derrière moi, il posa ses mains sur mes fesses, les caressa, remonta le long de ma colonne vertébrale et redescendit en appuyant ses pouces de chaque côtés de mes vertèbres, cela me procura une première jouissance, je tirai au maximum mon cul en arrière, écartai les jambes dans l’attente de l’arrivée de ses doigts. Pierre m’avait enfoncé les doigts dans la bouche, mais ses gestes étaient rudes. Il observait attentivement les gestes de son patron.

Alors que je m’apprêtai à accueillir les doigts de Ricardo dans ma raie impatiente, les mains repartirent à l’ascension de mon dos, elles s’attardèrent sur mes épaules, me massant le cou et reprirent leur course.


« prends moi » me surpris-je à lui dire


Un doigt vint titiller mon œillet, puis il me pénétra. Je le sentais tourner, entrer, sortir…je n’aurai jamais penser que cela pouvait procurer autant de sensation. Je n’avais jamais osé le faire à ma femme, très prude, elle n’acceptait que des rapports sexuels conventionnels.

Un deuxième doigt vint rejoindre le premier. Je ne ressentais aucune douleur. Mon cul comme ma bouche l’avait fait auparavant, se mit à onduler, à anticiper le mouvement des doigts, il cherchait à les engloutir, à les avaler. Le plaisir grondait au fond de moi, j’en voulais plus encore.


« Pierre approche, on va terminer le travail ensemble », Ricardo venait de retirer ses doigts et ses mains m’écartaient maintenant les fesses, mettant au grand jour ma rondelle assouplie.

« On dirait une chatte » s’exclama Pierre

« Vous l’avez bien agrandi »

« Non c’est lui qui s’est agrandi seul, j’ai réveillé en lui la femme qui sommeillait, d’ailleurs on va lui donner un nom, Comment s’appelle votre femme monsieur ? »

« Aline » soupirai-je.

« et bien Aline, on va te donner le plaisir que tu cherches, tu veux toujours trouver ce plaisir ? »

« Oh oui, aime-moi, aimez-moi, baisez-moi »

« Pierre, t’as déjà mis ton doigt dans le trou d’un mec ? »

« Non jamais, j’suis pas homo ! »

« Et dans celui d’une femme ? »

« Ma copine elle a jamais voulu, elle dit que c’est sale ! »

« Un cul c’est comme un chantier ça doit toujours être….. »

« Propre, chef »

« C’est bien. Allez Aline à la salle de bain, un cul ça doit être aussi propre qu’un chantier »


Je n’étais plus moi, Xavier, j’étais Aline. Je me levai, parti à la salle de bain suivi de Ricardo et de Pierre.


« Retire la pomme de douche, met l’eau à borne température, et approche le tuyau de ton trou »


J’obéissais, curieux de nouvelles sensations. Quand l’eau fut à bonne température, je pointai le tuyau sur ma rondelle et fit jaillir l’eau. Mes intestins se remplirent de ce liquide tiède, mes intestins existaient, je les sentais.

Ricardo coupa l’eau, me dit de boucher mon trou avec un doigt et de m’asseoir sur les WC, je retirai mon pouce, l’eau s’écoula de moi. J’étais une femme qui pissait du cul. Quelle sensation étrange !

Ricardo avait remis la pomme de douche et me demanda de me rincer le fion.

Nous retournâmes au salon où je repris la position.


« Voilà Pierre un chantier tout neuf, à toi de me montrer ce que tu as retenu ! »


J’avais posé ma tête sur un de mes bras et je les observais, attendant avec impatience qu’ils reprennent leurs attouchements.


« Oh ! son cul a repris sa taille normale ! »

« L’effet de l’eau, à toi de le travailler. Aline ! écarte les fesses avec tes mains, il faut que Pierre puisse travailler dans de bonnes conditions !»


Pierre approcha un doigt, tenta de le faire pénétrer. La pénétration était difficile, mon œillet se refermait dès que son doigt appuyait dessus.


« j’y arrive pas, il ne veut pas me laisser entrer ! »

« C’est comme avec ta copine, il faut qu’elle soit d’accord, on va abandonner le côté boulot et je vais t’apprendre à amener une femme à faire ce que tu veux, ok ? mais tu m’obéis sans te prendre la tête, d’accord ? »

« d’accord, mais je ne suis pas homo »

« Est-ce qu’elle accepte que tu lui mettes les doigts dans la bouche ? »

« Ba non même si je me les lave, elle trouve toujours que je sens la térébenthine »

« alors tu ne lui travailles jamais la chatte avec les doigts ? »

« Non, elle préfère ma langue »

« alors un cul quand c’est aussi propre qu’un chantier, on peut y promener sa langue ? »

« Mais chef…. »

« Au boulot ! Aline t’attend déjà depuis dix minutes. Imagine que c’est ta copine»


J’eus le temps de voir le regard de Pierre avant qu’il ne se penche sur mes fesses, il obéirait à Ricardo, tout comme moi, nous étions ses marionnettes et lui le metteur en scène.

Je sentis la respiration saccadée de Pierre sur mes fesses, presque imperceptiblement, la pointe de sa langue vint à la rencontre de mon œillet, il se retira aussi brusquement .

Je vis Ricardo lui saisir la nuque.


« Bouffe lui le cul à cette salope, elle n’attend que ça, montre lui qui est l’homme, fais la gémir ! »


Je tirais toujours sur mes fesses et je sentis la bouche de Pierre se coller sur mon œillet, sa langue se mit à le lécher, à en deviner les contours. Apparemment il y prenait plaisir. Je me détendis et laissai mon œillet s’éveiller à chaque coup de langue. Les lèvres de Pierre s’appuyèrent davantage, elles participaient ainsi à l’éveil de mon cul, elles aspiraient, soufflaient, je me mis à geindre de plaisir.


« C’est bien Pierre continue, maintenant tu vas pouvoir la travailler avec les doigts, c’est gagné, elle est à toi. »


Devant ses encouragements, Pierre s’acharna sur ma rosette, ses mains avaient pris possession de mes globes qu’il malaxait. Mes mouvement de reins ne cachaient plus le plaisir que je prenais, je cherchais à m’empaler sur cette langue qui me fouillait. Deux de ses doigts s’enfoncèrent soudain dans mon cul, deux doigts impatients vite rejoints par un troisième. Ils s’activaient sur ma corolle distendue.


« Qu’est ce qu’il mouille chef , pire que la chatte de ma nana, j’ai envie de lui enfoncer la main entière »

« ne t’en prive pas, ça fait longtemps qu’Aline attend ça, mais fais attention, il ne faut pas l’abîmer »


Pierre sortit ses doigts pour réintroduire aussi vite sa main. Seul le pouce était resté à l’extérieur. Ses doigts malaxaient ma prostate, j’allais jouir …..pourtant je ne bandais pas, seul mon cul accumulait la jouissance. Mon sperme vint s’écraser sur le canapé en plusieurs jets.


« Il a joui chef, je l’ai fait jouir avec mes doigts et je n’ai pas touché sa bite…il a joui. »


Pierre était heureux de ce qu’il avait provoqué, il n’en revenait pas.


« ta nana tu ne l’a fait jouir qu’en la baisant avec ta bite ? »

« Ba oui, elle jouit en même temps que moi »

« et tu la baises combien de fois par jour ? »

« deux fois, mais pas tous les jours »


J’avais envie de sentir une bite dans mon cul, et sans attendre Ricardo, je pris la bite de Pierre entre mes lèvres, mes mains pressaient ses couilles.


« Putain le mec ! il vient de jouir et il en redemande, c’est pas vrai ! » s’exclama Pierre

« et ta nana, elle n’en redemande pas tout de suite ? » rétorqua Ricardo

« Ba non ! » Pierre avait les yeux fixés sur ma bouche qui allait et venait sur sa verge tendue à l’extrême, il n’avait pas encore joui, il fermait les yeux savourant mes mouvements.

« Baise la Pierre, Aline ne demande que ça »


Je me mis à quatre pattes et Pierre vient ajuster son mandrin en face mon trou, il s’y enfonça sans peine, vu le travail effectué précédemment. Mon cul avait englouti toute la masse, j’étais comblé, d’abord l’eau, puis ce membre, mon cul s’adaptait à la situation cherchant à en tirer la jouissance . Pierre donnait de grands coups de reins qui me projetait à chaque fois vers l’avant, Chaque coup attisait le feu intérieur, jamais je n’aurai pu croire que de telles sensations pouvaient être créer par un vit. Je comprenais pourquoi ma femme feulait avant que la jouissance ne la gagne, et je réalisai tout à coup le pouvoir du sexe.

Les coups de Pierre se firent plus rapprochés, j’étais au bord de l’orgasme quand j’entendis :


« Oh ! chef non, oh….c’est bon », je tournai la tête et vis Ricardo, la tête plongé dans la raie de Pierre. Pierre cessa ses mouvements, tout absorbé qu’il était à savourer la langue de Ricardo insinuée dans son cul. Lui aussi découvrait.


« Oh chef, c’est bon….oui…ah….c’est Bon »


Je pris l’initiative et je m’empalai sur le sexe de Pierre, dirigeant les opérations.

Estimant que Pierre était prêt, Ricardo présenta son gland sur son œillet et d’une poussée magistrale, pénétra le cul de Pierre, pris en sandwich, Pierre repris l’initiative. La jouissance approchait. Pierre se déversa en moi tandis que mon sperme pour la deuxième fois s’écrasa sur le canapé, Ricardo s’affala sur le dos de Pierre et lui murmurait, mon amour, ça fait si longtemps que j’attends ce moment. Je m’endormis et à mon réveil, Ricardo et Pierre avait quitté l’appartement.