n° 08255 | Fiche technique | 96118 caractères | 96118Temps de lecture estimé : 56 mn | 11/12/04 |
Résumé: Premier et seul ménage à trois | ||||
Critères: fh fhh hbi couple cocus amour voir intermast pénétratio init conte | ||||
Auteur : Jaag |
Au moment de ce récit, Linda et Georges, mariés depuis plus de 25 ans, profitaient d’une vie rangée et paisible. Durant ces années, comme tout le monde, ils ont vécu des difficultés maritales, familiales et professionnelles. Ils ont su les confronter et passer à travers et en sont sortis très forts. Ils s’aimaient plus que lors de la première année du mariage. Du côté sexuel, tout baignait dans l’huile, parfois littéralement. Linda était une femme très sensuelle qui était fière de son apparence, de son corps et qui en prenait grand soin. Étant active/passive, c’est-à-dire qu’elle prenait souvent l’initiative, sa préférence était de se laisser aimer ; elle aimait que son partenaire s’occupe d’elle. Linda avait trouvé en Georges l’amant idéal.
Georges aimait ’LA FEMME’… il aimait surtout la femme qu’était son épouse ; il adorait lui procurer plein de petites attentions, la servir, lui faire mille et une chose, il aidait dans le ménage de la maison, cuisinait pour elle, il aurait pu facilement être un homme rose. Georges vénérait le corps de Linda et il pouvait passer des heures, oui, des heures, à le regarder, à le caresser. Elle n’en demandait pas plus.
Il lui faisait l’Amour, avec son corps, ses mains, ses lèvres et sa langue. Même s’il n’avait aucune difficulté avec son érection, il ne copulait avec Linda qu’à l’occasion. Linda aimait le voir se masturber. Mais c’était rare que Linda le masturbe et encore moins lui fasse une fellation. Georges ne s’en plaignait aucunement. Il était très heureux d’être au service de Linda. Linda se masturbait assez régulièrement et Georges le savait et cela l’excitait au plus haut degré. Elle lui en parlait lorsqu’il faisait l’amour. Elle possédait une variété de godemichés, des cadeaux de Georges. Elle s’en servait assez couramment durant leurs ébats amoureux.
Lorsqu’ils se sont retrouvés seuls, après le départ des enfants, Linda continua de demeurer à la maison ; le travail à l’extérieur ne l’a jamais très attiré. Georges travaillait tantôt de jour, tantôt de soir ou de nuit ; alors il passait beaucoup de temps de qualité avec sa charmante épouse.
Ils aimaient prendre des marches et c’est durant ces moments qu’ils parlaient le plus. Ils parlaient de leurs problèmes, de leurs joies, de la vie qu’ils menaient tous les deux, et souvent le sujet de leur conversation tournait vers le sexe. Ils parlaient de leurs fantaisies et phantasmes. Linda et Georges avaient une belle vie. Georges prendrait sa retraite bientôt et cela ne les préoccupait aucunement. Ils avaient assez d’argent pour avoir une belle retraite, sans extravagance, mais confortable. Ils aimaient voyager, aller au cinéma et au resto ; ils n’étaient pas trop fous de visiter la famille mais le faisaient quand même assez régulièrement. Ils avaient très peu d’amis.
Il y a plusieurs événements qui sont arrivés avant et après l’aventure qu’ils ont vécue et qui est décrite dans les pages qui suivent. Ces épisodes feront certainement l’objet de chapitres qui seront, sans doute, publiés.
Au moment d’écrire cette introduction, Linda et Georges sont encore ensemble, après bientôt 40 ans de mariage. Ils sont très heureux et vivent une retraite qui fait la convoitise de plusieurs.
L’histoire qui suit est véridique, embellie un tant soit peu.
Linda et moi avions toujours eu de très bonnes relations sexuelles. Nos sessions étaient très fréquentes et très sensuelles.
Je ne sais pas qui a abordé le sujet pour une expérience d’avoir une autre personne dans notre lit mais, soudainement, nous en parlions de plus en plus souvent durant nos ébats. Et chaque fois cela nous stimulait grandement.
Ça faisait déjà près de 25 ans que nous étions mariés et nous étions très heureux. Notre vie sexuelle était tout simplement merveilleuse et notre vie de famille allait de pair. Les enfants étaient tous partis de la maison et avaient des emplois de professionnel. Nous avions un peu d’argent et cela nous rendait un peu plus libre de nos mouvements. Un bon matin, alors que nous prenions un copieux petit déjeuner, après avoir fait l’amour lentement, langoureusement, comme c’est notre habitude lorsque nous ne travaillons pas, Linda me dit tout bonnement, comme ça : « je crois que je suis prête. » Prête!!! Mais prête pour quoi,, pensais-je… PRÊTE!!! Je la regarde, un peu désorienté…
Avec un petit sourire narquois, elle me dit qu’elle avait beaucoup réfléchi à nos fantaisies et que, vraiment, elle aimerait bien tenter une expérience sexuelle qui sorte un peu, beaucoup, de nos plaisirs charnels. Pour une raison quelconque, je me sens excité, une sensation se forme dans mon bas-ventre. Alors, je lui demande ce qu’elle avait en tête et ce qui lui avait fait prendre cette décision.
Elle me dit que souvent, lorsqu’elle est seule, elle se masturbe (ça, je le savais, je l’avais surprise plus d’une fois, sans qu’elle le sache) en pensant à nos fantasmes. Elle mentionna qu’elle s’imaginait dans différents scénarios et, plus elle y pensait, plus le besoin se faisait sentir.
Connaissant mes penchants libidineux, elle pensait que, peut-être, je serais d’accord, et plus à mon aise, pour que nous ayons notre première expérience avec un autre homme. Alors là, je raidis encore plus. Et elle voulait que je participe activement à cette expérience. J’étais tout abasourdi.
Avant que je réponde, elle vint s’asseoir sur mes genoux et m’embrassa avec passion. Elle s’aperçut de mon érection et son sourire devint machiavélique. Je la sentais très excitée, et comme elle ne portait aucun sous-vêtement sous son peignoir, je me suis mis à la bichonner, en commençant par son dos et descendant sur ses jolies fesses. Tout en restant assise sur mes genoux, elle recula un peu et me regarda de ses beaux yeux bleus qui pétillaient de malice, de cupidité et de désir. Elle entrouvrit le devant de sa chemisette et je vis ses seins gonflés et ses bouts en érection.
Elle se retourna, me faisant face, et poussa ses beaux cavaillons tout contre ma face. J’étais très envoûté par ses paroles et ses gestes également. Elle se souleva légèrement et prit ma bite dans sa main ; elle était maintenant en grande édification ; elle la fit entrer aisément dans son vagin grand ouvert et ruisselant de désir. Ma verge s’y glissa très facilement. Linda se pencha et m’embrassa encore avec une certaine avidité que je voyais rarement. Durant ce temps, je la regardais, incrédule, n’en croyant ni mes yeux, ni mes oreilles. Oui, tout cela m’excitait au plus haut degré. J’étais bandé dur comme fer et je sentais sa sève couler le long de ma verge, quelle douce chaleur et quelle sensation.
Linda se souleva et entreprit un rythme de va-et-vient, lent et sensuel. Elle n’était pas pressée et me regardait de ses yeux qui auraient fait fondre un glacier. Elle savait vraiment me séduire.
Je la soulevai et je l’étendis par terre ; nous étions toujours accouplés, par nos parties génitales et par nos bouches. Je crois que c’est cela faire l’amour ; oui, je l’aimais, ce n’était plus du sexe, c’était de l’Amour et de la passion pure. Puis le moment de ravissement arriva, pour elle et pour moi. Avec un gémissement, elle me mordit tendrement les lèvres, et serra de ses muscles vaginaux mon membre gonflé à bloc. Elle s’arc-bouta et eut son orgasme au moment même où je déchargeais au fond de son puits d’amour. Elle eut quelques soubresauts puis se laissa aller, satisfaite et repue. Et moi, je m’affaissai sur elle, épuisé, très satisfait et très comblé.
Au bout d’un bon moment, elle sortit de sa torpeur sensuelle, m’embrassa longuement, Dieu, que j’aime ses lèvres sur les miennes. Elle me demanda : « Et puis??? Qu’en penses-tu? » Elle a de la suite dans les idées, ma Linda. Son désir était encore très présent. Elle voulait réaliser son fantasme, oui, elle était prête. « Qu’en penses-tu, Georges? Es-tu d’accord? S’il te plait… dis oui…je sais que tu aimerais aussi caresser un homme. Je sais que tu es curieux de savoir comment tu réagirais à la vue d’un homme tout nu près de toi me faisant l’amour, de voir sa belle queue entrer dans ma vulve toute chaude et dégoulinante. Alors, mon beau Georges, mon chéri, c’est oui? Je le veux tellement que ça me fait mal ; j’y pense constamment depuis un bon moment, j’en rêve, ça me hante. Mais je veux que tu sois entièrement d’accord et que tu participes activement. Tu sais que je t’aime et je veux que ce soit une très belle expérience pour nous deux. »
« Nous prendrons notre temps pour trouver le partenaire idéal. Il faudra qu’il nous plaise à tous les deux. Maintenant que nous sommes d’accord… il n’y a rien qui nous presse… » « Tu es un amour. J’ai envie de te faire encore l’amour, de passer la journée au lit avec toi… Viens, prenons une douche ensemble! Je savais que tu m’aimais et que tu voulais tenter l’expérience aussi. Tu es mon amour, mon amant, mon ami, ma vie. Je t’aime, je t’aime, oh! oui, que je t’aime donc. Viens… » Comment pouvais-je refuser cette offre si alléchante!!!
Et je n’avais rien dit encore. Comme elle possédait le don de lire dans mes pensées! Elle sait si bien comment s’y prendre avec moi.
Nous allâmes prendre une douche ensemble. Eh oui! Nous sommes retournés au lit. Elle s’étendit sur le ventre, les jambes légèrement écartées ; elle m’offrait ses belles fesses en récompense. Je la regardai, puis, amoureusement mes lèvres parcoururent son corps doux et chaud. Je m’attardais sur les formes charnues de sa croupe et ma langue ne put résister à l’invitation de son joli cul. Je sentais l’arôme qui se dégageait de son vagin en chaleur. Mes doigts s’y aventurèrent. Il était glutineux de cyprine. Elle produisait cette substance à volonté. Doucement, je retournai Linda sur le dos et ma langue fonça sur son puits. Je me délectai de ce nectar avec une fringale. Je suis un vrai glouton dans ces occasions, je ne peux me rassasier. Linda eut de violentes secousses sismiques et tel un volcan, un torrent de liquide crémeux et chaud jaillit de son cratère. Ses jambes étaient maintenant bien écartées et ses mains caressèrent l’intérieur de ses jolies cuisses. Je me retirai pour contempler le spectacle qu’elle m’offrait. Elle les massait avec douceur, puis ses mains allèrent sur son ventre qu’elle pétrit doucement, passant ses longs doigts sur son poil frisé, frôlant les lèvres de son vagin, et taquinant son petit soldat, bien au garde-à-vous. Je m’assis sur mes jambes et commençai à me branler, fasciné par la fluidité de ses mouvements érotiques. Linda eut quelques soubresauts, se cambra et, laissant échapper un gémissement, s’affaissa, épuisée. Je choisis ce moment pour répandre ma semence chaude sur sa toison et son ventre. Comme nous venions de prendre une douche, je me sacrifiai pour laper le tout. Nous avons alors dormi une bonne heure.
Les jours qui suivirent furent embrasés ; presque sans répit, nous étions dans les bras l’un de l’autre. Nous faisions des plans, imaginions des scénarios, spéculions sur le genre d’homme que nous voulions comme compagnon pour notre expérience. Linda était en constante excitation sexuelle et elle m’attisait, me gardait en grande forme et bien bandé. Oui, ces jours furent torrides ; nous avions tous deux hâte d’arriver au jour ’J’.
Durant les jours qui suivirent, nous avons placé des petites annonces dans les journaux spécialisés, tout en regardant les annonces qui nous intéresseraient. Nous sommes allés voir également une agence de rencontres. Non, nous ne voulions personne de notre voisinage. Au bout de quelques semaines, et après avoir rencontré plusieurs candidats, l’agence nous appela pour nous dire qu’elle venait de trouve NOTRE homme…
L’agence nous mit en contact avec cet homme. Nous avons pris rendez-vous pour nous rencontrer deux soirs plus tard, au resto de l’aéroport tout près de chez nous.
Le jour venu, Linda passa la journée à se préparer pour cette rencontre. Je la laissai tranquille… Elle était naturellement jolie mais elle aime quand même paraître à son meilleur avantage.
Elle avait le pressentiment que cette fois-ci nous rencontrerions notre homme. Elle le savait, le sentait dans son for intérieur. Elle n’avait pas agi comme ça pour aucune des autres rencontres.
J’étais de retour à la maison juste à temps pour le dîner. Le silence régnait… nous avions tellement d’attentes et nous ne savions comment les communiquer. Aussi bien se taire. Nous nous regardions ; voulant savoir ce que l’autre pensait, ce que l’autre ressentait ; le moment de vérité était arrivé. Personnellement, j’étais très excité. (Pour tout dire, mon imagination était à son apogée ; et je me suis masturbé deux fois cette journée-là.)
Enfin, les derniers préparatifs… Là encore, je laissai Linda finir de se préparer. Ce ne fut pas trop long. Elle porte très peu de maquillage, juste un peu de rouge aux lèvres et du bleu sur les paupières pour accentuer la couleur de ses yeux azur, qui pétillaient plus que jamais. Elle avait enfilé une blouse de soie blanche et une jupe ample très légère, pas de bas et des souliers à talons moyens. Elle ne voulait pas trop accentuer sa grandeur. Elle sait bien faire les choses, ma Linda. Elle était jolie et radieuse. Je me suis retenu pour ne pas la prendre sur-le-champ. Je la regardai avec beaucoup d’attention et d’amour. J’en étais tellement fier.
Durant ce temps, je me préparais aussi. Pour moi, ce fut plutôt simple : une bonne douche, rasage, un pantalon léger et un gilet polo. Linda agença mes couleurs.
C’était l’heure du départ.
À l’heure convenue, nous entrions dans le café de l’aéroport. C’était tranquille et il n’y avait pratiquement personne. Notre homme nous vit entrer et il vint à notre rencontre. Tout en s’avançant, il nous dévisageait et nous faisions de même. Linda me prit la main et la serra, me montrant ainsi sa satisfaction et son excitation. Il me plut également, beaucoup même. Il avait l’air sûr de lui-même, sans fanfaronnade, avec une démarche fière mais non présomptueuse.
Il mesurait environ 1m80, mince, svelte. Il était juste un peu plus grand que moi. Il avait une belle chevelure, légèrement ondulée, qui commençait à grisonner. Il avait vraiment belle allure. Il se présenta, Paul, puis lui serrant la main, je lui ai dit que je m’appelais Georges ; sa poignée de main était ferme et douce. Et je lui présentai Linda. Il la regarda longuement, puis son regard alla de la tête aux pieds et revint à la tête, sans s’attarder à un endroit en particulier. Cela me plut énormément. Il lui donna une poignée de main, s’approcha et lui donna un baiser d’amitié sur les deux joues et puis la serra dans ses bras comme s’il la connaissait. Linda lui rendit la pareille, se collant tout contre lui, en rougissant un petit peu devant tant de galanterie. Paul passa ses bras autour de nos tailles et nous escorta jusqu’à sa table, dans un coin intime du resto. Linda et moi prîmes un siège en face de Paul ; ainsi nous pouvions nous regarder. La serveuse vint nous voir ; Paul avait déjà un café, Linda prit un thé vert et je pris un café. Paul prit la main de Linda et baisa ses longs doigts. Linda me regarda avec un grand sourire qui en disait long. Cet homme était un gentilhomme. À quelques reprises, il mit sa main sur la mienne. J’aimais ce contact. Il semblait très à l’aise avec la situation. Nous avons parlé de choses et d’autres puis la raison de notre rencontre vint tout bonnement. Nous lui avons dit que c’était notre première expérience et que nous ne savions pas à quoi nous attendre et que nous étions très appréhensifs.
Paul se pencha vers Linda et lui donna un baiser sur les lèvres. Juste un petit baiser et il nous dit que tout allait bien se passer. Linda me serra la main, tout excitée.
Paul nous dit qu’il était marié mais que son épouse ne voulait pas ce genre de rencontre. Ils avaient une vie sexuelle très satisfaisante. Ils étaient mariés depuis plus de vingt ans et, eux aussi, leurs enfants étaient partis de la maison. Pour l’instant, son épouse était en voyage d’affaires en Allemagne, et elle ne serait de retour que dans une semaine. Il avait sa propre maison qu’il avait rénovée lui-même. Il semblait en être très fier. Alors il était libre de son temps et de ses loisirs. Il ajouta que nous serions également libres, sans peur d’être dérangés. Paul tenait toujours la main de Linda qu’il caressait souvent de ses lèvres. Il était séduit par les mains de Linda, par ses grands doigts dont la manucure était parfaite, ce qui les accentuait. Je voyais que Linda jouissait de toute cette attention. Elle était très relax et avait un sourire de tranquillité ; l’attente était terminée et elle était enchantée. Le temps passait et nous ne voulions pas nous quitter. C’était entendu que la première rencontre était juste pour se connaître et savoir si nous étions compatibles. Linda ne disait pas grand chose. Elle regardait Paul avec appréciation, et me jetait un coup d’œil de temps à en temps. Je lui souriais mon approbation. Quel sourire elle avait, ma Linda. Elle était ravie et très heureuse. Et la voir ainsi me réchauffait le cœur.
Puis, tout à coup, Linda nous demanda si nous étions d’accord pour nous rencontrer dans un lieu tranquille, convenable pour notre expérience ?
Paul la regarda longuement puis me regarda et il nous sourit. Linda avait pris l’initiative, le seul chemin qui s’offrait pour elle était vraiment avec cet homme. C’était sa présentation, sa pièce de théâtre, et elle la dirigeait d’une main de maître. Je la regardai, un peu surpris mais enchanté par son attitude et sa grande ouverture, dans une telle situation. Paul nous dit qu’il nous trouvait fort à son goût et qu’il aimerait faire plus ample connaissance.
Si nous le voulions, nous pourrions aller chez lui, vu qu’il était seul ; et il nous promit que nous serions entièrement libres. Nous étions d’accord avec son offre et tout fut décidé pour le vendredi soir, dans deux jours, à 20 heures. Nous avons continué de bavarder un petit peu.
Nous nous sommes levés. Paul mit son bras autour de la taille de Linda et se dirigea vers la sortie. Je les suivis. Ils semblaient très bien se plaire, ces deux-là. Une fois à l’extérieur, nous nous sommes enlacés et embrassés comme des vieux amis. Puis encore une autre embrassade, peut-être un peu plus intime ; Paul a même caressé le dos de Linda en descendant ses mains sur ses jolies fesses et c’est à ce moment que je me suis aperçu qu’elle ne portait aucun sous-vêtement, ni soutien-gorge, ni petite culotte… la petite cochonne. Elle devait être très mouillée… J’avais bien hâte de me retrouver seul avec elle et, en même temps, je voulais encore un peu de temps avec Paul. Oui, je le trouvais très sympathique et vraiment gentil. J’ai beaucoup aimé me serrer contre lui. J’hésitai un peu puis, je l’enlaçai ; il me le rendit bien en se collant tout contre moi. Je sentis un corps ferme et en bonne condition physique, sans être trop musclé. Il était sans prétention. Nous avons échangé nos numéros de téléphone et nos adresses. Paul nous donna les directions pour se rendre chez lui ; un dernier au revoir, un autre échange de baisers et nous partîmes chacun de notre côté.
Une fois dans la voiture, Linda mit sa main sur mon membre en érection partielle, et elle le serra bien fort. J’ai aussitôt glissé ma main entre ses belles cuisses qui étaient déjà écartées, sa cyprine avait coulé hors de son vagin. Ma main monta un peu plus haut pour découvrir un puits qui débordait d’un nectar d’un arôme enivrant.
Linda me pria de rentrer à la maison le plus tôt possible. Retirant ma main avec un peu de réticence, je me léchai les doigts ; l’arôme et le goût me grisaient.
Je mis la voiture en marche et nous avons filé sans plus tarder vers notre nid d’amour. Durant le trajet, Linda était appuyée contre la portière avec une jambe sur la banquette et l’autre par terre, sa jupe remontée. Je pouvais voir son ouverture velue et attirante. Linda avait les yeux fixés quelque part ; elle était comme transfigurée, perdue dans ses pensées, comme elle seule pouvait le faire. Elle avait un sourire de bien-être, de quiétude, d’euphorie. Il a fallu beaucoup de concentration pour parcourir ces quelques interminables kilomètres.
Rendue à la maison, Linda se hâta d’entrer et courut vers la chambre tout en enlevant sa blouse et laissant tomber sa jupe. Elle y arriva nue et belle comme jamais. Elle se laissa aller sur le lit, entrouvrit ses belles grandes jambes, pour me montrer un vagin géant, rempli de jus sublime ; et d’une voix rauque, pleine de désir, elle me supplia de venir la dévorer ; l’urgence de la demande m’empêcha de me dévêtir. Je plongeai ma face dans le gouffre de ses cuisses et ma langue savait exactement ce qu’elle devait faire, sans se faire prier davantage. Plus ma langue s’affairait pour cueillir cette boisson divine, plus la production s’amplifiait, au point que je ne pouvais pas tout recueillir ; ce nectar dégoulinait le long de ses cuisses, et cela me peinait grandement de le perdre. La source semblait intarissable. Et moi qui en raffole ; j’étais au paradis. Lorsque je me suis arrêté pour prendre de l’air, Linda glissa sa main pour prendre la place de ma langue. Elle voulait libérer la tension sexuelle qu’elle endurait depuis un bon moment (sans aucun doute, elle rêvait d’un futur très rapproché). J’en profitai pour me déshabiller et libérer ma bite qui étouffait. Je regardais Linda se caresser les seins d’une main, et de l’autre l’enfouir partiellement dans sa caverne au trésor. Elle avait les yeux fermés et gémissait, ronronnait comme une chatte en chaleur. Que je l’aimais, ma Linda, elle était tellement belle… sensuelle…
Je repris ma position entre ses cuisses ruisselantes. Hésitante, Linda retira sa main et ses doigts de son vagin qu’elle porta à ses lèvres. Je pouvais voir son clitoris au garde-à-vous, comme une sentinelle gardant l’entrée de la garnison. Qu’il était attirant ce petit soldat, il frémissait d’appréhension. Je ne le fis pas attendre plus longtemps ; ma langue le trouva gaillard, prêt à me livrer combat, et l’apex de ma langue le taquina affectueusement, ce qui fit gémir ma douce et tendre épouse. Ma main gauche se faufila sous ses fesses pour que mes doigts puissent aller câliner son anus. Les doigts de mon autre main allèrent lentement fouiner dans le puits, tentant de colmater la fuite. Il était tellement détrempé que la tâche semblait impossible. Linda eut quelques soubresauts et les écluses s’ouvrirent pour un déluge de boisson crémeuse. Je buvais ce philtre avec avidité, ma soif étant aussi grande que le flot. Une dernière convulsion, un dernier soupir, et Linda commença à se relaxer. Elle étira ses bras et prit ma tête ente ses deux mains et me força à remonter vers son visage radieux.
Elle se souleva un peu et m’embrassa longuement, goûtant son propre jus. Elle me lécha les lèvres et le menton, puis ses bras m’enlacèrent et me elle serra très fort contre elle. Je me sentais bien et très confortable dans cette position. Linda a dû sentir mon érection contre ses cuisses, difficile de cacher ça, car elle me repoussa gentiment et me dit de me masturber devant elle et de me soulager sur ses seins, ce qui me surprit agréablement ; et je cédai à sa requête, avec un grand plaisir ; Dieu sait que j’avais besoin de relâcher la tension qui s’accumulait depuis notre rencontre avec Paul. La pression était tellement forte que mon sperme gicla jusque sur ses joues. Ses mains l’étalèrent sur sa face et sur ses seins. Elle prit encore ma tête entre ses mains gluantes de sperme et pressa mon visage sur ses nichons crémés. Ma langue commença à lécher machinalement, sans y penser, les seins de Linda, son ventre et sa face, oui, j’ai tout ramassé avec ma langue.
Linda me laissa faire un peu puis m’invita à prendre une douche avec elle. Après la douche, nous nous sommes allongés sur le lit, enlacés ; Linda mit sa tête au creux de mon épaule et nous nous sommes endormis presque immédiatement.
Les deux jours qui suivirent notre rencontre furent fantastiques et tout simplement merveilleux. On ne parla presque pas de ce qui s’était passé et de ce qui allait arriver. Je sentais la frénésie et la fébrilité de Linda. À la moindre occasion, Linda se pressait tout contre moi ; elle me caressait doucement les fesses, m’embrassait dans le cou ou posait sa jolie tête sur mon épaule.
Durant ces deux jours, Linda se prépara, mentalement, physiquement et sexuellement pour le grand jour. Nous avons fait l’amour très souvent ; elle voulait son corps et ses sens aiguisés pour la moindre sensation, elle disait que seul le sexe pouvait rendre le sexe parfait ; elle passa aussi beaucoup de temps à soigner son corps. Elle le voulait parfait (ce n’était pas bien difficile). Linda fait ses exercices tous les jours, et sans être à la diète, elle prend soin de bien manger. Elle a toujours porté beaucoup d’attention à sa pilosité pubienne. Elle garde sa toison courte, et elle est naturellement douce et bouclée. Son corps n’a pas d’imperfection, sa peau est d’une douceur angélique, un ventre plat, malgré trois grossesses, des seins d’une dimension plaisante, pas énormes mais fermes et retombant légèrement (oui, elle a allaité les enfants), de belles fesses, d’une rondeur exquise. Ses atouts principaux étaient (et sont encore aujourd’hui) ses belles grandes jambes bien galbées et ses cuisses fermes et succulentes qui montent jusque là. Et ce qui m’avait attiré en premier lieu, et ce que les hommes remarquent surtout, ce sont ses belles lèvres, pleines, gonflées et extrêmement sensuelles. Lorsque tu l’embrasses, tu les sens vivantes et très vibrantes. Il y a même des femmes qui lui disent qu’elles sont envieuses de ses lèvres.
Le soir nous allions prendre de très longues marches durant lesquelles nous parlions de choses et d’autres, mais pas de sexe ; c’était surtout pour nous remplir les poumons et augmenter notre vitalité. Je sentais que Linda avait besoin de ce ressourcement physique. Elle voulait vraiment être à son meilleur avantage pour notre rencontre. Nous revenions de nos excursions tout en sueur, ravigotés et plein d’énergie. Avant de prendre notre douche, Linda insistait pour que nous fassions l’amour conventionnellement, c’est-à-dire, une petite, vite, juste pour alléger la tension. À vrai dire, elle n’avait pas besoin d’insister très longtemps. C’était à peu près les seules fois où nous avions du sexe sans préliminaire ; trois petits coups et sur le dos, et…hop…à la douche !
La nuit arrivée, nous nous couchions, sans faire l’amour, juste blottis l’un contre l’autre, bien enlacés. Linda dormait du sommeil du juste. Je la voyais sourire dans ses rêves et elle me caressait inconsciemment. Au petit matin, toute fringante, c’est elle qui me réveillait avec ses câlins et ses mamours et elle me chevauchait pour ses exercices matutinaux. Avais-je le choix de collaborer ! Le fameux matin fut un peu plus érotique, plus passionné, plus pressant ; mais elle était toujours sous contrôle. C’était son moment à elle. Je la laissai faire.
Un copieux petit déjeuner, puis elle me dit de faire de l’air. Qu’elle avait besoin de sa journée ! Alors, je suis parti errer ici et là pour ne revenir que pour la pause-café vers les 16 heures. Linda ne me laissa même pas m’approcher d’elle. Elle déposa un baiser sur mon front, ce fut tout. Mais qu’elle était jolie, pimpante, mangeable…
Le jour venu, Linda passa sa journée à se préparer pour notre rencontre ; bain de mousse, manucure, sieste ; elle arrangea sa blonde chevelure, bouclée naturellement, sans fixatif. Ses cheveux sont très doux et Linda aime se faire jouer dans les cheveux, et, même les cheveux ébouriffés, elle paraît très bien. Puis elle prépara un petit souper-santé, plein de protéines, pour nous donner les énergies dont nous aurions sans doute besoin ; et je suis certain, que quelque part durant cette journée, elle a eu le temps pour une petite session de masturbation, juste pour soulager la tension, (je la connais bien…) puis elle choisit son habillement.
Enfin, voilà le moment de partir. Linda avait enfilé une jolie petite robe légère, à jupe ample, à mi-cuisse pour montrer ses grandes jambes et un peu de ses cuisses. Elle avait très peu de maquillage, elle n’en avait pas vraiment besoin ; elle portait des souliers à talons un peu plus haut cette fois. Elle savait que Paul était assez grand. Linda fait 1m70. Elle alla faire son dernier pipi de nervosité et nous étions en route. Paul avait donné de très bonnes directions pour se rendre chez lui. Cela nous prendrait environ 25 minutes.
Nous avons fait le trajet en silence, chacun avec ses pensées.
Nous sommes arrivés chez Paul quelques minutes avant l’heure prévue. Je crois que Paul était aussi anxieux. La porte s’ouvrit à l’instant où nous montions l’escalier. Linda me tenait la main et, lorsqu’elle vit Paul, elle eut un petit frémissement, sa main me serra et mon cœur aussi commença à battre plus vite. Paul portait une salopette bleu marine munie d’une fermeture-éclair sur le devant et il était pieds nus. Paul nous accueillit à bras ouverts. Il prit les mains de Linda et posa un baiser sur la paume de chacune. Il la regarda, lentement, de la tête au pied ; il la fit pivoter puis la prit dans ses bras, lui donnant un baiser sur les joues. J’aimais ce que je voyais, car Linda était déjà très à l’aise dans les bras de Paul. Elle lui passait les mains sur son dos et sur ses fesses. Je crois qu’il ne portait rien sous sa salopette. Elle se colla langoureusement tout contre lui et elle effleura ses lèvres avec les siennes.
Il la laissa quelques instants pour venir me donner une solide poignée de main, m’attira vers lui et me serra dans ses bras. Moi aussi, je me sentais très confortable et j’aimais la sensation d’être collé sur lui. Je mis mes bras autour de lui et comme deux vieux amis, nous nous sommes étreints. En se laissant, il planta sur mes lèvres un bon baiser que je lui rendis avec le plus grand des plaisirs.
Nous prenant par la main, il nous invita au salon et nous demanda si nous voulions un verre de vin ou une boisson ; Linda lui dit qu’elle voulait avoir toutes ses facultés. Je déclinai également. Paul jugea que c’était un choix très judicieux.
Il avait une très belle maison qu’il nous fit visiter rapidement. Puis il nous guida au sous-sol ; un beau grand escalier très large nous y menait. Non, c’était plutôt une grotte destinée au plaisir, c’était tout simplement fantastique. Il y avait un foyer au centre, ouvert sur quatre faces. Il y régnait une douce chaleur. D’un côté, un mini studio de cinéma, de l’autre, le plancher était surélevé de deux marches et là, plein de coussins sur un épais matelas. Une fois les coussins enlevés, c’était un énorme lit, facilement assez grand pour quatre personnes. L’endroit idéal pour nos ébats.
Par une porte vitrée, Paul nous montra la salle de toilette ; avec une grande douche, un bain tourbillon pour quatre personnes… Pendant la visite Paul tenait Linda, soit par la main, soit par la taille ou par les épaules et elle n’en demandait pas plus. Elle flirtait avec lui d’une manière enjouée, lui passant la main sur son torse ou sur ses fesses, lui serrant le bras. Ils s’arrêtaient pour se bécoter et s’enlacer. Je suivais, content d’être un observateur, excité de les voir ainsi.
Nous revînmes au centre de la pièce principale et, montant les deux marches qui nous séparaient du grand espace matelassé, Paul, très lentement, ouvrit la fermeture-éclair de la robe de Linda. Ses mains arrêtèrent car Linda faisait la même chose avec la fermeture-éclair de sa salopette, qu’elle baissa jusqu’en-bas. Elle passa ses mains sur son torse nu, sur ses hanches, et sur son derrière avant de s’aventurer sur le devant vers l’objet de sa curiosité. J’avais bien deviné ; il était nu. Linda mit la main sur son membre viril, le caressa puis le sortit de sa cachette et me le montra avec un grand sourire, fière de sa découverte ; je croyais qu’elle avait oublié que j’étais là… Paul était bien bandé ; quel beau pénis, circoncis, avec un gros gland. Son membre était plus gros que le mien, mais je n’étais aucunement jaloux, bien au contraire, j’étais content pour Linda et aussi pour moi. J’aurais certainement la chance de jouer avec ce beau bijou. Je vis Paul frémir. Linda examina sa prise avec beaucoup d’intérêt. Elle le caressa et empoigna ses bijoux qu’elle manipula très doucement de ses grands doigts. Je ne sais pas si Paul était surpris par tant d’audace parce qu’il ne bougeait pas ; il se laissait faire. Puis, très lentement, il glissa la robe de Linda de ses épaules et la laissa tomber à ses chevilles et d’un petit coup de pied Linda la repoussa un peu. Je pris la robe et la plaçai sur un des coussins. Paul recula un peu et admira la femme devant lui, nue et jolie, très jolie même dans cette lumière tamisée. Elle lâcha la bite de Paul puis virevolta sur elle-même pour se montrer dans toute sa splendeur. Quelle coquette ! Elle était vraiment très à l’aise, à ce jeu… Je voulais la prendre sur-le-champ. Je me retins péniblement.
Paul finit d’enlever sa salopette… quel beau spécimen d’homme. Son corps était ferme, sans être trop musclé, très peu de poils ; et ses poils pubiens étaient coupés court. Je crois que Linda et Paul avaient le même coiffeur. Il était très bandé. Linda jeta un coup d’œil, ou plutôt les deux, qui s’ouvrirent très grand, puis l’examina à son tour, très longuement, de la tête au pied, s’attardant ici et là, surtout là… Elle appréciait ce qu’elle admirait, et moi je les regardais tous les deux dans toute leur beauté. Ils formaient un beau couple. Paul prit la taille de Linda et elle mit sa main autour du bras de Paul et ils me regardèrent, comme s’ils voulaient que je prenne une photo. Cette image restera ancrée dans ma mémoire et je la revois très souvent. Puis Paul me fit signe de me dévêtir. Lentement, c’est ce que je fis, tout en les regardant me regarder. Il faut dire que j’avais une érection qui ne voulait pas finir. Mais jamais aussi beau que celui de Paul, qui était tout simplement magnifique.
Paul se glissa derrière Linda et mit ses mains sur son ventre plat. Linda remua son joli postérieur, ajustant le membre de Paul entre ses fesses. Paul promena ses mains sur le devant de Linda. Il remonta vers ses seins qu’il souleva délicatement, les soupesa avec appréciation, les massa très affectueusement, puis progressa vers le cou et les épaules, continuant ses caresses. Sa bouche et ses lèvres s’établirent dans le cou de Linda qui colla sa joue contre la sienne. Ses mains descendirent le long de ses bras pour venir s’appuyer sur ses hanches, ensuite il glissa ses mains vers l’arrière sur les fesses, puis revint vers le devant, lui pétrissant tendrement le bas du ventre. Il effleura les poils frisés, ce qui fit réagir Linda qui poussa son derrière encore plus vers Paul. Il joua un peu dans cette toison et ses mains allèrent vers l’extérieur des cuisses de Linda. Puis il les ramena vers l’intérieur des cuisses en remontant jusqu’à la vulve, tout en les pétrissant. Linda écarta légèrement les jambes pour lui faciliter la tâche. Il mit une main sur son vagin et sembla savourer la chaleur qui s’en dégageait. Ses doigts pénétrèrent dans l’antre sacré de Linda ; sa jolie tête tomba vers l’arrière sur l’épaule de Paul, ses jambes cédèrent légèrement à tant de plaisir et de ravissement. Paul sembla la supporter seulement avec ses doigts.
Lentement Linda et Paul se tournèrent l’un vers l’autre et s’enlacèrent tendrement, puis ce fut un long baiser qui se voulait doux mais qui devint vite très passionné ; Linda glissa sa main pour prendre le membre rigide de Paul et l’installer contre sa vulve ou entre ses cuisses. Elle eut un grand soupir gémissant. Satisfaite de la sensation, sa main revint vers le dos de Paul. Il y eut beaucoup de mouvements de mains sur ces beaux corps nus, et avec une telle frénésie. Il y avait une faim, un besoin, une urgence. Il n’y avait pas de place pour moi dans la bulle qu’ils se créaient. Et je disparus complètement de leur entourage. Je n’existais plus pour eux. Alors je reculai et devins un simple spectateur à la plus belle des féeries. Les mains de Linda caressaient Paul ; elles étaient partout à la fois, dans sa crinière, dans son cou, son dos et ses fesses, qu’elle massait avec une insatiable avidité. Elle semblait tout vouloir tout de suite. Puis Paul ralentit ses mouvements et caressa Linda avec une grande tendresse ; il avait plus de retenue que Linda.
Lentement, Paul insinua ses mains entre leurs deux corps pour manier doucement les seins de Linda, qui étaient fermes, avec les tétines bien en évidence. Ses lèvres laissèrent celles de Linda pour aller baiser ses jolis nichons. Il le fit avec révérence. Mais, pour Linda, il y avait toujours cette urgence, cette soif. Paul comprit et tout délicatement il l’étendit sur la surface matelassée. Ses lèvres retrouvèrent celles de Linda puis descendirent vers son cou et de retour à ses seins. Ses lèvres les effleuraient avec une douceur et une certaine vénération. Paul était très tendre et en plein contrôle de lui-même et je l’admirais beaucoup. Il semblait avoir tout le temps au monde. Linda, malgré son avidité, semblait jouir de chacun de ses gestes tendres et plein de gentillesses.
Ses lèvres étant toujours sur la poitrine de Linda, ses mains commencèrent à les pétrir. Il était partiellement couché sur sa jolie partenaire. Et maintenant, il se glissa à ses côtés. Une de ses mains vint s’installer sous les fesses de Linda tandis que l’autre continuait à lui caresser ses jolis mamelons. Puis sa main descendit sur son ventre plat, il n’était pas pressé, notre Paul. Délicatement ses doigts touchèrent les poils autour de son vagin, jouant avec les petites boucles blondes. Linda ouvrit ses jambes et ses cuisses pour faciliter le travail… de Paul. Sans lui toucher les parties génitales, Paul caressa l’intérieur des cuisses, choses dont Linda raffolait, et elle les écarta encore plus. Je voyais son vagin qui avait les lèvres grand ouvertes, montrant la présence de sa cyprine.
J’étais fasciné par le spectacle qui s’offrait à moi. Je ne me sentais nullement négligé, ni voyeur. C’était un rêve non formulé qui se réalisait. J’étais debout, mais, à les voir, mes jambes devenaient chancelantes. Je me suis laissé tomber sur un coussin. Mes mains imitaient et suivaient les mains de Paul, sauf qu’elles étaient sur mon corps.
Il y eut un déplacement de corps. Doucement, Linda se retrouva chevauchant la taille de Paul, ses genoux de chaque côté de ses hanches. Elle venait de prendre le contrôle de la situation. De ma position je voyais la queue de Paul frôlant la raie arrière de Linda. Elle se pencha vers l’avant et ses lèvres s’unirent encore à celles de Paul dans un long baiser. Ses longs doigts s’enfouirent dans sa chevelure, lui soulevant la tête légèrement pour un meilleur contact. Lentement ses lèvres glissèrent sur sa joue vers son cou. Elle prenait de grandes respirations pour mieux s’enivrer de l’odeur de ce magnifique mâle. Elle se souleva et ses mains s’attaquèrent à ses épaules et à son torse qu’elle traita avec ferveur. Paul se laissait masser par ses grands doigts et ses belles mains douces. Toujours assise sur son bassin, sentant la bite de Paul sur ses fesses, Linda recula subtilement un peu plus bas pour sentir ce beau morceau de mâle frôler son vagin. La bite resta accrochée pour surgir soudainement en avant d’elle. Elle le regarda et ses mains descendirent vers l’instrument si désirable. Elles s’arrêtèrent à quelques millimètres. Elle aussi avait tout son contrôle.
Ses mains allèrent plutôt vers son ventre et ses hanches, puis remontèrent jusqu’au cou de Paul, et en se penchant elle l’embrassa passionnément. Un baiser qui en disait long sur son désir. Paul répondit avec autant d’ardeur. Linda s’allongea et s’étira sur Paul, telle une chatte en chaleur. Elle demeura ainsi pendant un bon moment, savourant le bien-être que cela lui procurait. Pendant tout ce temps elle avait le membre de Paul bien coincé entre ses cuisses, tout contre sa vulve.
Son corps commença une lente et sinueuse descente sur le corps de Paul : une vraie vipère à l’assaut de sa proie. Ses seins effleurèrent la tige rigide qui pointait vers le haut. Elle pressa ses seins contre son pénis et, doucement, elle exerça un mouvement de va-et-vient, de haut en bas. Puis elle poursuivit sa descente. Elle s’arrêta de nouveau lorsque son menton heurta le bout de cette branche phallique qui, telle l’aiguille d’un compas, pointait vers le nord. Elle le cajola tendrement avec ses joues, puis y posa ses lèvres. Serait-ce le commencement d’une nouvelle relation, d’une nouvelle passion ??? Sa langue se pointa et lapa la grosse veine le long de la verge que je vis bondir de plaisir, et elle s’attarda sur le gland. La langue rentra dans son habitat naturel et ses lèvres fermées prirent la relève sur le gland. Tout en pressant sur la veine, elle descendit vers le scrotum et, là encore, sa langue darda une ou deux fois. Puis elle appuya sa joue sur le sexe de Paul, savourant sa chaleur. Non, ce n’était qu’un rêve… un fantasme… Linda se souleva et ses mains entourèrent ce beau membre bien viril. Elle le branla un peu. Une de ses mains vint tenir le sac à bijoux qu’elle manipula avec une grande délicatesse. Alors elle se remonta et installa les lèvres de sa vulve au-dessus de cet instrument de plaisir, ses belles lèvres béant de désir, prêtes à recevoir ce magnifique totem.
C’est à ce moment que Paul reprit le contrôle… il avait d’autres idées… Avec une certaine fermeté, il se souleva et prit Linda par les épaules et la coucha, tout en restant entre ses deux cuisses. Linda fit la moue… Il faudra qu’elle patiente encore un peu…
Linda ouvrit ses jambes toutes grandes et Paul s’installa confortablement entre ses cuisses,et, sa tête couchée sur son ventre, ses lèvres trouvèrent son nombril. Il s’y attarda en pointant sa langue dans la petite cavité. Sa langue commença à s’aventurer un peu partout sur son ventre, ses lèvres se retrouvèrent sur le pubis. Je croyais que Paul allait plonger dans le gouffre qui s’offrait à lui… non… quel contrôle… Il mordillait le dedans des cuisses, ce qui la fit gémir. Semblant vouloir négliger l’invitation du vagin grand ouvert de Linda, Paul la retourna doucement sur le ventre. Elle se laissa faire.
Il s’étendit sur Linda, se soutenant sur les coudes. Linda a dû sentir la verge de Paul contre ses fesses, sûrement… elle émit un petit son de plaisir. Paul resta ainsi quelques instants, savourant la chaleur et la douceur de cette peau que j’aimais tant. Puis, lentement, il se souleva et ses mains se posèrent sur les cheveux de Linda. Il s’y attarda un bon moment, jouant dans ses boucles blondes et si soyeuses. Il se pencha et y posa un long baiser, les yeux fermés, et en huma l’odeur. Puis ses lèvres descendirent pour mordiller les oreilles et le cou de cette femme qui jouissait de tant de bienveillance. Il semblait savoir ce que Linda désirait. Les mains de Paul, précédant ses lèvres et sa langue, commencèrent leur lente descente le long du dos, en passant sous les aisselles ; Linda leva les bras pour faciliter et inviter Paul à s’attarder à cet endroit. Paul y déposa des petits bécots tout doux en y pointant la langue, ce qui se fit trépider Linda. Elle ne portait jamais de protecteur pour ses aisselles, car elle aimait se faire lécher à ces endroits. J’ose penser que c’est moi qui l’y ai initiée ; moi aussi j’aime goûter ces coins cachés.
Paul venait tout juste de découvrir les deux petites fossettes, juste au bas du dos. Ces deux petites dépressions sont extrêmement sensibles et Paul s’en aperçut très rapidement et en prit avantage, très délicatement, avec ses lèvres et sa langue. Il était un grand virtuose en la matière. Linda écarta les jambes et les cuisses, elle avait besoin de quelque chose que Paul n’était pas tout à fait prêt à lui donner ; il la faisait languir. Paul ignora donc cette alléchante invitation car il avait encore beaucoup de chemin à parcourir. Ses explorations ne faisaient que commencer. Il continua donc son incursion vers les rondeurs de ses belles fesses, bien fermes mais d’une douceur… Ses lèvres, ses dents, et sa langue étaient bien entraînées et elles savaient exactement ce qu’il fallait faire. Paul passa plus de temps dans cette région et avec raison. Il n’alla pas trop au centre ; son but à ce moment était plutôt exploratoire. Et lentement, doucement, il poursuivit sa virée le long des grandes jambes de Linda, jusqu’à ses pieds et ses orteils.
Durant ce temps, je regardais ce spectacle avec beaucoup d’intérêt et je surveillais les réactions de Linda tout en me branlant doucement. Paul m’intéressait également. De mon point d’observation, je pouvais voir son délicieux derrière ; il était à genoux, une jambe de chaque côté de Linda, son postérieur étant ainsi élevé.
Je voyais très bien son gousset à bijoux mais moins sa tige sexuelle ; elle était pointée vers le haut. J’aurais bien aimé m’approcher et lui toucher la croupe, caresser ses boules serrées dans leur musette ; je ne voulais pas briser le lien qui s’établissait entre deux personnes qui se découvraient. J’attendis donc encore, patiemment, en m’amusant du mieux que je pouvais.
Linda, presque soudainement, mais avec une lenteur langoureuse, se souleva sur ses genoux et, appuyée sur ses coudes, mit son cul bien en évidence. Quelle vue… Oui, Linda voulait sûrement quelque chose ! ! ! Paul, surpris par ce geste, se leva sur ses genoux et la regarda ; il semblait médusé, soit par l’audace ou par ce qu’il voyait ; lentement ses mains vinrent se poser sur la croupe de Linda, lui caressant le derrière avec une intensité, un désir… il lui massait ses rotondités, lui ouvrant les fesses pour exposer ce joli cul et ce vagin qui l’invitait. Paul commença à lui baiser les fesses, mais l’attrait des deux joyaux au creux de cette vallée se révélait trop fort. Sa langue se pointa en premier lieu sur l’astérisque ; il la lécha puis poussa l’apex de sa langue au centre, ce qui fit gémir Linda. Elle collabora pour faire sortir son anus et aider Paul dans sa tentative. Ce mouvement se répéta, Paul poussait et Linda forçait ; les deux oeuvraient en harmonie. L’envie était aussi très forte d’aller vers l’autre ouverture d’où ruisselait un liquide crémeux et capiteux. Paul céda et y plongea comme un assoiffé. Il lapa cette liqueur avec une grande avidité, respirant à peine.
Paul avait toujours les fesses surélevées, et cela m’attirait de plus en plus. Après un moment d’hésitation, je succombai à la tentation, moi aussi… Pour la première fois, je m’approchai des deux tourtereaux. J’allai donner un baiser sur la joue chaude d’excitation de Linda qui, ouvrant les yeux, me regarda, médusée. Je ne savais pas si elle me reconnaissait.
Puis mes mains vagabondèrent sur le dos de Paul, allant de sa nuque jusqu’à son postérieur. Rendu là, je me plaçai derrière lui, mes mains sur sa croupe, et je lui posai un baiser sur chacune de ses fesses, ce qui le fit sursauter. J’ai eu peur un moment qu’il allait mordre Linda. Son réflexe fut tout autre ; il souleva la tête, de ses lèvres coulaient la sève de Linda, il me sourit, ce qui m’encouragea à poursuivre.
Je fis ce qu’il avait fait à Linda. Oui, je lui léchai le cul, sa belle étoile. Je ne sais pas pourquoi je me suis présenté à cet endroit en premier, peut-être parce qu’il l’avait fait à Linda et qu’elle avait aimé cela (ne dit-on pas que nous faisons ce que nous voudrions qu’on nous fasse !). Enfin, j’y pris goût très rapidement. Il sentait et goûtait bon. Une odeur propre ; il n’avait pratiquement pas de poils. Je le léchai, lentement, à grands coups de langue, puis je forçai l’apex de ma langue sur son anus. Lui aussi gémit de plaisir. J’aimais la texture de son ouverture plissée, la sensation me plaisait énormément. Je tenais ses fesses écartées pour mieux me faciliter la besogne. Paul n’offrit aucune résistance et poussa même contre ma langue. Je ne pensais pas que je faisais cela à un homme. Je faisais cela à une personne que j’appréciais. Mes mains descendirent entre ses cuisses, fermes et légèrement musclées et trouvèrent son scrotum avec de belles boules qui y mijotaient. J’y allai délicatement, je les roulai entre mes doigts. Ici aussi, Paul paraissait plus nanti que moi. Mais je n’étais aucunement jaloux, bien au contraire, pour l’instant tout ça était à moi. Puis une de mes mains s’aventura à la recherche de son phallus. Qu’il était dur, gros et long ! Sa queue tressaillit à mon toucher et sembla grossir encore un peu. Je la berçai un bon moment dans la paume de ma main.
À ce moment, il y eut un mouvement qui me fit reculer. Paul se remit sur ses genoux, tourna délicatement Linda sur le dos, lui écarta les jambes et les cuisses, elle non plus n’offrit aucune résistance ; Paul se baissa et baisa sa vulve qui dégoulinait de jus aromatique. Il la dévora avec un appétit vorace. Linda se mit à gémir. La longue langue de Paul plongeait jusque dans les entrailles de cet abysse rempli de nectar. Elle alla chercher son butin telle une abeille. Linda tenait la tête de Paul entre ses mains la poussant vers cette chaudière où brûlait un feu intense. Je voyais le jus de Linda et la salive de Paul couler le long de ses cuisses. J’aurais bien voulu m’approcher et m’abreuver à cette fontaine, mais… il n’y avait pas de place pour moi. Les mains de Linda laissèrent la tête de Paul pour remonter le long de son propre corps jusqu’à ses sphères fermes qu’elle massa fébrilement. J’étais envoûté. Paul se releva et, la bouche détrempée, alla planter un long baiser sur la bouche de Linda qui le lui rendit avec fougue, elle le dévora littéralement. Les mains de Linda cessèrent de caresser ses seins et se dirigèrent vers le bas-ventre de Pau l; elle saisit sa tige rigide et la guida vers son embrasure enflammée. Paul l’enfouit lentement jusqu’au fond de la grotte avec une grande facilité. Il n’y avait aucune urgence dans ses gestes. Il savourait le moment et la sensation. Je vis Linda lui lécher le visage ruisselant de jus vaginal. Elle le lapa avec tendresse.
J’avais une belle vue panoramique, et ceci m’excitait au plus haut degré. Je pris ma verge bien rigide dans ma main et entrepris un mouvement de va-et-vient. Oui, j’avais la situation bien en main…
Paul émergea presque de l’antre ardent, et avec encore une lenteur que je ne croyais pas possible dans ces moments, la pénétra, aux doux gémissements de Linda. Il avait une si belle queue avec un gland dégarni et Linda l’appréciait, j’en suis certain. Elle vint à sa rencontre et, lorsqu’il voulut ressortir encore une fois, elle fit un mouvement ascendant et ce manège continua pendant un long moment, comme un mécanisme bien huilé et bien programmé. Je suivais leurs mouvements avec ma main en unisson. Paul avait toujours ses lèvres rivées sur celles de Linda.
Je cessai ma masturbation et m’approchai d’eux. Je caressai le dos de Paul, ses fesses, et passai mes doigts sur son anus, tout en suivant le rythme. Puis j’insérai une main entre les deux corps pour caresser la poitrine de Linda. Paul me céda juste assez d’espace. Paul leva la tête et me regarda ; Linda ouvrit les yeux, et, me voyant, me sourit. Mes lèvres se posèrent sur celles de Linda ; elles étaient chaudes et avaient la saveur de Paul. Elle me donna un doux baiser. La cadence continuait. Je laissai les lèvres de Linda et, me regardant d’un regard qui en disait long, Linda murmura ’MERCI’. Elle était heureuse et comblée. Ses yeux se refermèrent et elle repartit dans son Nirvana.
Paul, quel contrôle ! Il continuait son rythme lent et langoureux. Puis il accéléra la cadence et Linda le suivit. Ils ne faisaient plus qu’un. Plus rien maintenant ne les arrêterait. Ils étaient beaux à voir. C’était une musique, une harmonie, ils jouaient à l’unisson. Et moi je renouai avec mon copain qui était dur comme fer. Lui aussi appréciait mes caresses. J’accélérais au même tempo qu’eux. Linda commença à s’agiter ; Paul se retenait, il voulait faire durer le plaisir, l’agonie, en attendant le ravissement. Puis, avec des mouvements plus saccadés, il laissa échapper un son rauque et en harmonie avec Linda, qui criait le nom de Paul ; il s’enfonça au plus profond du gouffre, retint son souffle, ne bougea plus, pour finalement y décharger sa semence à l’instant même où Linda, après quelques soubresauts, lâcha un dernier cri de délivrance suivi de plusieurs convulsions et eut orgasme après orgasme, des orgasmes qui n’en finissaient plus. Regardant Paul se serrer les fesses, je compris que lui aussi venait et venait, remplissant la grotte de Linda de ce sperme chaud et crémeux.
Je suivais leurs mouvements avec minutie et je vins quasiment au même instant qu’eux. Ne voulant pas laisser tomber ma sève sur le beau tapis de Paul, je me soulageai dans la main. Mais ma main devenait pleine et je ne finissais plus de décharger. Je me retins un instant et, sans réfléchir, je mis ma main pleine sur ma bouche et ma langue lapa cette épaisse sauce. Vivement, je remis ma main au bout de mon appendice et procédai à la remplir une autre fois. Je ne voulais pas manquer un moment de ce spectacle. Ils étaient tellement beaux à voir, ces deux-là. Lorsque j’eus fini, je nettoyai ma main de la même manière et je vis Paul s’affaisser sur Linda qui mit ses bras autour de son dos pour l’étreindre tout contre elle.
Elle ne voulait pas le laisser. Il l’avait rassasiée. Paul lui prit le visage entre ses mains et l’embrassa avec ardeur et passion qu’elle retourna avec avidité. Puis il enfouit sa face dans le cou de Linda qui continuait de le serrer dans ses bras. Tous les deux m’avaient donné une performance érotique de grand talent. Ils restèrent ainsi sans bouger, comblés, assouvis. Je profitai de cette accalmie pour aller me nettoyer à la salle de bain. J’en profitai pour soulager ma vessie.
À mon retour, ils étaient encore unis l’un à l’autre.
Je m’assis à leurs côtés et les contemplai. J’étais en admiration avec ces deux-là. Paul commença à bouger. Linda ouvrit les yeux et ses bras lâchèrent prise. Paul tomba de l’autre côté de Linda avec de grands soupirs de bien-être. Linda mit ses mains sur nos mains qu’elle amena sur son ventre plat et qu’elle serra en guise de bonheur et de contentement. Je m’étendis auprès de Linda et nous restâmes ainsi pendant de longues minutes, chacun perdu dans ses pensées.
Au bout d’un certain moment, Paul commença à se lever, ce qui fit sursauter Linda. Elle lui demanda ce qu’il faisait ; il lui répondit qu’il allait se rafraîchir et qu’il revenait rapidement.
Linda lui mit une main sur la cuisse, se souleva, l’embrassa dans le cou, puis sur les lèvres et lui murmura, assez fort pour que je l’entende, de s’étendre tout près d’elle. Il la regarda, elle lui sourit et lui fit signe de la tête. Paul obéit. Puis, nous regardant tour à tour, elle dit qu’elle voulait que je prenne une part plus active, que moi aussi, je devais participer à cette fugue. Elle avait un petit sourire espiègle et ses yeux pétillaient de malice. Elle parlait à Paul mais c’est moi qu’elle regardait. Paul et moi étions très intrigués par ses propos. Paul lui demanda ce qu’elle avait en tête. Son sourire s’accentua et, toujours en me fixant de ses yeux bleus vifs et taquins, et d’une voix rauque, elle expliqua ce qu’elle voulait. Je suis resté bouche bée, médusé ; Paul la regarda intensément, n’en croyant pas ses oreilles.
Linda nous disait que cette réjouissance était autant pour moi que pour elle. Alors, je devais donc prendre part aux festivités. Elle disait qu’elle connaissait mon penchant pour les beaux hommes ; elle voulait me voir faire l’amour oral à Paul. Elle voulait que je nettoie Paul, avec ma langue. Paul me regarda et sourit à la suggestion. Il semblait enchanté par l’idée de se faire manger la bite (vu que ce n’était pas le fort de Linda). J’étais certain qu’ils étaient de connivence, ces deux-là. Et comme je ne voulais déplaire ni à l’un ni à l’autre, je me soumis à la requête de Linda. Avec beaucoup de plaisir et d’appréhension. Je me levai et baisai les lèvres sensuelles et moqueuses de Linda, puis j’allai donc me placer entre les jambes de Paul, qui les avait écartées en invitation. Je m’allongeai sur lui et l’embrassai lui aussi sur les lèvres avec un peu de passion et de désir. Ce geste surprit Linda et Paul. Il hésita un peu puis me serra tout contre lui. Linda me dit que je ne m’en sortirais pas aussi facilement et que je devais sucer sa belle bite. Je glissai lentement le long de son corps, le caressant du mien, et me dirigeai vers son entrejambe. Paul était déjà semi-rigide d’anticipation.
Mes mains caressèrent l’intérieur de ses belles cuisses fermes pendant que je regardais son membre sautiller et gonfler. Avec un peu d’hésitation, je pris sa queue dans ma main. Elle était gluante du mélange de son sperme et du jus de Linda. Je la sentais croître dans ma main et j’aimais la sensation. J’approchai mes lèvres du bout et vis une perle de sperme sur le méat. J’y posai le bout de ma langue, et l’aspirai. La perle s’étira quelque peu avant d’être délogée, suivie d’un petit filament de sperme. Avec un peu de hardiesse, je léchai le pourtour de cette jolie bite qui avait donné tant de plaisir à Linda, cette bite qui durcissait de plus en plus maintenant. Le goût était un peu corsé mais pas déplaisant du tout. Je me rappelai où elle avait séjourné. Rendu à la base de ce pieu ferme et rigide, je pris les joyaux, un à un, que je fis rouler très doucement et délicatement dans ma bouche. J’avais une main sous les fesses de Paul, que je pétrissais avec ferveur. Mon index se hasarda jusqu’à son anus, ce qui le fit tressaillir. J’ai bien failli lui croquer la boule que j’avais dans la bouche.
Délaissant ce joli gousset à bijoux, je pris son gland entre mes lèvres (ce n’était pas la première fois que je mangeais un homme, mais çà c’est une autre histoire). (shss… Linda ne le sait pas, mais elle doit bien s’en douter un peu, sinon, pourquoi aurait-elle fait cette suggestion?). Je m’amusai un peu avec le gros bout de ce membre viril, puis lentement, je glissai mes lèvres le long de ce beau membre jusqu’à la base. Je ne croyais pas que je pouvais tout prendre. Lorsque le gland atteignit ma luette, j’ai bien failli avoir une nausée ; mais la sensation d’avoir une si belle bite dans ma bouche était si agréable qu’elle disparut aussi vite qu’elle était apparue. Je sentais ce beau morceau de mâle grossir dans ma bouche. Je restai comme ça quelques secondes savourant le plaisir. Seulement un homme sait ce qu’un homme aime. Je voulais lui faire ce que j’ai toujours rêvé de connaître. Serrant mes lèvres autour du mât, je remontai lentement jusqu’au collet et, relâchant légèrement la prise, je descendis et, cette fois-ci, je voulais l’avoir encore plus loin dans la gorge. Je répétai doucement ce procédé, prisant le cadeau que Linda venait de m’accorder. Mes mains étaient toujours sous les fesses de Paul, le soulevant pour faciliter ma besogne. Paul aidait très docilement. Le manège se poursuivit jusqu’à ce que je sentis que Paul était sur le point de larguer sa cargaison. Alors je ralentis, je voulais le faire patienter. Lorsque sa respiration est redevenue presque normale, je repris la manœuvre avec un peu plus d’ardeur. Paul mit ses mains de chaque côté de ma tête ; il ne voulait pas que je le laisse en suspens cette fois-ci. Je n’en avais aucunement l’intention. Avec un grand désir, j’accélérai le rythme et Paul vint à ma rencontre. Je sentais que le moment arrivait. Je n’avais jamais eu un homme qui jouisse dans ma bouche. Je me retirai donc par instinct, mais lorsque le gland atteignit mes lèvres à la sortie, la passion prit le dessus sur le bon sens… j’enfonçai sa queue jusqu’au fond de ma gorge et c’est à cet instant que Paul, ne pouvant plus se retenir, se délesta de sa charge. Je ne pouvais plus me dégager. Je sentais cette crème chaude dans le gosier, j’avais de la difficulté à avaler, le sperme commençait à s’accumuler dans ma bouche. Je reculai pour prendre mon souffle et ingurgiter plus rapidement, je ne voulais surtout rien perdre de cette précieuse crème. Puis je me remis à le sucer avec plus d’enthousiasme. Maintenant que j’avais goûté, j’en exigeais en grande quantité. Le sperme avait un goût très différent du mien, il était très savoureux. Paul m’exauça et me remplit la cavité buccale encore une fois, et je le tétais comme un nourrisson sur le sein de sa mère. Je ne croyais pas que Paul en aurait autant ; il venait d’en déverser une bonne dose dans l’antre de plaisir de Linda. J’étais tellement captivé par mon travail que je l’avais presque oubliée, ma Linda. Avec quelques soubresauts, Paul commença à se relaxer et l’émission ralentit. Quelques tétées encore, m’assurant l’avoir bien tari. Je gardai son pénis dans la bouche et le sentis diminuer de volume et de raideur jusqu’à ce qu’il fut flasque. J’aimais l’avoir dans ma bouche, même dans cet état. Paul me tenait toujours la tête entre ses mains, mais avec moins d’intensité. Lentement je lâchai sa bite ; je restai couché entre ses deux cuisses, ma tête sur le bas de son ventre.
Je me soulevai et Paul m’attira vers le haut jusqu’à ce que nos yeux se rencontrent. Il me sourit et m’embrassa. Je me laissai aller sur lui, la tête sur son épaule. J’étais bien. Et c’est à ce moment que Linda se manifesta, me caressant le dos. Je me levai doucement, la regardai ; elle avait un grand sourire et me fit un petit signe de la tête approuvant ma performance. Je crois qu’elle nous avait épiés attentivement. Elle donna un baiser à Paul puis, se couchant de travers sur le torse de Paul, vint m’en donner un passionné, ce qui me combla grandement. Elle a dû goûter à Paul, par la même occasion, car j’avais encore sa saveur, son effluve dans la bouche.
J’allais me lever mais Linda, toujours étendue sur Paul, me rappela que ma tâche n’était pas terminée. Elle avait aussi besoin d’un bon nettoyage. Elle se retourna et s’étendit au côté de Paul. Je passai lentement par-dessus Paul, m’arrêtant pour un petit baiser, me frôlant sur lui au passage. J’allai jusqu’à Linda pour lui donner un baiser, lui caressant les seins en passant. J’adore sa belle peau douce et chaude. Lentement, je me dirigeai vers l’endroit où je devais œuvrer ; mon lieu de prédilection. Très souvent, lorsque nous sommes couchés, je campe entre ses cuisses et je savoure la fragrance qui s’y dégage. Mais là, la senteur était vraiment relevée. Ça faisait déjà un bon moment que Paul y avait laissé sa semence. La sauce du sperme de Paul et du nectar de Linda avait mitonné au four un bon moment et libérait maintenant un arôme fort différent. Je humais ce parfum qui n’était pas désagréable. Puis ma langue se mit au boulot. Elle lécha tour à tour, l’intérieur de ses cuisses, puis les lèvres légèrement gonflées de son vagin et que j’entrouvris doucement avec mes doigts. Je voyais que Linda commençait à s’exciter. Ma langue s’engouffra délicatement dans cette grotte de plaisir. Le goût était enivrant et mon appendice s’enfonça de plus en plus. Je voulais tout cueillir, je butinais, telle une abeille. Je revins à l’entrée de la caverne et je m’attardai sur le petit soldat. Il était au garde-à-vous. Je le pris entre mes lèvres et le suçai comme un petit pénis. Le bassin de Linda se souleva et elle gémit. Je continuai mon petit manège, content du résultat. Je levai les yeux pour voir ce qu’elle mijotait avec Paul. Paul lui caressait délicatement les seins et avait la tête sur l ’épaule de Linda et lui bécotait légèrement le cou et les joues ; Linda avait les yeux fermés et s’abandonnait à nos bons soins. Elle tenait le membre encore bien bandé de Paul dans sa main gauche et le branlait distraitement. Heureux de les voir ainsi, je continuai donc mon œuvre. Je m’y enfouis avec une férocité raffinée, dégustant ce merveilleux nectar qui s’écoulait de la crevasse, cette liqueur exquise qui m’exaltait au plus haut degré. Linda ajoutait de plus en plus de son ingrédient à la sauce, oui, cette mouille que je trouvais déjà très délectable. Linda avait écarté ses belles jambes pour que j’y sois plus à l’aise. Mais combien j’aimais la douce chaleur de ses belles cuisses sur mes joues. Elle eut quelques soubresauts et je sentis ses orgasmes, l’un après l’autre, et le jaillissement de son jus que je croyais mélangé de son pipi. Ma langue ne suffisait pas à tout laper. Il y en avait qui coulait sur mon menton. Avec un dernier tressaillement, son souffle revint lentement à la normale. Elle se laissa aller au bien-être de l’après-jouissance. Je lui donnai encore quelques coups de langue pour m’assurer que j’avais tout pris et qu’elle était bien propre ; je me soulevai et mis ma tête sur son ventre et elle croisa ses grandes jambes sur mon dos pour que je ne m’évade pas. Je n’en avais aucunement l’intention. J’étais là chez moi, bien confortable. J’aimais me sentir ainsi enchaîné. Je retournai le bas de mon corps et je me suis masturbé, sans gêne, juste comme ça; mon membre était bandé dur et j’avais besoin de me soulager. Je délestai ma charge brûlante sur mon ventre ; cela ne m’arrivait pas souvent de pouvoir décharger deux fois en si peu de temps. Ma production de sperme devait fonctionner à plein rendement. Durant mon nettoyage, Linda avait branlé Paul et lui aussi était venu sur son ventre.
Nous sommes demeurés étendus l’un contre l’autre pendant de longues minutes, repus et très satisfaits.
Paul fut le premier à bouger. Il se leva et, cette fois-ci, Linda le laissa partir. Je le suivis à la salle de bain. Il se nettoya au lavabo et je fis de même. Puis me tenant debout devant la toilette, je le regardai uriner tenant son membre dans sa main droite. Sa vessie devait être pleine. Il branla sa queue quelques coups pour bien l’égoutter. Je me penchai et lui fis une petite sucette, juste pour le plaisir.
Puis à mon tour, je pissai. Et Paul me fit également une petite sucette.
Je lui pris la tête entre les mains et, lorsqu’il se releva, je l’embrassai bien tendrement. Il me serra dans ses bras avec beaucoup d’affection. Je lui dis que son sperme était délicieux et avait un goût bien différent du mien. J’avais beaucoup aimé (il m’expliquerait plus tard pourquoi).
Linda choisit ce moment pour entrer dans la salle de bain. Nous étions encore enlacés. Elle s’arrêta, sourit, puis vint nous rejoindre et ce fut l’accolade à trois. Linda dit qu’elle avait un grand besoin de se soulager. Elle s’assit sur le trône et Paul et moi nous nous agenouillâmes de chaque côté de ses jambes avec une main sur ses cuisses légèrement entrouvertes. Elle en avait vraiment besoin. Quel déversement… Elle nous caressait les cheveux, nous étions ses deux petits moutons. Lorsqu’elle eut fini, elle se leva et Paul se redressa aussi. Mais je restai dans ma position et je lui rappelai que j’avais encore une petite tâche à compléter. Et je mis mes mains sur ses fesses et collai ma face sur les lèvres de son vagin. Ma langue darda à plusieurs reprises, goûtant son capiteux pipi.
Je me redressai et Paul m’embrassa de nouveau ; je crois qu’il voulait aussi goûter. Nous sommes retournés dans l’antre de plaisir. Paul prit Linda dans ses bras et la serra tout contre lui. Linda mit ses mains sur les joues de Paul et elle l’embrassa avec passion. Paul descendit ses mains et lui prit les fesses qu’il pétrit avec ardeur, glissant ses doigts dans le sillon. Je me collai sur le dos de Paul avec ma bite sur sa crevasse. Je commençais à durcir. Linda devait sentir un certain raidissement aussi. Mes mains encerclèrent la taille de Paul jusqu’à ce qu’elles trouvent sa queue. Oui, il était encore bien bandé. Linda leva une jambe et je frottai la bite de Paul contre sa vulve. Elle vint me rejoindre avec sa main et guida ce beau membre durci entre les lèvres. Paul fonça dans l’abîme si attirant et commença son pistonnage. Linda venait à sa rencontre avec urgence. Ma queue était toujours entre les fesses serrées de Paul. Non, je ne voulais pas l’enculer, je voulais seulement la chaleur et la sensation. Je suivais son rythme. Nous ne faisions qu’un, Linda, Paul et moi.
La cadence ralentit soudainement. Je reculai pour mieux observer la grande finale. Linda avait soulevé sa jambe gauche que Paul tenait contre sa hanche. Paul reprit son tempo avec l’assistance de Linda. Maintenant c’était du sexe pur, rien d’autre que du sexe. Ils haletaient bruyamment. Poussant un cri, presque au même moment Paul et Linda donnèrent un dernier coup puis restèrent rivés l’un à l’autre jusqu’à ce que cessent les derniers soubresauts.
Sans sortir de son antre, Paul coucha Linda sur les coussins. Ils restèrent accouplés pendant plusieurs minutes. J’avais complètement oublié mon propre plaisir tellement j’étais pris par le spectacle.
Paul se laissa tomber au côté de Linda, visiblement épuisé.
Je m’approchai et pris la bite ramollie de Paul entre mes lèvres et la suçai pour en cueillir les dernières gouttes. Il resta flasque, cette fois-ci.
Puis j’allai entre les jambes de Linda et plongeai dans le gouffre qui dégoulinait d’une délicieuse crème épaisse. Je lui léchai les cuisses, puis les lèvres et pénétrai dans le vagin pour soutirer ce mélange exquis. Linda m’aida en forçant sa vulve sur ma face pour mieux le faire évacuer. Paul était en grande forme car il y avait une bonne quantité de sperme dans ce puits d’amour. Une fois la tâche terminée, je donnai un bon baiser sur la toison de Linda et sur son ventre, puis je m’allongeai près d’elle du côté opposé de Paul.
Après une bonne période de récupération, Linda se leva langoureusement, me donna la main pour que je me lève également et me fit signe que notre temps était écoulé et que nous devions quitter cette tanière de plaisir. Elle tendit la main à Paul qui tenta de la faire choir sur lui, mais elle résista avec un sourire navrant et Paul n’insista pas. Il se leva, nous regarda longuement et nous demanda si nous voulions un café ; de commun accord, nous refusâmes.
Je ramassai la robe de Linda et la lui donnai. Elle n’avait pas de dessous ; elle enfila sa robe avec l’aide de Paul qui en profita pour lui caresser le dos, le ventre et les seins. Il prit son temps pour remonter sa fermeture-éclair. Pendant ce temps, je me revêtis ; ce fut un peu plus long pour moi. Paul enfila sa salopette et Linda vint vers lui, colla sa joue sur sa poitrine puis l’aida avec sa fermeture-éclair. Ils s’embrassèrent longuement et avec une dernière étreinte, Linda s’éloigna en reculant. Paul vint vers moi et j’eus droit à une bonne accolade et à un baiser, peut-être moins passionné que celui qu’il avait donné à Linda, mais j’étais content. Linda chercha ses souliers. Elle prit le bras de Paul et ils montèrent ensemble. Je les suivis, leur donnant un peu d’espace et d’intimité.
À la porte, je sortis le premier, les laissant seuls un dernier moment. J’attendais sur le perron. Ils vinrent me rejoindre et Paul me donna un dernier petit baiser et Linda et moi sommes partis. Pas un mot ne fut prononcé durant tout ce temps de départ. Ce n’était pas nécessaire. Que pouvions-nous dire de plus que les gestes posés ! Paul demeura dans l’embrasure de la porte et nous regarda partir avec une certaine nostalgie.
La nuit était très belle, la lune était pleine et le ciel étoilé, le monde nous souriait ; nous étions contents, heureux, tout était merveilleux. Dans la voiture, j’ai regardé l’heure… Il était 3;10 heures. Incroyable. La voiture en marche, Linda mit sa main gauche sur ma cuisse et la serra doucement. Je l’observai discrètement ; elle regardait droit devant, un sourire de volupté sur les lèvres, mais son regard était plein de nostalgie.
En passant devant un resto ouvert, Linda me le montra du doigt. Je lui ai demandé si elle voulait que j’arrête ; elle me fit signe que « oui. » Vraiment, j’étais le seul qui avait pris un repas substantiel ! ! !
Nous sommes entrés et Linda choisit une banquette près de la fenêtre. Il n’y avait que deux autres clients de l’autre côté de la salle. Le garçon arriva avec deux tasses de café fumant qu’il déposa sur la table et s’éloigna sans un mot ; quelle gentillesse et quel tact! Nous avons humé et apprécié l’arôme du café frais. Linda prit le menu et en sirotant son café décida qu’elle voulait un petit déjeuner. Une très bonne idée ! Le garçon surgit par hasard. Elle était vraiment affamée, ma belle Linda. Elle demanda un copieux petit-déjeuner avec encore du café. C’était les premiers mots qu’elle prononçait depuis notre départ de chez Paul. Je l’imitai ; à la voir en appétit comme ça, j’eus soudainement la fringale.
Puis ce fut encore le silence. Un beau silence…Que dire dans ces circonstances ? Nous nous regardions sans dire un mot. Ses yeux brillaient et étaient d’un bleu étincelant. J’aimais ces yeux et cette expression. Un air de détente, de satisfaction, de contentement.
Lorsque nos assiettes arrivèrent, nous avons mangé, toujours en silence. Linda dévora sa nourriture avec appétit. J’étais captivé par sa concentration, j’en oubliais presque de manger. Elle demanda d’autres rôties avec de la marmelade. Elle avait faim… Et nos tasses étaient constamment remplies de café frais, sans réellement savoir comment. Le repas terminé, nous avons lentement siroté un dernier café. Linda s’étira les jambes contre les miennes. J’aime ces contacts. Nous sommes restés ainsi un bon moment, en silence et nous regardant, repus, contents et très amoureux. Je le voyais dans ses yeux.
Nous sommes rentrés à la maison, toujours dans le silence. Il semble que ni l’un ni l’autre ne voulait briser l’atmosphère d’euphorie que nous ressentions.
Arrivés à la maison, Linda demeura dans la voiture, toujours perdue dans ses pensées. Je fis le tour et allai lui ouvrir la portière. Je me penchai et l’embrassai bien tendrement. Elle m’attira sur elle et me rendit un baiser très passionné. Je lui pris la main et l’aidai à sortir de la voiture. Une fois le seuil passé, Linda enleva ses souliers et me fit signe de détacher sa robe. Sans hésiter, j’abaissai la fermeture-éclair, effleurant son dos de mes lèvres. Elle laissa tomber sa robe tout près de la porte. Elle me prit la main, toujours en silence, et me guida vers la chambre. Elle retira le couvre-lit et s’étendit doucement sur le lit, toute belle dans sa nudité totale. Elle s’étira paresseusement, passant ses mains sur son corps. Je me dévêtis lentement tout en la regardant. Elle ouvrit les bras et m’invita à m’allonger sur elle. Elle me serra très fort dans ses bras et m’embrassa tendrement. Et puis elle me demanda d’une voix rauque de lui faire l’amour à ma manière ; ses premiers mots depuis le petit-déjeuner.
Comment refuser un appel si séduisant !
Je l’embrassai affectueusement, puis je roulai sur le côté. Je glissai une main sous ses fesses, et de l’autre effleurai son corps tout chaud. Ma main vagabonda sur ses épaules, son cou, ses seins fermes qui réagissaient sous mes caresses. Elle s’aventura sur son ventre plat, frôlant ses poils pubiens, puis remonta le long de son flanc et descendit vers sa hanche et ses cuisses légèrement écartées. Ma main continua sa course sur ses cuisses, ses genoux et ses mollets. Mon autre main tripotait et massait distraitement ses belles fesses. Mon manège continua encore longtemps. Je ne me fatiguerai jamais de caresser Linda et elle adorait se faire dorloter de cette manière. Ses murmures, ses gémissements, ses halètements en disaient long. Une vraie chatte. Elle se détendait et se relaxait et savourait mes traitements.
Je frôlais sa toison blonde, sans toucher sa vulve. Son désir était très présent ; elle le contenait, sachant ce qui arriverait finalement. Ma main, descendant le long de son ventre, toucha ses boucles, pour se poser finalement à plat sur son vagin. Je sentis la chaleur et la moiteur qui s’en dégageaient. Le ventre de Linda se gonfla légèrement à ce contact ; sa respiration devint haletante. Les lèvres béantes et pleines de passion de sa vulve étaient prêtes à recevoir le ravissement tant attendu. Mes doigts s’amusèrent un peu avec ses belles lèvres charnues, les étirant délicatement. Puis le clitoris, ce petit soldat gardant l’entrée de la caverne au plaisir, se pointa, prêt à en défendre l’accès ; ou peut-être attend-il son plaisir ? Je crois bien qu’il voulait se faire sucer un peu, le petit malin ! Je lui passai le doigt délicatement et il se raidit encore, bien en évidence, démontrant son plaisir. L’antre était maintenant grand ouvert, béant, ’invitant’ et l’excitation avait déjà lubrifié ses chairs internes d’une rosée onctueuse. Mes doigts étaient imbibés de cette substance visqueuse et odorante. Je les portai à ma bouche, je ne pus m’empêcher d’en respirer le doux parfum. L’arôme qui s’en dégageait était tout simplement enivrant.
Ma main retourna vers cette moite chaleur. Mes doigts s’amusèrent encore avec le garde qui offrait une très forte résistance devenant de plus en plus ferme. Puis ils s’aventurèrent entre les lèvres particulièrement plantureuses et s’engagèrent doucement dans la caverne ruisselant de nectar. Linda se cambra légèrement et força son vagin contre ma main. Et mes doigts, deux, parfois trois, entreprirent une incursion dans ce corridor aux parois humides. Juste un peu, puis de plus en plus profond, au grand plaisir de Linda qui s’étirait et ronronnait comme une belle chatte à son réveil. Je sentais le fluide onctueux couler sur mes doigts, le long des cloisons de sa vulve. Je retirai mes doigts et les suçai avec avidité. Tout un amuse-gueule… Je les réinsérai dans le couloir chaud et bien arrosé et ils reprirent leur activité d’exploration au ronronnement de la Chatte. Mon pouce chercha et trouva facilement le veilleur qui montait toujours la garde à l’entrée du sanctuaire. Une autre bonne bataille s’engagea mais déjà mes doigts l’avaient déjoué et s’enfouissaient au plus profond de l’abysse et s’installèrent dans cette chaude et aguichante humidité. La substance crémeuse se faisait de plus en plus sentir par son abondance. Linda semblait vouloir avoir un orgasme ; alors je retirai lentement mes doigts et mon pouce pour la faire languir ; elle n’était pas prête et moi non plus d’ailleurs. Je léchai encore mes doigts… c’est une vraie drogue, cette sève. Et que dire de cette fragrance, alors ? Linda fit la moue et ronchonna un tant soit peu.
Ma résistance et celle de Linda arrivèrent à leur limite. Elle avait les cuisses bien écartées, et ma tête s’y enfouit. Je humai l’arôme qui émanait de son vagin, et ma langue plongea pour en savourer la quintessence. En passant, ma langue salua le clitoris d’un bon coup de langue qui le fit surgir encore plus. Une violente réaction suivit, provoquée par la caresse râpeuse de ma langue sur le bourgeon. Je l’introduisis en titillant au cœur même de la fleur qui suintait profusément. Ma langue accéléra son mouvement et déplia avec soin tous les replis charnus, entre lesquels elle recueillit la liqueur douce du désir. Mes mains s’affairèrent sous Linda, massant les chairs plantureuses de ses belles fesses, visitant son trou du cul par la même occasion. Ma langue s’enfonça plus profondément, cherchant la source de cette fontaine en pleine effervescence. La sève dégoulinait entre les lèvres gonflées et descendait le long de mon menton. Je ne voulais rien perdre de cette perle onctueuse et veloutée que je lapais avec grande avidité. Linda, laissant échapper un gémissement, se cambra, forçant son vagin contre ma bouche ; il s’en écoula un mélange divin d’urine et de sécrétion vaginale que j’aspirai en glouton, mes lèvres s’efforçant de sceller l’embouchure du gouffre. Après quelques soubresauts Linda s’affaissa, mais je restai rivé à son vagin pour récolter les dernières gouttes qui pourraient encore s’en échapper. Je remontai ma tête et la posai sur son ventre chaud, mon cou caressé par sa toison bouclée et humide. Nous sommes demeurés ainsi pendant un très long moment. Puis, Linda, mettant ses mains contre mes tempes, m’attira vers le haut. Elle prit ma verge encore bien raide et l’introduisit dans sa fournaise toute brûlante. Ce fut elle qui entreprit un mouvement de va-et-vient, s’arc-boutant de plus en plus. Et c’était à mon tour de décharger ma sève chaude au fond du réservoir. Je restai ancré à Linda, savourant cet après-coït où tout est calme, bon et doucereux. Mon pénis se désengorgea lentement mais n’était pas prêt à se dégager de sa confortable position. Je crois que nous nous sommes endormis un instant. Linda bougea doucement et je me retirai. Elle se souleva, effleura mes lèvres des siennes, me caressa pensivement le torse et s’assit sur le bord du lit. Elle prit ma main et m’aida à me lever. Tout ça sans dire un mot. Tenant toujours ma main, elle me guida vers la salle de toilette. Elle urina pendant que je m’agenouillais devant elle. Une fois terminé, elle mit ma main contre son vagin tout chaud, humide et encore très gonflé, serrant ma main de la sienne, se leva et se dirigea vers la douche, avec ma main en otage. Elle relâcha prise, ajusta la température de l’eau et, pendant que le jet nous aspergeait, elle se colla très fort contre moi, m’étreignant dans ses bras. Elle me donna le savon et la houppette, et reculant du jet d’eau, je la savonnai doucement, appréciant chaque courbe, chaque vallée, chacun des endroits intimes de sa personne. Avant de se rincer, elle fit de même pour moi, avec une grande tendresse. Nous nous sommes collés l’un contre l’autre, nos mains glissant sur nos corps gluants de savon. Un bon rinçage, puis nous avons fini notre douche à l’eau très froide. J’essuyai Linda avec une serviette très douce et duveteuse et ce fut mon tour. Linda m’embrassa bien tendrement. Elle était vraiment amoureuse ce matin-là, ma Linda. Nous sommes retournés à la chambre. Il était 9.45 heures. C’était la première fois que je regardais l’heure depuis notre départ de chez Paul. Linda défit le lit pendant que je fermais tous les rideaux, décrochais le téléphone, et dans le noir nous nous sommes couchés, Linda la tête au creux de mon épaule et mon bras autour de ses épaules. En un rien de temps nous étions tombés dans les bras de Morphée.
Bien des heures plus tard, alors que je faisais un rêve fantastique, je me réveillai pour réaliser que mon rêve se réalisait. Linda, la belle Walkyrie, me chevauchait, à genoux, avec ma pine bien enfoncée dans son canal et elle montait et descendait lentement le long de ma verge bien bandée. J’ouvris les yeux, les siens étaient fermés, elle était en extase, elle se massait les seins et le ventre, allant jusqu’à sa toison pubienne, avec douceur et tendresse. Elle était seule, elle faisait le voyage en solitaire, elle était dans son monde à elle. Je n’osais pas la déranger ; je ne bougeais pas, je la regardais, elle était tellement belle, j’admirais son corps et le savourais, comme je savourais le plaisir qu’elle me procurait sans s’en rendre compte. J’étais bien reposé, j’avais de la patience et de la retenue ; je la laissai donc agir comme bon lui semblait. Linda poursuivit sa route, son itinéraire bien tracé, rien ne la ferait changer de cap. Elle seule était maître à bord de son vaisseau. J’étais presque certain qu’elle revivait les dernières 24 heures. Je n’y voyais aucun désagrément, bien au contraire.
Elle accéléra son rythme petit à petit, son souffle devint court, elle se cambra, s’arrêta au haut de sa course, redescendit doucement, précipita ses mouvements, ses mains étaient partout sur son corps, c’était la frénésie, elle arrivait au port, et elle s’apprêtait à accoster. Je ne bougeais pas encore mais je sentais que je serais moi aussi au rendez-vous ; je l’attendais, ma belle Amazone. Soubresaut après soubresaut, elle s’agita, et avec de grands soupirs et des gémissements, elle s’abandonna et les orgasmes se suivirent à répétition ; je croyais qu’elle allait s’évanouir tellement ses sensations semblaient fortes et intenses. C’est alors que je laissai gicler avec force ma semence au fond de son vagin. Elle ouvrit les yeux et, toute surprise, me regarda comme si j’avais envahi son univers ; puis elle me sourit amoureusement, se pencha, toujours bien ancrée, et m’embrassa avec ferveur et passion. Elle avait été d’un mutisme d’euphorie depuis notre rencontre initiale avec Paul. Pour ma part, je l’ai laissée à elle-même. Je crois qu’elle avait besoin d’être seule avec toutes les émotions qu’elle avait vécues. Et là, elle devint volubile ; elle me disait des tas de mots tendres, passionnés, descriptifs, elle me remerciait, elle m’embrassait, répétait qu’elle m’aimait, elle souleva ma tête contre ses seins chauds et doux, et me répéta encore comment elle m’aimait, qu’elle aimait faire l’Amour, avec un grand ’A’, avec son mari, son copain, l’homme de sa vie. Elle était très loquace et si éloquente, si jolie… Elle ne fit aucune référence à notre rencontre avec notre homme.
Elle n’arrêtait pas, elle me parlait et j’écoutais tout ce qu’elle disait, oui, j’écoutais vraiment ce qu’elle me disait. Je la regardais tout étonné et je l’aimais, je l’adorais. Elle était toujours assise avec ma bite, quelque peu ramollie, bien établie dans son nid d’amour.
Puis ce fut le silence. Elle se coucha sur moi, s’étira confortablement, sa jolie tête sur mon épaule… elle était heureuse et je l’étais également, vraiment heureux de la voir ainsi. Elle était une femme formidable et elle méritait beaucoup de bonheur et j’étais très ravi d’avoir été, en partie, la source de cette félicité.
Les jours, que dis-je, les semaines et les mois qui suivirent furent d’un engouement sexuel et sensuel des plus intenses. Nous avions beaucoup de temps pour nous deux et nous en avons profité au maximum. Nous faisions l’amour fréquemment, certains jours plusieurs fois. Nous voulions être ensemble, nous toucher, nous aimer, nous regarder. Nous allions prendre nos marches régulièrement pour refaire nos forces et nous remplir les poumons. Durant ces randonnées, nous parlions de nos propres ébats charnels, de notre amour l’un pour l’autre, de notre vie en général. Là encore, jamais le nom de Paul ne fut prononcé et aucune mention de notre rencontre. Je crois que nous voulions garder notre expérience comme un souvenir intime. Nous étions heureux d’être ensemble, juste nous deux. Nous n’avons jamais répété l’expérience. Nous ne voulions pas gâcher un épisode de notre vie qui fut aussi merveilleux.
Linda, par contre, eut quelques amants au cours des années qui suivirent. Elle ne me le disait pas, sans vraiment le cacher ou me mentir ; elle savait que je savais. Cela ne m’a jamais inquiété ; je la voulais heureuse, et il y a des choses que je ne pouvais lui donner : un certain sens de l’aventure qui la sortait de sa petite routine. Et aussi voir ce qu’il y avait de l’autre côté de la clôture. Je l’ai toujours laissée libre de ses mouvements et elle n’avait pratiquement pas de comptes à me rendre. Oui, je savais très bien lorsqu’elle allait rencontrer un amant. Elle me disait qu’elle allait faire des courses pour l’après-midi et des fois, disait qu’elle ne serait pas de retour avant le milieu de la soirée, qu’elle irait peut-être rencontrer une amie. Il y avait dans sa manière de s’expliquer quelque chose qui me disait que c’était plutôt avec UN ami qu’elle passerait ce temps. Elle me laissait sous-entendre, dans sa façon de le dire, dans sa manière de s’habiller, dans ses actions, que c’était vraiment son amant qu’elle allait rencontrer, mais ne voulait pas le dire à haute voix, peut-être par peur de briser cette complicité qui s’établissait entre nous deux.
Et, à son retour, c’est son attitude qui me disait qu’elle avait fait une petite fugue. Elle revenait à la maison, toute joyeuse, pimpante et les yeux d’un bleu si clair, si étincelant ; elle rayonnait de partout et était très amoureuse avec moi ; ses yeux ne mentaient jamais. Elle voulait faire l’amour à ma manière, comme si j’étais le point culminant de ses escapades sexuelles ! Même si elle prenait une douche avant de rentrer à la maison, il y avait toujours un certain épanchement onctueux et filamenteux dans son canal vaginal ; elle le savait et ne le cachait pas. Elle connaissait mes goûts et mon appétit vorace et voulait que je la mange, que je suce ce nectar que je dégustais avec grande avidité. Je finissais presque toujours par me soulager sur son ventre et ses seins, que je nettoyais avec ma langue, naturellement. Je ne l’ai jamais questionnée sur ses rencontres clandestines.
Ce n’était pas des amants d’un jour ; il y avait celui qu’elle voyait au moins une fois par semaine. Puis un autre, à l’occasion. Et même un avec qui elle allait passer une fin de semaine, tous le deux ou trois mois. Ils étaient tous bons avec elle, ils la traitaient avec révérence et grand soin. Ils la gâtaient de bien des manières. Cela a duré près de trois ans. Et moi, eh bien ! j’en tirais de grands profits, elle était heureuse, j’étais comblé par sa présence et nos ébats amoureux, l’harmonie régnait dans notre ménage. Elle s’épanouissait, elle était, comme elle le disait à ses amies, très libérée, surtout qu’elle ne travaillait pas, qu’elle n’avait pas besoin de travailler.
Elle s’est maintenant assagie depuis plusieurs années. Note vie sexuelle continue d’être fantastique. Nous avons tellement de bons souvenirs. Elle, encore plus, et je la surprends souvent en train de rêvasser ; je crois que je sais à quoi elle pense.
Je suis fière de ma Linda. Les hommes continuent de lui faire la cour et cela me réchauffe grandement le cœur qu’ils la trouvent séduisante. Je sais alors qu’elle est encore très désirable. Elle est aguichante, très bien mise, se garde en forme, elle est raffinée, affable et elle plaît beaucoup. Linda continue de flirter avec les hommes. Elle se laisse toucher, frôler par des mains audacieuses, embrasser et caresser tendrement, mais ne va pas plus loin. Parfois elle sait que je la regarde et alors elle devient un peu plus espiègle dans ses actes. Elle connaît mes réactions, la coquine ! Ses yeux deviennent alors d’un bleu étincelant, tout comme autrefois. Je suis content que certaines choses ne changent pas.
QUE DE BEAUX SOUVENIRS… pour nos vieux jours !