n° 08259 | Fiche technique | 19696 caractères | 19696 3186 Temps de lecture estimé : 13 mn |
18/10/23 corrigé 18/10/23 |
Résumé: 2 amies d’enfance... | ||||
Critères: ff voir intermast cunnilingu | ||||
Auteur : Tsabes |
J’ai rencontré Marie, il y a trois ans et demi. C’était à l’occasion d’une soirée du personnel de l’entreprise qui nous embauchait. On était collègues, mais n’avions jamais eu l’occasion de faire connaissance. Nous nous sommes immédiatement bien entendus et tombés amoureux l’un de l’autre tout aussi rapidement. J’avais alors 28 ans, elle en avait un de moins et nous étions tous les deux suffisamment mûrs pour entamer une histoire « sérieuse ».
Marie ne me parlait jamais de ses « ex ». Cela m’arrangeait, car ce n’était pas le genre d’histoire qui me plaisait d’entendre. J’ignorais donc si sa vie sentimentale avait été riche ou pas. J’en savais par contre beaucoup plus sur ses copines. Elle me racontait souvent quelques anecdotes de sa vie d’étudiante à la faculté. Elle était restée en contact avec cinq ou six filles de sa classe et j’avais eu l’occasion de les rencontrer.
L’une d’entre elles était bien plus qu’une ancienne camarade de classe. Elle était devenue une amie importante dans la vie de Marie. Elle s’appelait Christine. Avant que toutes les deux, presque simultanément, se mettent en couple, elles avaient partagé beaucoup de choses. Plusieurs fois, elles étaient parties en vacances ensemble. Chacune connaissait très bien la famille de l’autre ou elles étaient considérées réciproquement comme des secondes filles. Elles sortaient ensemble, partageaient les mêmes loisirs, bref étaient devenues inséparables.
Sentimentalement, elles avaient eu le même parcours. Marie m’avait confié que ni l’une ni l’autre ne trouvaient l’homme qu’elles recherchaient. Elles avaient gardé le statut de célibataire plusieurs années, ce qui parfois pouvait surprendre vu de l’extérieur.
En effet, Marie était une jolie fille. Fine, de taille moyenne, elle avait des jambes interminables. Son visage rond lui permettait de passer pour plus jeune qu’elle ne l’était. Ses seins, bien que de petites tailles, étaient fermes et ne laissaient pas indifférent. Elle avait une peau claire qui renforçait son côté « femme enfant ». Christine avait un physique bien différent. Elle était naturellement bronzée et avait des cheveux très noirs coupés court. Plutôt sportive, elle avait plus de formes que Marie. Parfois pour casser son aspect « garçonne », Christine n’hésitait pas à porter quelques décolletés qui mettaient en avant une poitrine qu’on imaginait généreuse.
Lorsque Marie fit ma connaissance, elle vit beaucoup moins Christine qui, quelques mois plus tard, rencontra Sébastien l’homme avec qui elle vivait encore aujourd’hui. Cette nouvelle situation n’était pas volontaire, mais était la résultante des aléas de la vie. Toutefois, l’une comme l’autre aimait se retrouver quelques fois pour entretenir leur solide amitié.
Dernièrement, un vendredi, Marie se retrouva en congé, car elle avait travaillé trop d’heures durant le mois. Je n’avais hélas pas la même chance et l’idée de passer une journée seule n’enthousiasma pas vraiment ma fiancée. Elle décida d’appeler Christine pour savoir si elle était libre ce jour-là. C’était le cas et une journée shopping « entre filles » fut programmée. Ce même jour, vers 16 h, mon chef m’annonça à ma grande surprise que je pouvais partir en week-end, car j’avais, je le cite, « bien bosser, aujourd’hui ». J’étais donc heureux de rentrer deux heures plus tôt que d’habitude.
Arrivé en bas de mon immeuble, je remarquai tout de suite la voiture de Christine. J’étais content, d’une part, de pouvoir lui dire bonjour, mais aussi, je dois l’avouer, parce que je la trouvais agréable à regarder. Étrangement, Christine avait un physique beaucoup plus proche de mon idéal féminin que celui de Marie. D’ailleurs, j’avais connu Christine avant Marie et il s’en était fallu de peu que l’on sorte ensemble. Mais l’amour est imprévisible et c’est finalement Marie qui trouva les clés de mon cœur.
Je pris l’ascenseur pour gagner le 3e étage où se trouvait notre appartement tout en me recoiffant machinalement dans la glace en face de moi. Sans doute voulais-je faire bonne impression. Comme beaucoup de citadins, on avait l’habitude de fermer la porte à clé même lorsqu’on se trouvait à l’intérieur. Je ne fus donc pas surpris de trouver porte close et préférai sortir mon trousseau plutôt que de sonner. Lorsque je pénétrai dans l’appartement, je n’entendis d’abord aucun bruit. Le salon et la cuisine étaient vides, mais les sacs à main qui se trouvaient sur la table m’indiquaient que les deux demoiselles étaient bien là. J’ouvris alors la porte de notre unique chambre et une grande surprise m’accueillit.
Christine et Marie étaient toutes les deux entièrement nues, leurs vêtements éparpillés un peu partout. Christine se trouvait sur le lit, allongée sur le dos. Sa tête, très légèrement redressée, était appuyée sur le mur, calée par un coussin. Ses jambes étaient pliées en hauteur et elle avait les cuisses bien écartées. Face à elle, Marie était à genou la tête enfouie dans l’entrejambe de son amie. De derrière, on pouvait voir ses fesses remontées ainsi que la plante de ses pieds. Marie écartait les cuisses de Christine avec ses mains et lui pratiquait un torride cunnilingus. Christine avait les yeux mi-clos et se caressait le bout des seins. C’était d’ailleurs la première fois que je voyais sa poitrine qui, comme je l’imaginais, était magnifique. L’absence de marque de bronzage démontrait que la belle était amateur du topless et elle avait bien raison. Christine devait bien faire deux tailles de plus que Marie dans ce secteur. Bien que discret, les deux filles me remarquèrent assez vite. Marie se retourna vers moi et, avec son plus beau sourire, me demanda poliment de les laisser finir et de les attendre devant la télé ! J’étais assez stupéfait, mais comprenais qu’elles ne voulaient pas interrompre ce doux moment de plaisir. Je fis semblant de partir, mais laissai suffisamment bien la porte entrebâillée pour pouvoir les regarder sans les déranger. Marie continua ses coups de langue qui faisaient tressaillir Christine. Après son sexe, Marie remonta le long du corps de Christine et s’attarda longuement sur ses tétons. Celle-ci en profita pour enfouir deux de ses doigts dans son vagin laisser libre. Puis elles s’embrassèrent goulûment avant d’échanger leurs positions. Cette fois, c’est le postérieur de Christine qui m’apparaissait clairement. Là encore aucune trace de bronzage ! Le topless avait laissé la place au nudisme…
Plus je les regardais, plus l’évidence me sautait aux yeux. Les deux filles se connaissaient parfaitement. Chacune savait ce qui donnait du plaisir à l’autre. Il n’y avait aucune hésitation, aucune retenue. Marie et Christine avaient couché ensemble à plusieurs reprises auparavant, c’était évident. Je compris alors beaucoup de choses. Si elles avaient pris leur temps pour se mettre en couple avec un homme, c’est parce que rien ne pressait. Elles assouvissaient tout simplement leurs désirs sexuels ensemble. Je me dis que la formule était intéressante. Pourquoi multiplier les aventures avec quelques hommes pas toujours recommandables alors qu’entre bonnes copines on peut se rendre service ? Ainsi, elles pouvaient se permettre d’être plus exigeantes dans le choix de leur futur mari ! Je me remémorai ce que Marie m’avait raconté. L’appartement qu’elle avait pris une semaine durant à Nice avec Christine… la fois où elles avaient campé, etc., etc. Les soirées avaient été beaucoup plus chaudes que ce que j’avais pu imaginer. Marie, lorsque l’on faisait l’amour, aimait aussi se masturber et, là encore, je pense que c’était l’habitude de sentir des doigts la pénétrer qui l’excitait.
De nouveau, Christine était sur le dos, les jambes levées. Marie mit son index et son majeur droit dans la bouche de Christine pour que cette dernière les humidifie. Puis elle les enfonça dans le vagin de Christine, les retira rapidement pour les enfoncer dans son anus et répéta cette allée et venue plusieurs fois le plus rapidement possible. Christine gémissait de plus en plus fort. Puis Marie fit une nouvelle fois lécher ses doigts à Christine et leurs regards s’échangeaient des tonnes de plaisirs. Christine prit ensuite les pieds de Marie dans ses mains et les caressa lentement avant de faire courir sa langue entre chaque orteil. Je compris que Christine avait aussi un côté fétichiste. Elles terminèrent par un long 69 avant de se laisser tomber, épuisées, mais épanouies sur le matelas.
J’avais regagné le canapé du salon quand, au bout d’une dizaine de minutes, je les vis toutes les deux sortir de la chambre, habillées. Christine me salua avec un grand sourire tout en me faisant la bise et me demanda si j’allais bien, comme si rien ne venait de se passer. Puis elle remit ses chaussures et partit en précisant qu’elle espérait qu’on se reverrait bientôt.
Restant seul avec Marie, je ne tardai pas à lui demander des explications. Marie savait que je n’étais pas vraiment outré, mais plutôt surpris. En effet, nous étions un couple qui aimait le sexe et n’avons jamais eu de gros tabous dans ce domaine. Elle me regardait en souriant, à la fois satisfaite du moment qu’elle avait passé avec Christine, et aussi sans doute, satisfaite de m’avoir fait découvrir son secret.
Elle commença alors à me raconter comment elles en étaient venues à se gouiner.
Elles avaient une vingtaine d’années et fréquentaient la faculté de Grenoble. Elles avaient chacune leur appartement assez éloigné l’un de l’autre. Malgré cela, elles se retrouvaient souvent le soir, notamment le jeudi, pour participer aux soirées étudiantes. Elles étaient toujours nombreuses à sortir ensemble. Ce soir-là, Marie et Christine étaient accompagnées de Virginie, Karine et Magali. Toutes les cinq se retrouvèrent dans l’appartement de Marie afin de manger ensemble et de se préparer pour une soirée « mousse » dans une boîte de nuit du centre-ville. Pour ce genre de soirée, il fallait généralement prévoir des vêtements de rechange. Mais comme Marie habitait tout proche du lieu de la soirée, elles se dirent qu’une veste suffirait pour rentrer et se protéger du froid. En effet, on était fin novembre et marcher la nuit, même quelques mètres, en étant mouillé n’était pas idéal. Toutefois, il était aussi inutile de s’encombrer d’une voiture. Elles laissèrent donc leurs vestes et écharpes au vestiaire de la boîte de nuit. Marie avait décidé de porter un chemisier blanc, et Christine, un t-shirt rouge plutôt moulant. Chacune était en jean. Marie ne se rappelait plus comment Virginie, Karine et Magali étaient habillées. Par contre, ces trois-là étaient parties assez tôt, bien avant que la mousse ne soit déversée. En effet, Karine sortait d’une rupture douloureuse et avait rencontré son « ex » en charmante compagnie. Elle n’avait pas supporté et avait décidé de rentrer. Virginie et Magali l’avaient raccompagnée, laissant Marie et Christine toutes seules.
La soirée était plutôt animée et l’ambiance sympa. Le gérant de la boîte de nuit avait décidé de frapper un grand coup en déversant un flot impressionnant de mousse. Comme prévu, l’humidité se fit immédiatement ressentir et Marie et Christine furent vite trempées. Marie portait un soutien-gorge, car elle savait que son chemisier allait vite devenir transparent. Christine ne portait rien en dessous. Cela se devinait assez clairement à la forme pris par le t-shirt même si celui-ci restait opaque. Christine, commençant à voir quelques yeux baladeurs sur sa poitrine, proposa à Marie de rentrer. Cette dernière en avait aussi assez et elles reprirent vers 3 h du matin leur veste pour se couvrir et rentrer le plus vite possible. La température était descendue en dessous de zéro. Elles n’étaient pas assez habillées, cela se sentait très vite. Elles arrivèrent en cinq minutes dans l’appartement de Marie. Leur premier réflexe fut bien évidemment d’ôter leurs vêtements mouillés. Lorsqu’elles se déshabillèrent, Christine eut la mauvaise surprise de s’apercevoir que son t-shirt était de piètre qualité. En effet, il avait déteint et ses seins avaient ainsi rougi ! Marie se mit à rire, mais s’arrêta brusquement lorsqu’elle s’aperçut à son tour que son propre jean avait également déteint sur ses cuisses. Marie proposa une douche à Christine pour enlever la teinture, mais aussi pour se réchauffer rapidement. Christine trouva l’idée excellente. Elles se mirent ensemble sous le jet d’eau chaude. Elles avaient déjà vu leur anatomie respective, notamment après les cours de gym. C’était cependant la première fois qu’elles n’étaient que toutes les deux. Marie aida Christine à nettoyer sa poitrine. D’abord hésitante, elle frotta par la suite plus fort. Cette sensation ne laissa ni l’une ni l’autre indifférente, même si aucune ne la commenta. Puis c’est Christine qui aida Marie à se défaire du bleu imprégné sur ses cuisses.
Une fois sorties de la douche, elles décidèrent d’aller se coucher. Compte tenu de l’éloignement de son propre appartement, il était prévu que Christine dormirait sur le canapé-lit du salon de Marie. Mais dans ce vieil immeuble, le chauffage fonctionnait mal et il devait bien y avoir cinq degrés de moins dans ce salon que dans la chambre de Marie. Cette dernière lui proposa logiquement de partager le même lit, ce que Christine accepta ayant toujours du mal à se réchauffer. Le lit était suffisamment grand pour que les deux filles s’endorment sans se gêner. La douche leur ayant enlevé un peu de fatigue, elles ne trouvèrent pas immédiatement le sommeil. Elles se mirent à discuter. Marie complimenta son amie sur ses seins :
Marie fut surprise.
Christine fut gênée. Elle en avait sans doute trop dit :
Marie la regarda, sortit ses pieds de sous la couverture et déclara :
Christine prit le premier pied et le caressa lentement. Elle fit des massages qui étaient aussi efficaces que doux. Son pouce pénétrait délicatement dans la plante des pieds de Marie. Cette dernière appréciait et commençait à se laisser aller. Elle ferma les yeux pour mieux ressentir le massage qui ressemblait de plus en plus à une caresse. Christine fantasmait sur les pieds, et avoir entre les mains ceux qu’elle admirait tant l’excitait. Elle continua quelques secondes quand elle s’aperçut que Marie avait ôté le t-shirt qu’elle mettait pour dormir et qu’elle avait baissé sa culotte à mi-cuisses. D’une main, elle se caressait les seins et se masturbait de l’autre. Christine ne voulut pas interrompre son amie. Pour accentuer ce désir, elle lécha du bout de sa langue les pieds de Marie, puis de façon plus prononcée. Puis Christine s’interrompit pour se déshabiller à son tour. Marie avait rouvert les yeux et se rapprocha de Christine qui était nue maintenant :
Christine ne répondit pas, mais rien dans son attitude n’exprimait le refus.
Marie effleura les tétons de Christine du bout des doigts. Ceux-ci pointèrent comme jamais. Christine avait encore le goût qu’elle aimait tant des pieds de Marie dans la bouche et voilà que maintenant sa copine la stimulait à son tour. Le désir était total chez les deux jeunes filles. Sans le savoir, chacune admirait le physique de l’autre, et ce soir-là les tabous avaient disparu. Pour la première fois, leur langue se toucha. Le premier baiser fut hésitant, mais les suivants beaucoup plus sensuels. Marie se fit un plaisir de découvrir du bout de ses lèvres toutes les parties du corps de Christine. Elle caressa longuement ses fesses avant d’explorer sa raie, d’abord avec la langue puis le bout de ses doigts. Christine avait le corps tremblant et Marie adorait le pouvoir qu’elle exerçait sur elle à ce moment-là. Ce fut Christine qui ensuite administra une série de baisers à l’intérieur des cuisses de Marie avant d’enfouir sa langue dans son sexe humide. Elles passèrent le reste de la nuit à profiter du corps de l’autre, découvrirent la sensation d’administrer un cunnilingus, celui de savourer une poitrine bien ferme et tous les autres plaisirs au féminin. Elles s’endormirent au matin et loupèrent bien évidemment les cours du vendredi. Ce fut d’ailleurs un appel de Virginie, inquiète de ne pas les voir, qui les réveilla. Elles inventèrent une histoire de grippe pour justifier leur absence. Virginie n’essaya pas de les questionner, rassurée qu’elle était en les entendant. Elle ne se doutait évidemment pas de la nuit de plaisir qu’elles venaient de passer.
Rapidement, Marie et Christine se mirent d’accord. Pour toutes les deux, la situation était claire. Elles étaient amies et entendaient le rester. Elles avaient pris un grand plaisir ensemble, elles voulaient toutes les deux en reprendre, mais pas question de considérer cela comme une aventure amoureuse. C’était une « partie de sexe » et uniquement une « partie de sexe ». Cela leur allait très bien.
Ainsi, sept ans après, lorsque Marie et moi sortîmes ensemble, les habitudes qu’elle avait prises avec Christine, bien qu’espacées, étaient restées quand même. Marie n’avait jamais osé me l’avouer, mais était soulagée que je le découvre par moi-même.
Je m’attendais à l’affirmation : « Je préfère savoir que tu prends du plaisir avec une fille qu’avec un autre homme », mais
Marie me rassura :
Je lui demandai :