n° 08282 | Fiche technique | 13356 caractères | 13356Temps de lecture estimé : 8 mn | 14/12/04 |
Résumé: Une séance de suggestion inattendue | ||||
Critères: h fh copains collègues bizarre travail fsoumise hdomine contrainte cérébral voir exhib fmast hmast jeu journal | ||||
Auteur : Diletante Envoi mini-message |
Elle était là, assise à mon bureau juste en face moi. Depuis le temps que nous nous connaissions, jamais elle ne m’avait produit un tel effet…
Nous discutions de choses et d’autres. De ces choses sans importance qui nourrissent la plupart des conversations. Elle m’expliquait combien son travail était éprouvant et comme ses collègues étaient prévisibles. Ils n’étaient pas tous désagréables, juste sans la moindre surprise.
Je n’étais pas sûr de bien la comprendre, mais l’écoutais tout de même d’une oreille distraite tout en me disant que ses jambes se trouvaient à deux pas des miennes. Je n’avais jamais envisagé sérieusement de relation avec elle, mais la situation s’y prêtait. De plus, chaque mouvement que nous faisions induisait un contact fugace entre nos pieds respectifs. Contact qui commençait à m’obséder. Je recherchais l’effleurement comme s’il s’était agit du premier pas vers un plaisir plus important.
Tout en retirant ses pieds d’un attouchement trop appuyé, elle me demanda ce qu’était le pendule traînant sur mon bureau. Il s’agissait d’un pendentif dont je me sers comme presse papier… mais amusé par la formule, je répondis :
Elle m’interrompit alors, l’air dubitatif :
C’était d’autant plus stupide de ma part que je ne sais absolument pas comment hypnotiser quelqu’un mais son assurance m’énervait. Elle se cala dans son siège, sourit un instant puis acquiesça.
Je me sentais un peu ridicule, ne sachant pas bien quelle attitude prendre alors qu’elle obtempérait. Le silence était pesant et je ne trouvais toujours rien à dire ou à faire. L’ampleur de ses respirations lui faisait pointer les seins. Malgré son pull à col roulé, je les imaginais facilement, prenant même plaisir à en inventer les aréoles et les mamelons que je rêvais durcis… Elle gardait les yeux fermés.
Prenant une voix plus caverneuse, je lui dis enfin qu’elle devait continuer à se détendre et s’imaginer chez elle, en sécurité, dans son lit, par exemple… Elle sourit en entendant ces mots mais poursuivit le jeu…
Bizarrement, c’est le moment qu’elle choisit pour bailler et se détendre encore un peu plus. Elle était maintenant quasi affalée sur la chaise et semblait même… s’endormir ! Je me tus.
Je la contemplai alors et découvris un visage détendu, confiant, souriant doucement à je ne sais quel songe… Je pris mon temps pour détailler son corps que je devinais plutôt qu’autre chose au vu des vêtements amples qu’elle portait.
Après ces quelques instants d’égarements, reprenant mes esprits, je lui avouai n’avoir aucune idée sur la façon d’hypnotiser quelqu’un et qu’elle pouvait donc arrêter… mais elle n’arrêta pas !
…silence…Elle gardait la pose, comme pour réprouver mon aveu…
Interloqué, je la fixai plus attentivement, lui saisi la main par-dessus le bureau, et l’approchai de moi. Elle continuait de se laisser faire, absente…
Voulant en avoir le cœur net, je commençai à lui la caressai en la détaillant mieux. Je suivais le pourtour des doigts, les effleurant doucement, puis plus fort, puis à nouveau doucement… J’admirai le dessin des veines sous la peau, et remontai son pull en laine pour voir paraître un avant-bras. Soyeux et doux au touché, il m’emplit d’une tendresse que je m’ignorais. Je le caressai un instant puis, décidant de la tester une bonne fois, le laissai à plat sur le bureau.
Elle obtempéra.
Son regard n’était pas différent d’à l’accoutumée, quoique peut-être un peu plus insistant, plus fixe qu’avant… toujours aussi vif et ludique mais plus ouvert, plus libre que je ne m’en souvenais.
Je posai mes clefs sur le bureau et lui dis, hésitant :
Sans la moindre hésitation, elle se leva, prit le trousseau, fit demi-tour, alla à la porte qu’elle ferma après avoir cherché la bonne clef. Une fois la porte fermée, elle ne bougea plus.
Totalement incrédule, je la voyais de dos, debout, droite, toujours enrobée de son pull cependant retroussé sur un bras. Hésitant, je poursuivis :
Ses mains descendirent le long du corps ; empoignèrent le pull et remontèrent ensuite jusque pardessus la tête.
Elle était immobile, la silhouette maintenant visible sous un pantalon me laissant parfaitement deviner les fesses… Le cou comme la tête toujours sous la laine de son pull. J’attendis un instant avant de poursuivre :
De face, elle me plut plus encore. Je lui demandai de se passer la langue sur les lèvres, ce qu’elle fit immédiatement. N’y tenant plus, j’ajoutai :
Je la voyais se caresser comme personne ne l’avait jamais fait devant moi, toujours debout, en soutien-gorge. Je lui demandai de l’ôter, la poitrine apparut… Visiblement, elle le gardait pour bronzer. La marque lui donnait d’ailleurs un air étonnamment plus nu que celui d’un teint uni. Les aréoles peu étendues me fascinaient. Les seins visiblement fermes tenaient quasi-droit. Les mamelons m’en semblaient plus foncés et proéminents que normalement, mais mon expérience en la matière reste insuffisante pour en tirer la moindre conclusion.
Un peu confus, je ne savais plus bien que demander de plus.
Elle, debout, les bras ballants maintenant, docile… moi, toujours assis. Je repoussai ma chaise du bureau afin de prendre mes aises. Les mains sur les cuisses, je me les palpais pour garder un contact avec le réel. De fil en aiguille, mes mains se retrouvèrent sur le bas ventre et je m’aperçus que mon érection ne devait pas être imperceptible, même au travers de vêtements.
Ayant conscience de l’impossibilité dans laquelle j’étais de rester dans un tel état, je la soulageai en me dégrafant la ceinture et ouvrant la braguette. Mon gland dépassait férocement du caleçon et me donnait même un petit air ridicule dont j’avais tout à fait conscience.
Je crus un instant lui percevoir une étincelle dans les yeux, incontestablement fixé dans sa direction… mais cela fut trop bref pour être incontestable.
Le doute restait cependant et je décidai de ne pas prendre de risque :
Ses pieds ôtant les chaussures, les mains descendirent aux hanches sur le nœud qu’elle portait latéralement pour le défaire. Exactement comme je l’avais exigé, elle se déhancha délicatement en le faisant descendre. Une fois au sol, elle en retira un pied qu’elle reposa ensuite pour faire de même avec le suivant.
Je la voyais, toujours servile, avec pour seul vêtement un string blanc dont la transparence dessinait parfaitement le mont de Vénus. Rasée de près, nul poil ne dépassait quoique faisant tache sombre sous l’innocence de la culotte. Les grandes lèvres se dévoilaient parfaitement et je croyais même deviner un clitoris pulsé bombant du sommet de celles-ci. Le fait est que le peu de son anatomie encore caché, ne l’était que très partiellement et que ce petit morceau de dentelle la sculptait même précisément. N’y tenant plus, je sortis ma verge de son enclot et en caressai paresseusement le méat.
Tout à ma masturbation, j’ordonnai :
Les mots m’avaient échappés. En les disant, je crus déceler chez elle un sursaut mais toujours trop fugace pour en être certain… Elle obéit malgré tout.
Tantôt la tête en arrière, les yeux fermés, tantôt le regard toujours fixé sur mon sexe tendu, une main sur la poitrine, l’autre sous l’élastique de la culotte… sa respiration se fit plus ample encore…
Elle céda à nouveau, écartant le tissu, me permettant ainsi de découvrir son intimité. Elle avait la chatte humide et luisante. Ecartant les grandes lèvres, elle laissa apparaître un vagin bordé de petites lèvres charmantes, sous une coupe « ticket de métro ». Elle s’enfonça un doigt comme je le demandais, puis se titilla le clitoris… Inlassablement soumise.
N’y tenant plus, je me déshabillai complètement et m’approchai d’elle en disant :
Dans cette position, elle s’offrait singulièrement. Prenant appuis sur les mains, son sexe s’ouvrait, semblant m’appeler. Je m’en approchai donc, d’abord avec prudence vite modifiée en un désir enthousiaste. Des doigts, j’en fis le tour, lui caressant d’abord l’intérieur des cuisses. Puis, m’en approchant du centre, je lui palpai la corolle avec une patience insistante. Le spectacle m’affolait en me faisant bander comme jamais. J’y plongeai enfin… De la langue, je la léchai aussi profond que je le pus.
Rassasié, je me reculai alors et, observant des plaques rouges apparues sur le torse, je souris.
Sa respiration s’était faite maintenant rudement rapide et son regard plus suppliant que tout l’heure.
Replongeant vers son antre, j’en aspirai goulûment le clitoris tout en le triturant de la langue. Dans le même temps, de la main droite, je lui enfonçais deux doigts dans la chair, alors que la gauche s’activait sur mon membre gonflé. Après quelques minutes qui s’écoulèrent en un rien de temps, je ressentis des contractions vaginales alors que de la cyprine me faisait craindre la noyade.
Elle gémit plus fort et ce fut tout son corps qui se contracta alors que j’éjaculais sur la moquette.
Un peu confus, je repartis à la découverte de son corps plus calmement.
Tout en sueur, il était plus doux encore que précédemment. Après l’avoir complètement visité de mes caresses, je me redressai, remis mon pantalon et retournai à ma place.
Elle respirait calmement maintenant, les yeux mi-clos mais ne bougeait toujours pas. Je lui dis, la voix un peu rauque :
Toujours gêné et sans réellement oser la regarder en face, j’attendis que ce soit fait avant de poursuivre :
Elle rouvrit les yeux qu’elle avait fermés une fois assise et me sourit.
Elle n’émit aucun son, se leva et se dirigea vers la porte. Une fois là, sans une hésitation, elle tourna la clef avant d’ouvrir et s’en aller.
Ce n’est qu’avant de me quitter complètement qu’elle se retourna et m’annonça :
Puis, après un silence : dans un clin d’œil :