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n° 08289Fiche technique6735 caractères6735
Temps de lecture estimé : 5 mn
15/12/04
Résumé:  Xavier a découvert sa féminité, il faut maintenant l'assumer
Critères:  hh hbi hépilé ascenseur hsoumis
Auteur : Toutou
Xavier est démasqué


Le chantier était terminé ; Ricardo et Pierre refusèrent de venir prendre un verre, prétextant qu’ils avaient hâte de retrouver leur chérie respective. Ce que nous avions connu ensemble ce mardi ne fut plus abordé. On parlait chantier, délais à tenir, ils m’appelaient toujours « Monsieur Xavier ». J’aurais pourtant voulu qu’ils recommencent et quand je les ai vus partir, je m’installai seul dans le canapé, essayant de reproduire les sensations qu’ils avaient mis à jour. Mais la plupart du temps, j’étais frustré, je terminais par une branlette solitaire d’adolescent. Il me resta de cette expérience le goût de ma peau, je la voulais toujours plus lisse, faisant la chasse à chaque poil indésirable.


Louise vint me rejoindre le samedi ; était-ce mon sexe rasé qui l’excitait mais pendant tout le week-end nous fîmes l’amour. Jamais je ne l’avais connue comme ça. Était-ce aussi la découverte de ma féminité, je cherchais à la satisfaire comme Pierre m’avait satisfait. Je la léchais, m’attardant sur son petit trou, la première fois, elle regimba et puis y prenant plaisir, c’est elle qui m’amenait à le lui lécher. Elle adorait mais refusait de se laisser sodomiser.

Puis elle prit l’initiative au cours d’un 69, à me lécher le cul…je retrouvais les sensations provoquées par Pierre et Ricardo, elle osa même introduire un doigt qu’elle retira aussitôt croyant m’avoir blessé.


Une nouvelle vie (sexuelle) commençait. J’aurais aimé que les journées soient plus longues, mais elle devait impérativement être à son bureau le lundi matin. C’est donc avec regret que nous reprîmes la route le dimanche après-midi. Les autres proprios allaient arriver, ils pourraient profiter de leurs vacances dans un cadre rénové.


Lundi 7 h 45, comme à l’accoutumée, l’ascenseur est bondé de monde, costume cravate comme l’exige le règlement. Je me fraie un chemin et me tourne vers la porte de l’ascenseur.

On est serré, compressé…comme j’étais bien hier.

Était-ce la promiscuité, l’expérience de la résidence, je sentais le devant d’un pantalon contre mes fesses. Au lieu de m’en éloigner, je le cherchais, à chaque arrêt, je m’appuyais un peu plus contre lui, ce qu’il contenait prenait à chaque fois des proportions plus importantes . Au cours d’un arrêt, je me tourne et je vois l’homme, beau gosse, la trentaine, jeune cadre dynamique qui apparemment prend plaisir à cette situation. Il me sourit, ses dents sont d’un blanc éclatant. Comme l’ascenseur repart, il se presse davantage contre moi. Je sens son sexe durci, il ébauche un mouvement qui ne laisse aucun doute sur ses intentions. Je me retrouve projeté une semaine plus tôt, les mains de Ricardo, le sexe de Pierre. Ma féminité reprend le dessus. Je pointe mes fesses en arrière, il n’y a plus rien d’équivoque, il me veut, je le veux.


15ème étage, je descends, il descend. Au lieu de me diriger directement dans mon bureau, je passe par les toilettes. Il me suit. Nous sommes l’un à côté de l’autre face à l’urinoir. Il me regarde sans vergogne, je suis gêné mais j’attends la suite avec impatience. La femme refait surface.


« Vous vous rasez le sexe ? »

Sa remarque est sans appel, je suis aussi électrisé qu’avec Ricardo quand il a posé ses mains sur mes seins.

« Oui…. » ( ma voix n’avait plus rien à voir avec celle du cadre qui allait entrer dans son bureau pour intimer des ordres à ses subordonnés.)

« Rejoins-moi à côté ». Il se dirige vers une cabine, laissant la porte ouverte. Rentrant ma bite, je ne peux que le rejoindre.

« Déshabille-toi ! »

« Ici ? »

« Ouvre ta chemise, baisse ton pantalon, je veux te voir nu ! »


Je vérifie que la porte est bien fermée, puis je desserre ma cravate, ouvre ma chemise et baisse pantalon et slip, je suis nu devant lui.

Ses mains se portent sur mon corps, il est caressant et me fait retrouver les sensations que j’avais eues avec Ricardo, ils s’attardent sur mes seins, les compriment et prennent possession de tétons érigés. Il les presse, les tourne, semble vouloir les arracher, mais ce ne sont que des râles de plaisir qu’il arrache. Le bas de mon corps commence à onduler. Je suis redevenu femme.


« Suce-moi » dit-il en m’empoignant la nuque et en la dirigeant vers le sexe qu’il a sorti. Celui-ci se dresse fièrement. Il est aussi gros que celui de Ricardo et je reprends les vieux réflexes de succion.

« T’es une bonne suceuse, continue »


Ma bouche s’active sur son sexe, j’oublie la situation dans laquelle je me trouve, je m’abandonne complètement. Je ne cherche que son plaisir et le mien. Mon cerveau s’affole du frottement de son gland sur mon palais. Mon corps réclame, il faut qu’il me prenne. Je me retourne, saisissant mes deux globes.


« Prenez-moi, j’ai trop envie, prenez-moi comme une chienne que je suis, j’en ai trop envie »


Sans autre cérémonie, il s’enfonce en moi m’obligeant à pousser un cri. Il n’a pas préparé son outil comme le conseillait Ricardo. Mon cul s’enflamme, il pousse son sexe au plus profond de moi. Rapidement je mouille comme une salope, c’est trop bon, j’attends ça depuis mardi, je suis devenu une vraie nympho. Pourrais-je encore baiser comme un homme. Tous mes sens sont concentrés sur le plaisir que cet inconnu me donne. Encore quelques va-et-vient et il se répand au fond de mes entrailles. Je jouis…c’est trop bon.


Je me rajuste, sors le premier, me dirige vers le lavabo où je me passe un coup d’eau fraîche sur le visage avant de me retrouver dans mon bureau. C’était trop bon, comment vais-je assumer cette bisexualité ?




20 heures lorsque j’arrive à la maison. Louise a dressé la table. Tiens, un troisième couvert, elle a invité quelqu’un ?


Je lui pose la question et me répond :

« Un collègue qui vient d’avoir une promotion, il apporte le champagne. C’est sans chichis, tu peux te mettre à l’aise »

Ça ne lui ressemble pas, mais soit…. Je pars vers la salle de bain et après une douche, j’enfile un jogging sans prendre le soin de mettre un slip. Je m’installe au salon en attendant notre invité.


20 h 30, on sonne, Louise va ouvrir et revient en tenant par la taille notre invité qui n’est autre que… l’inconnu qui m’a sodomisé ce matin dans les toilettes du bureau…..


à suivre.