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Après le cours de plongée...

Voici une nouvelle histoire qui m’est arrivée.

J’ai fait pendant longtemps de la plongée sous-marine, avec entraînement en piscine tous les mercredis soir. Le club ou j’allais était chouette, avec des personnes de tous âges et agréables, surtout la femme du directeur du club. C’était un couple assez disparate : lui, Charles, la cinquantaine, cheveux gris et ventru à cause des nombreuses bières lampées pendant sa longue carrière ; elle, Carine ; frisant la quarantaine, blonde, mince, des seins toujours pointant sous ses maillots de bain… et toujours le sourire aux lèvres !

Ce mercredi-là, c’était mon tour de ranger le matériel. J’arrivais donc le dernier au vestiaire, où le dernier présent était déjà habillé, et me lançait « tout le monde est déjà au débriefing ! ».

Le « débriefing » était en fait le café d’en face, où tout le monde se retrouvait pour reprendre des forces après la piscine. J’allais donc m’habiller, lorsque j’ai constaté que j’avais oublié mon masque sur le bord de la piscine. Je retournais donc le chercher, puis allais retourner au vestiaire, lorsque j’entendis de drôle de bruit venant des douches… Curieux, pensant être le dernier, je suis allé voir… Et j’ai vu Carine sous la douche, avec la nouvelle, une jeune fille très réservée, un peu ronde et mignonne, et rousse. Carine avait son maillot bleu marine qui lui collait à la peau, ses seins encore plus pointés qu’à l’ordinaire, tandis que la nouvelle avait un T-shirt blanc, avec rien en dessous, car le T-shirt mouillé moulait ses seins, gros et rebondis, et s’arrêtait à la moitié de ses fesses, nues… et Carine était occupée à lui embrasser le cou, à lui lécher le lobe des oreilles, tandis que ses mains empoignaient les seins de la nouvelle, qui semblait adorer ça, vu la façon dont elle se caressait le clitoris. Quel tableau !

Instinctivement je portais la main à mon sexe, qui avait gonflé et s’était tellement tendu que je dus le sortir de mon maillot, où il était bien trop serré ! Mes mouvements firent se retourner Carine, qui fut d’abord surprise de me voir là, puis, voyant mon sexe hypertendu, qui me fit un de ses superbes sourires…

• — Et si tu venais t’amuser avec nous ? N’est-ce pas Marie, ce serait amusant ?

La rousse rougit jusqu’au bout des oreilles, et je pense bien que moi aussi ! Maintenant Carine était face à moi, ses tétons tellement dressés qu’ils en crevaient presque le maillot ! Quelle superbe vision ! Je m’approchai donc, et lui caressai les seins…

• — Il faudrait les sortir de là, non ? C’est trop étroit pour eux…

Et je joignis les gestes à la parole, faisant glisser les bretelles du maillot de Carine, puis, en le tirant vers le bas, dévoilant ses superbes seins, et tétons… tellement attirant que je ne pus m’empêcher de les lécher, de les sucer… la rousse, pendant ce temps, avait enlevé son T-shirt mouillé, et se colla à moi, sa toison contre mes fesses, sa main commençant à me branler… puis, sentant l’excitation venir trop vite, je me suis dégagé en douceur et ai complètement enlevé le maillot de Carine. Elle s’est alors assise sur un des rebords d’une douche, et la rousse s’est agenouillée pour lui lécher la chatte… Moi debout, mon sexe était juste à la hauteur du visage de Carine, qui commença par le lécher sur tout son long, plusieurs fois, puis l’engloutit avec gourmandise dans sa bouche… c’était tellement bon, j’ai failli tout lui lâcher dans la bouche… mais elle s’est arrêtée au bon moment, et nous avons changé les positions : la rousse assise, Carine à genoux, jambe écartée, qui lui mangeait le minou, et moi, par terre, dos au sol, ma tête entre les jambes écartées de Carine… et je fis le même jeu qu’elle : je fis d’abord passer ma langue le long de ses lèvres, sur son clito, puis je la pénétrai doucement de ma langue, et lui fis un de ces cunis dont j’ai le secret, et elle jouit dans ma bouche… j’adore ça !!! Puis elle me demanda de la pénétrer en levrette pendant qu’elle continuait à s’occuper de la rousse, qui avait déjà joui au moins deux fois sous ses coups de langues ou de doigts experts. Je m’agenouillai donc derrière elle, écartai en douceur ses petites lèvres, puis la pénétrai en douceur de mon sexe tout tendu… j’allais millimètre par millimètre, et lorsque je fus au fond d’elle, je commençai mes va-et-vient… Elle jouit encore au bout de quelques minutes, et je la rejoignis rapidement…

Nous nous assîmes tous les trois côte à côte, reprenant notre souffle, lorsque Carine se retourna vers moi, le regard coquin :

• — Tu t’es bien occupée de moi, mais on ne peut laisser Marie comme cela !
• — Oui, mais il faudrait me remettre en forme alors…

Et, avec un regard entendu, les deux filles s’approchèrent de mon sexe, et commencèrent à le lécher à deux, à l’engloutir chacune à leur tour, tout en s’embrassant… à ce régime là, il ne tarda pas à se redurcir et à regonfler… Carine se tourna alors vers Marie :

• — Alors Marie, comment veux-tu être prise ?

Rougissante, la rousse se releva, écarta les jambes en se pliant légèrement, m’offrant sa croupe rebondie. Je me relevai donc, et m’engouffrai en elle. Elle avait un vagin plus profond que celui de Carine, et la position qu’elle avait choisie me permis d’aller plus profond en elle… Pendant que la pénétrais, Carine s’assit, la tête tout près de nos sexes, et commença à se doigter, tout en se régalant de cette scène à quelque millimètre de son visage… Cela dura quelques minutes, puis Marie jouit, et je commençai à jouir aussi, j’allais déverser mon foutre dans Marie… mais voyant que Carine se pourléchait les lèvres, je sortis mon sexe alors que je commençai à jouir, et me tourna vers le visage de Carine. Elle n’attendait que ça ! Je l’aspergeai, et elle se frotta le visage et les seins avec mon sperme, puis attrapa mon sexe et bu ce qu’il restait. Quel plaisir !

Enfin, elle se tourna vers nous, son énergie semblait inépuisable ! Elle nous dit :

• — On se plonge dans la piscine, on va s’habiller, puis on rejoint les autres, OK ?