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n° 08298Fiche technique20512 caractères20512
Temps de lecture estimé : 12 mn
16/12/04
Résumé:  Christine se laisse séduire par un aristocrate pervers.
Critères:  fh ff fbi inconnu grosseins fête voir exhib strip fmast intermast entreseins facial fellation pénétratio jeu
Auteur : Ben  (Homme polysensuel)      
Perles - Christine et le Duc


Christine est très excitée. Elle jette un dernier regard à sa silhouette dans le miroir : sa longue robe de velours noir met merveilleusement en valeur sa silhouette. Le décolleté, très profond, révèle des seins opulents et ronds. Ils semblent vouloir jaillir hors du tissu, tant ils sont pressés et soulevés par son corset de dentelle noire. Elle doit d’ailleurs rajuster le tissu pour cacher son mamelon gauche qui commence à apparaître. Lorsqu’elle respire, elle voit avec satisfaction ses nichons se gonfler. Sûr que cela attirera le regard des hommes. Elle se dit quand même qu’elle devra éviter de respirer trop fort si elle veut éviter que ses seins ne s’échappent de la robe. Elle a noué en chignon sa longue chevelure châtain aux mèches caramel pour mieux mettre en valeur son joli cou, orné d’un collier de chien de cuir noir rehaussé de paillettes. Sa robe est fendue presque jusqu’aux hanches, si haut qu’elle n’aurait pu laisser un slip normal. Elle a longtemps hésité à enfiler le string assorti au corset, mais elle finalement décidé de ne rien mettre. Elle prend beaucoup de plaisir à se sentir nue sous la robe. Bien sûr, pour parfaire sa silhouette, elle a enfilé des bas résille, et de fins escarpins noirs aux talons hauts, qui donnent à ses jambes un galbe parfait.


Un dernier coup de rouge à lèvres brillant lui donne une allure de star. C’est à ce moment que la sonnette retentit. Lara est à l’heure. Son amie est aussi très séduisant dans sa robe de soie dont la couleur bleue tranche sur la blondeur de ses cheveux. La robe laisse ses jolies épaules nues, et dévoile une poitrine aussi opulente que celle de son amie. Par contre, elle est très courte, révélant des cuisses fines et musclées, et s’arrête juste sous le pli des fesses. Les deux amies s’embrassent sur la bouche comme elles le font toujours, mais avec plus d’excitation ce soir. Elles ont été invitées à une soirée privée à l’occasion du Festival du film, et elles savent déjà qu’elles vont passer une merveilleuse soirée.



Les deux femmes rient et s’embrassent. Deux minutes plus tard, elles grimpent dans la voiture de Lara et se rendent à la fête.




Dès leur arrivée, Lara tombe sur un ami qui l’emmène vers le bar, abandonnant Christine à son désarroi. Elle ne connaît personne. Elle ne participe pas très souvent à ce genre de soirée, et ne sait pas toujours comment se comporter. Elle se tient debout près du piano, sirote discrètement sa coupe de champagne. À quelques pas, un homme n’a rien perdu du spectacle. Il l’observe, ne peut détacher le regard de ses seins frémissants. Elle ne l’a pas encore vu. Au contraire, elle a remarqué un homme seul appuyé contre une colonne, et qui semble perdu dans ses pensées. Elle hésite. Va-t-elle l’aborder ? Si au moins Lara était avec elle, elle serait moins timide. Elle va enfin se décider à lui adresser la parole, lorsque l’autre homme, qui l’observe depuis le début, s’approche d’elle et lui saisit le bras. Elle sursaute.



Christine hésite un moment, puis se décide à le suivre. Après tout, il n’est pas mal ce Duc ; un peu rapide, mais pas mal. Ils quittent la grande salle, et pénètrent dans un petit salon tapissé de rouge, parfumé à l’encens.



Christine découvre alors les gravures qui ornent les murs. Toutes évoquent le sexe. Certaines sont relativement anodines, montrant de jeunes femmes nues alanguies. D’autres sont plus explicites, et il y en a même qui décrivent l’acte sexuel sans aucune pudeur. La peinture de gauche représente une scène d’orgie remplie de pénis dressés, de vulves offertes et de pénétrations diverses. Christine a une bouffée de chaleur. La vue de ces illustrations l’excite immédiatement ; elle sent déjà sa moule dégouliner.

Le duc ne perd rien de son trouble.



Christine est autant interloquée qu’excitée par la crudité du langage de son hôte. Décidément, elle n’imaginait pas que cette soirée démarrerait ainsi. La voilà déjà seule, dans un boudoir qui n’a visiblement d’autre fonction que le sexe, avec un hôte de prestige qu’elle ne connaît pas, mais qui semble bien excité. Elle sent monter en elle une agréable sensation de désir. Elle sent sa moule moite, les bouts de ses seins durcis et gonflés, son clitoris qui se tend.



Il ouvre la paume de sa main, et tend à Christine une grosse perle nacrée. La jeune femme hésite. Dans quelle aventure est-elle en train de s’engager ? Mais la perle est tentante, et en plus elle a envie de sexe. Elle tend la main pour prendre la perle. Le duc la lui saisit et la serre. Il l’attire au centre de la pièce, puis allume la sono qui commence à débiter une musique langoureuse. Il s’assied sur le divan de velours rouge.



A cet instant, Christine peut encore faire marche arrière, quitter la pièce et rejoindre la fête. Mais, intriguée autant qu’excitée, elle commence à danser sans quitter le duc des yeux. Elle ondule lascivement des hanches, passe ses mains dans ses cheveux, dans son cou, le long de son corps… Elle tourne le dos au duc, et tout en ondoyant son joli petit cul, elle remonte le bas de sa robe de chaque côté, dévoilant ses cuisses, la lisière de ses bas… Elle se penche en avant, s’appuie d’une main sur un meuble, reins cambrés, jambes bien tendues mais écartées. De sa main restée libre, elle soulève sa robe pour dévoiler son petit cul sublime. Elle commence à caresser ses fesses rondes et fermes, les prend à deux mains et les écarte pour faire découvrir au duc son petit anus froncé.



Christine se retourne. Elle dévoile lentement son sein gauche, puis le droit. Ses gros seins libérés balancent légèrement au rythme de ses mouvements. Les tétons durcis, arrogants, témoignent de l’excitation qui la gagne. Elle commence à caresser ses seins, les soulève, les masse, les serre l’un contre l’autre. Elle en pince les bouts, les étire, les tord. Le duc a ouvert son pantalon, en a sorti son sexe déjà dur et commence à se branler. Cela ne fait qu’exciter davantage Christine, qui fait glisser sa robe à ses pieds. Elle révèle sa silhouette superbe, ses cuisses fermes, son ventre plat, et sa moule rasée qui exhale déjà une forte odeur de sexe. Elle ondule de plus en plus fort, et caresse son corps. Elle écarte davantage les cuisses pour mieux montrer sa fente à l’homme qui se masturbe maintenant de plus en plus violemment. Elle se retourne, se penche à nouveau en avant, jambes écartées, pour mieux montrer son joli cul. Elle passe un doigt dans la raie de ses fesses, effleure sa rosette qui se crispe, pénètre sa fente et remonte vers le bouton. Elle est très excitée, et se branlerait volontiers le clitoris jusqu’à l’orgasme. Mais elle sent que le jeu va grandir en intérêt, et qu’il ne lui faut pas aller trop vite à la conclusion. Elle se redresse, se retourne vers le duc.



Elle écarte à nouveau les jambes. Elle presse les lèvres de son sexe entre ses deux index, commence à les malaxer, puis les écarte pour révéler son coquillage tout rose. Elle les étire encore pour montrer son clitoris en érection.





Le duc se dévêt, se rassied sur le divan et continue à branler son sexe qui a encore grossi.


Cela ne fait qu’exciter davantage Christine ; si le duc ne lui avait pas proposé de se masturber, sûr qu’elle aurait elle-même succombé au besoin de se toucher. Elle se couche à demi sur le tapis, les cuisses relevées et écartées face au duc, et tout en continuant à caresser ses nichons de sa main gauche, commence à caresser sa moule de la droite. Elle écarte les lèvres, son gros clitoris turgescent semble palpiter de désir. Au moment où elle le touche, elle sent une décharge de plaisir la submerger. Décidément, cette mise en scène lui plaît. Elle commence à branler son bouton et sent très vite le plaisir la gagner. Elle enfonce alors son index gauche dans son vagin et commence des mouvements de pénétration de plus en plus rapides. Elle rajoute un doigt, puis deux. Finalement, ce sont tous ses doigts qui dilatent son sexe et la pénètrent avec un bruit de succion. Elle ne quitte pas des yeux le duc qui, le regard fixé sur sa vulve humide, se branle de plus belle. Christine mouille terriblement. Elle sent son jus ruisseler entre ses fesses. Elle va sans doute encore faire des taches le tapis. Elle se remet à quatre pattes, le dos tourné à son admirateur. Appuyée sur une main, elle passe l’autre dans la raie de ses fesses pour étaler sa mouille sur ses cuisses et sur son pubis. Lorsqu’elle touche son anus, celui-ci frémit ; elle ne peut résister au besoin d’y enfoncer son index, qui pénètre sans peine, comme aspiré. Elle cambre les reins pour mieux montrer encore son petit cul avide et commence à se branler la rosette. En même temps, elle commence à onduler du cul. Ses gros seins, aux bouts gonflés par l’excitation, oscillent doucement entre ses bras. Elle plie le bras et s’abaisse, afin de pouvoir frotter les bouts de ses mamelons sur le sol.


Le duc n’en peut plus, il se lève, vient s’agenouiller entre les jambes de Christine qui continue de se branler alternativement l’anus et la moule en gémissant. Le duc reprend son sexe qui a atteint une taille impressionnante. Son gland est rose et lisse, ses couilles gonflées. Il darde son sexe comme s’il voulait la pénétrer et reprend ses énergiques mouvements de branle.



Christine hésite un instant. Non pas pour savoir si elle accepte de branler le duc : elle est dans un tel état d’excitation qu’elle ne pourrait pas s’empêcher de sauter sur n’importe quelle queue qui passerait à portée de main. Mais elle se demande comment faire durer le jeu, ne pas céder trop vite au duc et ne pas succomber immédiatement à son envie d’être pénétrée.


Elle a encore le sentiment de dominer la situation, mais elle sent le danger de perdre son self-contrôle. Elle se relève et va s’asseoir sur le divan. En passant, elle frôle le duc et lui effleure les fesses.



Christine écarte largement les cuisses ; son sexe poisseux exhale une forte odeur de stupre. Le duc s’approche à genoux, sans cesser de se masturber. Il s’installe entre ses cuisses et entreprend de la lécher. Il parcourt d’abord du bout de sa langue l’intérieur de ses cuisses, remonte vers la fente, en parcourt les bords. Christine écarte les lèvres de son sexe. Son clito apparaît, extrêmement gonflé. Le duc s’en empare et commence à le sucer avec avidité. Christine ne peut réprimer une ruade. La bouche suce, aspire avec gloutonnerie ; la langue fouille la fente, s’introduit plus profondément. Christine se rend compte de son erreur : elle n’est plus maître de ses réactions. Elle écarte encore davantage les cuisses, soulève son bassin pour aller au-devant des coups de langue qui la font défaillir. Elle gémit sans pouvoir se retenir, tout en se massant les seins. Elle les soulève, les presse l’un contre l’autre puis en pince les bouts et les étire. Elle sent monter un prodigieux orgasme et va commencer à crier son plaisir lorsque le duc se relève brusquement. Son visage est couvert de jus. Il ne dit pas un mot, prend une nouvelle perle, la pose sur la table et approche son sexe du visage de Christine. Elle s’empare du pieu devenu énorme, l’enserre d’une main tandis que de l’autre elle saisit les couilles. Elle commence de lents mouvements de branle, s’amusant à décalotter le gland rose et lisse. Elle sent son propre sexe qui palpite, tout son être est tendu par le désir. Elle succombe à la tentation d’emboucher le sexe du duc. Le gland rentre avec peine dans sa bouche tant il est gonflé. Elle manque d’abord de s’étouffer. Son expérience des fellations lui permet néanmoins de poursuivre la pénétration orale. Elle sent le sexe arriver au fond de sa gorge. Le duc a fermé les yeux. Elle cesse de bouger, se contentant de caresser délicatement les couilles pleines de sperme. Elle sent le sexe palpiter dans sa bouche. Elle sait que quelques mouvements suffiront à lui faire cracher sa semence.


Elle recommence à se masturber. Son sexe dégouline. Elle aussi est prête à jouir. Elle serre les couilles, provoquant chez son partenaire un mouvement de va-et-vient qu’elle encourage par ses mouvements de tête. Le duc ressort son sexe, le renfonce, puis accélère ses mouvements de pénétration. Elle caresse frénétiquement son clitoris.



Le duc ressort sa queue. Christine prend ses nichons dans ses mains, les soulève et les referme sur le sexe dressé. Le duc reprend ses coups de boutoir ; à chaque mouvement, le bout de son sexe émerge entre les deux nichons tremblants. Elle ne cesse de torturer ses mamelons, les fait rouler entre ses doigts, les pince, les étire.


Bientôt, dans un grand gémissement, le duc s’immobilise. Christine voit le sexe tressauter. La première goutte de sperme apparaît ; tout de suite après, un long jet chaud se répand sur ses seins. La vue du sperme déclenche son propre orgasme, profond, intense, incroyablement long. Les jets de sperme succèdent aux jets, sa poitrine en est bientôt couverte. Le duc s’écroule à côté d’elle. Elle recommence à se caresser le clitoris, prolongeant encore son orgasme, tout en étalant le sperme sur ses gros seins. Mais elle finit par s’écrouler à son tour dans un grand cri, anéantie.


Les deux amants restent longtemps allongés sans rien dire, Christine continuant inconsciemment à caresser ses seins, le duc gardant son sexe encore dur dans ses mains. Puis il allonge le bras et agite une petite sonnette. Quelques instants plus tard, une porte dans le fond du salon s’ouvre…




Une très jolie blonde en tenue de soubrette apparaît. Christine remarque immédiatement qu’elle est nue sous son petit tablier, qui ne dissimule rien de son énorme poitrine. Ses seins opulents ont la forme et la taille de jolis melons, ornés de tétons tout aussi imposants qu’arrogants. Elle a croisé les bras derrière le dos comme si elle voulait encore davantage mettre ses seins en valeur. Ses longues jambes sont gainées de bas en dentelle noire, à ses pieds de jolis escarpins noirs aux talons hauts. Le duc lui fait signe.


Lorsqu’elle s’approche, ses gros seins tremblent au rythme de ses pas. Christine est subjuguée. Elle se rend compte qu’elle va assister à un rituel particulier. La jeune fille s’approche du duc. Elle s’agenouille à ses pieds. Dans le miroir qui orne le mur d’en face, Christine peut admirer sa jolie croupe rebondie et ferme. La blonde s’empare du sexe du duc, et commence consciencieusement à le lécher pour en ôter la moindre goutte de sperme. Elle semble se délecter du nectar. Lorsqu’elle a fini de lécher tous les recoins de peau, elle se relève, se pourlèche les babines. Puis, sans rien dire, elle se tourne vers Christine, se penche sur son torse couvert de semence et la lèche à son tour. La soubrette est habile de la langue, alternant lècheries et titillements, tant et si bien que Christine est à nouveau gagnée par l’excitation. Lorsqu’elle commence à sucer son mamelon gauche encore excité, Christine ne peut s’empêcher de lui presser le visage contre son sein. Elle cherche à tâtons à s’emparer d’un des nichons de la soubrette. Il est lourd, énorme dans sa paume. Elle sent au creux de la main un téton gonflé et dur, tellement arrogant qu’elle ne peut s’empêcher de tirer dessus. La blonde relève son visage maintenant couvert de sperme. Elle approche ses lèvres de celles de Christine. Comme dans un élan commun, les deux femmes s’embrassent. Christine retrouve avec bonheur le goût du sperme dans sa bouche.