n° 08299 | Fiche technique | 22958 caractères | 22958Temps de lecture estimé : 13 mn | 16/12/04 |
Résumé: Une jeune guide touristique effectue une ascension de la Tour Eiffel et arrive au septième ciel de son plaisir. | ||||
Critères: f fh collègues ascenseur volupté fsoumise pénétratio jeu init | ||||
Auteur : Jeff Envoi mini-message |
Marilou repose le micro sur son support et se tourne vers Fred, le chauffeur de l’autobus pour lui faire signe d’ouvrir la porte. De dehors, une vague de chaleur étouffante envahit le véhicule et fait reculer les premiers touristes qui en descendent.
Tout le monde suit la jeune femme brune, au parapluie vert, incongrûment levé au-dessus de la tête pour signaler la présence de son groupe et le dirige vers le pilier Nord de la Tour Eiffel.
Le ton de l’invitation est aimable et nombreux sont les hommes du groupe qui décident de jouer les sportifs et bien qu’ils soient tous à la retraite, se pressent rapidement aux côtés de leur avenante et accorte guide.
Et le groupe commence la grimpette, d’abord en suivant de près Marilou, puis au fur et à mesure des paliers, en s’étirant avec un enthousiasme fondant au fur et à mesure de la vertigineuse montée au premier étage de la Dame de Fer parisienne.
Bien qu’habituée à cet exercice, Marilou, ce matin, peine aussi dans son ascension et à chaque marche, à chaque pas, elle découvre de nouvelles sensations dans son ventre dont elle ne sait pas encore si elles sont agréables ou gênantes.
La veille, en rentrant de l’incontournable spectacle de strip-tease suivi d’une visite nocturne de Pigalle, un petit groupe de retraités n’avait nullement envi d’aller se coucher.
Très sympathique mais quelquefois un peu lourds et collants selon les confidences de Marilou à Fred, ils les avaient invité à prendre un verre au bar de l’hôtel. Et comme le lendemain devait être leur dernier jour avant de rentrer dans leur province, ils avaient décidé d’offrir un souvenir de leur petit groupe à la charmante et délicieuse Marilou.
C’est ainsi que sous les yeux gourmands de six papys et de Fred, Marilou avait du ouvrir, religieusement, un petit paquet, bien présenté, dans un emballage doré, entouré d’un ruban bleu. Jouant le jeu, Marilou avait tenté de deviner ce que le paquet cadeau recelait.
Elle l’avait soupesé. Mais il était d’un poids relativement insignifiant.
En le remuant près de son oreille, après s’être assuré auprès du groupe qui la fixait avec intensité et amusement, qu’il ne contenait rien de fragile, elle avait entendu une sorte de frottement, comme un objet roulant.
Avec impatience, enfin, elle était arrivée au bout du nœud et arrachait maintenant le papier.
Dans sa main, un étui en velours rouge frappé de signes chinois. L’étui n’était pas gros, il tenait dans le creux de sa main.
Marilou reste muette, surprise devant le contenu de la boite.
Devant elle, deux boule d’un blanc ivoire, retenues entre elles par une mince ficelle, et une plus longue qui forme une boucle.
Si durant quelques dixièmes de seconde elle est restée sidérée par le présent, elle a immédiatement reconnu des boules de Geisha. Instinctivement, elle se sent rougir. Face à tous ces hommes âgés, à Fred son chauffeur, elle va devoir les sortir de leur étui … et imagine en un éclair de seconde toutes les niaiseries qu’ils vont pourvoir dégoiser !
Et dans un grand éclat de rire, sortant les boules de leur écrin, elle les agite en l’air, fait tinter les masselottes internes et les examine.
Et tout le groupe de rire (gras), de ricaner, de s’esclaffer et de chercher les plaisanteries les plus osées et les plus troubles.
Marilou, pour mettre un terme à cette situation un peu embarrassante, déclare qu’il est tard que tout le monde est fatigué et expédie tout le monde au lit sous prétexte que le lendemain, la Tour Eiffel est au programme de la matinée.
Alors qu’elle était entrain de se coucher, Marilou entend frapper à sa porte. Enfilant une robe de chambre, elle entrebâille la porte et se trouve nez à nez avec Fred.
Marilou s’efface. Fred, son chauffeur et amant occasionnel, entre dans la chambre.
Bien que Marilou pousse Fred vers la sortie, ce dernier semble vouloir prendre racine dans sa chambre.
Marilou sais que Fred, excellent professionnel cache en réalité, sous ses airs de blondinet timide, un esprit libertin et déterminé et qu’il est capable du pire comme du meilleur en matière de jeux érotiques.
L’an dernier, déjà, ne lui a-t-il pas imposé de monter en haut de l’Abbaye du Mont saint-Michel, sans culotte dans une robe ultra légère et courte, à la grande joie d’un groupe de retraités de Mines de Lorraine qui les suivaient trois marches en dessous, hilares et rouges comme des écrevisses à leur arrivée, mais très motivés quant à suivre leur guide.
Voilà pourquoi et comment, ce matin, Marilou ressent d’étranges sensations dans son bas ventre, en montant les 480 marches qui mènent au premier étage de la Tour Eiffel.
Dans son sexe, s’entrechoquent et roulent l’une contre l’autre, les boules de Geisha coincées dans son vagin. Chaque mouvement, chaque pas de Marilou entraîne automatiquement un mouvement des boules, amplifié de surcroît par les deux petites masselottes qu’elles renferment, créant de petites vibrations qui se répercutent dans tout son sexe, jusque dans son clitoris qui, maintenant, est raide. Chaque fois que ses hanches travaillent - et dieu sait si elles travaillent les hanches, lors d’une montée d’escaliers serrés et étroits comme ceux imaginés par Gustave Eiffel - les boules bougent dans son sexe et déclenchent une onde de plaisir qui contracte son vagin, dresse son clitoris et lui fait mouiller sa culotte. Et les ondes se succèdent au rythme de ces pas.
Jamais elle n’arrivera en haut, pense-t-elle.
Déjà, au sortir de sa douche, après s’être longuement essuyée, Marilou a hésité. Lui fallait-il obéir à Fred. Mais ce dernier était bien capable de lâcher une allusion très "personnelle" au micro de l’autobus, devant tout le groupe. Aussi, autant par jeu qu’avec une certaine appréhension quant à l’attitude de Fred, elle était allée chercher les deux petites boules, encore enfermées dans leur étui rouge à signe chinois. Elle les avait longuement contemplé, puis d’un geste rapide, comme si elle enfilait un tampon, elle les avait introduit dans son sexe.
Le contact d’abord froid du plastique et le fait que son sexe ne soit pas mouillé, ne lui avaient pas fait apprécier spécialement cette introduction. Mais en s’habillant, au fur et à mesure qu’elle vaquait à ses occupations matinales, elle avait commencé à ressentir les premiers entrechoquements dans son sexe et cette sensation si étrange d’une multiplication des vibrations à chaque mouvement, transmis par ces deux petites masses de plomb enfermées dans les boules.
Au bout de quelques minutes la sensation de désagrément avait alors fait place à une douce chaleur qui commençait à irradier dans son ventre et très vite c’était transformée en une véritable sensation de plaisir, qui montait pas palier, s’interrompant lorsqu’elle ne bougeait plus et recommençait encore plus fort dès qu’elle se remettait à bouger. C’était une expérience nouvelle jusqu’alors inconnue de Marilou.
Diffus, sournois, sans cesse présent mais jamais abouti.
Voilà, comment Marilou tente d’analyser les vagues de sensations qui traversent son bas ventre, au fur et à mesure de sa montée d’escalier.
De temps en temps, sous prétexte de vérifier que tout le monde suit, elle s’arrête sur un palier, s’accoude à la rambarde d’acier, reprend son souffle. Instinctivement, elle serre ses cuisses et la contraction musculaire imprime immédiatement un mouvement aux deux boules logées de plus en plus étroitement dans son ventre. Cette sensation, ce mouvement est si fort, qu’elle à l’impression que les grimpeurs qui la dépassent alors, entendent les boules s’entrechoquer dans son intimité.
Marilou, dont le cœur bat déjà très rapidement sous l’effort physique, a l’impression que ses battements s’accélèrent encore. D’ailleurs, maintenant, elle a l’impression qu’à chaque battement de son cœur, son clitoris tout raide et largement sorti de ses plis, se dresse contre le tissu de son slip et cogne à l’unisson. Dans un nouvel effort, avant de reprendre la montée des marches, elle tente de calmer sa respiration.
Mais même le rire, un peu commercial qu’elle tente de déclencher, donne un effet de roulis aux boules inséraient dans son ventre et déclenche une vague de plaisir.
Marilou, dans une nouvelle halte réparatrice durant laquelle elle essaye de calmer le feu qui commence à irradier tout son ventre, tourne son regard vers le haut. Il lui reste la moitié des marches à gravir, et à ce train là, elle a la très nette impression que non seulement elle ne pourra jamais y arriver mais qu’en plus, elle va jouir au milieu des escalier, là, devant des centaines de paires d’yeux.
Marilou, un fois encore, s’accroche à la rambarde et tente, par son souffle, de calmer la monté de son plaisir et elle n’aspire qu’à deux choses : d’abord retirer ses sacrées boules de son sexe et ensuite trouver un coin tranquille pour pouvoir se caresser et soulager la tension de son clitoris qui maintenant lui fait mal. Après quelques secondes d’arrêt, elle reprend son ascension.
Au fur et à mesure où elle avance ses jambes pour monter les marches, il lui semble que les boules ont enfin trouvé une place dans son sexe et qu’elles bougent de moins en moins.
En tout cas elle ne ressent plus cet entrechoquement du début de matinée.
Seules, les deux petites masses qui se trouvent enfermées dans les capsules, continuent librement à aller et venir, à tourner en rond et chaque fois qu’elle se cognent à la paroi de la capsule, le choc est transmis et amplifié à la propre parois vaginale, rendue ultra sensible par l’irritation, le gonflement et le plaisir.
Mais cette nouvelle sensation se répercute aussi sur son rythme cardiaque et sur son souffle. À chaque nouveau choc des masselottes, elle est presque oblige de reprendre son souffle, de calmer son cœur.
Et plus Marilou avance dans la monté, plus elle a des difficultés pour avancer, tant la volupté diffuse de son ventre envahit maintenant tout son être.
Alors qu’elle observe une nouvelle pause, elle sent que ses seins commencent à pointer leurs tétons durs à travers le tissu de son soutien-gorge. Sa poitrine se fait plus lourde. Sa main, posée sur son ventre, comme si elle voulait mieux contrôler sa respiration, déclenche un premier spasme de plaisir et électrise son corps.
Marilou est obligée de se tourner, face au vide, de fermer les yeux et de se mordre fortement les lèvres pour ne pas émettre de son.
En jetant un coup d’œil par dessus son épaule, elle aperçoit la file ininterrompue de touristes qui monte de plus en plus lentement les escaliers. Impossible, pense-t-elle, de faire quoique se soit, là.
Résignée, elle reprend sa montée. Heureusement, elle a vu qu’il ne lui restait plus que quelques volées d’escaliers.
Le cœur battant, les lèvres serrées pour mieux contrôler sa respiration, le ventre en feu, la culotte trempée, une main agrippée à la main courante, l’autre sur son estomac, Marilou pose enfin le pied sur la plateforme, accueillie par tout le groupe qui l’applaudit et la charrie.
Devant faire bonne figure, Marilou esquisse un vague sourire et évite de parler, comme si elle avait besoin de reprendre son souffle.
D’ailleurs, Fred, qui a piloté le groupe dans l’ascenseur, frais et dispos, comprend vite la scène et prend la direction de la suite de la visite, envoyant tout le monde contempler le paysage et leur donnant rendez-vous vingt minutes plus tard devant l’ascenseur du pilier Sud.
Marilou, a trouvé un banc et s’est effondrée dessus, même si le mouvement à déclenché un déplacement des boules et des petites masses de plombs qui la laissé une fois encore au bord de l’orgasme. Fred s’approche d’elle.
A la fois médusé et admiratif, Fred aide Marilou à se relever et ils se dirigent vers des toilettes, mais en passant devant un des employés, Fred l’interpelle :
Après avoir jeté un œil inquisiteur sur le revers de la veste de Marilou qui porte son insigne de guide touristique, il les dirige vers un petit local dont il ouvre la porte avec sa clef.
Dès que la porte est fermée, Marilou, rapidement, soulève sa robe d’uniforme bleu marine, retire sa culotte, largement auréolée de son "involontaire" plaisir et commence doucement à ouvrir ses lèvres gonflées et devenues si sensible que la simple pression du bout des doigts déclanche à la fois une vague de plaisir et une douleur aiguë, mais elle doit récupérer les deux boules.
Alors Fred, qui contemple la scène, avec un regard égrillard et concupiscent intervient.
Et joignant le geste à la parole, il s’agenouille devant le sexe de Marilou, lui dépose un tendre baiser sur sa toison pubienne et délicatement, d’une main il lui écarte largement ses lèvres et plonge ses doigts dans le sexe à la recherche de la ficelle d’extraction.
Fred, généralement assez doué pour ce genre de fouille, a quelques difficultés à trouver le bout de ficelle, sans compter que le vagin est tellement gonflé de plaisir et tellement sensible qu’à plusieurs reprise les contractions et des spasmes des muscles du vagin coincent les pauvres doigts du garçon entre la paroi et les boules, alors que Marilou peut maintenant se laisser aller à pousser de long soupirs de plaisir et de désir.
Enfin, sous ses doigts, il sent le petit cordon, délicatement, du bout des doigts, il l’attire vers la sortie et doucement mais fermement, lui tire dessus.
Marilou sent le passage de la première boule dans l’ouverture de son sexe puis de la seconde qui descend, force le passage et finie par sortir. Avec elle, Fred libère un flot de cyprine qui était restée bloquée dans le sexe.
Marilou, la jupe sur le ventre, cherche alors un siège pour se reposer de ses émotions, mais Fred à d’autres idées en tête et tandis qu’elle pose enfin ses fesses sur un coin de tabouret, Fred, toujours à genoux devant le ventre de la jeune guide, défait sa ceinture, ouvre son pantalon et sort son sexe excité par les différentes manœuvres d’extraction qu’il vient de faire.
Marilou, épuisée, ne résiste pas beaucoup aux avances de Fred qui présente déjà son sexe à l’entrée du sien.
Mais l’excitation que Marilou a ressenti durant tout le temps de la montée des escaliers, son sexe largement humidifié par le plaisir mais rendu tellement sensible et tellement serré qu’elle pousse un long cri de plaisir et de douleur au moment de la pénétration de Fred. Après quelques mouvements de va-et-vient, difficiles tant le vagin est gonflé à l’intérieur, que Fred change de position.
A quatre pattes, en levrette, Fred revient se frayer un chemin dans une Marilou qui écarte elle-même sa vulve et ses lèvres pour mieux accueillir son amant.
La nouvelle pénétration est moins douloureuse et rapidement le plaisir la gagne. Elle en accélère la montée en frottant doucement son clitoris, qui n’a pas débandé depuis le début de la montée des escaliers et lâche dans un long feulement de plaisir de longs jets de cyprine qui viennent lubrifier son sexe et permettent à Fred de la fouiller encore plus loin avec son membre, avant qu’il n’explose dans le fond de son sexe.
Restant un instant immobiles, les deux amants tentent de reprendre leur souffle après une étreinte courte, rapide mais si intense.
Après quelques contractions musculaires, Marilou expulse Fred de son sexe. Cette sortie la met à nouveau à la limite de l’orgasme tant ses chairs intimes sont gonflées, excitées et sensibles. Elle a l’impression que ses lèvres ont triplé de volume et que les parois de son sexe se touchent…
Rapidement, les deux amants se rhabillent et sortent pour rejoindre le groupe de retraités.
Marilou, Fred à ses côtés, se dirige d’un pas rapide vers l’ascenseur Sud et tout en marchant, elle sent ses lèvres qui frottent l’une contre l’autre, tandis que chaque secousse engendrée par ses pas, se répercute au sein de son ventre, lançant de longues ondes d’un plaisir diffus.
Se penchant à l’oreille de Fred, elle lui fait part de cette étrange sensation, comme si elle avait des boules de Geisha, mais virtuelles, encore profondément enfoncées dans son sexe.
Mais déjà le groupe de retraités les entoure.