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n° 08306Fiche technique15465 caractères15465
Temps de lecture estimé : 10 mn
16/12/04
Résumé:  Une collègue se révèle être plus qu'allumeuse
Critères:  fh collègues ascenseur travail voir exhib lingerie facial fellation pénétratio jeu
Auteur : Gus
Ma collègue du bureau d'en face


Auteur : Gus




Journée de merde au bureau. 10h00, pause, direction la machine à café.

10h15, retour vers le bureau, petit détour par la case WC.

Un coup d’œil dans la glace … hum, quel beau gosse quand même !

Je sors la bête et…

Bruit de poignée… machinalement, je tourne vers la porte et … Horreur ! Elle est grande ouverte ! Quel con ! J’ai oublié de fermer la serrure !

Carole, ma collègue du bureau d’en face, la poignée dans la main, me regarde d’un air surpris, bouchée bée.

Deux secondes de vide, de gêne, de honte, pas le temps de réagir ; elle referme la porte, et je l’entends pouffer discrètement en s’éloignant.


Vite ! Je ferme le loquet, et enfin je vais pisser tranquille.

Pendant que j’urine, des idées cochonnes mes viennent à l’esprit. Je m’imagine découvrant Carole dans une position inconfortable (situation inverse quoi)

Hop, je remets mes idées en place. Un tour sous le lavabo, et je retourne bosser. Je rase les murs, évite de regarder dans le bureau de Carole, et je fais profil bas en entrant dans mon bureau, la queue entre les jambes (si on peut dire !).


J’ai quand même du mal à reprendre correctement mon boulot ! Les idées cochonnes avec Caroles flashent de temps en temps, et une légère gaule pointe parfois dans mon pantalon.


12h00. Pause déjeuner. Enfin !

Direction l’ascenseur. J’appuie sur le -1. Les portes commencent à se refermer, mais j’entends une voix qui m’interpelle : je bloque les portes, et Carole entre en souriant.

Je ne dis rien, je dois être rouge, je regarde mes pieds.



Et ça y est ! Rien qu’avec une discussion comme ça, je sens ma queue qui recommence à se raidir. Je ne sais plus où me mettre.


On arrive ou sous-sol. L’ascenseur s’arrête. Carole s’approche de moi, pose sa main sur mon pantalon, et prend le paquet en main. Je suis complètement paralysé !

Et pendant que les portes s’ouvrent et qu’elle sort de l’ascenseur, elle me lance un "j’avais raison !" sans que j’ai le temps de comprendre ce qui s’est passé.


Les portes se referment, je suis comme un con dans l’ascenseur. Vite ! Appuyer sur le bouton avant que je ne reparte dans les étages.


Je déambule comme un zombi dans les couloirs jusqu’à la salle du personnel. Carole, elle, a du prendre sa voiture, comme toujours.

L’ambiance et les bonnes odeurs de petits plats des autres collègues me font vite revenir sur terre. Et c’est bien trop rapidement que l’heure de retourner bosser me rappelle à l’ordre.




Après midi standard. Je repense parfois à l’épisode de ce matin. C’est fou ce qu’une situation à la con peut nous exciter, nous, les mecs !

Quelques papiers à apporter dans d’autres bureaux, et en revenant, j’ose enfin jeter un œil dans le bureau de Carole. Elle a prit une chaise pour atteindre le dessus d’une armoire. Dans ma précipitation ce matin, je n’avais même pas remarqué sa minijupe ! Machinalement, je me penche un peu pour mater… Un joli petit cul s’offre à moi, dans un string rouge bordeaux du plus bel effet. Ça me suffit, je m’éclipse sans bruit.


17h45. Bientôt la fin de la journée. Mais manque de bol, comme à chaque fois, le boss arrive dans le bureau. Tape la causette, et fini par me donner un dossier, qui forcément devait être terminé pour hier ! Sauf que là il le veut demain matin à 8h00 ! Pas de doute, il va falloir que je reste bosser tard ce soir ! Merde.

Enfin, merde, pas tant que ça ! Il m’adjoint Carole pour m’aider à accomplir la tâche. Jolie consolation.


Bon, Carole tape plus vite que moi sur un clavier, c’est donc elle qui rédige. Je suis assis à côté d’elle, et bien que mes idées vagabondent gentiment, je reste sérieux : faut finir à tout prix !

Nous partageons les idées, échangeons quelques points de vue sur le dossier en question, en mine de rien, je lui glisse quelques allusions dans la conversation.



Elle ne semble pas comprendre



Là elle comprend, et se met un peu à rougir, en esquivant le sujet. Mais bon, rien que de repenser à ces images, ma bite durcit lentement mais sûrement. Et visiblement, ça n’échappe pas à Carole qui regarde régulièrement en direction de ma braguette.


Rapport terminé : plus qu’à relier. Oui mais… pour une fois, c’est un "petit" rapport, et il nous faut donc une toute petite baguette de plastique. Et forcément, comme on les utilise pas souvent, elles sont au-dessus de l’armoire de Carole (comme par hasard tiens !)


Une chaise, et me voilà en train de chercher. Mais je ne trouve pas. Et Carole qui me soutient les avoir vues l’après midi !

Elle prend ma place sur la chaise, et cette fois-ci, vu que je suis juste à côté, je soulève légèrement sa jupe pour tenter d’en voir un peu plus, pendant qu’elle cherche.



Bon, direction la machine à relier.

Pendant que je mets les feuilles en place, elle s’est installée sur le coin du bureau, la minijupe un peu remontée, et ce coup-ci, m’offre gratuitement une jolie vue sur la fine dentelle qui orne le devant de son string. L’effet ne se fait pas attendre, et mes gestes se font moins précis sur la machine, ce qui visiblement, amuse joyeusement Carole.


Retour devant l’ordi. Retour au sérieux. Carole rédige un petit mail au boss pour lui dire que tout est OK, bla bla bla habituel quoi.



Je la regarde l’air bête



Bon, là faut dire que je suis con sur le coup. J’ai vraiment pris tout ça au sérieux. Me voilà déjà assis à sa place, de plus en plus d’idées d’explication en tête, me faisant oublier tout le reste.


Alors je commence à lui explique le but, elle me regarde en faisant des sourires sans vraiment prêter attention à ce que je lui dis. Et moi comme un con, je ne vois pas du tout son petit jeu et persiste dans mes explications foireuses.

Elle m’interrompt.



J’ai à peine le temps de finir ma phrase, pas le temps de commencer un geste, qu’elle est venue s’asseoir en travers sur moi.


Là je tilte enfin ! OK, jouons le jeu alors !

Je reprends faussement mes explications, mais je parle beaucoup moins. J’ai les yeux rivés dans son décolleté. Visiblement, la lingerie, c’est son truc : le haut est bien assorti avec le bas.

Mine de rien, elle fait de subtils mouvements de bassins, histoire de bien se caler sur ma queue pour la sentir grossir. Et ça marche, je ne tarde pas à bander.

Je laisse une main aller sur sa cuisse. Elle laisse la sienne traîner entre ses jambes, qu’elle écarte un tout petit peu, afin de toucher mon sexe.

Cette fois, c’est sûr, va y avoir de la baise dans le bureau !


Et vas-y que je clique à droite, et à gauche, innocemment. Et beaucoup moins innocemment, ma main gauche fait remonter sa minijupe pour se poser sur sa hanche, pendant que Carole masse ma queue de plus en plus explicitement. L’ambiance devient chaude. Je lâche la souris et mes explications pour mettre ma main droite sur son autre jambe. Carole se tourne vers moi, me sourit en écartant les cuisses, et m’embrasse à pleine bouche en m’enlaçant


Je laisse mes mains remonter vagabonder : une sur son cul, l’autre sur son string.

Hum, on dirait qu’elle mouille déjà beaucoup cette garce !


Elle se relève, et s’assoit sur le bureau. Relève sa jupe. Cette fois-ci, je peux admirer ses superbes cuisses magnifiquement rehaussées par la dentelle rouge de son string. String qu’elle ne tarde d’ailleurs pas à enlever, en me faisant signe de venir m’occuper d’elle.

Sa chatte est bien rasée, brillante de mouille. Un véritable appel au viol !


Sans plus attendre, je m’empresse de venir coller ma bouche pour goûter à son nectar. Que c’est bon de brouter ce joli petit minou qui n’attendait que ça !

Je passe sur son clitoris, elle ondule de plaisir, je reviens fourrer ma langue entre ses lèvres, elle gémit. Elle est chaude comme la braise. Je joins un doigt a mes caresses buccales : le premier contact des chairs laisse se décharger l’adrénaline. Lentement, je m’introduis en elle. Et une fois bien au fond, je m’active alors sans retenue. Elle a l’air d’apprécier ; je n’attendais que cette réaction pour lui mettre un 2e doigt, qu’elle accepte sans problème. Sa chatte humide ne cesse de s’ouvrir, elle réclame un bon coup de bite !

Ma bite d’ailleurs, est très à l’étroit dans mon slip.


Je baisse mon pantalon, Carole se met à genoux et descend mon slip, et c’est avec des yeux pleins de gourmandise qu’elle avale mon manche sans crier gare.

Alors non seulement elle a un joli cul, mais en plus elle suce divinement !

Le gland, c’est son rayon ! Elle sait l’exciter juste ce qu’il faut avec la langue, et manie admirablement bien ses lèvres et ses mains.

Je bandais déjà bien dur, mais avec la pipe qu’elle est en train de me faire, je dois ressembler de plus en plus à un taureau. Je sens ma queue tressaillir à chacun de ses coups de langue.


Me jugeant assez en forme, sa voix brise le silence qui s’était installé depuis quelques minutes.



Elle s’allonge sur le bureau, ouvre les jambes et écarte ses grandes lèvres de ses doigts de fée.

Ni une ni deux, je pose mon gland sur l’entrée de son antre. Elle ouvre la bouche et s’apprête à recevoir. Je pousse doucement, ma grosse bite fore l’entrée de son vagin, et je commence de longue allées et venues en elle.

Je la tiens par les jambes. À chaque coup de reins, tout son corps est secoué sur le bureau qui grince. Carole gémit en régulièrement avec le bureau.


Je pose ma main sur sa toison. Elle grogne de plaisir. Je pose mon pouce sur son clito. Elle exulte. Pendant que je la saute sauvagement, je lui titille le clito et lui pelote un sein à travers le chemisier et le soutien-gorge, qu’elle n’a pas enlevés.


Et c’est dans un râle de plaisir que son corps se contorsionne, traversé par un orgasme comme je n’en avais jamais vu. Elle repousse ma main. Son clito doit être devenu douloureux.

Je la saute toujours, un peu moins rapidement. Elle me demande de m’arrêter.


D’un coup sec, je m’enfonce bien au fond d’elle et stoppe mon mouvement. Ma bite bien plantée semble parachever son orgasme. Ses bras et ses jambes ballants laissent deviner ce qu’elle vient de subir.


Doucement, je tente de reprendre mes va-et-vient en elle, mais elle me supplie de m’arrêter. Sa chatte n’en peut plus !

Je me retire doucement, la bite au garde à vous. Carole se rassoit sur le bureau, respire un bon coup. Reprend le sens des réalités.



Sur ce, elle joint le geste à la parole, et reprend en bouche mon vît tendu par le désir.

Assise sur le bureau, elle me pompe le gland avec plus de douceur et délicatesse qu’au début, faisant ainsi durer le plaisir.

Ma queue disparaît et réapparaît régulièrement entre ses lèvres, puis elle stoppe son mouvement pour me branler en gardant en bouche mon gland qu’elle titille de sa langue agile.



Elle alterne ses savantes caresses et, petit à petit, je sens mon orgasme arriver rapidement d’un instant à l’autre.



Je la regarde. C’est yeux me fixent intensément. Elle continue de me sucer la bite avec application. Ça y est, je vais jouir.

Elle sent mon sexe se raidir à la base, et immédiatement, ouvre sa bouche, prête à recevoir mon sperme. La salope va m’avaler tout cru ! J’aurais jamais pensé qu’elle en était capable !


Elle est là, offerte. Je me lâche sans retenue et lui envoi toute la sauce. Elle en reçoit partout. De longs jets s’écrasent sur son visage, ses mains, sa langue, ses lèvres. Elle continue à me stimuler du bout de la langue, j’ai l’impression que mon éjaculation n’en fini pas !


Une dernière goutte perle au bout, elle enroule sa langue sur mon gland, la récupère et s’en délecte. Puis éclate de rire, sûrement en imaginant l’état dans lequel elle est.

Heureusement que les bureaux sont vides, parce qu’avec ce qu’elle a sur les cheveux, elle ne passerait pas inaperçue !


Elle se relève. Je l’embrasse.



Je lui ai tendu un mouchoir, pour qu’elle enlève le plus gros. Puis pendant qu’elle était aux toilettes, j’ai éteint l’ordi et déposé le rapport sur le bureau du Chef.


L’ascenseur nous attendait. Nous y avons pénétré (si on peut dire).



Seules nos deux voitures étaient encore dans le parking. Nous nous sommes dit "à demain", et j’ai juste eu le temps d’entendre un "on remet ça quand tu veux" avant que nos portières claquent.


Je n’ai pas vraiment beaucoup dormi cette nuit-là.