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n° 08309Fiche technique29600 caractères29600
Temps de lecture estimé : 18 mn
17/12/04
Résumé:  Ma petite cousine me réserve bien des surprises
Critères:  f ff ffh cousins nympho grosseins caférestau vidéox fellation cunnilingu fgode init
Auteur : Bacchus 67      Envoi mini-message
Douce Barbara


Bon, je me lance… J’ai passé trop d’heures à lire les histoires des autres, une main sur la souris et l’autre sur mon sexe…


Si les récits que j’ai pu lire, et qui m’excitent, semblent souvent tirés d’imaginations débordantes ou de fantasmes inassouvis, je vous promets que mon histoire est vraie, elle m’est arrivée, il y a quelques années, j’en ai juste changé les prénoms (vous comprendrez pourquoi).


Cette histoire se passe il y a 5 ans, j’ai alors 32 ans. J’ai une petite cousine qui, à l’époque, a 18 ans. Depuis plusieurs années je la « chaperonne » un peu, son père (mon oncle) me fait confiance et elle m’accompagne dans toutes mes sorties. Il faut préciser que cela n’est pas une corvée pour moi, au contraire… Elle est vive, drôle, un brin loufoque, elle prend des cours de comédie et désire devenir actrice. Elle me fait rire et anime bien mes sorties.

Elle a surtout un physique qui ne laisse personne indifférent : 1m80, brune, avec des cheveux bouclés lui tombant en cascade dans le dos. Une petite frimousse mutine, une silhouette altière, un cul à faire se damner un saint, et des seins… superbes et généreux (95D) qu’elle n’hésite pas à mettre en valeur et dont elle joue énormément pour aguicher. Elle est toujours dans un jeu de séduction (déformation de ses cours de théâtre ?) et allume tout ce qui bouge. J’ajoute qu’avec un peu de bonne musique, sur une piste de danse ou une table de restaurant, elle frôle l’hystérie érotique. Quiconque l’a vue danser s’en souvient à jamais…

C’est une jeune fille libérée, moderne, active, et si je dis que la « chaperonner » n’est pas une corvée, c’est qu’avec ses excentricités, elle m’a rabattu un nombre incalculable de jolies filles qui ont fini dans mon lit. - Je ne sais pas si vous avez remarqué comme le fait d’arriver dans une soirée avec une « belle nana » aiguise la curiosité des autres filles et finit même par les exciter au point de les amener à vouloir vous voler à la «belle nana» (c’est une technique comme une autre).


Mais ma cousine Barbara (c’est son prénom) a un secret.

Un grand secret.

Barbara cache derrière son exubérance une virginité intacte. Elle me raconte tout de sa vie, de ces flirts ratés, des garçons de son âge qui ne savent la regarder que dans les seins et jamais dans les yeux… Elle m’a avoué avoir « un peu joué » avec certains d’entre eux, mais elle veut réserver son « grand soir » à quelqu’un de plus mûr qui sache lui apprendre, la conduire et lui montrer, quelqu’un qui la respectera et la guidera en douceur. La majeure partie de ses amies ne sont plus vierges depuis longtemps, mais elle ne les envie pas. Leurs aventures avec des boutonneux de leur âge ont été des catastrophes pathétiques.


Vous trouvez Barbara « fleur bleue » ? Elle ne l’est pas. On en a parlé souvent ensemble. Elle connaît tout des choses du sexe, mais elle ne les connaît qu’en théorie. Elle les connaît par les récits de ses copines ou de leurs grandes sœurs, par quelques images volées tard la nuit sur une chaîne cryptée, et par ses lectures… Barbara raffole de littérature érotique qu’elle trouve abondamment dans la bibliothèque de son cours de théâtre. En fait, Barbara veut du « bon » et tout de suite. Elle a idéalisé son premier acte et ne veut pas être déçue.


Barbara dormait souvent chez moi après nos soirées, si j’en étais sorti célibataire, bien sûr.


Un soir, vers 4 heures du matin, je rentrais en sa compagnie à mon appartement. J’étais passablement fâché, j’avais dragué une jolie blonde pendant quelques heures, et ce soir-là Barbara, qui d’habitude m’aidait dans mes approches, s’était montrée insupportable et avait tout fait foirer. Je lui en parlais clairement, et, à ma grande surprise, elle me déclara que c’était intentionnel. Elle se lança dans une grande tirade, m’expliquant qu’elle avait décidé que ce serait moi son premier amant, qu’elle avait bien réfléchi à la question, qu’elle ne voyait personne dans mes amis, ni dans son entourage, qui puisse mieux faire « l’affaire » que moi. J’en étais stupéfait. J’ai passé le reste de la nuit à lui parler, dans mon salon, et à tenter de lui expliquer que cela n’était pas possible, que j’étais son cousin, que cela ne se faisait pas, que je tenais à honorer la confiance que m’avait donnée son père, que… Oui, je la trouvais jolie, excitante même, bandante d’accord… mais que… Non, il ne se passerait jamais rien entre elle et moi. Cette discussion de parlementaires n’était pas simple. Mon argumentation ne pouvait être que rhétorique. Elle contre-attaquait de toutes ses armes : elle s’était changée en face de moi, exécutant un strip-tease digne d’une professionnelle. Elle ne portait plus qu’un T-shirt qu’elle m’avait emprunté, sous lequel je pouvais voir pointer ses gros seins. Le T-shirt lui couvrait à peine les fesses. Elle s’était affalée dans un fauteuil en face de moi, m’avait fait des jeux de croisements de jambes rendant ridicule Sharon Stone…bref, elle a tout essayé.

Malgré une érection très humaine, j’ai tenu bon. J’en étais fier. Nous sommes allés nous coucher chacun de notre côté vers 7 heures du matin. Elle quitta mon appartement, boudeuse, en début d’après-midi.


Pendant quelques semaines, elle ne me donna plus de nouvelles et resta sourde à mes appels.


Et puis un vendredi soir, j’étais dans un restaurant avec un couple d’amis, mon portable sonna : c’était Barbara.



Et elle raccrocha.


Une heure et demie plus tard, le restaurant tout entier s’arrêta de respirer en regardant rentrer 2 bombes anatomiques.


Les 2 filles avaient pris le temps de passer se changer chez l’amie de Barbara. Elles étaient…divines. Certains esprits étriqués en auraient trouvé suffisamment d’arguments pour porter plainte pour attentat à la pudeur.


Barbara, impressionnante, perchée sur des talons d’une dizaine de centimètres (culminant donc à 1m90…), était moulée dans une jupe courte en stretch noir, ses longues jambes voilées de nylon noir. Elle portait en haut une veste cintrée, de velours rouge, sous laquelle son imposante poitrine était moulée dans un body en résille transparente. L’unique bouton de sa veste résistait de son mieux pour ne pas céder sous la pression.

Son amie, plus petite, était aussi blonde que Barbara était brune. Un charmant visage d’ange (trop maquillée pour un ange), encadré par des cheveux raides coupés au carré. Elle était vêtue d’un petit top blanc à manches longues, s’arrêtant au-dessus du nombril, et moulant des petits seins apparemment libres de tout soutien-gorge. Elle avait choisi une minijupe façon kilt. Elle aussi, les jambes gainées de noir, était perchée sur de hauts talons. Elles s’approchèrent de notre table, passant devant la rangée des serveurs bavant.



Petites bises, présentation du couple d’amis avec qui je dînais sagement.



Barbara s’assied en face de moi, sur la banquette. Clémentine, à côté de moi sur la chaise.



Clémentine, à côté de moi, a croisé les jambes. Son mini-kilt est remonté, j’aperçois une lisière de dentelle… Ce détail n’échappe pas au serveur qui arrive avec les cartes.


Les 2 filles se commandent des coupes glacées. Elles sont déchaînées. C’est un flagrant concours à celle qui prendra l’air la plus cochonne pour manger sa glace. Tout y passe, de la dégustation des « cigarettes russes » façon fellation, au léchage suggestif de chaque cuiller, je ne sais plus où me mettre. D’autant que la fiancée de mon ami a l’air d’être très gênée. Le couple décide d’ailleurs de nous quitter. Nous nous saluons, mon ami me quittant en me faisant un clin d’œil, pas très discret, pour me souhaiter une bonne soirée…


Je me retrouve donc seul, avec les 2 furies.



Les filles finissent leur dessert plus calmement, j’en ai profité pour me prendre un digestif. Les filles m’ont fait recommander du vin et se vident aisément la bouteille toutes les 2. Elles m’avouent pourtant que, le temps de se changer, elles ont pris quelques apéros.


Nous quittons le restaurant sous le regard gourmand de l’assistance, et nous nous rendons au club. Dans la rue du club, la brune et la blonde exagèrent leurs démarches, nous ne passons pas inaperçus. Ça m’amuse.


Nous rentrons dans le club, et là, Clémentine rate une marche et se tord violemment la cheville (sans doute pas l’habitude des talons hauts…). Elle a l’air de souffrir. Je la fais s’asseoir dans un fauteuil, et me mettant à genoux devant elle, j’entreprends de lui masser la cheville. La coquine en profite pour écarter les jambes, je me retrouve face à un adorable petit string en dentelle noire. Difficile de me concentrer sur mon massage… Je ne suis pas kiné, mais mes manipulations ont l’air de la soulager.

Malgré cela, quand elle essaie de se remettre debout, elle boîte encore douloureusement. Une petite discussion s’ensuit, la soirée a l’air compromise. Nous décidons de rentrer chez moi.


Dans la voiture, Clémentine monte à l’avant, là c’est toute la dentelle de ses Dim-up que je peux voir. Un coup d’œil dans mon rétroviseur sur Barbara, à l’arrière. Elle a défait le bouton de sa veste, elle est nue sous la résille de son body, J’aperçois ses gros seins arrogants. Ces 2 filles (même si l’une d’entre elles est ma cousine) me filent une érection magistrale.


Nous arrivons chez moi, et je suis en train de me demander ce que je vais en faire… Je ne peux décemment pas me taper Clémentine qui a l’air chaude comme la braise et laisser Barbara, seule dans la chambre d’à côté… Mille questions trottent dans ma tête. Que voulait-elle dire avec « il faut que je me fasse pardonner… » ? Je me méfie de ses manigances…


Barbara doit lire dans mes pensées.



Barbara prend possession de l’appartement, comme s’il s’agissait du sien, on installe Clémentine et sa cheville douloureuse dans un fauteuil, Barbara fouille dans l’armoire contenant mes vidéos et je pars en cuisine nous chercher quelque chose à boire.


J’entends Barbara :



Cette fille me scotche…


Je rejoins la brune et la blonde dans le salon. Barbara a fait son choix sur une niaiserie américaine, et revient avec la cassette. Clémentine l’interrompt :



Barbara se jette sur la télécommande et se lance dans un zapping effréné de toutes les chaînes. Et … elle trouve…


En chœur, les 2 filles : « Ah ben voilà !! Chouette»


Je ne sais plus quoi faire. Je ne me suis jamais senti aussi idiot qu’à ce moment-là.

Je m’installe dans un fauteuil, Barbara se vautre dans le canapé. Je prends l’air le plus décontracté du monde et leur sers les verres.


À l’écran, une fille prend une douche, elle se savonne consciencieusement les seins… le ventre… cela se termine inévitablement par une masturbation débridée. La fille a une jambe relevée sur le bord de la baignoire, les gros plans nous montrent ses doigts qui la pénètrent, elle se frotte le clitoris, se titille l’anus, s’y insère carrément un doigt. Nombreux plans serrés sur ses gros seins, sur son bouton turgescent. Elle passe sa langue sur ses lèvres… Je ne sais pas combien de temps durent ces scènes. Je suis captivé par ces images…


Je reviens à la réalité pour voir ma cousine qui, sur le canapé a retiré sa veste ; ses seins, plus beaux que ceux de l’actrice à l’écran, semblent vouloir déchirer la résille de son body. Elle a surtout remonté sa jupe stretch qui ne lui fait plus qu’une ceinture, elle porte également des Dim-up et elle se touche par-dessus son Tanga, les jambes écartées, sans aucune pudeur. Ses yeux sont révulsés, magnétisés par la télévision. Clémentine, son amie, est encore plus indécente. Elle a relevé son top au-dessus ses petits seins, elle s’en caresse un. Elle a passé ses deux jambes par-dessus les accoudoirs. Son kilt remonté, le string a disparu, elle est béante, exposée, elle a déjà 2 doigts bien enfoncés dans la chatte, elle remue son bassin d’avant en arrière.


Je ne sais plus quoi faire… Le film m’avait déjà donné une belle érection, mais là… Je crois que ma bite va exploser…


La fille à l’écran, sous la douche, est maintenant en train de se goder avec un flacon de shampoing. Le flacon disparaît presque totalement, elle a 2 doigts plantés dans l’anus et ses gémissements se transforment en cris… Le son est plus qu’en stéréo… Les gémissements viennent aussi de la pièce… Barbara est maintenant presque nue, son body et son Tanga jonchent le sol. Les doigts dans sa toison fournie de brune, elle se masturbe énergiquement, mais elle ne regarde plus l’écran, elle me regarde…moi. Les yeux dans les yeux. Que faire ???


Clémentine me sort de l’embarras, elle m’a pris la main, et me susurre « viens me lécher… »


Je ne peux refuser une si jolie invitation… Je me jette, comme un mort de faim, à genoux devant son fauteuil. À peine le temps de prendre une respiration, elle m’a agrippé par les cheveux et plaque mon visage à son sexe luisant. Elle est presque intégralement épilée, elle n’a gardé qu’une petite zone de poils en « ticket de métro » au-dessus de ses lèvres. Ses lèvres, je les goûte, les contourne, les lèche, les suce, les mordille. Je m’intéresse à son petit clitoris écarlate, sorti de sa gaine… elle a l’air très sensible là… elle m’arrache presque les cheveux… elle gémit, prononce des onomatopées incompréhensibles…


Je sens une présence, Barbara est debout à côté de moi, elle a les jambes écartées, un pied sur la table du salon… elle se caresse toujours, elle s’est déplacée pour ne pas perdre une miette du traitement que « j’inflige » à son amie.


Clémentine mouille comme une fontaine, elle remue son bassin de plus en plus fort. Je lui rentre un doigt, puis 2, la fouille dans tous les sens, elle se tend, des spasmes la prennent, elle se raidit et s’effondre dans le canapé dans un orgasme bruyant. Mes doigts, encore en elle, sentent, encore un moment, les contractions de son vagin.


J’entends alors Barbara dire : « A mon tour… » et elle se jette sur le canapé, les jambes en compas bien ouvert…


Je ne peux pas aller lécher ma propre cousine… Clémentine, encore, me sauve, elle se lève (sa cheville a l’air d’aller mieux…), me regarde dans les yeux et me dit : « Désape-toi et branle-toi un peu, je m’en occupe ! ». Sa phrase à peine terminée, elle se jette sur le sexe poilu de son amie.

Barbara n’a pas l’air surprise. Elle accueille cette langue féminine avec plaisir. Je regarde la scène avec gourmandise et étonnement. Ma cousine en train de se faire gouiner sous mes yeux… Elle a l’air d’aimer ça… ses halètements sont forts, elle me fixe, ses yeux sont vitreux de bonheur, ses joues toutes roses. Moi j’ai obéi, je me suis déshabillé, ma bite à l’air, prête à exploser, je me branle en regardant le spectacle. Clémentine aussi se branle, elle a passé une main entre ses cuisses et je peux la voir s’activer sous son mini-kilt. Barbara ne tarde pas à jouir, elle est en sueur, les cheveux collés, les jambes tremblantes, elle rayonne.


Clémentine se lève, et me lance : « J’ai compris que tu ne voulais pas la toucher, mais fais-moi plaisir, éjacule sur elle. J’aimerais qu’elle connaisse l’odeur, la consistance et le goût du sperme. Tu peux au moins faire ça, non ? ». Cet ange est un démon…

Elle m’attrape par la queue, me branle doucement mais fermement quelques instants, je ne tiens bientôt plus et décharge mon foutre sur les gros seins de ma cousine. Clémentine me regarde, me sourit et me chuchote : « merci, pour elle… ». Elle s’installe ensuite à genoux sur le canapé, à côté de son amie. Je la regarde lécher ma semence sur l’un des seins. Barbara, fascinée, découvre le goût de l’homme en se suçant l’autre.


Je me suis assis pour souffler un peu, j’observe les filles se nettoyer méticuleusement, Clémentine remonte avec sa langue dans le cou de son amie, Cela se termine par un roulage de pelle en règle, je peux voir des filets de sperme, de mouille et de salive mêlés s’étirer entre leur bouche. Ce spectacle me redonne une trique d’enfer.


Clémentine se retourne et me voyant : « Oh, mais le cousin a retrouvé la forme, on dirait… ». Elle se lève, se débarrasse de ses derniers vêtements ne gardant juste que ses bas, va farfouiller dans son sac à main, puis vient s’asseoir au-dessus de moi. Elle empoigne ma bite et commence à se caresser avec. Elle fait passer et repasser doucement mon gland entre ses lèvres, remonte jusqu’au clitoris puis redescend. Le mouvement est lancinant. Elle se débrouille tout de seule… j’ai l’impression d’être un jouet. Elle finit par venir s’empaler sur mon sexe. Elle est trempée, mais très étroite. Il nous faut quelques va-et-vient pour que son fourreau s’adapte. Elle commence à coulisser en douceur, montant et descendant lentement.

Puis se retournant, elle lance à ma cousine : « J’ai peur que tu n’aies pas le droit à ça, ma chérie… Cherche dans mon sac, tu trouveras une surprise pour te soulager».

Moi, une main lui pelotant les seins, l’autre sous la cuisse l’assistant dans son délicieux mouvement de piston, j’hallucine complètement de la situation.

Quelques instants plus tard, Clémentine, sur moi, a accéléré les mouvements, elle est hystérique sur ma queue. En face de moi, je peux voir Barbara nous épiant. À quatre pattes sur le canapé, les seins ballottant, elle manipule la «surprise» : un vibromasseur lui ronronne entre les cuisses. Sur ma droite, la télé diffuse toujours le film… dont tout le monde se fout maintenant complètement.


Je ne sais pas qui fait le plus de bruit. Clémentine finit par exploser dans un orgasme fulgurant. Elle s’effondre en sueur sur moi. Elle me mordille l’oreille. Barbara et son vibro se sont apparemment bien débrouillés ; dans un râle final, elle s’écroule dans les coussins du canapé.


Nous restons quelques minutes sans bouger, récupérant de nos émotions. Clémentine, la première, sort de notre torpeur. Se dégageant de mon sexe inassouvi de ce coït, elle vient se placer à genoux devant moi.

S’adressant à son amie :



Mon obéissante cousine se lève d’un bond et vient se positionner à côté d’elle. Je n’ai apparemment pas mon mot à dire. Toute envie de protester a, quoi qu’il en soit, instantanément disparu dès que la langue de Clémentine s’est posée sur ma tige. Sous l’œil attentif de Barbara, une leçon de pipe a débuté. Je dois reconnaître que cette satanée blonde mérite son diplôme de prof… Elle passe en revue, en les commentant, toutes les techniques d’une bonne fellation. Elle me masse les couilles, les gobe me regardant dans les yeux, remonte la langue à plat le long de ma hampe, me lèche le gland, l’embouche… Elle suce, souffle… Elle engouffre ma bite au plus profond. J’ai l’impression qu’elle me masse avec sa gorge. Sa main me branle dans le même temps, elle revient sur mes couilles. Elle me titille d’un doigt l’anus, me caresse l’intérieur des cuisses… et recommence…


Ma cousine, très concentrée, n’en perd pas une miette.

Je ne tarde pas à perdre pied, ma suceuse le sent, elle accélère ses mouvements, me maintient fermement entre ses lèvres. Elle le veut, elle va l’avoir… je lui décharge bientôt dans la bouche.

Elle me garde en bouche encore. Passant son pouce de haut en bas, le long de ma tige, elle peaufine mon dégorgement.


La bouche pleine, elle s’adresse à son amie :



… et je vois les 2 filles se roulant une pelle, crémeuse de ma semence.


Clémentine se relève et, prenant le ton sévère qui colle à son nouveau statut d’institutrice, déclare :



Petit signe approbateur de la tête de Barbara.


Continuant sur le même ton :



Je crois que c’est la première fois, ce soir, que l’on me demande mon avis sur quoi que ce soit. Même si je sais déjà que ma réponse importera peu. Je précise tout de même :



Dans la salle de bain, Clémentine a fait asseoir, son amie (son élève) sur le bord de la baignoire. Barbara s’est débarrassée de sa jupe tirebouchonnée autour de la taille ainsi que de ses bas. Elle est nue comme un ver. Clémentine a l’air perplexe devant mon attirail rétro de rasage. Si le rasoir est classique, la technique du blaireau ne lui semble pas familière. Je me charge donc de lui préparer une belle mousse épaisse. Je lui tends le blaireau et elle commence à en recouvrir le pubis de ma cousine. Celle-ci frémit à chaque passage du pinceau. Ses lèvres sont encore sensibles de ses émotions passées.

Quand Clémentine se saisit du rasoir, Barbara réagit :



La blonde, à genoux sur le sol, s’applique à raser son amie. J’observe la scène avec attention. Le pubis se découvre peu à peu. Il ne reste plus bientôt qu’une très fine petite bande de poils encore pleine de mousse. J’ai l’impression qu’elle est encore plus étroite que celle de sa « barbière ». Et là, d’un seul geste rapide, Clémentine passe la lame sur le « ticket de métro », laissant ma cousine imberbe.

Réaction instantanée de Barbara :



Nous abandonnons Barbara dans la salle de bain et retournons vers le salon. Être nue ne semble pas la gêner, elle déambule, uniquement vêtue de ses bas et de ses boucles d’oreille, avec la même décontraction et la même fierté que si elle avait été dans la plus belle des robes de soirée. On s’assied dans le canapé, je lui fais constater :



J’aurais dû m’en douter, je suis presque sur le point de me mettre en colère, mais sa main, qui a entrepris une douce malaxation de mon sexe… calme ma rage.


Barbara fait son entrée dans le salon. Elle est écarlate, gênée, de ses 2 mains elle cache son sexe glabre.



J’enchaîne :



Barbara reste muette. Elle vient de comprendre que je sais tout.



Clémentine est interrompue par la sonnerie de mon portable.



Aux filles :



Clémentine :



Sans attendre la réponse de ma cousine (j’ai compris que les évènements lui avaient échappé depuis un moment) je réponds à Anne :



Clémentine est déjà debout, elle prend une nouvelle fois le commandement, et donne ses instructions pour le départ.


La nuit n’était pas terminée…


A suivre… si cette histoire vous a plu.