Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 08338Fiche technique19172 caractères19172
Temps de lecture estimé : 12 mn
22/12/04
Résumé:  Julia a 20 ans. elle profite de son anniversaire pour se déclarer à un homme marié et l'attirer vers elle. Mais l'homme est une proie facile...
Critères:  fh hplusag jeunes extracon anniversai voiture fellation cunnilingu 69 pénétratio fsodo
Auteur : Marc  (Homme 31 ans)
Joyeux anniversaire


Cette histoire s’est déroulée lors de la soirée d’anniversaire de Julia, la fille de nos amis.

Elle avait 20 ans et c’était une très très jolie jeune fille. Elle était plutôt petite, mais beaucoup de charme, un regard sublime et une petite fossette au menton qui lui donnait un petit air canaille. Bref, très bien.


Nous étions donc invités, ma femme et moi à cet anniversaire. La chose en elle-même était déjà un peu étonnante puisque nous étions amis avec ses parents, pas avec elle. Mais en arrivant nous avons constaté que les invités avaient des âges entre 18 et 45 ans. Donc, on n’était pas dépaysé.


Nous sommes accueillis par Julia, très en beauté ce soir (encore plus que d’habitude !). Nous lui remettons son cadeau, elle nous remercie par une deuxième bise (décidément la soirée est agréable !) Et nous passons une bonne partie de la soirée à manger, boire, rire et danser. À un moment donné, Julia vient vers moi et me dit :



Elle part puis revient quelques instants plus tard alors que la musique est en train de changer et passe de la dance aux … slows.



Elle me dit alors plus bas en approchant sa bouche de mon oreille



Je la regarde, étonné de sa remarque. Je m’attends à ce qu’elle dise qu’elle plaisante, mais au lieu de ça, elle m’attire dans un coin reculé de la salle et se colle contre moi pour danser le slow.

Je reste un instant interloqué, puis décide de profiter de la danse avec elle. Après tout, c’est toujours agréable de danser avec une jolie fille !!! Surtout quand elle vous plait !!!

Au bout de quelques tours elle redresse la tête de sur ma poitrine et me dit :



Je me redresse, un peu surpris, elle ose à peine me regarder et malgré la pénombre, je vois qu’elle a rougi. Je décide de faire bonne figure et lui dis :



Elle me regarde, interloquée, ne sachant pas si je suis sérieux ou si je déconne.



On rit tous les deux puis elle reprend, sérieuse :



Les slows s’achèvent, nous nous séparons en nous caressant la main et en nous regardant droit dans les yeux. Je me rapproche de Sophie qui dit :



De toute évidence, elle ne se doute de rien et c’est tant mieux.



On reprend la conversation, on reboit une bière, on danse à nouveau puis Julia vient vers la table et demande :



Sophie précise :



Je sors accompagné de Julia et du copain en question qui n’a pas l’air en forme du tout.

Il monte derrière tandis que Julia passe devant. Je pousse le chauffage à fond et on s’arrête chez ses parents pour lui prendre une couverture. Quelques kilomètres plus tard, il dort sur la banquette arrière.



Et j’ai rien fait pour la provoquer !!!



A mi-chemin du retour, elle me dit :



Je continue la route et prends un petit chemin de bois et me gare à quelques pas de la route, mais à l’abri de tous les regards. Je coupe le contact et enlève la clé du contact : le plafonnier s’allume. On se regarde. Nous ôtons nos ceintures de sécurité. Julia vient s’asseoir sur mes genoux, je recule mon siège au maximum. Elle me tient par le cou, ses yeux pétillent comme un enfant.

Enfin, nos lèvres se rapprochent et nous échangeons notre premier baiser. Nos langues se battent en duel, mais chacun semble se retenir. On s’arrête, on se regarde encore et elle me dit :



Cette fois la passion déborde, les mains s’en mêlent, d’abord dans les cheveux, ensuite sur le corps, puis sous les vêtements.

Elle a remonté mon pull et passe ses mains dans mon dos avec sensualité. Pour ma part, mes mains courent le long des ses cuisses, de son dos, de sa nuque…

Elle ondule du bassin sur mes genoux ce qui entraîne rapidement un début d’érection.



Elle retourne sur son siège et l’avance au maximum, puis elle passe sur la banquette arrière et étend la couverture sur le siège.





Sans réfléchir aux conséquences de mes actes, je l’ai rejointe sur la banquette et nos bouches se sont retrouvées pour un nouveau duel. Cette fois encore les mains ont retrouvé le chemin des corps, les vêtements se sont retrouvés rapidement ôtés et enfin, sur nos corps nus les caresses sont devenues plus précises. Ma bouche est descendue sur ses petits seins dont la pointe était dure comme la pierre. Ils étaient si petits que je pouvais presque le mettre en entier dans ma bouche pour le lécher et faire tournoyer ma langue autour du téton. Pendant ce temps, ma main s’était insinuée entre ses jambes douces comme la peau d’un bébé. Elle les a écartées pour que je puisse la caresser plus confortablement. De mon majeur, je glissais entre ses lèvres humides tandis que mon pouce faisait rouler son clitoris gonflé par le désir. Elle poussait de grands soupirs et par moments de petits cris étouffés.


Bientôt, mon doigt ne se contenta pas de glisser sur les lèvres, il la pénétra en douceur et commença de longs va-et-vient dans son vagin. Il fut bientôt rejoint par le majeur tandis que l’annulaire massait son œillet. Elle semblait prête à venir, j’accélérai alors la cadence jusqu’à ce que son corps soit pris de spasmes de jouissance et qu’elle crie son bonheur. Son corps se relâcha et elle se blottit dans mes bras. Quelques baisers et quelques minutes plus tard elle me dit à nouveau :



Cette fois, c’est ma langue qui prit la direction de son fourreau. Sa toison était taillée très court : à peine un ticket de métro sur le pubis et Ô délice, pas le moindre poil aux abords de ses lèvres. Je plongeai mes lèvres affamées sur les siennes et commençai à la laper par petits coups, puis titillai son clito, puis à nouveau je plongeai ma langue dans son vagin au plus profond de ce que je pouvais. Elle gémissait de nouveau et sa chatte coulait abondamment. Je lapais son liquide parfumé et descendait ma langue chargée de cyprine sur son anus où je tournoyais, en appuyant de temps à autres un peu plus fermement. Elle ne semblait pas rebutée par cette caresse, je décidai donc de lui masser l’œillet avec l’index. Mes caresses buccales l’avait passablement assoupli et en quelques poussées, mon doigt était englouti au plus profond de ses entrailles. Elle soupirait et gémissait à nouveau de plus en plus fort. Nous nous sommes placés en 69 et pendant que je lui enfilais de plus en plus de doigts dans le cul et dans la chatte, elle se mit à me lécher les boules, à les aspirer, puis à lécher ma hampe raide comme la justice. Enfin, elle engloutit ma queue et commença une pipe infernale. Elle ondulait du bassin avec 2 doigts dans le cul, deux dans la chatte et ma langue qui lui astiquait le clito. Elle allait jouir de nouveau et je sentis la sève monter en moi aussi, ce dont je la prévins.


Alors que j’allais ôter ma pine de sa bouche avant d’éjaculer, elle empêcha ma manœuvre et me goba encore plus profondément. Voyant cela, je me suis concentré sur sa chatte et son cul pour finir de la faire jouir, ce qu’elle ne tarda pas à faire, pendant que je lui déversais mon foutre chaud dans la bouche. Je sentais qu’elle avait tout de même du mal à déglutir, mais elle n’en perdis cependant pas une goutte. Nous nous sommes redressés et j’ai porté mes doigts couverts de cyprine à ma bouche puis à la sienne. Elle les a léchés avidement puis nous avons échangé une pelle monumentale, mêlant nos odeurs et nos sécrétions.



Et elle s’est penchée pour reprendre sa fellation, pendant que sa main caressait mes boules et glissait sous mes fesses pour me mettre un doigt dans le cul.

La réponse ne se fit pas attendre et contre toute attente, ma queue avait repris toute sa vigueur en quelques minutes seulement. Elle s’est alors placée à genoux sur moi et s’est empalée sur ma queue d’un seul coup. Elle faisait coulisser mon membre en elle en même temps qu’elle me caressait les boules. Elle était assez étroite et ma queue de taille moyenne la remplissait bien. Elle variait le rythme de ses allers et retours et gémissait doucement. Je la maintenais par les fesses que je malaxais simultanément. Mes doigts retrouvèrent le chemin de son anus. Il était moins dilaté mais je pu y entrer facilement mon majeur du premier coup. Elle poussa un râle de plaisir lors de cette intrusion et poursuivis ses râles tandis que je coulissais dans son conduit. Son corps s’agita de nouveau et elle jouit pour la troisième fois. Elle s’écroula à plat ventre sur la banquette, la chatte béante. Je me suis mis à genoux derrière elle, j’ai relevé ses fesses et je l’ai prise par derrière, dans la chatte. Elle a poussé un cri de surprise puis a recommencé ses gémissements. Je la pilonnais de toute ma longueur en la tenant par les hanches.


Elle criait :



Même les insanités que je venais de lui dire (alors que c’est pourtant pas mon genre !) ne la rebutait pas. Je continuai de la limer quand je me suis dit qu’elle ne serait peut être pas contre la sodomie ! J’ai mouillé un doigt avec ma salive et lui ai enfoncé dans le cul. Ça rentrait comme dans du beurre. Je l’ai fait tourner quelques fois dans son cul, histoire de faire le passage puis je me suis retiré de sa chatte pour présenter ma bite mouillée sur sa rosette. Je suis rentré en elle complètement d’une seule poussée lente mais continue. Arrivé à la garde, j’ai commencé à la limer lentement, puis de plus en plus vite, tout en branlant et en doigtant sa chatte d’une main. À la fin, nos râles se sont mêlés dans la même jouissance. Je lui ai déchargé tout mon foutre dans le cul et je me suis écroulé sur elle ma bite toujours enfoncée dans son cul.





Nous nous sommes rhabillés rapidement, avons échangé un dernier baiser, très tendre cette fois et avons rejoint la salle des fêtes où tout le monde nous attendait.

Ils étaient tous ronds comme ballons et ne se sont même pas rendu compte que nous étions partis pendant plus d’une heure et demi.


J’ai dansé tous les slows avec Sophie et quand elle m’a embrassé, son baiser avait un drôle de goût !!!

Devant mon air étonné par cette saveur elle m’a dit :




(à suivre)