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n° 08344Fiche technique21243 caractères21243
Temps de lecture estimé : 13 mn
22/12/04
Résumé:  Enfin je la rencontre, elle a quelque chose en plus auquel je ne m'attendais pas.
Critères:  fh hh voir travesti fmast hmast fellation hsodo
Auteur : Tonio      Envoi mini-message
Jane


C’était une de ces belles journées d’octobre, je roulais tranquillement sur une départementale de Provence. J’aime cette période de l’année car la région semble reprendre son souffle après la folie de l’été. Le soleil n’est plus aussi impérieux qu’en juillet ou en août, il se fait plus doux, plus tendre ; la végétation se prépare doucement pour l’hiver. Je n’étais pas pressé, ma seule contrainte était d’arriver à peu près pour le dîner, mais Rosi et Nigel n’étaient pas très à cheval sur les horaires.


Je les avais rencontrés cinq ans plutôt à Madrid. Nous étions tous les trois coincés par une grève des aiguilleurs du ciel en France. Ils devaient rentrer à Londres et moi à Lausanne. Nous avons discuté une bonne partie de la soirée, pestant contre les grèves et refaisant joyeusement le monde devant une bonne bouteille de vin, notre vision d’un monde meilleur devint d’ailleurs plus fantaisiste avec la seconde bouteille.


Rosi a en fait un prénom absolument imprononçable pour un francophone, c’est la raison de son diminutif. C’est un couple de la soixantaine, bon vivant, franchement originaux et dont apparemment les problèmes d’argent ne sont pas le souci principal. Ils ont deux enfants, un fils Archibald, surnommé Archi et une fille Jane. Archi vit en Australie avec sa femme et ses trois fils. Jane est célibataire, elle vit à Londres et voit peu ses parents.


Lorsque la seconde bouteille ne fut plus qu’un vague souvenir, j’étais devenu invité permanent dans leur propriété provençale. Ils habitent pratiquement à l’année dans un charmant village dont je ne connaissais même pas l’existence. J’y suis allé une première fois pour quelques jours et m’y suis trouvé particulièrement bien. Depuis, je m’y rends deux fois par ans, une fois au printemps et une fois au début de l’automne. Ayant à peu près l’âge de Jane, Rosi avait pris l’habitude de me materner un peu, s’inquiétant de mon célibat, de la longueur de mes cheveux, de mes chaussures sans formes et de bien d’autres petits détails. Je me laissais faire avec le sourire, Nigel regardait cela avec bonhomie.


Mon travail me permet de prendre mes vacances à ma guise et, mon bureau étant à la maison, je n’ai pas non plus d’horaire à respecter. Une partie de mes loisirs est consacrée à l’astrologie, j’en vois déjà plus d’un d’entre vous se pincer le nez rien qu’à entendre ce mot. Mais bon, chacun est libre de son opinion. J’avais donc fait leurs thèmes, ainsi que ceux de leurs enfants, belle-fille et petits-enfants. Seul le thème de Jane me posait encore des problèmes, quelque chose n’allait pas et je n’arrivais pas à déterminer quoi. Je ne l’avais jamais rencontrée, Rosi dit d’elle qu’elle est très timide. Je l’avais entendue souvent au téléphone, elle a une voix rauque un peu comme Carla Bruni, j’avais aussi vu de nombreuses photos d’elle. C’est une jeune femme grande, très mince, ayant des cheveux blonds vénitiens coupés à la garçonne. Sur toutes les photos elle porte de longs foulards comme un de ceux qui fut fatal à Isadora Duncan.


J’avais encore eu une longue conversation avec elle hier soir, je venais de faire sa révolution solaire et nous en avions discuté jusque tard dans la soirée. J’appréciais beaucoup son humour et le lui avait dit souvent.


La route avait été plus rapide que prévu et à six heures je me trouvais devant le portail de leur propriété. Je n’eus même pas besoin de sonner, la grille s’ouvrit d’elle-même et Rosi se précipita à ma rencontre.



Déjà elle m’embrassait comme du sucre, tout en ayant mis le moulin à paroles sur la vitesse rapide.



Nigel arriva sur ces entrefaites et dit :



La maison est une jolie bastide de la fin du dix-neuvième siècle, ils en avaient tiré le meilleur avec beaucoup de goût et pas mal d’argent. La cuisine est la plus belle pièce de la maison, à mon goût bien sûr, et j’y passais des heures. Ma grand-mère paternelle venait de la cité des Papes, elle avait épousé un Vaudois. J’avais passé des vacances entières chez eux, elle me parlait avec son accent chantant tout en confectionnant une cuisine savoureuse. J’avais petit à petit appris la plupart de ses secrets.




Le jardin fait l’objet de toutes les attentions de Rosi, c’est difficile de le décrire, il semble en désordre mais en fait c’est tout le contraire. Il y a une série de petits chemins, passages plus ou moins secrets, buissons odoriférants, un énorme lilas de Perse garde l’entrée de la piscine, il faut contourner un banc se courber un peu pour entrer dans le buisson et déboucher sur la piscine. Celle-ci est protégée des regards par de hauts murs en pierre du pays, envahis de plantes grimpantes.


Ce jardin m’avait toujours séduit et j’aime y flâner à toutes les heures du jour ou de la nuit. J’avais même découvert un petit passage qui permettait d’avoir une vue sur la piscine sans être vu.



J’avais un peu perdu le fil du monologue.



Je promis tout, je rêvais de nouveau, j’allais enfin la rencontrer. Depuis quelque temps j’avais l’impression qu’un lien invisible s’était noué entre nous. Mais c’était peut-être le fruit de mon imagination aussi fertile que la langue de Rosi était volubile.


Le dîner fut très bon (j’y avais mis la main), et très arrosé.

Les jours qui suivirent furent très calmes, j’en profitai pour faire du tourisme et aller voir la famille qui vivait toujours dans la région.


Le jeudi je rentrai vers quinze heures d’une visite chez la sœur de ma grand-mère ; cette dame ayant près de quatre-vingt-dix ans, je ne m’étais pas éternisé.



Je trouvai un mot à la cuisine :


Mon Chéri,

Jane est arrivée. Si tu vois un foulard sur le banc de la piscine, c’est qu’elle y est. Elle aime nager seule, ne la dérange pas.

Nigel et moi sommes partis pour deux jours à Paris, je vous laisse la maison.

Je t’embrasse,

Rosi


Je fis un tour de la maison et de la terrasse, mais ne vis personne. Je me dirigeai donc vers la piscine et vis le signal sur le banc. Mais j’étais curieux de la voir en vrai et allai l’espionner depuis mon coin secret.


Elle était debout, entièrement nue, elle était de profil par rapport à moi et devait se trouver à deux mètres environ de mon poste d’observation. Les yeux clos, la tête rejetée en arrière, la bouche ouverte, de la main gauche elle se caressait un sein, jouant avec le téton, tirant sur celui-ci et sa main droite caressait frénétiquement sa … sa … non j’avais mal vu, je devais rêver, je me frottais les yeux, mais non c’était bien ce que je voyais, j’avais simplement du mal à l’imaginer. Sa main droite masturbait frénétiquement sa queue.



Je continuai à regarder, hypnotisé par le spectacle, elle se tendit, sa main gauche pinça son téton, la droite accéléra encore, elle gémit et trois longs traits de sperme jaillirent de son gland. Elle resta là, prostrée pendant un moment, reprenant ses esprits, elle lécha alors avec gourmandise la semence qui avait coulé sur sa main.


Je me retirai discrètement avant qu’elle n’aperçoive ma présence.


Je rentrais très troublé par ce que je venais de voir, tout devenait clair dans son thème astral, tout ce que je ne comprenais pas ou ne voulais pas comprendre prenait soudain du sens. Arrivé sur la terrasse je réalisais que je bandais comme un âne, c’en était douloureux. Je me précipitai à la toilette, baissai mon short et commençai à me caresser la verge, je fermais les yeux et revis son corps, elle a de beaux seins, pas trop gros, ils donnent l’impression d’être naturels car ils pendent un peu, un beau ventre plat et une longue verge, fine, surmontée d’un long gland rose. Je revoyais encore et encore sa main monter et descendre le long de sa colonne de chair, tourner autour du gland, revenir et repartir à l’assaut du plaisir. Je sentis une tension de plus en plus forte monter au creux de mes reins, un million de fourmis couraient dans ma verge, je voyais encore la sienne et le sperme qui en jaillissait comme une fontaine. J’explosais dans ma main et portais celle-ci à la bouche, lapant lentement mon sperme, imaginant que c’était le s…



Je restai là un long moment, débandant lentement, je voyais encore et toujours son corps, son visage, l’expression d’extase sur celui-ci au moment du plaisir.


Je pris une longue douche, essayant de faire le point, mais j’en revenais toujours au même point, homme ou femme elle me plaisait, au moins sexuellement.


Je décidais de ne rien décider et descendis préparer le dîner. Je pris le temps de préparer un repas savoureux, aux accents de la région, je mis aussi une table de fête dans la cuisine, sortant les couverts en argent, la vaisselle en porcelaine, les verres en cristal, une jolie nappe aux couleurs vives et des chandeliers. Je surveillais attentivement chaque préparation.



Je sursautais, je ne l’avais pas entendue arriver, elle était debout devant moi, un sourire énigmatique aux lèvres, les yeux brillants, elle portait une ravissante tenue de bain, un peu vaporeuse, mais qui ne laissait rien voir de ses formes, du moins de son sexe.



Elle s’avança et me posa un baiser sur chaque joue, je constatai que les siennes étaient fraîches et douces. Je me demandais comment elle faisait pour ne pas avoir de poil de barbe.



Tout étant sous contrôle, je profitai de la salle de bain de Rosi, pris une douche, me rasai et m’habillai de façon décontractée.


Elle descendit une bonne heure plus tard, elle portait en ensemble en lin beige clair, composé d’un cœur croisé et d’un pantalon un peu bouffant à la taille et qui se resserrait aux chevilles. Pour un homme elle a de petits pieds et pour une femme c’est joli aussi, elle portait des escarpins à talons plats. Elle était extrêmement féminine, son parfum était envoûtant, ses seins gonflaient le tissus, les tétons tendaient celui-ci, bref j’étais sous le charme.


Le dîner fut très joyeux, nous avons parlé de tout et de rien, comme de vieux complices. Je la draguais discrètement, je me rendis compte qu’elle n’était pas insensible à mes attentions.


Je rangeais rapidement la cuisine pendant qu’elle mettait une musique douce au salon, la lumière était tamisée, elle était debout devant la porte-fenêtre, regardant vers le jardin, je m’approchais d’elle.



Elle se glissa dans mes bras, posa sa tête sur mon épaule et se laissa aller sur la musique. Je tournai la tête pour lui parler, ses lèvres vinrent taire mes paroles, nos langues se touchèrent timidement, entamant un ballet de séduction, s’enroulant l’une sur l’autre.



Mais toutes ces affirmations n’y changeaient rien, je la tenais tendrement dans les bras, ne la pressant pas trop, je ne voulais pas lui faire sentir mon érection, enfin pas tout de suite. Au bout d’un moment beaucoup trop court, elle se dégagea, me prit par la main et m’emmena vers le sofa.



Je voulus dire quelque chose mais elle me mit un doigt sur les lèvres



Elle m’embrassa une dernière fois sur les lèvres et s’enfuit dans les escaliers.


Le soleil brillait depuis longtemps lorsque je me levai. Jane n’était pas dans la maison. Je décidais d’aller me baigner avant le petit-déjeuner, le signal était sur le banc, je décidais simplement d’enlever mon short, je le posais à côté de l’écharpe et traversai le buisson. Elle m’entendit arriver, se leva de son transat et vint vers moi, un merveilleux sourire aux lèvres. Elle était ce matin-là comme j’aime la voir tous les matins depuis, ses tétons pointaient vers moi, sa queue était raide, impérieuse, gorgée de désir, son gland était rubicond, palpitant, attendant ma caresse.



Je m’approchais et caressais son gland du bout du doigt.



Nous nous sommes embrassés avec fougue, nos langues se cherchant, cela n’avait plus rien à voir avec le baiser de la veille, je la caressais partout, massant ses fesses, nos verges s’affrontaient en une espèce d’escrime sexuelle. Puis, je me baissai lentement vers ses seins, léchant, suçant chaque téton, passant de l’un à l’autre. En une fois je me laissai tomber sur les genoux, j’avais sa queue devant les yeux, une goutte de désir perlait au bout de son gland. Elle me passait les doigts dans les cheveux, sans essayer de me forcer. Je tendis la langue et gouttai son gland, m’enhardissant je le gobai, le relâchai, léchai sa verge ; je descendais et gobais ses couilles une par une, puis remontais, reprenais son gland et enfin j’ai pris sa queue entièrement en bouche. D’une main je caressais, palpais, massais ses fesses, de l’autre je caressais ses couilles ou sa verge quand je m’acharnais sur le gland. Elle tremblait, gémissait, disait des mots incohérents, cela m’excitai encore plus, je la suçais avidement, de plus en plus vite, respirant de plus en plus fort, caressant son gland avec le plat de la langue, branlant sa tige, encore et encore, elle gémissait de plus en plus, m’imprimant maintenant la vitesse, elle se branlait dans ma bouche, me baisait la gueule, elle se tendit, se contracta, me bloqua contre son pubis et dans un hurlement jouit longuement. Je voulais tout d’elle, j’avalais chaque trait, suçant encore jusqu’à la dernière goutte et même après. Elle me repoussa avec un peu de brusquerie, me frappant sans force.



Elle se jeta comme une folle sur moi, m’embrassant la bouche, partageant avec moi les dernières gouttes de sa semence, elle me fit rouler sur le sol, avala mon sexe et commença une longue fellation, jouant avec le gland, passant la langue le long du frein, montant et descendant le long de ma colonne de chair, avalant et recrachant mes couilles, puis reprenant mon gland, me calmant lorsque j’étais trop près du point de non-retour, recommençant encore et encore ; chaque fois le désir, le plaisir se faisait plus fort, plus impérieux, chaque fois c’était de plus en plus dur de se calmer, le plaisir, le désir se répandaient dans tout le corps, mes tétons étaient tendus à mort, mon cerveau bouillonnait, je voyais des étoiles, du bleu partout. Un doigt, puis deux, curieux, fureteurs, avaient franchi mon anneau. J’explosai de plaisir lorsque ses doigts touchèrent ma glande, j’avais l’impression de jouir des litres, de me vider sans fin. J’ai connu la petite mort, j’ai dû perdre un peu connaissance, car soudain son visage était devant le mien, elle me souriait, j’étais un peu hébété par tant de jouissance, je sentais encore ses doigts aller et venir dans mon cul, élargissant doucement le passage. Elle bandait à nouveau et avait enfilé une capote, j’eus un moment d’inquiétude, elle s’en aperçut.



Elle me mit les jambes sur ses épaules, je me soulevais sur un coude pour regarder, de l’autre main je me soulevai les couilles, vis sa colonne de chair approcher, se coller à mon anneau, elle poussa doucement, je sentis mes chairs s’écarter, elle entrait millimètre par millimètre. Ce n’était pas vraiment douloureux, non plutôt inconfortable, un peu comme si j’étais constipé. Le gland passé, elle attendit un moment, puis me regardant droit dans les yeux elle s’enfonça en une fois jusqu’à la garde, j’ouvris la bouche de surprise, elle me colla la sienne et me suça la langue. Ensuite lentement elle entama un va-et-vient dans mes reins, l’inconfort, la douleur disparurent et firent place à du plaisir, c’était bon et je le lui disais. Elle allait de plus en plus vite, je haletais, lui disant, criant, hurlant de me bourrer le cul, encore et encore. Mon corps n’était plus que plaisir, je me tendais, contractais mon anneau sur cette colonne de plaisir, je ne me contrôlais plus. Elle soufflait, criait, de plus en plus vite, de plus en plus fort, frappant son ventre sur mes fesses à chaque pénétration. Soudain elle s’arcbouta, fichée au plus profond de mes entrailles et jouit, je jouis aussi sans me toucher, sans même bander. Nous sommes restés un long moment emboîtés.


Nous avons fait l’amour encore pendant l’après-midi et la soirée. Nous avons dormi pour la première fois ensemble.


Une délicieuse odeur de café frais me réveilla, j’avais mal au cul et aux couilles. Je pris une douche, enfilai un short et un t-shirt et descendis. Nigel et Rosi étaient rentrés. Rosi me souriait, elle me déposa un long baiser maternel sur les lèvres, c’était la première fois qu’elle le faisait avec moi.