n° 08353 | Fiche technique | 41816 caractères | 41816Temps de lecture estimé : 26 mn | 28/12/04 |
Résumé: Retrouvailles de deux ex-acteurs. | ||||
Critères: fh grp hbi extraoffre inconnu boitenuit exhib entreseins fellation anulingus 69 double partouze | ||||
Auteur : Les deux maniaques (Couple nostalgique) |
Nous nous sommes enfin retrouvés après vingt ans. Nous, c’est Annette, et moi, Marc. J’écris à la première personne parce que c’est plutôt incommode de taper à deux sur un clavier d’ordinateur, mais Annette est assise à côté de moi et ne va pas se gêner pour me rappeler un détail, suggérer une phrase ou corriger ce que j’écris.
Nous vous écrivons parce que cela nous excite beaucoup de revivre en mémoire ce que nous avons fait ensemble. Nous avons intensément fêté nos retrouvailles, pendant ces deux dernières semaines. Pour être tout à fait franc, je suis physiquement épuisé ce soir. Annette fait savoir qu’elle est presque aussi crevée que moi : on vieillit, quoi. Il ne nous reste que deux jours à passer ensemble avant que mon premier amour aille rejoindre Monsieur son mari et ses deux enfants déjà grands. Nous avons décidé de continuer à nous donner du plaisir supplémentaire en écrivant nos mémoires.
Nous nous sommes rencontrés en 74. Trente ans déjà. Montés à Paris ensemble, nous avons fait une petite carrière comme acteurs de porno, parce que nous aimions ça. Pendant trois ans, nous avons pris notre pied comme ce n’est pas possible et nous avons épargné assez d’argent pour finir nos études et nous installer confortablement. Plus tard, la vie nous a séparés. Elle est plutôt vache, la vie.
Je suis maintenant l’avis d’Annette et commence ces mémoires par le «mauvais bout», c’est-à-dire les évènements des dernières deux semaines, les fêtes de nos retrouvailles, profitant du fait qu’elles sont encore toutes fraîches et qu’Annette est ici. Les années soixante-dix suivront.
Quand je l’ai vue sur mon palier de bon matin, toute grande dame, cela m’a coupé les jambes. J’ai essayé de parler, mais pas un son ne sortait de ma bouche. Elle me dit maintenant que de son côté, son cœur battait dans sa gorge. Elle habite en Afrique avec son haut fonctionnaire de mari, mais elle ne m’avait ni écrit ni téléphoné pour annoncer son voyage à Paris.
«Alors, Marc, tu ne vas pas m’inviter à entrer prendre un café ?»
Elle était en tailleur, grande dame comme je l’ai écrit, et je me suis senti tout embarrassé, une cafetière à la main, incapable d’émettre un son. Avec son sourire ensoleillé, elle est entrée, pris ma tasse vide et m’a fait signe d’y verser le café. Tout ce que je suis arrivé à dire a été : «Comme je suis con… content… Mon Dieu comme tu es belle !» Elle m’a tendu la joue pour que j’y dépose un bécot, je suppose, mais presque malgré moi j’ai plongé sur sa bouche pour une pelle pas possible. Elle me dit maintenant qu’elle n’attendait que ça pour la déclencher. Le baiser a duré une éternité. D’assise qu’elle était au début, à la fin elle était debout, contre l’armoire, collée à moi. Quand on a réussi à se décoller, je me sentais encore tout bête. J’ai fait :
«Il faut peut-être que j’aille m’habiller»
«Non, au contraire, tu vas me tomber ce peignoir, ici même. Tu sens bon, t’es juste sorti du bain. Il ne fallait pas me donner des idées, quoi. Allez, enlève ! Ah, mais t’es bel homme encore, pas de ventre.» Sa main courait sur ma poitrine, j’ai fermé les yeux, ma queue me faisait mal tellement elle était tendue. Elle y a posé la main avant de me demander:
«Es-tu assez content de me voir pour envoyer au diable tout le monde et toutes tes affaires pendant deux semaines ? C’est tout le temps qui me reste. J’ai inscrit ma fille à l’université et elle est partie chez sa tante à Sète. Mais dans deux semaines, je devrai retourner en Afrique.»
Pour toute réponse j’ai commencé à déboutonner son corsage. Elle n’avait pas changé: Elle n’a jamais pu supporter les vêtements. En quelques secondes elle s’est débarrassée de presque tout. Quand elle s’est tournée pour jeter ses fringues n’importe où, mon cœur battait un max: elle n’avait pas changé de corps non plus. Son string noir mettait en évidence la même superbe croupe de jument perchée sur des hanches et des jambes bien musclées. Pas la même gamine de vingt ans, mais le même ventre plat et nerveux, les petits seins un peu plus pleins, les mêmes pointes énormes, tendues. Sans ses talons, Annette a presque exactement ma taille, 1 m 80. On s’est collés téton contre téton, ventre contre ventre, autre long patin. Je n’en pouvais plus. J’ai fait mine de la soulever pour la porter.
«Ah non, pas encore ! C’est que j’ai besoin de célébrer ça comme il faut, tu penses, après vingt ans.»
«Qu’as-tu en tête ?»
«Je n’arrive jamais à oublier le plaisir que j’ai eu quand nous baisions en public.»
«Tu as bien raison. Moi non plus. Bon, on y va. Mais on a le temps jusqu’au soir.»
«Alors jusqu’à ce soir, je te veux aussi excité que moi-même, chauffé à blanc. On va se toucher, s’embrasser, mais pas baiser. Sais-tu où aller ? Le vieux théâtre ?»
«Non, ces théâtres ont fermé depuis belle lurette, mais il y a des clubs privés qui en font maintenant. Je vais téléphoner à Roland, tu te rappelles de lui, pour lui demander où aller.»
Le reste de la journée s’est passé à nous raconter les peines et les joies de notre vie séparée, et surtout à nous toucher et nous embrasser. J’avais encore le numéro de Roland, qui avait été acteur porno dans sa jeunesse avec nous. Il était maintenant propriétaire d’un club privé qui organisait des spectacles «spéciaux», du côté de Pigalle. Il nous dit qu’il était plus qu’enchanté du retour d’Annette. «C’est de la dynamite, cette nana. Même si elle a trente ans de plus, je m’en fous, ce sera la gloire pour mon petit bizness. À neuf heures pile.» Il me vint une idée. Je savais ce qui excitait mon Annette.
«Dis donc Roland, un vieux chnoque comme moi ne suffit pas pour un spectacle. Je suis sûr que tu as un homme jeune, discret, bien monté et garanti sans maladies ?»
«Mais oui, j’ai juste ce qu’il faut. Jeune acteur toujours raide, un étudiant Sénégalais très poli. Ah mon cochon, c’est que tu ne t’embêtes pas avec Annette !»
«C’est bon, fixe-lui un rendez-vous pour dîner avec nous»
Annette, qui avait d’abord fait quelques signes de protestation, me dit: «Merci. Tu me devines encore.»
Après déjeuner, nous sommes allés faire les courses. Annette s’est acheté une paire de chaussures à lanières, aux talons pas trop hauts, et une robe noire courte, simple mais diaphane, ouvrant sur le devant. Et aussi un «string» noir, vraiment string, où la partie qui va dans l’entrejambe est aussi une simple ficelle.
Rentrés à la maison, elle mit ses nouveaux vêtements et me dit de me déshabiller. «Il faut te raser, mon chou, tu sembles avoir oublié. Viens avec moi à la salle de bains, je vais m’en occuper. Rien de plus bandant que de se faire raser le pubis et les couilles par une femme habillée, qui vous embrasse toutes les deux minutes.
Nous avions rendez-vous au restaurant avec Roland et Ousmane, son acteur Sénégalais. Vingt-cinq ans, baraqué comme un boxeur, très poli. On n’a pas vraiment eu l’occasion de papoter avec Roland, parce qu’Annette travaillait à chauffer à blanc Ousmane en nous roulant des pelles à Roland et moi.
Annette avait demandé à Roland de nous réserver trois places vers le milieu de la première rangée du théâtre. Nous avons fait notre entrée un peu après neuf heures. La salle était pleine. Roland devait déjà être sur scène, pour expliquer à l’audience qu’ils allaient assister à un «spectacle amateur avec la participation du public». Quand l’ouvreuse nous a ouvert la porte, il avait déjà fini.
Je passe maintenant le clavier à Annette:
Après avoir fait un pas dans la salle, je me suis tournée vers mes deux hommes, je leur ai dit, assez haut pour être entendue de toute la salle: «Déshabillez-vous, mes chéris !» Marc s’est exécuté tout de suite, mon petit vicieux. Comme moi, il a toujours adoré se mettre tout nu au milieu de la foule. Ousmane a eu un petit moment d’hésitation, tout acteur qu’il est, puis il a suivi. Il était gentil tout plein, et il semble bien que je l’avais assez excité, il bandait déjà à plein. Nous sommes descendus lentement entre les deux moitiés de l’auditoire, moi toute habillée avec une main sur les fesses de chacun de mes deux hommes. L’ouvreuse, mine de rien, nous a menés au premier rang. Il n’y avait pas d’autres places libres. Surtout des hommes dans la salle, un seul couple. J’ai fait asseoir Ousmane à ma gauche, où il se trouvait à côté de la dame du couple, la soixantaine, bien conservée, bas noirs. Marc, à ma droite, était à côté d’un mec de son âge. Tout le monde ne regardait que nous. Surtout la bonne dame à côté d’Ousmane, elle n’arrivait pas à quitter des yeux son érection que je maintenais par le contact de ma hanche contre la sienne. Sa queue était aussi respectable que celle de Marc.
Roland, en scène, a repris:
J’y suis montée, j’ai laissé mes deux hommes assis dans la salle. Là j’ai eu une autre idée, je fais à Roland:
Je connaissais bien Roland, on avait baisé ensemble quand nous étions acteurs, et on l’appelait queue d’âne. Il était un peu empâté, pas trop et encore bel homme. Ceci allait corser le spectacle. Naturellement, il accepta. L’ouvreuse monta sur scène, et ils nous firent un beau numéro de strip-tease à deux. Roland semblait tout heureux de montrer son gros engin. Mou, il était déjà assez long et assez gros pour sembler normal sur la tronche d’un éléphant. Je les fis asseoir sur le petit canapé qui était sur la gauche de la scène.
C’était mon tour. Je suppose que vous avez deviné que je ne suis pas timide. J’ai expliqué à la salle que j’étais là pour fêter ma rencontre avec mon premier amour, et j’ai appelé Marc et Ousmane à monter en scène.
Je me suis tournée vers Marc. De le voir tout nu devant moi en public, son corps fin et bien musclé, la queue dressée à la verticale, ça m’a fait tout chose, je mouillais comme c’est pas possible. On n’aurait jamais deviné qu’il a passé la cinquantaine. Je sais qu’il lit ce que j’écris ici, mais je dois bien dire que je n’ai jamais été amoureuse d’un autre homme. Je lui ai dit: «pour commencer, je vais te faire un petit massage». Le flacon d’huile pour bébé était juste là, sur un petit tabouret au fond de la scène. J’ai été le chercher en faisant remonter ma jupe au ras des hanches, histoire de faire bien voir mes fesses à tous, accentuées par le petit string qui s’enfonce dans la raie. Marc me dit que mes cuisses épaisses mais pas trop feraient bander n’importe qui.
Je me suis placée tout contre le dos de mon petit chéri, qui m’attendait docilement. Je me suis versée une bonne dose d’huile dans mes mains, et je lui ai lentement massé et huilé les épaules, les bras, le torse, le ventre, les cuisses, puis j’ai passé la main entre ses cuisses et je lui ai fait les couilles, tout en regardant Ousmane dans les yeux.
Dans le canapé à gauche, Roland et Ginette (c’est le nom de l’actrice – ouvreuse) semblaient très intéressés aussi. La pine modèle spécial de Roland était au garde-à-vous, doucement caressée par la jeune Ginette à qui il pelotait les seins. Je me suis approchée d’eux, et à voix basse: «Gare à toi, Roland, si tu décharges avant l’heure !»
Je me suis alors tournée vers la salle: «Mesdames et Messieurs, il ne faut pas vous gêner non plus. Si le coeur vous en dit de vous caresser ou de vous exhiber, il n’y a rien qui vous en empêche».
Puis j’ai demandé à Marc de se pencher sur le canapé et d’appuyer les mains sur les genoux de Ginette. J’ai dit à Ousmane de bien regarder. J’ai huilé le dos de mon homme, ses fesses, ses jambes, puis, amoureusement, la raie des fesses. Enfin, je l’ai fait se pencher un peu plus en faisant bien attention pour que le public voie bien, et je lui ai doucement enfoncé un doigt dans le petit trou pour lui masser la prostate pendant quelques secondes. Je l’ai remis debout, lui ai donné le flacon d’huile et lui ai dit d’aller se placer derrière Ousmane et de bien l’huiler jusqu’à ce qu’il brille comme une statue. Marc adore ça. Il a été se coller contre le dos d’Ousmane pendant que ce dernier me regardait me déshabiller. Je ne suis pas une bonne effeuilleuse mais j’ai fait un bon numéro, prenant tout mon temps pour remonter ma petite robe, petit à petit, jusqu’au cou, me pincer les tétons à me faire gémir, puis faire tomber de nouveau la robe sur moi, puis à mes pieds. Pendant ce temps-là Marc s’est bien appliqué à masser Ousmane partout. Quand je suis enfin sortie de ma robe, il était en train de masturber lentement le bel engin tout noir du jeune homme.
Il faut dire que j’ai bien choisi le petit string noir, qui n’est qu’une ficelle dans l’entrejambe aussi, qui passe entre mes grandes et petites lèvres. J’ai décidé de le garder encore un peu, ainsi que mes fines sandales à talon. Puis j’ai fait signe à mes deux hommes de me suivre et je suis descendue dans la salle.
Ici, je vais passer la plume à Marc parce que je n’aime pas trop écrire:
Je voyais bien que mon Annette était en pleine forme, juste comme au bon vieux temps. Une fois qu’elle est lancée on sait qu’on va s’amuser, mais on ne sait jamais jusqu’où elle ira. Les hommes dans la salle semblaient déjà bien chauffés, j’en voyais quelques-uns qui avaient sortie leur pine de leur futal, d’autres qui se caressaient par dessus.
Et bon, ça n’a pas manqué. Elle a lancé à la salle:
«Mesdames, Messieurs, nous allons circuler lentement entre les rangées pour faire plus ample connaissance avec vous. Si nous nous trouvons devant nous, vous êtes invités à nous toucher, moi et mes hommes –jusqu’à ce que je vous demande d’arrêter.»
Puis, la surprise:
«Attendez, il y a une faveur spéciale. Vous pouvez me toucher, mais je vais aussi, moi, toucher et caresser certains d’entre vous s’ils le désirent. Il y a une condition -pour les messieurs, pas pour les dames et les couples. Et la condition, c’est que ces messieurs qui veulent être caressés par moi doivent se mettre tout nus !»
Puis, dans le silence total d’une salle probablement un peu choquée, elle nous a entraînés vers le couple BCBG, qui avait été assis à côté d’Ousmane. Elle s’est penchée gentiment vers la femme, ses seins à quelques centimètres des yeux de celle-ci: «Madame, voulez-vous m’aider à enlever mon slip ? Seulement si je ne vous gêne pas.» J’étais à la gauche d’Annette, ma queue appuyant contre sa hanche, et Ousmane se trouvait du côté de la femme. Après une vingtaine de secondes de silence, la femme a fait oui de la tête. Annette a levé la jambe et appuyé le pied sur l’accoudoir, lui présentant sa cuisse, et sa chatte toute épilée qui sentait bon même de loin. Plusieurs spectateurs des autres rangées s’étaient levés pour mieux voir, et il y en avait quatre ou cinq qui s’étaient déjà mis tous nus. Comptez sur ma chérie pour chauffer une salle.
La femme a étendu la main, timidement, Annette la lui a pris et l’a guidée, prenant bien soin de lui faire toucher sa peau long de la cuisse. La femme s’est alors enhardie, a attrapé le côté du string et l’a fait descendre à la hanche, en continuant à toucher la peau. On l’entendait respirer bruyamment. Annette s’est alors penchée un peu plus et lui a murmuré quelque chose à l’oreille. La femme a de nouveau approuvé de la tête. Annette a descendu sa jambe, le string maintenant au-dessous des hanches, elle a guidé la main de la femme vers celle de son mari, puis a levé le pied droit pour aller le poser sur l’accoudoir de l’autre côté du mari. Le couple souriait maintenant, c’est le mari qui a enlevé le string, sa main guidée par sa femme caressant l’intérieur des cuisses. Annette s’est accroupie devant le couple et déposé un petit baiser sur les lèvres de la femme, lui a pris de nouveau la main et l’a guidée vers son sein. La femme a joué un peu avec le téton pendant que de son autre main elle dirigeait son homme vers l’autre sein.
Annette les a alors laissés, et nous l’avons suivie à la troisième rangée. Nous nous faufilions de face, nos genoux touchant ceux de tous les spectateurs, la queue braquée à hauteur de leur menton, lentement pour laisser leur temps à toutes les mains qui caressaient Annette, toujours placée entre Ousmane et moi. Elle s’est arrêtée devant un jeune gars d’une trentaine d’années, qui avait la queue à l’air, toute bleue déjà. Il a avancé la main vers l’entrejambe. Sentant qu’il touchait bien, elle a écarté les jambes, lui disant de caresser seulement. Elle lui a poussé la poitrine dans le visage: «Suce-moi les seins !» Il ne se l’est pas fait répéter. Annette a commencé à haleter, puis à pousser des petits cris: «C’est ça, oui… arrête maintenant, ne me fais pas venir.» On continue alors à avancer, les mains se font plus hardies sur Annette.
Nous passons à une autre rangée, plus haut. Elle s’arrête devant un beau mec, la cinquantaine, en costard et cravate. «Je vais vous laisser me caresser le fesses, et plus. Mais d’abord il faut caresser mon copain, il aime ça. Le gars se fend la gueule. Il passe la main sur mon ventre, remonte, me pince les tétons. Il fait ça bien. Il redescend, passe la main entre mes jambes, me chatouille les couilles et commence à me masturber, pendant que son voisin s’occupe des seins d’Annette. Annette lui tourne le dos maintenant: «Mes fesses, s’il vous plaît» Sans me lâcher la queue, le mec lui massage les globes pendant quelques secondes, puis y va tout de go et insinue sa main dans la raie. Annette attend un instant pour être sûre qu’il n’est pas brutal, elle se penche pour laisser voir. Le monsieur lui caresse le trou du cul d’un doigt assez habile, et commence une lente introduction. Annette gémit de plaisir, mais ne le laisse pas achever la pénétration.
Nous remontons d’une rangée, et je vois où la coquine nous entraîne: un gars tout nu, brun, trapu, est en train de s’y masturber. Elle lui empoigne la queue, courte mais de diamètre impressionnant. Elle le fait se mettre debout, ma grande perche doit se pencher un peu pour lui rouler une pelle à faire sauter les plombs. Son autre main descend, attrape et caresse les testicules. Elle fait tourner le gars, lui place les fesses contre le dossier d’avant, pour que la salle voie bien ce qu’elle fait. Elle se crache dans la main puis le masturbe sauvagement maintenant, sans arrêter de l’embrasser. Le gars gémit, et au bout d’une minute sa bite épaisse, toute mauve, gicle contre la hanche de mon Annette. Souriante, elle s’en enduit comme d’une pommade, puis nous entraîne un peu plus loin. Je vois qu’elle a trouvé la proie idéale. Bien en vue, au premier fauteuil du côté de l’allée, un géant, la quarantaine et très bel homme, en train de se dessaper à toute vitesse.
Là, je dois passer le clavier à Annette pour qu’elle vous décrive bien ses sensations:
J’ai beau avoir été actrice de théâtre porno, je sentais que maintenant, en amatrice, tout m’était permis. Cet homme qui avait décider de se mettre tout nu au dernier moment, un hercule roux, m’excitait comme c’est pas possible. J’ai pris les bras de mes deux mecs et nous nous sommes arrêtés dans l’allée centrale, à côté de son fauteuil. Je lui ai fait signe de nous rejoindre au milieu, là où tous les spectateurs pouvaient nous voir sans rien rater. Un peu timide, le gars. J’ai été le prendre par la main.
Je suis une grande perche, 1 m 78, et les hommes bien foutus de deux mètres me font mouiller. Il a une très belle queue, pas grande mais belle et raide. Je plie la jambe et je lui caresse son engin de mon genou, doucement. Je me mets à califourchon sur sa jambe pour qu’il sente comme je mouille, l’embrasse bien à fond. Puis je me mets debout devant lui dans l’allée centrale pour être bien vue et je pose mon pied sur son accoudoir. Je lui prends la main et la porte à ma chatte. Il caresse bien autour du bouton, puis dessus, j’ai déjà du mal à tenir debout. Je lui attrape le poignet et pousse doucement, jusqu’à ce qu’il se décide à m’enfiler un doigt.
Sa timidité s’est envolée. Il se lève, Je l’entraîne au milieu, j’ai colle mon corps tout contre le sien. Tout en l’embrassant dans le cou, je lui caresse les flancs. Il est roux et il sent le poivre, ça me fait chavirer. Sa belle queue est toute raide contre mon ventre. Je l’agrippe par les épaules et me hisse sur la pointe des pieds pour prendre cette queue entre mes cuisses, tout contre ma chatte. Je commence à bouger doucement. Délicieux. Marc s’est collé contre mon dos, sa grosse bite bien raide contre ma raie. Ousmane, le pauvre, suit ses instructions et me regarde d’un air désespéré. Il est chauffé à blanc, le black. Beau, et luisant comme une statue de bronze, la queue à la verticale prête à éclater. Je continue à bouger, maintenant le grand roux prend le rythme aussi. Presque immédiatement, je prends mon pied. Je n’ai jamais appris à être silencieuse et ça fait longtemps que je suis en manque. Nous continuons à bouger, gentiment.
Quand le grand roux perd le contrôle et essaie de me pénétrer, il faut bien m’arrêter et me retirer, mais je la veux encore, cette queue. Je l’embrasse à la poitrine, puis je plonge sur sa bite. Voilà du spectacle pour tous, je le suce presque violemment, toute dedans, toute dehors, plein de salive partout, lui caressant les couilles et le cul. J’arrête soudain quand je sens qu’il ne peut plus se retenir. Je lui fais une bise et lui dis dans l’oreille: «Attends. Je vais revenir à toi un peu plus tard et ce sera bon, ne te rhabille surtout pas !»
C’est que moi aussi, je suis chauffée à blanc, je ne peux pas continuer à agacer toute la nuit. Je prends mes deux hommes sous le bras et me dirige vers la scène. La femme du couple au premier rang n’est plus du tout timide maintenant. Elle me fait un grand sourire. Elle a la main sur la jambe de son mari qui lui a passé le bras autour du cou. Sa main est dans son décolleté –bien rempli de deux seins qui ont l’air très appétissants. Je m’arrête devant eux, me baisse vers elle. Tiens, c’est spontanément qu’elle me présente ses lèvres, maintenant. J’introduis ma langue, elle répond. Je pose ma main sur son décolleté, tout doucement. Elle ne proteste pas. Plus gênée du tout des hommes qui se sont mis debout pour mieux voir, la bit au vent ou même tout nus. Je lui prends la main qui est sur le pantalon de son mari et la déplace. Elle la met tout de go sur son érection et commence à caresser. De l’autre main, elle guide celle du mari vers mon entrejambe. Ils sont deux à me masturber. Le mari introduit un, puis deux doigts dans ma chatte. C’est trop bon, j’enfouis mon visage dans son décolleté. Elle est très douce. Je me mets carrément devant le mari, chevauchant ses doigts comme si je foutais. Elle sourit encore. Alors j’y vais. Je sors ses seins, lourds, de son soutif à balconnet. Elle sourit toujours. Je déboutonne son chemisier, tout en les suçant. Elle soupire. C’est trop bon, je sens que je vais prendre mon pied sur la main du mari, dont deux doigts me fouillent. Je sais ce qu’elle n’ose toujours pas. Je guide sa main vers la belle queue d’Ousmane, je ne pense pas que le mari puisse protester. Elle attrape cette bite qui la fascinait depuis longtemps, la caresse, soupèse les bourses. Je tire Ousmane plus près, jusqu’à ce que sa queue repose au milieu des gros seins de Madame. Gros soupir. Le mari est tout excité, il me masturbe sérieusement maintenant, avec quatre doigts. Je prends un pied pas possible (encore plus bruyant que le premier, me dit Marc). Je fais arrêter la branlette espagnole d’Ousmane et lui demande de s’asseoir. La femme semble un peu déçue.
Je gardais l’initiative, mais à peine. Maintenant, j’avais hâte de jouir bien comme il faut. Je demande à la dame: «Tu sais qu’il va me baiser, bientôt ?»
«Oui, je veux voir !»
«Tu veux qu’il me baise sur tes genoux, pendant que ton mari me tient la tête ?»
«Oh oui !»
Je lui relève la jupe jusqu’à la hanche, en caressant ses jambes par dessus le nylon. Elle est belle. Très belle femme, aux courbes pleines. Elle ne proteste pas. «Ce serait si bon si tu pouvais dire à ton mari de se mettre tout nu, enfin, si tu permets, quoi, je ne veux pas m’allonger sur ses vêtements». Elle se lève. Je me dis que j’ai dû pousser trop loin, mais elle me surprend. La voilà qui ouvre sa jupe et la fait glisser à terre. Le chemisier suit. Elle parle à son mari, puis l’aide à se déshabiller. Elle dégrafe son soutien-loloches, inutile depuis que ses seins étaient déjà à l’air. Voyant que son mari finit de se déshabiller sans faire d’histoires, elle enlève son slip aussi et garde seulement ses bas dim et ses chaussures. Défiante maintenant, elle se laisse admirer un instant par la salle avant de se rasseoir.
Je fais signe à Ousmane de se lever. Je le fais asseoir sur les genoux de la dame. Un signe à Marc, et il s’assied sur le siège qu’occupait Ousmane. Je le fais s’étendre, son dos est sur les genoux du mari, sa tête dans le vide. Je lui agace la poitrine, légèrement, du bout des ongles. La dame blonde se joint à moi et lui fait de même sur le ventre, l’aine, le gland. Il fait de petits bruits. La femme soupire. Marc a collé sa cuisse contre la sienne. Je chevauche la tête d’Ousmane, du côté du mari à qui j’ai passé mon bras autour du cou. Je colle un sein contre sa joue pour ne pas tomber et me laisse aller. La langue d’Ousmane est simplement délicieuse, je me laisse aller et je ne tarde pas à avoir un autre petit orgasme. Je m’étends sur Ousmane.
La femme prend la belle queue toute noire et luisante et la présente à ma bouche. Avant de la gober, je lui dis que je veux qu’elle lui relève les jambes autant qu’elle peut. Les yeux de mon Marc ne sont qu’à quelques centimètres des miens et je veux qu’il voie bien. Il n’est pas le seul, d’ailleurs. Il y a foule autour de nous. J’avale cette bite, la recrache, l’avale encore. La langue et les mains d’Ousmane sont partout dans ma chatte, dans mon cul. Des tas d’autres mains me caressent le dos, les fesses, les cheveux. Je regarde Marc dans les yeux. Je prends une des mains de la femme, la pousse dans la raie d’Ousmane. Je guide son doigt sur le trou du cul. Elle lui donne du plaisir, ça se sent. Ouf, encore un orgasme pour moi ! Quand je sens qu’Ousmane n’en peut plus, j’arrête. Je serre sa queue à la base, j’attends.
Nous nous relevons. Je serre encore sa queue. Je me mets sur les genoux de la dame, mes pieds sur le plancher. Je m’étends, les épaules sur les genoux du mari. Sa vieille bite est bien dure et elle sent bon. Je colle ma joue dessus. La femme me sourit. Elle frotte la queue d’Ousmane contre ma chatte. Il attend, il m’agace. Il fait semblant de vouloir me pénétrer lentement, mais il rentre d’un seul coup. Le paradis, quoi ! Il me défonce, entre et sort entièrement à chaque fois. Des mains me malaxent les seins, la bite du mari bute contre ma joue. Purée, ce que c’est bon. Je le hurle. Maintenant que je retrouve ce que j’aime le plus dans la vie, je prends mon pied de plus en plus vite. Et ça vient, un pied super. Marc est accroupi à côté, sa langue dans ma bouche. J’ai juste le temps de lui faire savoir que je l’aime autant que toujours. Ousmane est près de décharger. Pas de ça, Lisette ! Je serre les jambes, l’arrête. Le couple qui a été si serviable mérite bien quelque chose. Ousmane aussi.
Je me lève. Une vingtaine de mains me caressent, m’explorent de tous les côtés. J’aime ça, l’excitation me regagne. Je remets la queue d’Ousmane entre les seins de la blonde. Il n’en peut plus le pauvre, il recommence ses va-et-vient. Histoire d’encourager ma voisine, je me penche sur son mari et lui taille une petite pipe. La femme, elle, avale le gros dard du Sénégalais, jusqu’à la garde, et ça ne dure pas longtemps avant qu’elle avale et que le sperme commence à couler du coin de sa bouche. Ousmane n’arrête pas de sitôt. Quand il se retire enfin, il est tout aussi dur qu’avant, le bougre, comme Marc à son âge.
Le reste est plutôt confus dans ma tête, c’est pourquoi je laisserai Marc raconter ce qui s’est passé:
Je dois dire que je commençais à m’impatienter. Ma trique me faisait un mal de chien, mes couilles aussi. Je ne savais pas combien je pouvais résister à l’agacerie que me servait ma petite chérie. Ce n’est plus nous trois, mais une grappe humaine qui suivait Annette. Voyant toutes ces mains qui se promenaient sur son corps, je savais qu’elle serait de plus en plus excitée. D’ailleurs maintenant nous étions tous les trois à être caressés, palpés, branlés de tous les côtés. Annette nous a conduits tout droit dans l’allée centrale, pour s’arrêter devant le grand roux dont le braque maintenant violacé battait la mesure avec son pouls. Ce sourire qu’il lui a fait !
Elle lui a roulé une pelle. «Tu vas aimer ça», lui a-t-elle fait.
Puis elle a demandé à la grappe humaine de s’écarter pour mieux voir. Quand le vide s’est fait, elle a mis debout le grand roux. Elle adore les hommes plus grands qu’elles. Elle a levé la jambe lentement, caressant son pénis de sa cuisse, puis elle s’est tournée vers moi: «Viens m’aider». Je savais qu’elle était loin d’avoir fini avec le Sénégalais. Nous l’avons pris en sandwich entre nous, pour commencer. Collé contre lui par derrière, le lui caressais le torse pendant que mon amie le suçait. Il a été bientôt tout à fait raide, le dard à la verticale. Je suis passé devant et appuyé ma bite contre la sienne, pendant qu’Annette, accroupie derrière, lui léchait les fesses et la raie. Le roux, derrière elle, lui caressait les seins, sa queue frottant le dos d’Annette. Un gros soupir d’Ousmane m’a fait savoir qu’Annette avait dû lui enfoncer sa langue dans le cul. Puis ma chérie s’est relevée, s’est de nouveau collée de tout son long contre le roux pour lequel elle semblait avoir un petit béguin.
Elle m’a dit: «Aide-le à me préparer comme tu faisais dans le film.» J’ai compris. Annette s’était penchée de nouveau sur la queue d’Ousmane et nous présentait sa croupe en l’air, au roux et à moi. Faisant bien attention à ne rien cacher aux spectateurs, je lui ai écarté les fesses. J’ai dit au roux de la lécher autant qu’il peut. Il ne se l’est pas fait répéter. Il s’est emparé de son derrière comme si c’était un gros gâteau et son visage s’y est perdu. Pendant ce temps, Aline ne perdait pas de temps et léchait Ousmane. Quand la bouche du roux à quitté la chatte d’Annette, je m’y suis mis, léchant cette fois le petit trou pour faire bien lui faire voir: «Elle adore ça. Fais-le-lui autant que tu peux». Bientôt les spasmes de ma bien-aimée ont manifesté sa satisfaction. Un spectateur qui n’en pouvait plus, tout nu, s’est étendu sous elle pour embrasser ses seins. Le grand roux semblait adorer ça. Il ne décollait plus. Quant Annette avait trop de plaisir pour continuer à lécher le gland d’Ousmane, j’ai plongé deux doigts dans sa chatte, je les ai sortis dégoulinants, les ai promenés dans la raie pour en appuyer un contre le sphincter. Le roux m’a imité. Bientôt enhardi par les bruits que faisait ma chérie, il a glissé un deuxième doigt. Le l’ai aidé à la lécher encore, puis à y enfourner lentement trois doigts. Quand Annette s’est enfin redressée, elle semblait une bacchante en furie. Je connaissais cet état: elle avait de nouveau pris son pied, et en voulait plus et plus fort.
Elle a sauté au cou du géant roux, et tout en l’embrassant s’est hissée sur la pointe des pieds pour s’appuyer son pieu tout contre sa chatte. Elle a levé une jambe en l’air. Un clin d’oeil à Ousmane, qui n’avait pas besoin d’un dessin, et il s’est collé derrière Annette. Il a aussi frotté sa queue contre la chatte gluante d’Annette, qui à ce contact s’est penchée pour plonger sur la queue du roux, les fesses en l’air. Ousmane, sans quitter son poste, poussait doucement contre son petit trou. Sachant les désirs de ma chérie, j’ai brutalement poussé Ousmane, qui est rentré d’un seul «han !» de bûcheron, accompagné d’un cri absolument extatique d’Annette. Elle poussait du cul et en même temps suçait son nouveau béguin comme une sangsue, sans jamais perdre le rythme. Sous les yeux fascinés de l’assemblée, ceci a continué au même rythme endiablé jusqu’à ce que le roux pousse un gémissement et lâche ce qui devait être un torrent de sperme, du moins à juger par le fait qu’une partie avait débordé des lèvres d’Annette.
Ousmane devait continuer à souffrir. Annette s’était détachée, délicatement, le laissant la trique à l’air une fois de plus. Plus ma chérie baise, plus elle a d’énergie.
«Suivez-moi», a-t-elle lancé aux badauds, «tous autour de la scène !»
Le devant de la scène, presque circulaire, comportait le meuble préféré de notre jeunesse: un grand matelas rond tournant, dont le bord n’était qu’à un demi mètre des yeux de la première rangée, qui l’entourait presque entièrement. Celui-ci avait un bouton pour le faire arrêter ou recommencer à tourner. Elle se jeta dessus, l’essaya comme au temps où nous faisions les peep-show, à quatre pattes, puis sur le dos. Presque tous les spectateurs étaient là, debout contre la scène. Le couple aussi, qui ne s’était pas rhabillé. La femme blonde était pressée contre la scène par plusieurs queues nues.
Annette était déchaînée maintenant. Elle me regarda dans les yeux et tapota le matelas. Je l’y rejoignis d’un bond. Je me collai contre elle. Un long baiser, sa main autour de mes couilles. «Est-ce mon tour, enfin ?»
Elle a souri: «Voyons mon amour, aurais-tu changé ? N’est-ce pas toi qui aimais attendre pour me la mettre ? Il faut bien que je te torture un tout petit peu, que je te fasse tout ce que tu aimes, non ? Mmmm, c’est que tu es tout dur, ça t’a déjà fait de l’effet, je vois. La baise en amoureux, je la garde pour la bonne bouche.» Elle a poussé le bouton qui fait lentement tourner le lit, puis elle a fait signe à Ousmane de nous rejoindre.
«Reste avec nous.»
Puis elle a appelé Roland et Ginette: «Venez donc sur le matelas, il y a de la place pour tous. Vous n’êtes pas forcés de baiser avec les amateurs, vous pouvez toujours vous amuser entre vous.»
Maintenant, nous avions Ousmane d’un côté, Roland et Ginette de l’autre. Annette s’est penchée sur ma queue. Elle m’a doucement branlé, léché, pendant que son autre main s’occupait de mes couilles, puis de mon cul. J’ai vu que Roland était reparti, sa bite énorme coulissant entre les seins généreux de Ginette, qui avalait le gland à chaque mouvement. Juste comme je commençais à penser que ce n’était pas possible, que ma queue aurait dû exploser comme une grenade, elle s’est accroupie au-dessus de ma tête. Le cul d’Annette a toujours été mon plat préféré. Je ne me suis pas fait prier pour manger. De temps en temps, elle se baissait pour avaler ma queue, histoire de maintenir ma douleur, puis détournait la tête pour rouler une pelle à Ousmane.
Une nature, Ousmane. Le voilà qui triquait dur de nouveau. De l’autre côté, Ginette s’était enfin décidée à se faire la pine de cheval de Roland, en s’asseyant dessus petit à petit. Voir comme sa chatte était toute étirée par cette grosse queue, qui faisait sortir sa muqueuse rose à chaque mouvement, m’excitait encore plus. Le soixante-neuf avec ma chérie se faisait de plus en plus intense, mes doigts et ma bouche allaient et venaient partout. J’ai senti son spasme et ses petits cris, me signalant qu’elle avait pris son pied, mais je voulais continuer à tout prix. Elle ne l’a pas permis. Elle s’est assise, fascinée par la grosse bite de Roland qui maintenant labourait la petite Ginette en levrette.
«Là alors, ça me donne des envies.» Elle s’est accroupie sur ma queue, s’y est frottée. J’étais au seizième ciel, pensant qu’enfin ça y était. Elle a introduit mon gland dans sa chatte toute chaude, l’y a laissé un peu, s’est relevée et finalement a commencé à s’empaler dessus –par le cul. Cela me brûlait. Elle s’est bien couchée sur moi, sur le dos, pour bien montrer la pénétration aux spectateurs. Elle a roulé une autre pelle à Ousmane, lui a empoigné la bite. Ni une ni deux, le voilà qui se présente de devant, et la pénètre, nous nous frottons les queues à travers la fine paroi. Roland et Ginette s’étaient arrêtés pour se masturber en nous regardant. Ça n’a pas beaucoup tardé, Annette prenait bientôt son pied, hurlant, se tordant, riant, comme à son habitude. J’étais près de décharger, mais elle l’a senti, la fine mouche. Elle a arrêté de bouger et emprisonné nos deux queues de ses sphincters. Elle s’est dégagée et m’a demandé, d’un air de Sainte-nitouche: «Alors, chéri, tu la veux vraiment, ma chatte ? Regarde-la maintenant, et je te la donnerai, mais pas avant que je te dise»
Elle s’est étendue entre Ginette et Roland, les jambes écartées, et leur a parlé tout bas. Ginette s’est mise à lui sucer les tétons et à la branler. Elle l’a étendue sur le dos, au-dessus de Roland. Puis elle s’est emparée du gros paf de Roland, qui doit bien faire dans les cinq centimètres de diamètre et aussi long que celui d’un âne. Ginette en a caressé la fente de dégoulinante de mon amie, qui s’est lentement assise dessus. Je me suis rappelé la fois où Annette s’était fait pas mal de sous pour un film en se faisant enfiler par Roland. Ma trique me faisait mal à hurler, maintenant.
C’est alors qu’elle m’a fait signe. Elle était toute distendue par le monstre. Elle s’est relevée un peu, ne laissant que le gland dans sa chatte. Elle s’est couchée, et j’étais tellement dur maintenant qu’en poussant tout contre le monstre de Roland, j’ai pu commencer à entrer. Je ne voulais sûrement pas lui faire mal. C’est alors qu’elle s’est mise à hurler «C’est bon ! C’est bon ! Plus profond !»
C’était bon, en effet. Je ne me rappelle pas qu’elle ait pris un tel pied. Moi non plus, d’ailleurs. Pendant qu’elle se démenait, secouée des premiers spasmes, Ginette m’a mis un doigt dans le cul, puis elle l’a retiré. Immédiatement après, quelque chose de plus gros que le doigt m’a défoncé. Ousmane était sur moi. J’ai déchargé presque immédiatement, en même temps que Roland. Nous sommes restés sans bouger, tout mouillés. Plus tard, j’ai entendu ma chérie dire: «je crois que je suis fatiguée !»
Nous avons passé les douze jours qui suivent sans sortir de chez moi, à causer et à baiser en amoureux. Nous n’avons pas encore pu décider qui des deux a fait un beau cadeau à l’autre. Mais le départ d’Annette s’approche, hélas. Nous nous consolerons en écrivant nos mémoires d’il y a trente ans.