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n° 08355Fiche technique14030 caractères14030
Temps de lecture estimé : 9 mn
28/12/04
Résumé:  Les vacances et la chaleur du Mexique
Critères:  fh vacances hotel voiture
Auteur : Eromex      
Recuerdos de Mexico


Emilia était une belle femme. Française née au Mexique où je résidais à ce moment là. Un peu voyante, toujours bien habillée, bien maquillée, n’hésitant pas à dévoiler la naissance, et un peu plus…. d’une belle poitrine. Certaines femmes qui voient venir le danger disaient d’elle avec hargne : « elle fait pute » !


Nous nous étions aperçus plusieurs fois, toujours dans des groupes, de loin en somme. Mais il y a certains coups d’œil qui ne trompent pas. Le contact visuel comme disent les Américains, c’était établi entre nous à plusieurs reprises. Cette fois-ci, je me retrouve quelques minutes en tête-à-tête avec elle, nous avons un verre à la main elle me dit :



Je lui réponds sans aucune arrière pensée et en toute innocence :



Son mari arrive, une conversation anodine s’établit, je me sens très bête. Le week-end suivant, je me retrouve avec elle quelques instants, mais ce n’était pas tout à fait le fruit du hasard, immédiatement je lui dis avec un petit rire mi-salace mi-gêné :



De nouveau elle éclate de rire me tourne le dos et s’en va. J’avais trouvé cette approche géniale maintenant je me trouve encore plus bête !




Quelques soirs après, nous allons au cinéma les quatre en ménage. À la sortie alors que je retiens la porte pour tout le monde, elle profite en passant pour se frotter contre moi en me gratifiant d’un sourire à déclencher une révolution supplémentaire dans un pays peu avare de ce genre d’exercice. Nous nous installons dans la voiture, à la française. À la latina, c’est les hommes devant et les femmes derrière. À la française : mélangés. Donc derrière : elle et moi. De l’avant on ne voit pas ce qui se passe derrière, en tout cas pas à la hauteur des sièges.


Sa main gauche traîne négligemment sur le siège, je mobilise tout mon courage, enfin je lui prends la main en angoissant. La pression de sa part est sans équivoque…. Je me lance donc, je lui mets la main sur la cuisse. Aussitôt elle remonte sa jupe et écarte les jambes. Ma main suit le chemin naturel qui s’offre à elle. J’écarte un peu la petite culotte, je caresse les poils du pubis. Ils sont courts de toute évidence coupés et soignés. Très vite elle me dirige sur son sexe qui mouille déjà. Un feu rouge, m…e , ma femme se retourne, j’essaye de dégager ma main, Emilia la retient, une éternité puis le feu repasse au vert et mon activité recommence. Le petit clito était réellement minuscule au bout de mon doigt. De temps en temps je déborde sur ses lèvres, je plonge un doigt dans sa chatte très humide, je reviens au clito que j’effleure puis le caresse plus énergiquement, tout d’un coup je la sens se raidir, un espèce de bruit rauque jaillit de sa gorge, elle se met à tousser frénétiquement pour donner le change car les têtes devant se sont retournées. Ça passe, ouf, j’attends quelques minutes puis elle prend ma main et la remet en place.


Je continue en bon petit artisan honnête à exécuter ma mission. Mon doigt se fait tout doux tout léger sur ce petit clito au maximum de sa taille, mon doigt s’égare un instant dans sa chatte puis ma main lui caresse tout le sexe et mon doigt revient encore comme une plume sur son centre de plaisir, elle sursaute encore en se mordant les lèvres, pendant tout ce temps là je continue une conversation très mondaine sur la terrible pollution qui s’abat sur cette ville par ailleurs splendide. Hypocrite. Un autre feu rouge, merci. Je retire ma main et la passe machinalement sur mon visage. Le parfum m’affole. Jamais je n’ai retrouvé une odeur de chatte pareille. Fin, émouvant, musqué, totalement envoûtant, le triomphe des hormones, je crois le sentir encore. J’ai été réduit en esclavage par ce parfum, car je suis devenu l’esclave sexuel de madame, l’avenir le prouvera, et croyez moi, il y avait de quoi faire. Je m’apprêtais à prendre un peu de repos, surtout que ce double jeux entre la conversation mondaine et mon activité pro-clitoridienne était dure pour les nerfs. Mais sa main vient se saisir de la mienne elle la plaque à nouveau sur son sexe et c’est reparti….Incroyable ! Et bien elle a joui à nouveau, en se mettant la main sur la bouche ce qui nous a évité une partie du problème précédent.

Puis nous voilà devant notre maison, le mari, ravi de sa soirée, disant il faut qu’on recommence…. Tu parles !


Finalement la grande gagnante de la soirée fut ma femme car je lui ai fait l’amour comme une bête, elle était ravie et me disait : « Dis donc ça te réussit le climat de Mexico. » Oui ça me réussit !




La semaine suivante, coup de fil d’Emilia au bureau :



Merci ! Un excellent hôtel, très cher, si je mets la douloureuse sur ma carte de crédit du bureau, achtung la direction ; sur ma carte de crédit personnelle ce n’est pas moi qui m’occupe des comptes à la maison, bonjour la scène !



Pas de décision Cornélienne à prendre je suis prêt à foncer dans le mur, car je sens bien que cela ne sera pas sans dangers. J’annule mes rendez vous. J’arrive aussi à annuler l’hôtel et à convaincre ma « maîtresse », jamais le terme n’a été aussi bien employé, d’aller dans un motel de passe : Institution latino-américaine par excellence, un garage se trouve sous la chambre, tous alignés sur une rue, dès que la voiture rentre la porte du garage se referme automatiquement, donc l’anonymat est garanti. Inutile de dire que ces affaires abondent et tournent à fond. Petit détail pittoresque, la passagère se penche sur le siège pour ne pas être vue et les voitures semblent rentrer et sortir avec le seul conducteur à bord…. C’est ainsi que les latinos sont les champions de la fornication et les latinas toutes vierges…Mystère de la statistique.


Une fois la voiture garée une petite fenêtre s’ouvre pour payer la chambre et commander à boire ou même une collation. C’est conçu de façon à ce que l’on ne puisse pas voir les clients, anonymat absolu ! Immense lit, tout le confort, à peine arrivés Emilia me déshabille, je l’embrasse avec curiosité, après tout, mes doigts la connaissent mais pour le reste nous sommes des étrangers. Elle n’a pas de soutien-gorge, juste un petit Tshirt collant, et surprise, encore que j’aurai pu m’y attendre, pas de culotte. Ses seins sont délicieux, fermes, généreux, je prend un téton dans ma bouche, il réagit immédiatement, je laisse ma main descendre sur les lieux de leur dernière promenade, elle est déjà excitée mais elle me dit : « Laisse-toi faire ». J’ai quand même eu le temps de m’imprégner de son parfum intime, ça me saoule. Extraordinaire, jamais je n’ai senti odeur aussi enivrante, le jasmin de Séville n’est rien à côté….


Elle m’allonge sur le dos, m’embrasse les tétons, descend peu à peu sa bouche humide et sa langue le long de mon torse de mon ventre, ça devient intenable, mais très vite sa bouche entoure mon sexe qui bande depuis un bon moment. Elle est très experte mais en même temps très tendre, très « sympa », le terme peut paraître bizarre mais le lieu est impersonnel et tout va tellement vite qu’il faut humaniser tout cela et elle y arrive avec un art et une gentillesse fantastique. Elle sait bien monter et redescendre le long de la verge, alterne ces caresses avec la saisie dans sa bouche du gland, elle embrasse les boules souvent négligées dans ces petits jeux. Je tiens ici à faire un appel solennel aux amantes du monde entier : occupez vous des boules de vos partenaires, cela vous économisera beaucoup d’énergie ! Elle continue à caresser celles-ci tout en s’occupant du gland avec sa langue et ses lèvres. J’essaye de m’occuper d’elle car mes anciennes habitudes latines d’égoïsme ont été mises à mal par mes partenaires européennes en particulier françaises et je mets maintenant un point d’honneur à satisfaire ma compagne, mais elle me repousse et me dit encore :



Je sursaute :



Conséquence inattendue de ces confidences : je débande…

Je vous passe la séance de reconstruction, mais enfin tout redevient normal. Elle reprend un rythme d’enfer. Sa langue glisse entre mes couilles et vont chercher mon bouton, s’attarde autour, le mouille à fond. Sa langue qu’elle semble rendre pointue, s’insinue en moi. Je surmonte les vestiges de mon éducation Judéo-chrétienne pour jouir du moment. Elle revient sur mon gland mais me rentre un doigt bien à fond. Le moment de surprise passé (mon toubib vient de me faire un touché rectal pour la prostate, tout va bien merci, j’avais trouvé ça très désagréable), je trouve cette caresse intéressante dans un premier temps. Dans un deuxième temps combiné à l’activité sans faille de sa bouche divine sur mon sexe je trouve très vite l’ensemble sublime (il faudra que je donne la recette à mon toubib, je suis certain qu’il aurait moins de problèmes avec ses touchés !). J’avertis Emilia, « arrête je ne pourrai jamais tenir, je vais tout lâcher dans ta bouche » Elle s’arrête un instant, m’adresse un de ses sourires ravageurs, gentils, prometteurs, complices, un peu « scout » puis elle me dit « mais j’y compte bien, je te dois bien ça après la semaine dernière, tu sais tu as des doigts en or, et des nerfs d’acier ».


Bon, je l’avertis, la nature ne fait pas toujours les choses comme on l’aimerait. J’aurai adoré jouir de multiples fois ne serait ce que des gouttelettes, un bruine même, mais non, moi quand j’éjacule trois fois c’est un record olympique et en plus il y a de quoi féconder toute la vallée du Nil à chaque fois ! Grâce à ces caresses prenant la cible par deux fronts différents le plaisir monte comme une fusée, puis c’est l’explosion. Il n’y a pas d’autre mot, j’explose littéralement, mon corps est secoué de bas en haut, mes jambes se tendent, je crois que je vais éclater, et puis c’est un bien être incroyable. Ma caractéristique « d’éjaculatio-abundantis » fait que la fellation, dans mon cas, est presque toujours aussi « interruptis » (c’est fou ce que nous devons au latin) pour cause de débordement intempestif. Cela gâche le plaisir des deux participants. Mais une fois de plus elle est étonnante, elle attend patiemment jusqu’à la dernière goutte, sans aucune interruption, puis, de nouveau elle me fait ce sourire que je n’arriverai jamais à définir mais qui me fait fondre et pour enterrer définitivement mes fameux scrupule judéo-etc elle me dit simplement, « ta semence est absolument délicieuse ». Je suis ému par tant de gentillesse, je saisi sa tête, l’attire vers moi et l’embrasse avec une tendresse infinie. Par la même occasion je fais connaissance avec mon sperme, entre nous je préfère une glace Hagendass, mais ça pourrait être pire !


Puis raffinement suprême elle me reprend dans la bouche, presque immobile car le sexe est douloureux à ce moment, mais la chaleur de sa bouche est là, puis très lentement elle reprend quelques caresses avec la langue….


La suite je vous la raconterai plus tard, car ces souvenirs m’épuisent. Sachez simplement que très habilement elle a regonflé l’engin qui était carrément au sol, en panne sèche ! Nous avons repris l’activité sous toutes ses formes. C’est fantastique d’avoir une femme qui jouit sans arrêt, par-devant, par derrière, avec les doigts, avec la langue, avec le sexe. Mais oui ça peut encore se faire avec le sexe, même si c’est un peu ringard. Au dixième orgasme, alors que j’allais demander de l’oxygène, elle m’envoie à nouveau ce sourire, qui devrait être puni par la cour internationale des droits de l’homme, et elle me dit « tu sais je suis encore un peu intimidée, on ne se connaît pas, je crois qu’il faut s’arrêter, mais je crois aussi que j’ai trouvé l’homme de ma vie ». Ce genre de nouvelle aurait du me remplir de joie et d’orgueil mais j’ai deviné que des cataclysmes s’annonçaient et ça m’a laissé rêveur. Quant à l’arrêt « prématuré » de nos activités, la suite des événements devait le prouver, si on avait le temps pour nous elle sacrifiait à Vénus jusqu’à vingt fois, et moi…pauvre de moi…. deux…. Mais figurez vous que j’ai retrouvé Emilia sur ce site, je lui demande de reprendre le récit avec sa version. Je risque d’en prendre « plein la gueule » mais c’est ça le droit de réponse. À toi de jouer Emilia, ma formidable Emilia qui ma laissé des souvenirs impérissables !