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n° 08358Fiche technique7860 caractères7860
Temps de lecture estimé : 5 mn
31/12/04
Résumé:  Un réveil plein de vigueur.
Critères:  fh noculotte fmast facial fellation anulingus hdanus aliments uro
Auteur : Klipsch      
Le petit déjeûner de Sophie



Ce matin-là, je me levai avec une grosse protubérance entre les jambes, mon pyjama était tendu. Je pris dans ma main cette excroissance rigide et souple, ce qui eut pour effet de m’électriser. Je bandais bien raide. Et Sophie qui dormait encore… Je pris le parti de ne pas faire attention et je me dis que cela allait se calmer. Je déjeunais tranquillement, mon sexe toujours aussi dur. Sophie apparut alors, le visage encore tout ensommeillé, dans son grand tee-shirt blanc. Elle s’étira et le tee-shirt se souleva laissant apparaître sa toison noire entre ses cuisses galbées. Ses seins imprimèrent leur forme au tissu, des seins gonflés, fermes et doux.


Je n’aurais pas dû regarder ce spectacle avec autant d’attention, car mon sexe durcit de plus belle. Sophie s’approcha de moi et m’embrassa d’un long et langoureux baiser, son corps se frotta contre le mien et, comme j’étais assis, je pus facilement passer une main câline entre ses cuisses chaudes.


Son sexe était légèrement humide, elle aussi devait "bander". Elle écarta ses jambes un peu plus, se laissa faire quelques secondes et son regard se posa sur ma protubérance.



Elle avait lié le geste à la parole et ses doigts vinrent caresser mon pénis.



Elle me fit pivoter sur ma chaise, enleva son tee-shirt et s’assit sur ses talons. Elle écarta mes jambes, glissa ses mains de chaque côté de mes hanches et fit glisser mon pantalon de pyjama. Elle me l’ôta complètement. Elle bomba le torse et vint frotter ses seins sur mes testicules. Puis, prenant ses mamelles entre ses mains, elle les pressa sur ma verge tendue en imprimant un mouvement de bas en haut à sa poitrine. Elle me masturbait d’une des manières les plus voluptueuses qui soit.


Mon sexe était toujours aussi tendu vers le ciel. Sophie changea de position et tout en sortant sa langue elle se mit à me lécher entre les testicules, puis les aspira du bout des lèvres jusqu’à les faire pénétrer dans sa bouche l’un après l’autre. Elle avait porté sa main gauche à son sexe et faisait pénétrer son majeur dans sa petite caverne chaude et humide en laissant échapper de petits gémissements. Sa main droite pendant ce temps était agrippée à mon pénis et me branlait lentement.


Sur la table, un petit pot de confiture était ouvert. Sophie l’aperçut et le prit. Elle y fit pénétrer sa langue avec laquelle elle retira de la confiture, reposa le pot, entra sa langue dans sa bouche sans en avaler. Puis elle se pencha en avant, dirigea ma verge vers sa bouche et l’engouffra. Je sentis sur mon gland la texture de la confiture et Sophie poussa un " Hum! " de satisfaction. Elle montait et descendait sa tête en un mouvement lent et régulier. J’avais le sexe enduit de confiture. De temps à autre elle le sortait de sa bouche et faisait glisser sa langue le long de la hampe jusqu’au gland. J’étais comme sur un nuage, je profitais de cette fellation merveilleuse. Mon sexe était devenu encore plus dur.


Sophie s’arrêta quelques instants pour reprendre son souffle et dit :



Un coup de langue vint ponctuer le mot " bout ".



Ce que je fis sans discuter. Une fois debout, Sophie se glissa entre mes jambes, son visage tourné vers mes fesses. Elle agrippa mon sexe avec ses deux mains et je sentis qu’elle me léchait entre les fesses jusqu’à l’anus. Alors qu’elle procédait à cette manœuvre, ses mains me branlaient ardemment, puis elle cessa et ouvrit ma raie. Sa langue devenait plus précise car elle commença à me laper l’anus, allant jusqu’à le pénétrer un peu. Elle écartait encore plus mes fesses pour mieux passer.


Une fois sa langue entrée, elle la fit doucement tourner dans mon orifice et ses mains revinrent vers mes testicules et mon pénis. C’était absolument délicieux. En regardant vers le sol je pus apercevoir son triangle noir et les lèvres humides de son sexe. Elle écartait les jambes. Une de ses mains vint se poser entre elles et je vis que Sophie faisait pénétrer son majeur et son annulaire dans le vagin. Elle soufflait et son autre main accélérait le rythme. Ma pine était tendue, rouge et je sentais bien sa branlette frénétique.


Ma partenaire retira sa langue et vint se mettre à genoux devant moi. Elle se lécha les lèvres et dit :



Sophie enfonça son doigt dans sa bouche et le glissa entre mes fesses jusqu’à l’anus, puis elle le fit tourner autour et enfin, le fit pénétrer en douceur jusqu’à ce qu’il soit complètement entré. Je sentis une décharge électrique dans mon ventre, c’était absolument divin.


Elle avait à nouveau englouti mon sexe et ses lèvres venaient toucher mes couilles, elle avait décidément une gorge on ne peut plus profonde. Elle se retira, attrapa ma tasse de café et en versa une goutte sur mon gland en se dépêchant de laper, d’aspirer le café et mon nœud avec.



Puis elle me demanda une chose qui me surprit sur le coup, mais qui m’excita encore plus.



Elle prit mon sexe dans sa main et le dirigea vers ses seins gonflés. Je faisais un gros effort pour uriner, lorsque je sentis que le liquide arrivait. Comme je bandais et qu’elle m’avait décalotté à fond, le jet sortit puissamment et alla percuter ses seins. Sophie se mit à gémir de plaisir tout en s’aspergeant les mamelles, le ventre, le visage. Comme je terminais d’uriner, elle ouvrit la bouche et avala le reste.



Elle dirigea ma main vers son sexe qui était effectivement très mouillé.



Elle se mit à me branler vigoureusement en disant :



Elle disait cela en enfouissant ma verge jusqu’au plus profond de sa gorge, puis elle passait sa langue autour de mon gland. Elle se redressa un peu, fit couler sa salive sur le nœud et se caressa les bouts de seins avec. Moi je sentais la jouissance venir et poussais de petits soupirs. Elle reprit mon sexe dans sa bouche et cette fois se mit en devoir de me faire jouir en allant et venant de la tête de plus en plus vite. Le sperme monta rapidement et jaillit tout à coup, Sophie n’en perdit pas une goutte. Elle faisait cela méticuleusement et tout en m’encourageant :



Elle aspirait fortement. Elle fit couler le sperme de chaque côté de sa bouche et avec ses doigts elle le récupéra pour se caresser le clitoris avec et se faire jouir elle aussi.